"Fausse lumière" après la mort

Rappel du premier message :

J'ai déjà lu des théories comme quoi l'amour inconditionnel, la lumière etc qu'on voyait après notre mort, c'était justement le piège dans lequel il ne fallait pas tomber.

C'est un retour dans le cycle des réincarnations alors que le but est justement d'en sortir.

Il y a des sites qui y font allusions:

http://b1etre.blogspot.be/2015/02/les-pieges-apres-la-mort-physique.html?m=1

Voir des vidéos :

https://www.youtube.com/watch?v=P6nL13ADfSg

Et voilà ce qu'un "pote" m'a dit

Citation :

 
Tu devras redescendre pour une autre vie et que ta mission qui n'a pas changé depuis des siècles sera encore la même... te rappeler de QUI tu es, QUI est derrière la Conscience Divine.

'Après un certain temps, tu vas rencontrer un Maitre d'incarnation et il faudra que tu planifies ta prochaine vie...car si tu es là..c'est que tu as encore échoué ta mission. C'est un cycle...infini tant que tu ne réussiras pas ta mission.

Pour stopper le cycle... cela est dit déjà sur de nombreux sites web de nous rappeler qui nous sommes mais ceci est dit par des EDL ou entités de lumière mais eux ne disent pas pourquoi nous devons nous rappeler de ceci. Les gens qui font des NDE...oui parlent d'amour car c'est ce qui est ressenti en 4D haute... de l'amour, pour mieux piéger les pauvres humains à répéter le cycle de vie-mort-vie-mort-vie...etc...​ L'amour est bon.. mais il doit libérer et non emprisonner sauf qu'ici en 4D haute.. il est ressenti parce qu'il est résonance et attracteur.'

Simple non! Et pourtant combien échoueront encore leur mission de vie..... S'aimer et se rappeler. C'est tout ce qui est demandé à chacun, ne de nous tous.

Qu'est ce que vous en pensez ? 

[quote="Enigma"]Les rêves permettent à l'inconscient d'évacuer[/quote]

Et lorsque les rêves sont conscient?qui s'échappe ?

Malayalam a écrit:

Enigma a écrit:

Les rêves permettent à l'inconscient d'évacuer

Et lorsque les rêves sont conscient?qui s'échappe ?

Toujours l'inconscient car il est là à chaque instant.

Mais le conscient rejoint la partie et s'en amuse

Donc d'après toi c'est l'inconscient qui rend les rêves conscients?
Bon très bien....
Bonne journée

Je ne vois pas où j'ai écrit cela ?

Enigma a écrit:

porte a écrit:

**De la part d'un qui y est passé...

Peux tu expliciter ? 

*RE: Donnes-moi une seule bonne intention valable, et peut être que...

Fraternellement

Figaro a écrit:

Trépassé à demi, alors ?

*RE: Non, la mort de quelque chose d'ignorant qui a lâché prise et ouvert des portes vers la connaissance.

Fraternellement

porte a écrit:

*RE: Donnes-moi une seule bonne intention valable, et peut être que...

Fraternellement

Partager ? 

Figaro a écrit:

Je vais de ce pas l'exprimer autrement : Qui connaît la mort, connaît aussi la vie. Je ne connais ni l'une ni l'autre.
Quant au corps, c'est un ami insaisissable mêmement lorsqu'on croit le connaître.

*RE: Eh bien apprend, et c'est exactement ce que tu es en train de vivre.

Ha! Le corps!

Je vois exactement l'inverse, c'est à nous de s'en faire l'ami, s'en saisir pour expérimenter le créé à travers son monde et ses attributs, il est un véhicule de préhension à cinq sens, le reste lui est accordé de surcroît, suivant l'élévation de conscience de l'esprit qui l'habite, car il a une conscience de base élémentaire d'élémental.

*Mais ceci, au vu de l'état des lieux il va falloir te mettre des fenêtres pour y voir plus clair. Voir au-delà du corps...

Fraternellement

Figaro a écrit:

Porte,

Serais-tu un bouddha ?

*RE: La sagesse porte à répondre à ses propres questions et en éteindre le feu par consumation du chercheur.

Un bouddha...non, potentiellement, oui, comme tout un chacun. L'apparition de certains attributs en l'homme en sont les prémices.

Fraternellement

Figaro a écrit:

porte a écrit:

Figaro a écrit:

Je vais de ce pas l'exprimer autrement : Qui connaît la mort, connaît aussi la vie. Je ne connais ni l'une ni l'autre.
Quant au corps, c'est un ami insaisissable mêmement lorsqu'on croit le connaître.

*RE: Eh bien apprend, et c'est exactement ce que tu es en train de vivre.

Ha! Le corps!

Je vois exactement l'inverse, c'est à nous de s'en faire l'ami, s'en saisir pour expérimenter le créé à travers son monde et ses attributs, il est un véhicule de préhension à cinq sens, le reste lui est accordé de surcroît, suivant l'élévation de conscience de l'esprit qui l'habite, car il a une conscience de base élémentaire d'élémental.

*Mais ceci, au vu de l'état des lieux il va falloir te mettre des fenêtres pour y voir plus clair. Voir au-delà du corps...

Fraternellement

Réduire à ce point le corps, c'est vraiment fort mal le connaître. Le corps est davantage qu'une enveloppe, ou qu'un véhicule. Et si tu m'invites à voir au-delà de ce dernier, de mon côté, je te convie à explorer chacun de ses recoins.

*RE: Je veux bien répondre à l'enfant en toi...lorsque justement, l'on à fait cette exploration du corps, il arrive que l'on veuille alors allez au-delà simplement. Je ne le réduis pas, je le mets sagement à sa juste place, ni plus, ni moins. Que tu en fasses une idole, l'apologie pose certaines sources d’inquiétude quant à la perte de celui-ci à venir: l'attachement et la souffrance qui s'en suivent.

*Etat des lieux établit. Quelques incarnations et cet état d'esprit qui te porte devrait se résoudre à ce que le relatif ne peut s'ériger en vérité.

Lorsque le feu intérieur aura consumé suffisamment ces attachements, il en sera tout autrement.  

Fraternellement

Figaro a écrit:

porte a écrit:

Figaro a écrit:

Trépassé à demi, alors ?

*RE: Non, la mort de quelque chose d'ignorant qui a lâché prise et ouvert des portes vers la connaissance.

Fraternellement

Tu fais certainement allusion à la mort de l'ego ?

*RE: Tiens donc, tu connais cet homme...qui revêt plus que le corps...bizarre?

Fraternellement

porte a écrit:

Figaro a écrit:

porte a écrit:

Figaro a écrit:

Je vais de ce pas l'exprimer autrement : Qui connaît la mort, connaît aussi la vie. Je ne connais ni l'une ni l'autre.
Quant au corps, c'est un ami insaisissable mêmement lorsqu'on croit le connaître.

*RE: Eh bien apprend, et c'est exactement ce que tu es en train de vivre.

Ha! Le corps!

Je vois exactement l'inverse, c'est à nous de s'en faire l'ami, s'en saisir pour expérimenter le créé à travers son monde et ses attributs, il est un véhicule de préhension à cinq sens, le reste lui est accordé de surcroît, suivant l'élévation de conscience de l'esprit qui l'habite, car il a une conscience de base élémentaire d'élémental.

*Mais ceci, au vu de l'état des lieux il va falloir te mettre des fenêtres pour y voir plus clair. Voir au-delà du corps...

Fraternellement

Réduire à ce point le corps, c'est vraiment fort mal le connaître. Le corps est davantage qu'une enveloppe, ou qu'un véhicule. Et si tu m'invites à voir au-delà de ce dernier, de mon côté, je te convie à explorer chacun de ses recoins.

*RE: Je veux bien répondre à l'enfant en toi...lorsque justement, l'on à fait cette exploration du corps, il arrive que l'on veuille alors allez au-delà simplement. Je ne le réduis pas, je le mets sagement à sa juste place, ni plus, ni moins. Que tu en fasses une idole, l'apologie pose certaines sources d’inquiétude quant à la perte de celui-ci à venir: l'attachement et la souffrance qui s'en suivent.

*Etat des lieux établit. Quelques incarnations et cet état d'esprit qui te porte devrait se résoudre à ce que le relatif ne peut s'ériger en vérité.

Lorsque le feu intérieur aura consumé suffisamment ces attachements, il en sera tout autrement.  

Fraternellement

C'est dans ton intérêt de répondre à mes questions, sinon j'te casse la gueule à la récré.
Je n'idolâtre pas le corps, porte. Je ne fais pas de distinction entre le corps et l'esprit, qui pour moi sont une seule et même chose.

Beh pourtant tu n'en es pas dénué. Comme quoi
J'espère pour toi que tu changeras d'ici à ta mort car à ne considérer rien d'autre que ton corps qui tout merveilleux et inapréciable qu'il soit, finira fatalement comme cadavre ce qui est la finalité de toute chair, tu te condamne à l'errance
Et alors chevillé comme tu l'es à l'indistinction d'avec le véhicule dense dont tu auras rendu les clés, tu risques de trainer longtemps en somnambule, sans conscience dans le bardo.  
Avant le recyclage dans un autre corps...

Pour en revenir à la fausse lumière, dans la vidéo Ribes explique que selon ce qu'on a entretenu comme désir ou aspiration durant sa vie cette lumière blanche et ce tunnel peuvent être dépassé. On peu même ne pas les voir !

Et ça j'y crois complètement pour ma part.

Alors Enigma (c'est valable pour moi aussi hein, puisqu'on a le même but à terme) si tu veux éviter la lumière du tunnel, piège de l'astral, nourris sans trêve ta vie durant, une soif inextinguible de libération, d'émancipation, de déprogrammation, laisse les liens de la matrice dénouer leur emprise sur toi ne retiens rien.
Mais ne refoule rien non plus, car l'inconscient devient prédominant après la mort, il ne peut plus être masqué, ravalé, l'unité superficielle de personnalité que confère l'abri du corps physique n'étant plus actif alors.

Tous ceux qui voient cette lumière semblent-ils sont des êtres ordinaires qui ont passé des dizaines d'années pigés et identifiés dans des activités sensorielles ordinaires.
Tout cela s'étant cristallisé dans le corps astral-mental (kama manasique).

Tout est énergie ici bas, mais dans l'astral aussi, la pensée est une énergie, la focalisation cristallise, plus tes pensées sont élevées et évanescentes, plus la vibration de tes corps subtils s'élève.
Et ce que tu appelles de ton feu intérieur devient ta réalité.
Donc selon l'état vibratoire dans lequel tu trouve à ta mort, le bardo tu peux le zapper complètement, c'est pas une fatalité.

Dans mes contacts facebook, y a un type qui a la trentaine, qui médite depuis l'âge de 18 ans.
Il a fait une sorte de NDE il y a qq années, dans laquelle il a commencé à voir son père suicidé, puis ses grand parents.
Mais il ne s'est pas attaché émotionnellement à ces visions, parce qu'il était détaché de tous ces liens affectifs et comme Ribes de la vidéo, il ne songeait depuis une dizaine d'année qu'à rentrer "à la maison" alors les visions se sont délité, il s'est vu plonger dans un océan de béatitude sans formes et sans personnages, puis il a été ramené à son corps. Pas de tunnel, pas de fausse  lumière !
La vie après la mort pour celui qui maintient un taux vibratoire élevé de son vivant, c'est très semblable au samadhi

Je prends note Néhémyo 

Cela étant dit, ne pas s'attacher émotionnellement aux visions de nos proches défunts ça ne doit tout de même pas être facile.

Je ne sais pas si j'aspire à être détaché totalement de tous les liens affectifs car c'est quelque part une des rares choses auxquelles j'accorde de l'importance dans ce bas monde.

Interessant témoignage 

N'empêche que si l'âme à un corps physique c'est pour une bonne raison, la réalisation ce n'est pas vivre en samadhi, mais que l'âme se fabrique un autre corps par l'alchimie et pour cela le corps physique est le seul lieu où c'est possible quand le conducteur sera réveillé. Rejeter le corps est donc une hérésie de mon point de vue. Donc toutes les lumières qui paraissent sont à prendre avec des pincettes.

@ Enigma, c'est tout le problème. mais tu es encore jeune et le détachement vient après des années d'intériorisation, donc ça viendra naturellement si tu pratiques la méditation, la concentration, mais aussi la présence à soi dans le quotidien. C'est pas facile, mais ça permet de travaikller sur la non identification.

Ceci dit les liens affectifs ne sont pas néfastes en soi, mais il ne faut pas qu'il remplissent et bouchent complètement tout l'horizon, ce qui à terme ne sera pas le cas puisque tu cherches la libération, et donc focalise ton attention ailleurs que sur les émotions et les liens sociaux habituels, alors que la plupart des gens n'y pensent même pas...
Ils ne faut s'empêcher d'éprouver des sentiments mais pas non plus s'y accrocher. Garder à l'esprit l'impermanence de tour ma manifestation sensorielle ou psychisque. Alors les liens affectifs ne sont plus si invalidants.

La plupart du temps les gens se plombent parce qu'ils s'accrochent à des états passés, à des pensées, à des regrets au lieu de laisser partir, car ça part en fait naturellement, si on ne retient pas.

On en a tous fait l'expérience: ta copine, ton copain te quitte, tu es mal pendant quoi un mois, deux mois et puis si tu te laisses faire, le temps fait son oeuvre, par contre si tu cultives des regrets, des rancoeurs, des questionnements sur ce qui aurait du être etc, alors ça n'en finit pas, 10 ans t'es tjs là à essayer de recoller des morceaux qui n'existent plus.

Donc plutôt que considérer les choses en terme de "se détacher des liens affectifs", comme si tu les arrachais, mieux vaut penser en terme de "laisser se dénouer, garder l'esprit libre, ne pas cultiver". Et alors c'est tout de suite plus abordable et aussi plus efficace.
Encore une fois on a la vie devant nous pour y travailler.
Soyons reconnaissant, d'avoir été secoué tôt, dans nos vies, celui qui commence la quête à 70 ans, après une vie de complète identification, aura plus de mal et moins de temps pour mûrir...

Oui d'accord, je comprends bien le concept.

C'est juste que c'est un peu dur à imaginer avec notre vision "humaine".

Personnellement j'ai su me remettre de rupture, mais le deuil c'est encore autre chose, ces plus jamais qui résonnent sont destructeurs.

Quitter le cycle et nos "proches" c'est un plus jamais amplifié de par le fait que même la mort ne nous réuniras pas.

J'ose espérer qu'on peut "quitter le cycle" sans pour autant faire une croix sur ceux qu'on aime.