Tomber amoureux...

Rappel du premier message :

Question :


Que faire lorsqu'on a l'impression de tomber amoureux et qu'on veut être libre de toute attache ??

Car pour moi l'amour terrestre est synonyme d'attache...


Au secours !!

karilis tu confond lâcheté et détachement!!

Plume a écrit:

Kaliris

Ce n'est pas des gens ou des choses qu'il faut être détaché, mais de l'émotionnel.

Un coup l'ego, un coup l'Amour, un coup le mental, un autre coup l'émotionnel... Moi aussi je veux jouer au paint ball spirituel et canarder dans toutes les directions

kaliris a écrit:

Comment peut-on, humains de la société occidentale, accepter de vivre tel un oiseau qui ne sait pas de quoi son lendemain sera fait, forcé de partir chaque jour en quête pendant des heures pour nourrir ses petits, avec tous les dangers que cela représente, pour leur donner un nid si fragile soit-il,
acceptons-nous de donner et recevoir de la tendresse un jour et le lendemain de n'avoir plus rien? acceptons-nous la solitude d'une vieille dame forcée de traverser la vie pendant des années encore sans son conjoint, parti ou décédé?
acceptons-nous de perdre notre emploi? de nous retrouver à la rue sans un toit? acceptons-nous de perdre notre amour, le soleil de notre vie?
acceptons-nous la pauvreté, le vide total?
tout cela sans rechigner...
puisque si j'ai bien compris Krishnamurti il s'agit bien de cela...

Sans doute ce que tu vis est difficile Kaliris.
Mais je t'assure que les épreuves que tu traverses dureront peu de temps.
Ne laisse pas s'obscurcir ton regard. La perte, le deuil, la tristesse, le désespoir sont autant de voiles qui obscurcissent le regard et te privent de la beauté, de l'amour, de la joie et la paix qui t'entourent.
Tu n'es pas orpheline de ça.

Quelques soient tes croyances, je veux te dire: tu es aimée de dieu.
Si tu connaissais le regard qu'il porte sur toi......
Laisse de côté s'il te plait le regard que tu as de toi et de ce que tu vis.
Tu es belle, pleine de vie, tu es aimée, entourée, portée sur les genoux et bercée, tu es riche, tellement riche de choses qui ne frappent pas à la vue......
Déchire le voile et tu verras. L'abondance est a ta porte, la consolation .... des bras tendus vers toi.
Lache tout ce qui t'encombre. Cette certitude que tu ne t'en sortiras pas, que tu ne supporteras pas tant d'isolement. C'est un mensonge que tu te répètes.

Ouvre-les yeux sur ce qui est là maintenant. Et le coeur plein de gratitude remercie la vie pour tout ce qu'elle t'offre.

Je te demande un acte de foi et j'en finis avec tous mes blabla.
Ce soir quand tu iras te coucher, abandonne-toi confiante.
Dépose sur l'oreiller tous tes soucis, tes tracas.
Abandonne-toi avec l'assurance que tous tes besoins sont entendus. Tu les as remis à l'Univers, tu n'as donc plus à t'en soucier. Tu le sais, tu es aimée.

Garde confiance !

Kaliris, dans ces cas-là, je pense à Job, sérieusement ça m'a beaucoup aidé dans les moments de doute et de découragement.

Job avait tout, et progressivement pert ses biens, sa famille , sa santé.

mais il ne devient pas vindicatif, aigri ou désespéré.

Il ne réfléchit pas et garde la foi : ill accepte que le sens de ce qui arrive lui échappe sur le moment car il sait que malgré les apparences, tout est Justice Divine.

...et effectivement Dieu lui rend le double de ce qu'il avait !

De façon ultime on ne pert jamis rien puisu'on ne posséde jamais rien
Ce qui disparait, ce sont les formes, apparences, illusions et reflets

l'ESSENCIEL ne peut être perdu

Grand Merci, Glingal, j'avais grand besoin d'entendre cela ce soir.

Merci, Actarus, de me rappeler la traversée de Job...

Dans les périodes de doute, on n'accepte pas de perdre ce qui ne nous a jamais appartenu pourtant...

Je sais que la justice divine est juste, mais ce soir, pourtant j'ai peine à retrouver en moi le courage de m'y plier...

Certains jours je me suis sentie "forte" de cette foi, me sentant guidée par l'Esprit, la lumière en moi, mon coeur plein d'amour et de compassion.

Et pourtant certains soirs, comme ce soir, je sens que ce qui devait être -est, la justice a manifesté sa volonté car cela devait être ainsi, contre ma volonté qui n'est rien, et malgré mon désir de sauver ce qui ne devait pas l'être, probablement...

J'accepte les règles car à bien y regarder il ne pouvait en être autrement car nous n'avons aucune maîtrise sur les choses et les êtres,
mais mon coeur saigne pourtant...

Probablement dois-je travailler encore mon sens de l'acceptation, ma foi et mon amour...

Merci à vous pour votre aide.

Il faut de l'humilité pour accepter ce qui nous dépasse.

Tu as la Maïtrise de toi-même, c'est déja énorme...

Ton coeur est blessé et cette blessure est très ancienne : tu peux choisir de ne pas t'y identifier, de perdre ça aussi !
tu peux choisir de guérir et de redevenir toi-même.

Tu as tout mon soutien
Tu n'es pas seule sur ce chemin aride, choisit par des âmes courageuses.

Merci, Actarus, ta main tendue me touche profondément


Cela me donne envie de vous parler d'une vidéo, que j'ai visionnée il y a quelques jours: il s'agissait d'une interview de Bernard de Montreal enregistrée il y a une trentaine d'années.

Il y explique que vers la fin des années 60 (1969 environ je crois), il avait été "contacté" et que suite à cela il avait vécu un changement radical et profond de son être.
Tout avait été remis en question, et il avait même dû partir un certain temps loin de son foyer (afin de "recevoir" les enseignements, je crois).

Il dit une chose qui m'émeut beaucoup lorsqu'il parle de sa femme:
il dit qu'à ses côtés, pendant des années, elle a vécu ses changements profonds (avec toutes les "bizarreries" que ses nouveaux modes de fonctionnement pouvaient dénoter pour l'extérieur)

Mais qu'elle portait en elle une -sagesse- telle que jamais elle n'a remis en doute sa foi en lui.
il dit que seule une personne très "sage" peut assumer d'accepter ce qui la dépasse sans perdre la foi.

Quel beau geste d'amour...

Bonsoir

Kalidis a écrit:

Comment peut-on, humains de la société occidentale, accepter de vivre tel un oiseau qui ne sait pas de quoi son lendemain sera fait, forcé de partir chaque jour en quête pendant des heures pour nourrir ses petits, avec tous les dangers que cela représente, pour leur donner un nid si fragile soit-il

Pourquoi un oiseau se ferait-il du souci au sujet de son existence ? Il trouve toujours autour de lui dans la nature, de quoi se nourrir, il n'a pas besoin de savoir de quoi son lendemain sera fait, il vit dans le présent. Il part en quête pendant des heures pour nourrir ses petits, mais il le fait avec plaisir... et les dangers que cela peut comporter, eh bien il sait que ça ne lui sert à rien de s'inquiéter des dangers et qu'en focalisant dessus il les attirerait. Et son nid, si fragile soit-il, ne l'empêche pas d'être confiant car il sait qu'il peut construire d'autres nids... Il a la Foi.

Kalidis a écrit:

acceptons-nous de donner et recevoir de la tendresse un jour et le lendemain de n'avoir plus rien?

Les choses changent, nous aussi nous changeons. Nous avons tous besoin bien sûr de donner et recevoir de la tendresse, mais si nous savons nous en donner nous-mêmes en nous respectant, en nous Aimant comme on dit, alors forcément elle se manifeste à l'extérieur puisque nous l'avons à l'intérieur de nous envers nous-mêmes et donc ainsi il est plus facile de donner et recevoir à l'extérieur également.

Kalidis a écrit:

acceptons-nous la solitude d'une vieille dame forcée de traverser la vie pendant des années encore sans son conjoint, parti ou décédé?

C'est sûr que d'un certain point de vue il peut-être attristant d'observer toutes ces personnes âgées par exemple continuer leur chemin sans leur conjoint à leurs côtés, mais tout dans la vie est expérience choisie, et choisie par soi-même et personne d'autre. Et toute expérience, quelle qu'elle soit, qu'on la perçoive négativement ou positivement, est à vivre pour enrichir la connaissance intérieure.

Kalidis a écrit:

acceptons-nous de perdre notre emploi? de nous retrouver à la rue sans un toit? acceptons-nous de perdre notre amour, le soleil de notre vie?
acceptons-nous la pauvreté, le vide total?

Toute perte crée un vide, une place pour recevoir de nouveau...

Kalidis a écrit:

tout cela sans rechigner...

Cela sert-il vraiment de "rechigner" ? Oui, ça sert à se sentir mal, à se sentir en désaccord avec ce que l'on vit. Et donc comme ce que l'on vit parfois ne nous plaît pas, une question est à se poser, quoi faire ?
Les choses passées sont passées, la seule chose qu'on puisse faire, c'est de changer notre point de vue sur ces choses.
Pour les choses à venir alors il faut agir à chaque instant en atteignant et en maintenant le plus possible une fréquence vibratoire plus élevée.


Le détachement ce n'est pas n' être concerné par rien ni être impliqué dans rien, c'est comme le disait MLDP, c'est un état d'être, c'est une manière différente de percevoir et d'appréhender les choses.

Citation :

seule une personne très "sage" peut assumer d'accepter ce qui la dépasse sans perdre la foi.

je le crois aussi !

Plume a écrit:

Bonsoir

Pourquoi un oiseau se ferait-il du souci au sujet de son existence ? Il trouve toujours autour de lui dans la nature

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Des oiseaux meurent de faim et de froid chaque hiver, parce que les vers se sont enfoncés plus profondément dans la terre pour l'hiver, que la végétation est également en sommeil, et qu'ils ne trouvent plus de quoi se nourir, ni même de quoi boire, car l'eau gèle et devient trop dure pour eux.

Ils vivent dans le présent, car ils n'ont pas le choix.

Une mère oiseau qui quitte son nid laisse irrémédiablement ses petits seuls, sans défense.
Les prédateurs veillent sans cesse, et je ne suis pas certaine que cela relève de pensées générées.
Ils peuvent construire d'autres nids, oui, mais les oeufs, ou les petits une fois mangés par les autres oiseaux ou autres prédateurs ne se remplacent pas.

Plume a écrit:

Kalidis a écrit:

acceptons-nous la solitude d'une vieille dame forcée de traverser la vie pendant des années encore sans son conjoint, parti ou décédé?

Kalidis a écrit:

acceptons-nous de perdre notre emploi? de nous retrouver à la rue sans un toit? acceptons-nous de perdre notre amour, le soleil de notre vie?
acceptons-nous la pauvreté, le vide total?

Toute perte crée un vide, une place pour recevoir de nouveau...

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Parfois ça marche. Mais est-ce vérifié pour tout le monde? A-t-on les stats?
Toutes les âmes ne reçoivent pas forcément l'équivalent ni mieux ensuite.
Certaines personnes perdent tout, et se retrouvent à la rue et dans le désespoir.
Cela s'appelle parfois l'Enfer.

Bien sûr, on pourrait dire que ce serait leur chemin de vie, et qu'elles n'avaient pas la fois. Mais cela reste à vérifler.
Bien sûr, on pourrait dire que nous arrivons là où nous avons "choisi" d'arriver, par nos choix et nos actions, pas toujours les bons.

Bien sûr, on pourrait parler de karma, d'expérience à vivre (ipour une âme ou pour une collectivité) afin de s'élever.

Et je comprends tout à fait qu'il faille pratiquer le détachement du mieux que l'on peut.
Mais... hélas, je crois que certaines situations desespérées ne le permettent plus, que comme je le disais, nous avons des besoins vitaux...

Une personne qui n'a pas la foi n'est pas forcément une personne mauvaise, et, franchement, certains parcours sont difficiles à avaler...

Tiens, un petit délire. Projetons-nous en arrière... au temps des hommes des cavernes:
Penses-tu que si nous devions revivre la confrontation avec les animaux féroces, pour se nourrir et pour se protéger d'eux, sans armes ou presque, si nous devions vivre dans des grottes frigorifiques l'hiver, sans un point d'eau, que nous serions capables d'être détachés, et de dire, le midi à table: "Tiens- y'a Marcel qui s'est fait mangé par un dinosaure, ce matin. Il ne viendra pas manger ce midi..."
J'ai un doute, là...

Je pense qu'il est facile pour nous, occidentaux (je m'intègre dans cette catégorie)
de prétendre au détachement. Nous qui vivons sous des toits, avec de l'eau accessible en ouvrant le robinet, du chauffage, de la nourriture toute prête dans les magasins et même des revenus pour certains, des vêtements bien proprets Mais.. .qu'en est-il des êtres affamés, terrorisés, esclaves, asservis, enfermés, maltraités, exploités, tués?

Oui, ils pratiquent le détachement, les pauvres...
Mais je crains que ce ne soit par désarroi. Pas d'autre choix...
Je crois sincèrement que leur misère est telle qu'ils n'ont que ce mode de pensée qui leur soit accessible.

Plume a écrit:

Kalidis a écrit:

tout cela sans rechigner...

Cela sert-il vraiment de "rechigner" ? Oui, ça sert à se sentir mal, à se sentir en désaccord avec ce que l'on vit. Et donc comme ce que l'on vit parfois ne nous plaît pas, une question est à se poser, quoi faire ?
Les choses passées sont passées, la seule chose qu'on puisse faire, c'est de changer notre point de vue sur ces choses.
Pour les choses à venir alors il faut agir à chaque instant en atteignant et en maintenant le plus possible une fréquence vibratoire plus élevée.

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Je suis ok avec ça.

En fait, je ne crache pas sur le détachement, et je reste persuadée qu'il en faut une bonne dose pour apprendre à aimer mieux (soi-même, les autres, et tout le reste).

Mais...
j'ai cependant la profonde sensation que l'on nous fait rêver à quelque chose qui ne peut exister à 100% pour un être humain (du fait de son corps vital).

Nous courrons tous après le détachement.
Ok, pourquoi pas.

Nous voulons nous améliorer pour les vies futures.
ok, why not.

Nous sommes tous dieu et dieu est en chacun de nous, et nous voulons être à la hauteur de ce dieu, nous voulons devenir des "êtres lumineux", ok...
cependant, dieu, justement, a besoin de nous, corps matériels, pour se manfester.

sans matérialisation il n'est plus dieu, il n'y a plus de créé, il ne reste plus qu'une "idée".
IL est l'ESPRIT. NOUS sommes LE CORPS (les jambes, les bras, la vie, de dieu, tout comme l'est l'univers manifesté)

Nous sommes le corps, et nous ne pouvons qu'agir comme un esprit dans un corps.
Nous ne pouvons oublier ce corps, ses désirs, ses besoins.

Ce que je veux dire, c'est qu'à mon avis, pour arriver à un degré de détachement réel (plus aucune souffrance), il ne faut point avoir de corps.

Je ne l'assaine pas comme une vérité, bien sûr,
cela n'est que mon ressenti actuel,
mais j'avoue que cela bloque un peu ...

Aussi je suis heureuse d'en discuter avec vous, qui avez un tout autre avis, ici.

Merci pour nos échanges.

Ma définition du détachement est différente : le détachement n'est pas la fin des peines et des joies du samsara, l'indifférence ou la tiédeur (coucou Anaëlle )

Il ne s'agit pas de nier ou d éliminer la souffrance mais de ne plus s'y identifier,

C'est mettre de la distance entre ce que je vis et ce que je suis en réalité,
entre l'ego qui expérimente diverses émotions positives comme négatives et le Soi Supérieur qui est au delà de l'espace et de temps.

Comme tu le dis, en tant qu'être de chair et de sang, je reste incarnée et présente mais j'essaie de garder à la conscience que ce qui expérimente ces émotions n'est qu'une infime partie de moi, pas si importante que ça.


Tu parles des animaux, des hommes préhistoriques ou ce ceux qui vivent encore présentement dans la survie : quand on n'est pas dans la vie mais la survie, on n'a pas le recul nécessaire sur soi-même, malheureusement.
Il faut le strict minimum de bien-être physique et émotionnel pour être présent à la vie.
On ne peut se détacher de ce à quoi on n'est pas présent, non ?

Citation :

Il ne s'agit pas de nier ou d éliminer la souffrance mais de ne plus s'y identifier,

Oui c'est bien ce que je dis aussi, et ça se travaille dans le corps émotionnel, dans la conscience émotionnelle.

Plume a écrit:

Kaliris

Ce n'est pas des gens ou des choses qu'il faut être détaché, mais de l'émotionnel.

Actarus a écrit:

Ma définition du détachement est différente : le détachement n'est pas la fin des peines et des joies du samsara, l'indifférence ou la tiédeur (coucou Anaëlle )

Il ne s'agit pas de nier ou d éliminer la souffrance mais de ne plus s'y identifier,

C'est mettre de la distance entre ce que je vis et ce que je suis en réalité,
entre l'ego qui expérimente diverses émotions positives comme négatives et le Soi Supérieur qui est au delà de l'espace et de temps.

Comme tu le dis, en tant qu'être de chair et de sang, je reste incarnée et présente mais j'essaie de garder à la conscience que ce qui expérimente ces émotions n'est qu'une infime partie de moi, pas si importante que ça.


Tu parles des animaux, des hommes préhistoriques ou ce ceux qui vivent encore présentement dans la survie : quand on n'est pas dans la vie mais la survie, on n'a pas le recul nécessaire sur soi-même, malheureusement.
Il faut le strict minimum de bien-être physique et émotionnel pour être présent à la vie.
On ne peut se détacher de ce à quoi on n'est pas présent, non ?

Tu as fait une bonne analyse, en effet l'environnement joue beaucoup sur le bonheur ou la souffrance d'une âme. Vous allez me dire qu'elle l'a choisi en s'incarnant ici en ce lieu mais pour beaucoup elles n'en souviennent plus. Il est extrêmement difficile de vivre sur terre. C'est tout de même effarant la différence de vie qu'il existe entre les humains. C'est ici que viens s'installer la compassion, l'aide à autrui etc... Car nous autre pouvons le faire !!! Nous pouvons égaliser, améliorer la vie des uns et des autres, nous pouvons apporter le sourire etc... Nous pouvons donner !

Après savoir que nous sommes des incarnations divines c'est magnifique car en le sachant nous pouvons faire beaucoup plus pour cette planète.

Ta définition du détachement me convient . Mais c'est plus juste de parler de détachement de l'émotionnel et du mental etc...

En tout cas félicitation pour les courageux que nous sommes !!

steffzen a écrit:

??

Parce que c'est drôle c'est le détachement à l'intérieur et non à l'extérieur qu'il faut avoir par exemple de l'émotionnel ou du mental et non le détachement des gens. En fait c'est la manière dont ce fut exposé qui est drôle et de révélé ce qu'il en ait vraiment.

je participe encore


l ideal c est trouver le partenaire qui partage les memes interets

sinon et bien apprendre a vivre d une facon plus independante

beaucoup de separations de divorces pourraient etre evites

si les 2 conjoints prenaient conscience de considerer que leur union

peux etre rompue un jour qu on doit en prendre soin

et que l une des meilleures facons de la conserver

le plus longtemps possibles est precisement de respecter la liberte

de chacun dans une totale confiance

car vivre avec un partenaire controlant pas drole du tout pas du tout

Tout à fait d'accord, Kalinda.

C'est une obligation totale ! :

sinsérité, confiance et implication
sans ça, ce n'est pas un couple

tout a fait meme si on vit un couple ou l un est tres tres possessif

a dialoguer dire ce que cela fait parfois heureusement

il y a un declic qui se fait chez lui

mais dieu du ciel ca en prend de la patience

et un jour l autre te dit comme ca fais donc ce que tu veux hahahaha


pour la simple raison que tu as respectee l autre et ainsi toi moi meme

et faire le bilan au fur a mesure que la relation avance

faut aimer dialoguer ouvrir sinon et bien ca fais pas long comme relation

se liberee meme si parfois on subit la restriction de l autre

on s entend que l homme aussi peux rencontrer ce type de femme

et je comprends que c est pas facile une relation de la sorte


en tout cas c est mon experience a moi je fais juste la partagez

Plume et Anaëlle, je sis ok : le détachement par rapport à l'émotionnel résume bien !

C'est le verbe détacher qui a une connotation un peu négative comme si on allait y perdre qqchose...

je cherche un terme plus adéquat, si ça existe !!

C'est pour ça que je préfère dire la non-identification, la dés-indentification (??)

la fin de l'identification au mental à l'ego aux émotions à la personnalité, quoi.

pourrait on transformer ''détachement'' en: ''acceptation''?

je ne pense pas, parce qu'il manque la notion de "séparation", de distance
et en accepeptant, il ya un risque d'amalgame et de confusion

l'acceptation vient après quand on a pris du recul et pris conscience que l'on est pas cette personnalité que l'on observe de l'extérieur...une autre idée ?