Travailler sur son corps mental - ou les états modifiés de la pensée.

La notion d'état modifié de conscience est maintenant connue par beaucoup de gens, voir l'expérience est recherchée par ceux qui ont une spiritualité. Par contre, comme j'entend souvent parler DU mental, j'en ai déduit que les gens croient qu'il y en a un seul. Et comme "LE" mental est souvent considéré comme l'ennemi a vaincre, il serait bon de se demander comment faire, ce qui est le sujet de ce topic.

On pourrait aussi se demander : c'est quoi "vaincre LE mental" ?

Mais pour ça il va peut être falloir COMMENCER par réfléchir ?...
...Si possible juste et après arrêter, donc ce n'est pas gagné.

J'ouvre ce post pour dire que d'après moi, la capacité de penser est une des choses qui font que nous sommes des humains, et que certainement un chemin spirituel a pour effet la transformation de cette capacité, du fait de s'en servir différemment, voir de commencer tout simplement par s'en servir, au lieu de subir un monde de pensées qui s'imposerait a nous, ou de s'emballer pour n'importe quelle idée qui nous a plut et de faire le perroquet avec. Certes avec cette capacité nous pouvons nous fabriqué un monde de pensé problématique, souffrir et faire souffrir, repousser la Lumière de dieu qui voudrait nous donner sa Grâce, s'égarer totalement de milles manières. Mais comme le Noble Sentier octuple du bouddhisme parle de "la pensée juste"  - « samyak-saṃkalpa » : pensée juste ou discernement juste (dénué d'avidité, de haine et d'ignorance)  -  je me suis permis de penser que la capacité de penser humaine pouvait se trouver dans toutes sortes d'états, et qu'il n'y avait pas a vaincre LE mental mais a transformer l'état ou il est pour l'amener dans un autre état  -  ce qui est la proposition de ce topic.

Pour illustrer un peu jusque dans quel état de la pensée pourrait nous amené cette transformation  -  mais juste pour illustrer, autrement dit pour donner une idée de ce que disent certains  -  je met quelques informations donnée par la psychosophie d'Alice Bailey a ce sujet. (Et bienvenu a ceux qui auraient d'autres versions a proposer quant à ce qui est possible avec ce propre de l'humain qui consiste a penser. Je crois savoir que l'hindouisme parle aussi de ces différents états de la pensée mais je n'y connais rien.)


Le corps mental est composé de 3 principaux aspects　:

Le mental abstrait (du 1er au 3ème éther du corps mental)
Le mental de cœur (4ème éther du corps mental)
Le mental concret (du 5ème au 7ème éther du corps mental)


Le mental concret / inférieur

Il renferme les capacités de raisonnement tels que le raisonnement déductif, inductif, analogique et il a la particularité de pouvoir créer des formes-pensées. A terme, il doit devenir l'organe de l'expression du mental de cœur, et son fonctionnement doit tomber sous le seuil de la conscience. Chez l’être humain, il se développe de 14 à 25 ans.

Le mental de cœur

Il fait le pont entre le mental inférieur et le mental abstrait, c’est le niveau du mental où nous sommes en unité avec l’ensemble. De ce point, nous pouvons utiliser le mental pour écouter l’âme.

Le mental abstrait

Ce mental est en rapport avec le monde des Idées. Sur le 3ème éther de ce mental abstrait, nous trouvons le corps causal de l’âme ou autrement dit, l’âme habite au niveau du 3ème éther du corps mental. Ceci explique que l’âme ne puisse être contactée que par des personnes ayant suffisamment développées leur mental pour avoir dépassé le niveau du mental concret. Cela repose sur une capacité à penser en tant qu’ensemble, c’est-à-dire à avoir atteint le 4ème éther, le mental de cœur.

Sur le 1er éther du mental abstrait, c’est-à-dire au niveau le plus élevé, se trouve un point de la triade spirituelle celui correspond à l’Intelligence. Ce niveau nous permet de rentrer en contact avec le Mental Universel (atma). A ce niveau, les perceptions qui s’expriment sont en termes de vie et non en termes de formes. Lorsqu’au travers du processus d’évolution et de la pratique de la méditation, ce mental abstrait est complètement développé, il nous met en contact avec le Dessein de la divinité et permet l'émergence du Plan. Ce contact avec les niveaux supérieurs du mental se réalise grâce à la construction de l’antahkarana (le pont arc-en-ciel) qui relie les trois aspects du mental, assurant la transmission du haut vers le bas. Au terme de sa construction, qui prend de nombreuses vies, l’antahkarana relie la personnalité illuminée, focalisée dans le corps mental et mue par l’amour avec la Monade.

Il existe aussi un aspect supérieur du mental　: c’est l’intuition ou raison pure. Elle se trouve au niveau du corps bouddhique. "L’intuition est la faculté qui permet à l'homme de prendre contact avec le Mental Universel et de comprendre synthétiquement le Plan, de saisir les idées divines, de percevoir quelque vérité fondamentale."

Traité sur la Magie Blanche p 273.


Source : https://sites.google.com/site/psychologieesoterique/glossaire-1/corps-mental

Merci did pour ces informations.
Mais avant de parler du corps mental qui est énergétique nous avons un processus de fonctionnement lié aux capacités du cerveau a analyser l extérieur pour notre survie en nous créant des pensées et des emotions, c est ce qu on appelle le mental dans le domaine bio chimique et organique.
On n entre pas en combat avec nos pensées et nos emotions (mental) ,on ne gagne pas contre notre mental,puisque ce mental c est nous même, on apprends à modifier notre perception de l exterieur pour modifier nos schémas de protection inconscients.
Lorsqu'on est en paix,serain, confiant on envoie un signal à notre mental pour lui dire"tout-va bien,calme toi, pas de danger à l'horizon ".

C est là nature même de l humain à avoir un mental,sans lui pas d apprentissage de l exterieur et des conséquences sur nous meme.
Après bien sûr on a un corps mental énergétique mais la on commence à rentrer dans des croyances et des concepts que très peu en ont réellement fait l expérience, ce qui va tout compliquer.
Restons sur des notions simple de nous même physique mental et énergétique c est déjà très compliqué avec ces 3 notions.

Le mental c est le processus de survie lié aux expériences et émotions engrammé dans notre inconscient et grâce "aux 3 ou 4 parties fonctionnelles de notre cerveau" cerveau reptilien,limbique et frontal on va créer des pensées pour mettre une action en place  pour réagir à ce qu on perçoit de l exterieur,c est le mental ,il n est donc pas à tuer à vaincre il est à modifier, et faire des expérience pour apprendre à changer les programmations.

Salutation Melahel,

-Les émotions et les sentiments ne sont pas du domaine du mental, de l’intellect assurément. L’intelligence est d’une autre nature.

-Mais qui donc dit qu’il est en paix au mental, sinon que celui-ci est au repos. Combien d’êtres je rencontre torturés qu’ils par leur mental et leur émotionnel, avec une emprise tel que des médicaments leur sont prescrit pour bloquer le processus d’apprentissage au lieu de l’accompagner…une catastrophe humaine d’une ampleur sans égal. Ainsi je dissocie l’intelligence de la science mentale sans conscience.

-Les croyances sont basés sur l’ignorance et ce que la science ne sait, une autre science le connait. Très peu en font l’expérience, mais ceci va aller croissant.

-Il n’est pas question ici d’être incrédule ou crédule, mais d’éprouver par l’expérience. Le vivre pour le comprendre est la meilleure chose possible pour se faire un avis éclairé.

-La science n'est pas la vie, mais la science de la vie est déjà, l'homme est un découvreur, et ceci n'a pas de limite à proprement parler, le temps nous en est témoin.

-Les expériences et les programmations sont d’une nature différente. Les unes dans un but évolutif, les autres dans un cadre restrictif, et l’on en sait un rayon en ce domaine toutes idéologies confondues et confondantes.

-Ces petites histoires neurologiques sont instructives, mais, mais, mais...la nature elle-même est bien plus prolixe, et cela est fort heureux. Ceci dit, il est évident que la science actuelle n'a pas encore les moyens d'explorer cela, mais ça va venir, d'ailleurs ça commence déjà en certains domaines (notamment les EMI, les OBE, les états modifiés de conscience, la méditation, et tout un tas de capacités nouvelles qui émergent de ci de là, tels des champignons... ).

*Un petit aperçu qu’un enfant de dix ans découvre potentiellement sans formatage et ignorant de ces « choses » et ceci n’est qu’un préambule :



*Plus tard avec de la pratique et ouverture d'esprit à l'Esprit (prometteur non...):



Fraternellement

   Les mots piègent si je m'y attache trop. Et la volonté de fixer, dans un désir d'entente verbale, empêche parfois d'écouter le véritable dialogue qui s'érige de soi à soi. Par exemple, sur le vocabulaire ... le " mental " peut désigner un état psychologique, une aptitude globale de reconnaissance du monde ou l'essence même de cette dernière. Sri Aurobindo employait le terme de mental supérieur pour évoquer l'état de plénitude dans lequel tout apparaît sous son vrai jour.

   Did évoque d'abord la capacité à penser. Neutre, cette énergie s'appuie sur la mise en relation du monde avec soi par les organes des sens. C'est une reconnaissance immédiate du réel limitée par le savoir humain. Le terme intelligence s'applique au discernement qui permet d'approuver une chose ou une autre en fonction de notre propre justesse. Enfin, la sensation d'être une entité à part entière reflète l'énergie d'individualité.

   Parler de la réalité subjective comme constituée de corps divers constitue un choix. S'y mêlent pour la plupart d'entre nous : la réflexion, le discernement et le " je ". La théorie (réalité?) pointe le mental et plus précisément l'ego comme empêcheur de tourner en rond. Mais la théorie (réalité?) nous enseigne aussi que c'est l'ego qui parle de lui-même. Il persiste une contradiction. Tant que je me considère comme un individu je suis soumis aux aléas du rêve éveillé. Mais tout effort de ma part pour supprimer l'ego permet à ce dernier de se maintenir.

   Les états modifiés de conscience rassemblent tout un tas d'expérience. Ils pointent vers l'unité de la réalité tout autant que sa manifestation sans limites. Je pense et vis comme Did indique : il n'y a pas à éliminer quoi que ce soit. Seulement, le mouvement individuel doit tendre vers la réalisation de cette perfection au sein même de sa propre disparition. L'intelligence se déploie mieux sans l'obstacle de l'appropriation, bien que dans l'absolu la réalisation ou non-réalisation ne soit qu'un mythe. Il n'existe aucune manière de connaître le réel autre que d'être. Etre n'est pas une manière, cela se passe de mots.

Aimelavie a écrit:

Parler de la réalité subjective comme constituée de corps divers constitue un choix.

Je dirais que ce n'est pas un choix, c'est là tout court, juste que l'expérience les fait découvrir, ça se vit et ça n'a rien à voir avec les états modifiés de conscience, passé la fusion il y a mutation ou alchimie c'est comme on veut, de toutes façon les écrits ne peuvent mettre cela réellement sur papier, ça doit se vivre pour comprendre.
De mon point de vue les anciens ont tracé la voie jusqu'à un certain point, ensuite c'est l'inconnu dans lequel tout le monde doit faire le grand saut seul choix possible.

Extrait avec lequel je suis en phase, d'un journal d'un mutant de Solaris :
L’Alchimie de la “descente” ou de la fusion pour entamer la phase de spiritualisation de la nature et de la matière demande une des plus hautes réalisations en amont, au sein du “mental spirituel le plus élevé” (le surmental selon la terminologie Aurobindienne). La Conscience, dans Sa Puissance de Radiation descendante, peut alors contribuer à résorber de nombreux décalages entre l’Eveil des sommets et la nature humaine, toujours soumise à la souffrance et à l’activité des pensées, des émotions et de la peur en ces zones périphériques. C’est bien cette redescente qui va pleinement contribuer à faire reprendre conscience de l’inaccompli à la base, car la réalité du conditionnement humain sera éprouvée comme radicalement insatisfaisante par la Conscience Elle-même-ce qui ne peut se produire dans le cadre des voies et réalisations de la “montée” exclusive qui finit par couper les éveillés de la sensation même de leur imperfection humaine - d’où le fait qu’un bon nombre “d’éveillés” de ce type ne pouvaient piger quick à ce picwik de l’extrême délire !Voilà un grand travail de jonction subtile qui s’opère pour augmenter  petit à petit les vibrations conscientes par une énergie solaire à la fois dense et fluide, jusque dans le corps physique. Cette étape produit un changement considérable où disparaît le résidu séparateur que portait la personnalité dans la nature encore non-spiritualisée. Dans cette phase de “fusion”, la conscience corporelle se sent physiquement immortelle, mais ce n’est pas l’immortalité physique qui est la fin du voyage, ainsi que d’autres enseignants peuvent l’affirmer à partir de l’exemple de la phase de Résurrection démontrée il y a 2 000 ans par le Christ. Ce qu’évoque l’Alchimiste, c’est une Transformation bien plus radicale encore que la Résurrection, cette dernière n’étant en fait qu’une spiritualisation du mental jusque dans la nature physique qui préserve la coque périphérique de ses attributs humains les plus caractéristiques. Ce qu’Il véhicule n’est pas tant une résurrection qu’un changement physiologique si radical que l’on passe d’une forme humaine reconnaissable à...Tout-Autre-Chose .Cela nécessite une alchimie s’aventurant vers une densification consciente telle que la substance humaine ou mentale est transmutée en une substance nouvelle ou supramentale, au-dessus même du mental spirituel le plus haut, afin de changer totalement de registre de la Connaissance et de l’Action de cette Connaissance pour l’humanité elle-même. Le résultat de cette Transformation n’est pas seulement une conscience physique immortelle, mais en quelque sorte une destruction-dissolution de toute la mécanicité corporelle la plus physique vers Autre Chose, une Autre Espèce physiologique, à partir même de cette conscience de l’immortalité physique accomplie.


Autre extrait d'un autre genre mais allant dans le même sens :

Whitley Strieber. : C'est tout à fait relié, parce que «voir» à ce niveau revient à ouvrir les yeux -ou les avoir ouverts- de manière à ce que l'énergie consciente qui est indépendante de la matière puisse être observée. Bientôt, vous découvrirez fortuitement que les êtres humains ont, pour ainsi dire, le pouvoir de tisser un être énergétique qui pourra vivre dans cet état. Beaucoup ne le font pas et ne savent pas s'engager dans ce travail secret de l'âme. A la place, ils sont leurrés par un tissu de mensonge élaboré qui va du séculaire au religieux. Cela ne sert à rien de prier les anciens dieux ou de se retrancher derrière l'idée que seule la matière existe ou encore que c'est la nature qui décide de ce qui arrive après la mort. Créer un corps énergétique est un art basé sur la science. Vous avez de la chance en Europe car les meilleures machines jamais conçues pour faire ce travail parsèment vos paysages sous la forme de cathédrales gothiques. Ce ne sont pas des « églises catholiques ». L'Eglise Catholique les a simplement payées et entretenues. L'utilisation correcte de ces instruments peut enclencher le processus que tout l'univers souhaite nous voir entreprendre ; lequel consiste en la création d'une énergie consciente conçue sur base du moule de notre corps physique et en résonance avec son essence.

Beaucoup dans ce monde meurent sans s'être créé une âme. C'est pourquoi cette civilisation mourra par elle-même. Cela coûte plus à la terre qui y perd au change.

Autre extrait : SAPTREM
C’est une Vie nouvelle dans le corps.
J’ai touché une vie nouvelle.
C’est un autre type de vie sur la Terre.
Vraiment, quelque chose d’inconnu parmi les hommes.
Comment décrire?
C’est une VIE, un mode de vie, une vibration de vie, un état de vie, pas un état de « conscience ». Une façon différente. Il y a un type de vie animal, il y a un type de vie végétal, il y a (je suppose) un type de vie minéral et atomique – eh bien, il y a un AUTRE type de VIE. Et c’est matériel, corporel, cellulaire, dans un être humain fabriqué comme tous les corps humains. Mais c’est AUTRE. Ce n’est plus la vieille vie qui coule avec du sang, des nerfs, des veines – tout une mécanique qui parait « dure », sèche, brutale, surtout très primitive. C’est AUTRE. Et pourtant ça se passe dans un corps animal.

Des exemples relatant ces choses il y en a encore bien d'autres dans toutes les voies mais c'est la façon dont c'est rapporté qui change mais c'est bien là.

Citation :

Il n'existe aucune manière de connaître le réel autre que d'être. Etre n'est pas une manière, cela se passe de mots.

Le corps humain qui est intelligent permet de connaître le réel car c'est lui qui va être le creuset de la transformation, comme la mère dans son utérus va sentir l'enfant se former et grandir ou la chenille utilise le cocon pour se transformer en autre chose ce que l'homme peut en faire aussi et c'est sans doute le prochain saut évolutif de l'humanité.

Pour ajouter au propos de Totem j'avais dans le topique,"Les perles de la connaissance" déposé ceci:

La voie de la transformation (extrait de Babaji et les 18 Siddhas)

Ramalinga Swami laissa plus de 40000 vers où il décrits les étapes de la transformation qu’il a connue.

1. La transformation du corps humain en un « Suddha deham », ou « corps parfait », grâce à la communion spirituelle universelle et à la dévotion au Divin.

2. La transformation du « Suddha deham » en un « Pravana deham », ou « corps de grâce et de lumière ».

3. La transformation du « Gnana deham », ou corps de sagesse », dans le corps Divin suprême.

*La possibilité de telles transformations est évidente par les changements du corps de Ramalinga. De plus, Ramalinga affirma que Saint Manickavasagar, qui s’était dissous dans le Saint des Saints du temple de Nataraj de Chidambaram au VIIe siècle, avait déjà connu ces transformations. (Voir la transfiguration dans la période christique du Maître Jésus)

Fraternellement

melahel a écrit:

Après bien sûr on a un corps mental énergétique mais la on commence à rentrer dans des croyances et des concepts que très peu en ont réellement fait l expérience, ce qui va tout compliquer.
Restons sur des notions simples de nous même physique mental et énergétique c est déjà très compliqué avec ces 3 notions.

RE: Dommage, qu'avec ce genre de propos que l'on avance plus avant...

-Il n'y a ni croyance, ni concept dans cette connaissance. Est-ce que parce que presque personne n'est allé sur la lune, que ceci devient une croyance ou un concept? Non, l'expérience même de ceci est reconnu.

-Lorsque je fis l'expérience de différents corps dans l'enfance tout en étant ignorant de toute connaissance dans cette vie, je ne pus réfuter que cela fut; que nous sommes multidimensionnels, car je vis pas moins de cinq corps, puis buddhi et atman ultérieurement. Ceci est juste une question temporel afin que de ceci l'homme se découvre.



*Il est à noter donc que le cerveau est seulement un récepteur du mental et non la source de celui-ci, comme un poste radio reçoit et émet ces ondes, ainsi le corps humain fonctionne. Toutes les expériences avec lesquelles je me suis familiarisé et ainsi que des millions d'êtres en ce domaine concordent.

Il est vrai que les précurseurs ont souvent mauvaise presse (on aurait pu penser que ceci cesserait avec les avancées de la science..étant précisé que le yoga est une science bien plus avancée que la science matérialiste toutefois), et ceci malgré que l'on annonce la couleur du sentier concordant avec spirituel...cherchez l'erreur.

-Si simplifier est occulté, l'on comprend aisément la naissance de l'occulte, par simplement se protéger de comportement profane hypocrite mettant parfois en danger les "éclaireurs", et les exemples en ce domaine foisonnent allant jusqu'au meurtre.

A un moment donné, il faut être clair et tranchant avec ces abus égotiques. Voilà, c'est dit.  

Fraternellement

oui.. Rimbaud!! et il avait 17 ans..
ce qui est exceptionnel pour une personne si jeune.. ce qui laisse a penser que son travail avait déja commencé dans ses vies anterieures peut etre...

Hum , nous possédons une fonction mental , est-ce un " corps" à part entière c'est un autre débat , ce qui est sur c'est que ça pense , ce sujet commence avec la proposition de différencier plusieurs aspect de ce mental , cela rejoint une certaine connaissance dans ce domaine qui divise l'être que nous sommes en trois aspects différentiés , physique ou moteur , mental , et émotionnel , si on prend l'aspect mental ou intellectuel on peut donc aussi distinguer une subdivision qui reprend ces différences , un mental moteur ou mécanique , un mental émotionnel , un mental purement mental .

Le premier de ces aspect l'aspect mécanique est la pensée par association , cet aspect de notre mental est la mémoire de tout les mots et de toutes les idées et concepts que nous avons enregistré et qui par association peuvent surgir à notre pensée si elle est stimulée , c'est cette partie de notre mental que nous utilisons le plus souvent , nous formons des phrases dans le but de communiquer .

le deuxième aspect , émotionnel , est l'envie de savoir , de comprendre , cet aspect aime lire aime réfléchir , nous pousse à rechercher à approfondir un sujet , si cet aspect n'est pas développé on tourne un peut en rond et on se contente de ce qu'on a à un moment acquit .

Le troisième aspect de cette fonction mental sert à la formulation , elle synthétise et conceptualise notre pensée , c'est la pensée psychologique ou spirituel .

Cette connaissance va plus loin dans cette différentiation et redivise chaque aspect encore en trois , le premier aspect moteur est donc subdivisé en trois autres  , moteur-émotionnel-mental , le deuxième et le troisième aspect cité également , percevoir en soi ces différences n'est pas facile et réclame de l'observation , mais le principe en est simple .
Ces fonctions citées plus haut sont nommés " inférieures" par cet enseignement , pour les différencier de fonctions supérieures que nous utilisons rarement qui comprend un "mental supérieur" et un "émotionnel supérieur " mais à ce niveau intellect et émotions ne font qu'un , love .

Figaro a écrit:

Un gamin de dix-huit ans écrira : "Je est un autre."

Heu!! à mon avis un gamin de 18 ans "en général" aura bien d'autres chats à fouetter que d'écrire "je"  est un autre.

Figaro a écrit:

Un gamin de dix-huit ans écrira : "Je est un autre."

*RE: "Je" témoin... mais pas causal et ne compte pas sur "je" pour te l'expliquer puisque tu l'as aussi.

-"Je" n'a pas vraiment d'âge de plus.

-Par contre le "moi-je" il en a une science lui...

Fraternellement

Cette phrase culte est devenue un slogan, mais faut remettre dans le contexte, il s'agit d'un écrit épistolaire destiné à une personne par trop "académique". Ce n'est donc pas à prendre avec la vision moderne du "Je" dans sa version spirituelle.

Voici le paragraphe entier:

Maintenant, je m'encrapule le plus possible. Pourquoi ? Je veux être poète, et je travaille à me rendre voyant : vous ne comprendrez pas du tout, et je ne saurais presque vous expliquer. Il s'agit d'arriver à l'inconnu par le dérèglement de tous les sens. Les souffrances sont énormes, mais il faut être fort, être né poète, et je me suis reconnu poète. Ce n'est pas du tout ma faute. C'est faux de dire : Je pense : on devrait dire : On me pense. − Pardon du jeu de mots. −
Je est un autre. Tant pis pour le bois qui se trouve violon, et nargue aux inconscients, qui ergotent sur ce qu'ils ignorent tout à fait !

"C'est faux de dire : "je pense". On devrais dire : on me pense"

Arthur Rimbaud


De la réelle fonction du mental concret :


"Le mental concret est bien connu des psychologues qui mesurent les capacités intellectuelles des individus à partir de tests psychotechniques et de raisonnements. Il définit ce que nous appelons communément l’intellect.
Il se construit à partir des informations issues des 5 sens, c’est-à-dire du monde formel. De ce fait, il est forcément tourné vers le passé. Dans l’éducation actuelle, l’enseignement cherche à développer ce mental en amenant les enfants et les adolescents à acquérir beaucoup de connaissances, en les soumettant à tout un tas d’informations qu’ils doivent chercher au maximum à retenir.

La construction de ce mental concret est une étape obligatoire du développement de chaque individu. Sans un mental bien développé, nous ne sommes ni plus ni moins qu’un mouton perdu dans le troupeau, sous l’influence de personnes au mental plus développé et qui affirment des idées fortes (que celles-ci soient bonnes ou mauvaises). Nous n’existons pas en tant qu’individu pensant de manière unique, mais nous sommes sous l’influence des opinions et points de vue d’une éducation, d’une époque, d’une société, d’une culture, de médias, d’un pays... A ce jour, il n’est pas si courant que cela de trouver des individus capables de pouvoir distinguer entre leurs opinions propres et celles qui leur ont été inculquées.

(…)

Le mental inférieur / concret constitue donc la capacité à s’affirmer comme un être pensant individuel, à dire "moi, je", à pouvoir faire la distinction entre "mes idées, mes pensées, mes opinions" et celle d’autrui. Il va également nous permettre de prendre de la distance par rapport à nos réactions émotionnelles, en nous amenant à distinguer entre le vrai et le faux, et plus uniquement entre ce qui est bon et ce qui est détestable. Il va nous pousser à chercher à percevoir comment ce qui constitue notre environnement fonctionne, que soit un objet, un être humain,[par exemple soi-même ] un pays, une planète… Il nous sort de la naïveté de l’enfant et nous apporte le discernement.

Le mental concret possède en outre la particularité de construire des formes, partant du fait que les pensées sont des formes dont la vibration dépend de leurs qualités. Ainsi, une pensée longuement entretenue créera une forme et précipitera des événements sur le plan physique (d’où toute la littérature sur la pensée positive, la méthode Coué…). Le mental est le seul instrument de création qui soit. Tout ce qui existe sur le plan physique, existe parce que ça a été pensé.

Cependant, de part sa nature, le mental concret reste individualiste et égocentrique. Une fois développé, il sert à l’individu à élaborer ses propres plans, ses projets personnels nourris par ses désirs. C’est ce qu’on appelle le kama-manas, le mental utilisé par l’émotionnel. Un mental concret exagérément développé, comme c’est le cas chez certains intellectuels et scientifiques coupent du Réel, c’est-à-dire que l’individu n’est sensible qu’aux informations provenant des 5 sens, il est comme Saint-Thomas, il ne croit que ce qu’il voit. Il est aveugle, insensible et sourd à ce que les formes voilent, à la vie fondamentale qui se trouve derrière les apparences. Mais si le mental tue le Réel, il peut aussi le révéler, cela, à condition de passer aux niveaux supérieurs du mental."

Source : https://sites.google.com/site/psychologieesoterique/glossaire-1/corps-mental

"mais si le mental tue le réel, il peut aussi le révéler, cela, à condition de passer au niveau supérieur du mental".
Par quel procédé le mental tue le réel ?
Que suppose et qu' implique la faculté de révélation ?

Le mental a des pouvoirs immenses
Beaucoup d'âmes s’éveillent a ce pouvoir
Dans un lointain avenir les Hommes seront fort (intérieurement) et puissants

En Amérique une mode est l'hypnose
Des youtubers développent des capacités incroyables en s'amusants et s'exerçants sur des policiers
Exactement comme dans la guerre des étoiles pour passer devant des gardes sans qu'ils réagissent
Je mettrai la video
Je sais que s'est VRAI, car en plus j'ai vécu aux USA
Certains ados pratiquent l'hypnose de rue pour s'amuser
J'ai vu cela a paris pour la premiere fois hier

Les 7 états mentaux :

« L'enseignement hindou estime que les états de conscience du mental sont au nombre de sept. Le sixième sens et son utilisation provoquent sept modes de pensée, ou – plus techniquement – le principe pensant présente sept modifications majeures, qui sont :

1. Le désir de connaissance. C'est cela qui incite au départ le Fils Prodigue, l'âme dans les trois mondes de l'illusion ou (pour porter la métaphore plus loin encore dans le temps), c'est ce qui envoie en incarnation la Monade, ou Esprit. Ce désir fondamental est la cause de toute expérience.

2. Le désir de liberté. Le résultat des expériences et investigations que l'âme continue à faire au cours de ses multiples cycles de vie, se manifeste par une ardente aspiration à une condition différente et un grand désir d'être libérée et affranchie de la roue des renaissances.

3. Le désir de bonheur. C'est là une caractéristique fondamentale de tous les êtres humains, bien qu'elle se manifeste sous de nombreux et différents aspects. Elle se base sur une faculté inhérente de discrimination et sur un penchant, profondément ancré, à opposer la "maison du Père" à la condition actuelle du Fils Prodigue. Cette aptitude innée à la "félicité" ou au bonheur est ce qui provoque l'inquiétude et le besoin impulsif de changement sous-jacent à l'impulsion évolutive elle-même. C'est ce qui cause l'activité et le progrès. Le fait d'être mécontent de la condition présente provient du vague souvenir d'un temps de satisfaction et de félicité ; celles-ci doivent être recouvrées avant qu'il soit possible de connaître la paix.

4. Le désir de faire son devoir. Les trois premières modifications du principe pensant amèneront finalement l'humanité en voie d'évolution à un état où le motif déterminant de la vie sera simplement, pour chacun, l'accomplissement de son dharma. L'ardent désir de connaissance, de liberté et de bonheur a conduit l'homme à un état de mécontentement généralisé. Rien ne lui apporte plus de joie ou de paix véritables. Il s'est épuisé en une recherche de joie personnelle ; maintenant, il commence à élargir son horizon et à chercher (au sein du groupe et dans son entourage) où peut se trouver l'objet de sa quête. Il s'éveille au sens de sa responsabilité envers autrui et commence à chercher le bonheur dans l'accomplissement de ses obligations envers ceux qui dépendent de lui : sa famille, ses amis et tous ceux avec qui il entre en contact. Cette nouvelle tendance est le début d'une vie de service, qui l'amène en définitive à se rendre compte pleinement de ce que signifie la conscience de groupe. Helena Blavatsky a dit que le sens de la responsabilité est la première indication de l'éveil de l'égo ou du principe christique.

5. Le chagrin. Plus le véhicule humain est affiné, plus vive est la réaction du système nerveux aux couples de contraires, la peine et le plaisir. Tandis que l'homme progresse et, qu'au sein de la famille humaine, il s'élève sur l'échelle de l'évolution, il devient évident que sa capacité à ressentir le chagrin ou la joie s'accroît très sensiblement. Ceci se révèle terriblement vrai dans le cas d'un aspirant ou d'un disciple. Le sens des valeurs devient chez lui si aigu et son véhicule physique si sensibilisé, qu'il souffre davantage que l'homme moyen, ce qui aide à stimuler son avancement et à poursuivre plus activement sa recherche. Sa réaction aux contacts extérieurs est de plus en plus rapide et son aptitude à la souffrance physique ou émotive s'accroît dans une grande mesure. La cinquième race, et particulièrement la cinquième sous-race, démontrent ce fait par la fréquence croissante des suicides. La capacité de souffrir qui caractérise la race est due au développement et à l'affinement du véhicule physique et à l'évolution du corps de sensation, le corps astral.

6. La peur. Le corps mental se développant et les modifications du principe pensant devenant plus rapides, la peur, et ce qui en découle, commence à se manifester. Ce n'est plus la peur instinctive des animaux ou des races sauvages, basée sur la réaction du corps physique à certaines conditions du plan physique, mais les peurs affectant le mental et se fondant sur la mémoire, l'imagination, l'anticipation et la capacité de visualisation. Ces peurs sont difficiles à surmonter et ne peuvent être dominées que par l'égo ou l'âme elle-même.

7. Le doute. Il est, parmi les modifications, l'une des plus intéressantes, car il concerne les causes plus que les effets. Peut-être peut-on décrire l'homme qui doute comme doutant de lui-même en tant qu'arbitre de son sort, de ses semblables quant à leur nature et leurs réactions, de Dieu, ou cause première, en raison des témoignages apportés par les controverses qui s'édifient autour de la religion et de ses interprètes, de la nature elle-même, ce qui l'incite à une constante investigation scientifique et finalement, doutant du mental lui-même. Puis, lorsqu'il commence à mettre en question l'aptitude du mental à expliquer, interpréter et comprendre, il a pratiquement épuisé la totalité de ses ressources dans les trois mondes.

Ces sept états mentaux, produits par l'expérience de l'homme attaché à la Roue de la Vie, tendent à l'amener au point où il sent que la vie sur le plan physique, la sensibilité et les processus mentaux, n'ont rien à lui offrir et ne peuvent en aucune façon le satisfaire. Il atteint le stade dont parle Paul lorsqu'il dit : "Je tiens toutes choses pour perdues, afin de gagner le Christ.  --> »

Alice Bailey
La Lumière de l’Ame.

pulsar a écrit:

"mais si le mental tue le réel, il peut aussi le révéler, cela, à condition de passer au niveau supérieur du mental".
Par quel procédé le mental tue le réel ?
Que suppose et qu' implique la faculté de révélation ?

Bonjour pulsar,

 Poursuivons ici notre conversation entamée dans un autre fil, puisque c'est précisément le sujet de ce fil et aussi parce que je veux profiter de l'excellente mise en contexte de Did, que je salue au passage pour la pertinence de ses citations.

Tu demandes d'abord en quoi le mental tue le réel.   Dans l'enseignement du Tibétain, un peu pour les raisons que tu a évoqué, en ce que le mental inférieur procure à l'homme le sens de la séparativité et de son individualité et l'individualité qui se forge dans les trois mondes de l'expérience humaine s'avère un obstacle à surmonter le moment venu.

Que suppose et qu'implique la faculté de révélation ? Voyons les choses dans un contexte plus large. L'expérience humaine, ce parcours qui est le nôtre, se divise en 4 phases majeures. D'abord le sentier de l'homme de désir, de celui qui jette tout le poids de sa conscience dans la recherche des plaisirs qu'offre ce monde, qu'ils soient de nature physique, affectif ou mental. Puis une profonde insatisfaction s'installe et se présente à l'esprit le vague sentiment de cette plus grande réalité à laquelle l'on commence à aspirer. Cette aspiration qui ira grandissante pousse l'homme dans la mouvance des eaux du plan affectif où deux courants opposés mettront à mal le coeur de l'aspirant. Déchiré entre l'objet de son aspiration et la réaction de sa nature inférieure et des vieilles habitudes qui y sont gravées, l'aspirant sera balloté sur les eaux tumultueuses. Il connaîtra des intermèdes d'euphorie et de joie lorsqu'il se trouvera sur le sommet de la vague, puis redescendra dans le creux de la vague au cours de ces nuits sombres où tout semble vain et stérile. Et c'est lui qui vivra ce déchirement intérieur entre vie profane et vie spirituelle qui faisait l'objet de l'autre fil de discussion. Sur le sentier de l'aspirant l'activité principale se déroule dans le monde affectif et il s'agit en fait d'une phase majeure de réoorientation au cours de laquelle la conscience se repolarise progressivement au dessus du diaphragme, à mesure que l'on donne  de moins en moins de place dans sa vie aux désirs et pulsions qui émanent des centres situés sous le diaphragme.

Lentement mais sûrement les eaux viendront à se calmer, et dans le vide laissée par le refoulement des eaux se dessinera la prochaine étape du chemin. Il s'agira de déplacer le siège de l'effort sur le plan mental et d'utiliser le mental de deux manières. Tourné vers le bas il intègre toutes les ressources de la vie dans les trois mondes et les coordonnent en vue d'un objectif clairement perçu. Ce qui signifie, si on fait le parallèle avec l'activité des centres, l'entrée dans une période d'activité accrue du centre frontal. Tourné vers le haut le il se recueille et se prosterne devant son seigneur, dans l'abandon de toute volonté personnelle, afin de lui offrir un milieu capable de réagir à la subtile vibration qui émane des plans supérieurs. Durant cette phase cette première règle de magie énoncée dans Traité sur le Magie Blanche entre en activité:

L'Ange Solaire se recueille, il ne disperse pas sa force,
mais, dans une profonde méditation,
il communique avec sa réflexion.

En résumé, brossé à grands traits, ça ressemble à ceci :

sentier du désir               affectif
sentier de l'aspirant         affectif vers mental
sentier du disciple           mental inférieur vers mental supérieur
sentier de l'initiation        mental supérieur et au-delà


Pour en revenir donc à la question de départ, que suppose et qu'implique la faculté de révélation, elle implique et suppose le sentier du discipulat, qu'on foule véritablement le chemin qui quitte le monde du soi séparé pour celui d'on monde dominé et régit par le principe d'inclusivité, avec tout ce que cela implique.

Tu ne donnes pas une réponse vivante, tu tues plutôt mes questions en les enfermant dans le cadre théorique d'un melting pot "d' enseignements". Dommage, ta vivante expérience m' aurait plus intéressée.

pulsar a écrit:

Tu ne donnes pas une réponse vivante, tu tues plutôt mes questions en les enfermant dans le cadre théorique d'un melting pot "d' enseignements". Dommage, ta vivante expérience m' aurait plus intéressée.

Ma vivante expérience comme tu dis est personnelle et contrairement à ce que tu serais peut-être enclin à penser ne t'apprendrait rien qui te soit utile. J'ai eu tout le loisir dans ma vie d'observer le genre d'échange que tu proposes et ce n'est simplement pas ma tasse de thé. Ce qu'est ma tasse de thé cependant, c'est d'offrir des pistes de réflexion et une vue à vol d'oiseau de tout le processus dans lequel nous sommes impliqués, au meilleur de ma compréhension.  Et je trouve particulièrement dommage que tu qualifie de melting pot ce qui m'apparait à moi constituer au contraire l'épine dorsale et le fil directeur de ce qu'enseigne véritablement l'ésotérisme.

Mais, je suppose, comme le veut la rangaine, à chacun son chemin.

Partagons au moins l'esprit du zen

Le mental se nourrit de intellect des autres et reste a la surface
La conscience se nourrit de leurs expérimentations ^^
Tout le monde peut savoir
Tout le monde ne vit pas ce savoir
Seul ce qui est devenu conscient a partir de l'experience personnelle compte et uniquement
S'est d'ailleurs la seule chose qui peut être transmise au delà de l'illusion du savoir
Beaucoup d'enseignements sont donc illusoires, car il n'apporte rien concrètement, ou conceptuellement non Universel
Ne peut être transmis uniquement ce que l'on Est dans la réalité
Ce qu'on croit ne compte pas, ca ne change pas la réalité, juste la sienne (phenomene quantique)

L'univers poursuit sa route infinie, et ne s'occupe pas des croyances des créatures (heureusement)

pèlerin a écrit:

pulsar a écrit:

Tu ne donnes pas une réponse vivante, tu tues plutôt mes questions en les enfermant dans le cadre théorique d'un melting pot "d' enseignements". Dommage, ta vivante expérience m' aurait plus intéressée.

Ma vivante expérience comme tu dis est personnelle et contrairement à ce que tu serais peut-être enclin à penser ne t'apprendrait rien qui te soit utile. J'ai eu tout le loisir dans ma vie d'observer le genre d'échange que tu proposes et ce n'est simplement pas ma tasse de thé. Ce qu'est ma tasse de thé cependant, c'est d'offrir des pistes de réflexion et une vue à vol d'oiseau de tout le processus dans lequel nous sommes impliqués, au meilleur de ma compréhension.  Et je trouve particulièrement dommage que tu qualifie de melting pot ce qui m'apparait à moi constituer au contraire l'épine dorsale et le fil directeur de ce qu'enseigne véritablement l'ésotérisme.

Mais, je suppose, comme le veut la rangaine, à chacun son chemin.

Partagons au moins l'esprit du zen

Soit.

pulsar a écrit:

Tu ne donnes pas une réponse vivante, tu tues plutôt mes questions en les enfermant dans le cadre théorique d'un melting pot "d' enseignements". Dommage, ta vivante expérience m' aurait plus intéressée.

*RE: Juste en partage "ma vivante expérience" qui concorde avec ce qu'a posé "pèlerin". Quant au "melting-pot", le péjoratif ne peut l'emporter sur l'objectif, sauf dévoiement.

Les sources citées et dont pèlerin s'inspire à défaut d'en voir éventuellement l'oeuvre, viennent d'êtres en avance par rapport à l'humanité actuelle et qui consacrent leur vie et leur temps au service de la Cause mérite au minimum notre reconnaissance à défaut de respect et de considération.

Fraternellement

Dans le vieux grenier
De l'humanité,
J'ai vu en allumant la lampe :
Envies, désirs, plaisirs,
J'aime, je les satisfais,
Je les projette , je les détruis,
Je les tourmente, je souffre,
Il naît, puis meurt,
La roue du moulin broie le grain,
Le transforme en farine.
Qui est le semeur, le rémouleur,
Le boulanger, le mangeur,
Qui est l'affamé ? L’ego.
Il est séparation > peur > culpabilité > maladie.
ALORS si l'amertume t'envahie,
Rentre chez toi, place toi dans les TROIS CERCLES DIVINS VERTUEUX

Namasté.

Toutes mes excuses s' il y a eu offance. Il me semblait m' adresser à des personnes ne souffrant plus de ce genre de menue passion. Le net est trompeur.