L'homme expliqué aux femmes

Rappel du premier message :

Vidéo découverte il y'a une demi heure ... j'espère qu'elle vous procurera autant de plaisir qu'à moi !

Peut-être que les hormones jouent aussi, mais je n'en suis pas totalement persuadé.
Si elles jouent c'est de toute façon comme tu le dis sur les émotions, mais à mon avis pas sur la vision (les conceptions) des choses. Et je crois que c'est surtout cela qu'il faut comprendre pour comprendre l'autre.
Pour moi s'il y a une différence ce serait sur la manière d'exprimer les émotions, mais les émotions restent les mêmes, même si elles sortent différemment.
Et sur ce point je ne suis pas sur que ce ne soit pas culturel, car on trouve des femmes qui vivent leurs émotions comme des hommes et inversement. Pourtant elles ont le même système hormonal.

Pour comprendre un homme je crois qu'il faut essayer de voir comment on agirait en étant sujet à la même pression sociale (celle imposée aux hommes depuis l'enfance).
Et même méthode pour comprendre une femme.

Un système hormonal n'est pas quelque chose de parfait et identique chez chaque personne. Il est très probable que les quantités d'hormones libérées soient très différentes d'un individu à l'autre et que cela puisse expliquer (en partie) des différences de comportement importantes pour des personnes d'un même sexe.

Pour le reste, je suis d'accord avec toi.

A creuser donc...

ça me fait plaisir de lire ça venant de toi air (je suis bien évidemment parfaitement d'accord)

et pour aller plus loin que ce que dit Guillaume, je rajouterais que le couple (dans sa vision communément admise) EST la plus flagrante des pressions sociales exercée sur les hommes ET les femmes.
en écrivant, je me rappelle cette réflexion de Simone de Beauvoir que je citais dans un papier que j'ai rédigé il y a quelques jours : "Les femmes se forgent à elles-même les chaînes dont l'homme ne souhaite pas les charger."

Les poulpes ne produisent pas les mêmes hormones que nous , si ?!

Poulpinou de Beauvoir a écrit:

"Les femmes se forgent à elles-même les chaînes dont l'homme ne souhaite pas les charger."

Dans certains cas certainement, mais il y grâce à dieu des humanoïdes plus créatifs que cela et/ou en accord sincère avec leur choix de vie

Diunddhy a écrit:

Les poulpes ne produisent pas les mêmes hormones que nous , si ?!

Poulpinou de Beauvoir a écrit:

"Les femmes se forgent à elles-même les chaînes dont l'homme ne souhaite pas les charger."

Dans certains cas certainement, mais il y grâce à dieu des humanoïdes plus créatifs que cela et/ou en accord sincère avec leur choix de vie

je ne sais pas si Dame Simone (qui cela dit en passant formait avec Sartre un couple non conventionnel qui avait vraiment de la gueule) apprécierait que tu la qualifie de poulpe...

et si on remet la citation de cette grande dame de la pensée dans le cadre dans laquelle je la disait, on comprend bien que c'est de la vision pathétique du couple indispensable au bonheur et à la réalisation commune dont je parlais, ce qui n'exclue pas du tout des exceptions aussi nombreuses que variées.
je parle bien de la vision du couple que véhicule la société en général, et pas du couple construit et qui est générateur d'un bonheur partagé (ce qui est honnêtement une chose bien rare).
ma remarque part du fait que les humains créatifs et non tributaires du regard d'autrui sur eux et ce qu'ils font sont devenu une espèce en voie de disparition dans nos société où l'uniformisation est de mise via des conditionnement de masse dès le plus jeune âge.
et à mon avis le domaine affectif est au premier rang des concernés...

J'ai enfin pu voir cette vidéo et comme disais Cth (C'est Tes Hormones) je suis entièrement en phase avec ce monsieur.

En tant qu'éternel célibataire je suis aussi un confident et un témoin des histoires de couples, et c'est toujours pareils, souvent je me dis que je suis bien tout seul à ne pas endurer toutes ces problématiques, et cette horrible tendance à vouloir gérer l'autre.
Enfin il l'explique mieux que mois dans la vidéo au moment où il parle des couples qui se succèdes dans une ronde des mêmes causes même effet.

Je pense comme lui, le couple découle de l'Amour et non l'inverse, c'est un choix qui est libre, et nul n'a jamais été plus honnête que celui ou celle qui sait pourquoi.

J'ai vu des gens qui ne peuvent pas vivre autrement qu'en couple... dès que ça casse, ils sont mal, il chassent de galère en galère et s'accrochent au premier bois qui semble flotter pour appeler ça un couple amoureux. Parfois pour être honnête je me demande aussi si ma vision des choses n'est pas mon reflet envieux que je nie.... bah oui on ne sait jamais hein ;-)

Sinon je trouve qu'il décrit assez bien la généralité sur les hommes, et il y a une mutation qui semble s'opérer car l'homme rame beaucoup dans ce modèle de société phallocratique qui s'essoufle.
Faut-il continuer à ériger la guerre, la performance, la force comme le modèle absolu de virilité que dis-je de vérité ?

Je vais même être un peu méchant, mais la plus part des femmes qui se sont hissé à de hauts postes de pouvoir ses dernières années sont pour beaucoup trop des femmes phallocratiques, elle ressemblent souvent à rien si ce n'est le pire des hommes dans des corps de femmes.

Femmes levez vous !!!!!!!
Prenez le pouvoir, mais le vôtre et avec votre sensibilité féminine !!!!!
(quoique ça commence à venir)
ça c'était la note d'humour

On va prendre le pouvoir à coup de fondants au chocolat et de charlottes aux fraises, tu vas kiffer

voilà, enfin quelqu'un de lucide !!!

Citation :

Femmes levez vous !!!!!!!
Prenez le pouvoir, mais le vôtre et avec votre sensibilité féminine !!!!!
(quoique ça commence à venir)
ça c'était la note d'humour

dans un couple qui dure , il ni a pas de dominant , ni de dominé , c'est le plus sur moyen de planter son couple.un couple qui dure est un couple qui a compris que s'aimer c'est super , se respecter indispensable mais se laisser de l'air primordiale ...sans ses trois critères un est roi l'autre esclave et qu'importe le sens , mais chercher a prendre l'ascendant sur son partenaire dénote un esprit peu sur de lui (ou d'elle) vouloir faire changer "l'autre" alors que qu'en on s'est mis en couple il (ou elle) nous a plut me semble étrange comme démarche .on peut vivre libre en ayant un partenaire , avoir ses propres loisirs , des goût différents sur plein de sujets et s'aimer , il ne faut pas perdre de vue que les contraires s'attirent ...

mais une fois en couple on est plus libres du tout !!! la liberté en couple est une illusion.
même dans les couples qui se réclame comme respectueux de la liberté, même chez eux l'étouffement et la routine attend au tournant !!!

Roland Barthes a décrit ça magnifiquement : "tumulte d'angoisse suscité par l'attente de l'être aimé", c'est à dire ces nombreux moments où l'un des deux se retrouve jeté en pâture à des extrapolations du genre "il/elle n'est pas encore là, et si il lui était arrivé malheur", ou "ha il/elle est en retard, il/elle sait pourtant que je me fais un sang d'encre et que je déteste attendre !".

le couple, c'est une série continue d'angoisses d'attente, c'est se soumettre volontairement à d'intenses cycles de stress entrecoupés de périodes saupoudrées d'une routine où on échange des banalités (que dans un cadre différent, plus lucide, on qualifierais de banalités mornes et morbides) en se regardant dans le blanc de l'œil et en éprouvant un profond vide cérébral interrompu de temps à autre par quelques tempêtes émotionnelles aussi brèves que violentes.
(et je n'exagère qu'à moitié )

en somme, le couple est un genre de servitude volontaire.

C'est un peu long mais je n'ai pas eu le coeur à le couper.

Voici ce trés beau Texte du petit Prince de Saint Exupéry, qui pour moi parle très bien de la relation qui peut unir 2 personnes

Citation :

Le renard et le petit prince !

C'est alors qu'apparut le renard :

Bonjour dit le renard.

Bonjour, répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien.

Je suis là, dit la voix, sous le pommier...

Qui es-tu? dit le petit prince. Tu es bien poli...

Je suis un renard, dit le renard.

Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste...

Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé.

Ah! pardon, fit le petit prince.

Mais, après réflexion, il ajouta :

Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?

Tu n'es pas d'ici, dit le renard, que cherches-tu?

Je cherche les hommes, dit le petit prince. Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?

Les hommes, dit le renard, ils ont des fusils et ils chassent. C'est bien gênant ! Il élèvent aussi des poules. C'est leur seul intérêt. Tu cherches des poules?

Non, dit le petit prince. Je cherche des amis. Qu'est-ce que signifie "apprivoiser"?

C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ca signifie créer des liens..."

Créer des liens?

Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits gerçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde...

Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur... je crois qu'elle m'a apprivoisé...

C'est possible, dit le renard. On voit sur terre toutes sortes de choses...

Oh! Ce n'est pas sur terre, dit le petit prince

Le renard parut très intrigué :

Sur une autre planète?

Oui.

Il y a des chasseurs, sur cette planète-là?

Non.

Ça, c'est intéressant! Et des poules?

Non.

Rien n'est parfait, soupira le renard.

Mais le renard revint à son idée :

Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m'ennuie donc un peu. Mais, si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sur terre. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Et puis regarde! Tu vois là-bas, les champs de blé? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c'est triste! Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera merveilleux quand tu m'auras apprivoisé! Le blé qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé...

Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince :

S'il te plaìt... apprivoise-moi, dit-il.

Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaìtre.

On ne connaìt que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaìtre. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi!

Que faut-il faire? Dit le petit prince.

Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...

Le lendemain revint le petit prince.

Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, pas exemple, à quatre heures de l'après-midi, dés trois heures je commencerai d'être heureux. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureux. A quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai; je découvrirai le prix du bonheur! Mais si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le coeur... Il faut des rites.

Qu'est-ce qu'un rite? Dit le petit prince.

C'est quelque chose de trop oublié, dit le renard. C'est ce qui fait qu'un jour est différent des autres jours, une heure, des autres heures. Il y a un rite, par exemple, chez mes chasseurs. Ils dansent le jeudi avec les filles du village. Alors le jeudi est jour merveilleux! Je vais me promener jusqu'à la vigne. Si les chasseurs dansaient n'importe quand, les jours se ressembleraient tous, et je n'aurais point de vacances.

Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure de départ fut proche :

Ah! dit le renard... Je pleurerai.

C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t'apprivoise...

Bien sûr, dit le renard.

Mais tu vas pleurer! dit le petit prince.

Bien sûr, dit le renard.

J'y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé. Puis il ajouta : Va revoir les roses. Tu comprendras. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d'un secret.

Le petit prince s'en fut revoir les roses : Vous n'êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n'êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisées et vous n'avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n'était qu'un renard semblable à cent mille autres. Mais, j'en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde. Et les roses étaient bien gênées. Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu'elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée. Puisque c'est elle que j'ai mise sous globe. Puisque c'est elle que j'ai abritée par le paravent. Puisque c'est elle dont j'ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c'est elle que j'ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire. Puisque c'est ma rose.

Et il revient vers le renard : Adieu, dit-il...

Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux.

L'essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit prince, afin de se souvenir.

C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.

C'est le temps que j'ai perdu pour ma rose... fit le petit prince, afin de se souvenir.

Les hommes ont oublié cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose...

Je suis responsable de ma rose... répéta le petit prince, afin de se souvenir.

Tiré de : Le petit prince par Antoine de Saint-Exupéry

Citation :

mais une fois en couple on est plus libres du tout

bien sur que si tout dépend des couples , mais en tant que scorpion je ne pourrai l'envisager autrement ...il suffit que ton (où ta partenaire) soit sur la même longueur d'onde , si si , ça existe ...c'est peut être pas la généralité certes , mais quand même ...

on dit que la femme doit toujours suivre son mari , ok , mais comme on n'a pas préciser pendant combien de km ...ptdr.

du moment que tu arrives à bien vivre avec ta servitude volontaire et la névrose que génère le couple, je dis roulez jeunesse !!!
cette névrose là ou une autre, de toute façon c'est du pareil au même.

le coeur a ses raisons , que la raison ne connaît pas lulu ...

justement un aspect à réformer : que la raison puisse avoir son mot à dire dans les histoire de cœur (ce qui éviterais très certainement tout un tas de désagréments connu par les compulsifs et autres addicts du couple)

Lulu, as-tu une (ou plusieurs) expérience (s) de vie en couple ??

L'homme expliqué aux femmes :

Excellent Kalabra !

C'est tellement proche de certains aspects du quotidien !!!

Pour l'histoire de la liberté, il faut voir aussi comment on la définit. Qu'est ce qui entrave la liberté ? Les choses extérieures qui nous empêchent de répondre à tous nos instincts ? Ou les instincts mal gérés ? Dans le premier cas, il faut faire avec les meilleures entraves pour nous (car impossible de se libérer de toutes). Dans le deuxième, le travail sur soi peut amener une grande liberté intérieure (je ne parle pas ici de refouler les instincts bien sur, mais d'en garder certains et de réorienter l'énergie des autres vers d'autres objets qui amèneront un bonheur plus stable et durable).
On peut être perpétuellement dans une semi colère par rapport à nos frustrations, mais on peut aussi voir d'où elles viennent et s'en libérer : en trouvant le bonheur dans notre dimension intérieure plutôt qu'uniquement dans des objets extérieurs. Mais sans dimension spirituelle cela me parait difficile...

Sinon :

Citation :

je parle bien de la vision du couple que véhicule la société en général, et pas du couple construit et qui est générateur d'un bonheur partagé (ce qui est honnêtement une chose bien rare).

Tu peux développer Cthulhu ce que tu entends par couple que véhicule la société et couple construit ?

J'arrive juste sur ce forum : l'homme expliqué aux femmes, c'est en fait : quid du couple ?
Chaque composante du couple est-il libre dans la cellule couple ?
Mais en fait à chaque fois que j'entre en contact avec quelqu'un je m'adapte, je change, très légèrement, imperceptiblement parfois, mais je change, C'est pour cela que je peux communiquer avec les autres (enfin pas tout le temps ) Alors dans un couple, qui plus est, de personnes qui vivraient ensemble .... !)
Comment est-il possible de penser bâtir un modèle de couple sur ce qu'il y a de plus incertain, et qui pourtant le compose : l'humain, avec ses humeurs, ses goûts, ses hormones (oui, ses hormones çà compte), mais aussi la météo, le patron, etc !
Je suis d'accord avec AIR, sur les hormones, et j'y ajouterais une différence de taille qui n'est pas toujours facile à prendre en considération : des 2 sexes, l'un est conçu pour donner la semence (désolée de ce terme franchement pas beau) et l'autre pour porter (pendant 9 mois) et mettre au monde la descendance (y compris dans son sens survie de l'espèce) ! Cette deuxième mission n'est pas des moindres !
Le couple est-il UNE valeur ou a-t-il DE LA valeur ?
Sommes-nous, nous humains, tellement dans la crainte d'être seul qu'on ne peut envisager une vie sans une cellule qui nous supporte et dont le noyau est le couple ? Mais sommes-nous aussi tellement dans le besoin de se mesurer à l'autre pour se convaincre de sa propre valeur que l'autre est rendu à son statut d'étranger - à soi-même - ?

que les femmes prennent le pouvoir me fait encore plus peur que la "societe phallocratique"
les hommes sont bien moins perfides que les femmes
entre eux si ils y a reglement de comptent c'est en face a face
peut etre enfantin mais ca a le merite d'etre honnete
tandis que les reglement de compte fait par des femmes sont trop svt fait sournoisement

ok en ce qui concerne les femmes au "pouvoir "
mais faut bien des precurseurs

dans l'histoire des hommes les femmes ont d'abord eu le pouvoir
puis se fut les hommes jusqu'a maintenant
peut etre qu'un jour la rivalite s'effacera , tous deux ayant prouve sa valeur
n'ayant plus d'obligation social
nous n'imposerons rien a l'autre et vivrons en harmonie (wouah !!!quel beau monde se serai, ironie je precise)

enfin ne pas s'imposer n'est pas qu'une histoire de couple
je crois que c'est plus un besoin de reconnaissance et ca peut toucher tous les etres humains

sandra tu semble avoir trouve l'etre ideal: felicitation garde le precieusement

j'adore l'interview de luchini , ce mec es genialement fou de lucidite pour moi

Citation :

que les femmes prennent le pouvoir me fait encore plus peur que la "societe phallocratique"
les hommes sont bien moins perfides que les femmes

waouh , c'est beau la solidarité féminine ...mdr

lol oui , c'est surtout que mon compagnon a un métier qui le fait beaucoup voyager , donc les retrouvailles sont toujours des moments intenses , pas de routine , ni de lassitude , l'idéal pour moi (enfin pas toujours) mais tout de même une vie ou l'ennui a pas de place ...