Rappel du premier message :Regardez ces touches de piano
Entre le Mi et le Fa, et entre le Si et le Do, il n'y a pas de touches noires, pourquoi ?
Cela est expliqué par la loi d'octave, qui explique tout les phénomènes de l'univers.
Chaque phénomène dans l'univers peut être décomposé en 7 notes, ou étapes. Du Do Initial au Do final, qu'il soit de l'octave supérieure, ou inférieure.
Cependant, pour passer du Mi au Fa, et du Si Au Do, il n'y a plus les touches noires pour maintenir le phénomène sur une ligne fixe. Si le choc additionnel adéquat n'est pas apporté à ces étapes précises, le phénomène va dévier de sa course initiale.
Voila qui explique pourquoi nombre de nos actions obtiennent un résultat différent de ce qui était prévu à la base.
Par exemple, si je décide d'aller en Inde, parce que j'aime profondément l'Inde (c'est le Do, une volonté émotionnelle), alors je vais commencer à préparer mon voyage (le Ré), et me lancer (le Mi). Mais là, la solitude commence à me peser, les doutes commencent à m'assaillir, je me demande si je ne ferais pas mieux d'aller en Italie, c'est moins loin, et moins cher... Au fil de ma reflexion, je finis par atterir en Italie, et à me dire que j'ai finalement réalisé mon but. Alors que pas du tout, au début, je voulais aller en Inde. C'est simplement qu'entre le Mi et le Fa, le choc additionnel n'a m'a pas été octroyé. Cela aurait pû arriver par accident, la vue d'une photo de l'Inde aurait ravivé mon amour de ce pays, mais j'aurais également pu provoquer ce choc volontairement, en reconnaissant cet interval, par une bonne maitrise de la loi d'octave, et volontairement regarder une photo de l'Inde.
Ensuite je serais passé au Fa, et là, j'aurais quasiment atteint mon but. Je suis dans l'avion, je vole... j'atteris. Toutes ces étapes contribuent à arriver au Si.
Le but est presque atteint, mais au pied de la victoire, il reste un dernier choc additionnel à obtenir, pour atteindre le Do de l'octave supérieur (ou inférieur).
Combien ont abandonné à la dernière seconde ?
Bon, vous me direz, quand on atterit en Inde, on va pas repartir.
Mais au moment d'acheter le billet ?
Ou de finir une course jusqu'au bout ?
Que pensez vous de cette loi, la comprenez vous ?
Ceci n'est que mon interpretation de cette loi, qui a été transmise par Gurdjieff et Ouspensky