Lumières dans la nuit des temps

Sur bons conseils, j'ouvre cette rubrique sur un livre qui m'a appelé.Et qui m'a donné beaucoup de réponses, sur mes pensées, sur le christianisme, sur mes vies antérieures ...

Comme dédicace je reprendrai à quelques mot près celle qui fut écrite en première pade par un Frère :

A toi cher frère,

Au nom du Christ, je te souhaite t'entendre l'appel du Christ pour ma mission d'apôtre de la vérité et d e l'Amour.

Ce livre dicté méduimniquement en Français à unefemme qui désira garder l'incognito, fut édité pour la première fois en 1885. Les deux mille copies de l'original français furent malheureusement détruites lors de la faillite du libraire.

Livre perdu mais retrouvé par des médiums en 1945, qui a la demande du CHrist reçurent une communication médiumnique où il leur était demandé de répandre l'ouvrage pour lequelune splendide préface était ditée, apportant ainsi à l'oeuvre, un caractère de divine autnenticité.

l'appartion de JESUS sur la Terre, comprte des obscurités dant les historiens ont tiré parti; les uns pour faire de la créature humaine un DIeu, d'autres pour déverser sur cette haute personnalité du MESSIE lesbanalités du doute, les flagorneries d'une fausse admiration ou les délires d'esprits dans la démence.

Ce livre dicté par JESUS lui-même, peut être mis par certains, au compte d'un transport d'imagination, d'une révolte raisonnée de croyance acquise.

SUELS, les adeptes éclairés comprendront, et c'est àeux que le CHRIST s'adresse pour affirmer l'exacte transcritpion des paroles lumineuses.

Pourquoi ces révélations? parce que l'heure n'en tait pas encore venu : parce que les faits scandaleux d'aujourd'hui dépassent les faits scandaleux d'hier, par l'appoint de cette orgie criminelle qui livre JESUS travesti aux regards hébétés des foules ignorantes et parce que, au travers des émanations fétides qui empoisonnent l'air vital de la pensée humaine, il faut lire l'ordre de DIEU (ou Univers).

Paix, Fraternité, Amour, les mots principaux que JESUS nous envoie, nous livre dans ce livre magnifique.

Je stoppe là pour aujourd'hui. Suite demain peut-être. Je dois aussi vous dire qu'une de mes vies antérieures se situaient à l'époque du Christ, d'après certains médiums et de mes rêves + mes certitudes, j'étais une des nombreuses femmes apôtres qui l'accompagnait, le suivait jusqu'à sa mort.
Et lorsque j'ai lu et commencé ce livre, je savais, je connaissais comme ci je les avais entendu et apprises, toutes les bonnes paroles, les conseils, les prières ...

aussi ai-je demandé à mes guides l'autorisation de vous en parler. Ils ont accepté car il est grand temps que l'homme se retrouve dans ces trois mots : PAIX, FRATERNITE et AMOUR.

Seul l'avenir est à nous, et il doit se construire avec notre présent, par nos bonnes actions, nos bonnes pensées ...

Donc je vous envoie pour aujourd'hui paix, amour, fraternité et beaucoup de lumière au fond de vos coeurs

re, juste pour m'excuser des fautes de frappe mais le travail m'appelle et j'ai écrit très vite, un peu trop vite ... toutes mes excuses ...

Chère Séléna,

les fautes de frappe se voient avec le mental, ton texte se lit avec le coeur!

Nombreux sont par le monde les médiums de la fin du 19ème siècle qui confièrent les messages reçus en restant dans l'ombre. Les temps n'étaient pas venus.

Nous continuons à t'écouter dès que ton travail le permettra.

Merci Séléna pour ce partage et personnellement je suis "toute ouïe" pour la suite...
Comme le dis Suzette, dès que tu le peux.
Pas grave pour les fautes de frappe, par contre perso ce que je fais quand j'ai une certaine longueur de texte à poster, eh bien je le saisi d'abord en traitement de texte, bien tranquillement... et ensuite je poste

Merci plume, je ferai de même, mieux pour gérer les fautes de frappe !
Pensées ...

Bonjour, ayant quelques minutes, je vous envoie la suite de ce livre magnifique où toute notre philosophie sur ce forum est reprise par le CHRIST :

Lumières dans la nuit des temps
par CHRISTUS
*********

PREMIER CHAPITRE

Mes frères, écoutez le récit de ma vie terrestre comme Messie.

Je fus l'aîné de sept enfants.
Mon père et ma mère habitaient une petite maison à Nazareth.
Mon père était charpentier. J'avais vingt-trois ans quand il mourut.
Je dus partir pour Jérusalem quelque temps après la mort de mon père ;
là, en contact avec les hommes actifs et turbulents, je me mêlai des affaires publiques.
Les Romains gouvernaient Jérusalem comme tous les pays qu'ils avaient soumis.
L'impôt était fixé sur la fortune; mais un juif payait plus qu'un païen.
On donnait le nom d'initiés aux hommes d'Etat, et la puissance de ces hommes d'Etat se manifestait
par des déprédations de tous genres.
Les mécontents me persuadèrent de me joindre à eux et j'en vins à oublier ma famille.
J'abandonnai à des étrangers le soin de régler les affaires de mon père, et,
des discours propres à exciter les passions populaires,
je me démis de toute jouissance filiale et de toute direction fraternelle.
Mes coreligionnaires m'inspiraient de la pitié ; bientôt cette pitié se changea en désirs de corriger leurs travers;
je m'exaltai de plus en plus, et Dieu m'accorda cette clarté suprême qui vient donner une stabilité à la foi,
un mobile à la volonté, un aliment à la force spirituelle.

Mes visions -- si l'on peut donner ce nom aux félicités intérieures que je portais en moi ---
mes visions m'arrachaient aux occupations matérielles pour me tracer une vie d'apôtre et me préparer à la gloire du martyre.

Des MIRACLES attribués à ma personne, mes frères, IL N'Y EN A PAS UN DE VRAI :
mais de la grâce de Dieu il faut méditer la sagesse et la profondeur.
Tous les destins honorés d'une mission ont besoin des encouragements de Dieu,
et la pureté des anges couvre d'une ombre protectrice la fragilité de l'homme.

La pensée de Dieu jette la semence dans le présent,
et cette semence portera des fruits dans l'avenir.
La sollicitude du père rêve le bonheur de tous ses enfants :
et le Messie est envoyé par le Père pour soutenir ses frères dans les dangers présents et futurs.

La RAISON reconnaît un Dieu qui descend les degrès de sa puissance pour compatir aux maux de ses créatures ;
mais elle ne saurait admettre un Dieu qui favoriserait les uns et oublierait les autres ;
mais elle doit nier les honneurs divins lorsque ces honneurs ne sont point établis pour le bien général et expliqués par la JUSTICE ETERNELLE;

La gràce a toujours pour prétexte les desseins de l'Etre Suprême sur tous, et les Messies ne sont que des instruments dans la main de Dieu.

Laissons-donc les merveilleux récits, les méprisables contes faits sur moi,
et honorons la lumière que Dieu permet en ce jour par la simple expression de mon individualité et le lucide développement de ma mission.
[...]

suite une prochaine fois

Bonjour, je m'excuse de l'avoir retranscrit en petite écriture mais je fais tout en courant et je voulais vous mettre une nouvelle suite de ce livre, qui ne me quitte plus !
dites-moi si je dois le mettre en plus grand !

Bonne journée rempli de paix ....

Bonjour Séléna

Oui tu peux écrire un peu plus grand à mon avis ce sera pas gênant mais sinon tant pis, on peut toujours faire un copié collé sur traitement de texte et agrandir ton texte à partir de là...
Encore merci pour ces extraits
Bises à toi et bonne journée

Merci Plume, je le mets plus grand :

Lumières dans la nuit des temps
par CHRISTUS
*********

PREMIER CHAPITRE

Mes frères, écoutez le récit de ma vie terrestre comme Messie.

Je fus l'aîné de sept enfants.
Mon père et ma mère habitaient une petite maison à Nazareth.
Mon père était charpentier. J'avais vingt-trois ans quand il mourut.
Je dus partir pour Jérusalem quelque temps après la mort de mon père ;
là, en contact avec les hommes actifs et turbulents, je me mêlai des affaires publiques.
Les Romains goubernaient Jérusalem comme tous les pays qu'ils avaient soumis.
L'impôt était fixé sur la fortune; mais un juif payait plus qu'un païen.
On donnait le nom d'initiés aux hommes d'Etat, et la puissance de ces hommes d'Etat se manifestait
par des déprédations de tous genres.
Les mécontents me persuadèrent de me joindre à eux et j'en vins à oublier ma famille.
J'abandonnai à des étrangers le soin de régler les affaires de mon père, et,
des discours propres à exciter les passions populaires,
je me démis de toute jouissance filiale et de toute direction fraternelle.
Mes coreligionnaires s'minspiraient de la pitié ; bientôt cette pitié se changea en désirs de corriger leurs ;
je m'exaltai de plus en plus, et Dieu m'accorda cette clarté suprême qui vient donner une stabilité à la foi,
un mobile à la volonté, un aliment à la force spirituelle.

Mes visions -- si l'on peut donner ce nom aux félicités intérieures que je portais en moi ---
mes visions m'arrachaient aux occupations matérielles pour me tracer une vie d'apôtre et me préparer à la gloire du martyre.

Des MIRACLES attribués à ma personne, mes frères, IL N'Y EN A PAS UN DE VRAI :
mais de la grâce de Dieu il faut méditer la sagesse et la profondeur.
Tous les destins honorés d'une mission ont besoin des encouragements de Dieu,
et la pureté des anges couvre d'une ombre protectrice la fragilité de l'homme.

La pensée de dieu jette la semence dans le présent,et cette semence portera des fruits dans l'avenir.
La sollicitude du père rêve le bonheur de tous ses enfants :
et le Messie est envoyé par le Père pour soutenir ses frères dans les dangers présents et futurs.

La RAISON reconnaît un Dieu qui descend les degrès de sa puissance pour compatir aux maux de ses créatures ;
mais elle ne saurait admettre un Dieu qui favoriserait les uns et oublierait les autres ;
mais elle doit nier les honneurs divins lorsque ces honneurs ne sont point établis pour le bien général et expliqués par la JUSTICE ETERNELLE;

La gràce a toujours pour prétexte les desseins de l'Etre Suprême sur tous, et les Messies ne sont que des instruments dans la main de Dieu.

Laissons-donc les merveilleux récits, les méprisables contes faits sur moi,
et honorons la lumière que Dieu permet en ce jour par la simple expression de mon individualité et le lucide développement de ma mission.
[...]

suite une prochaine fois

Comme c'est mieux, je vous mets la suite :

LUMIERES DANS LA NUIT DES TEMPS - Chapitre premier- 2ème partie :
Ma naissance est le fruit d'un mariage contracté entre Joseph et Marie. Joseph était veuf et père de cinq enfants lorsqu'il épousa Marie.
Ces enfatns ont passé, aux yeux de la postérité, pour mes cousins. Marie était fille de Hoachin et d'Anne, du pays de Jéricho,
et elle n'avait qu'un frère nommé Jacques, plus jeune qu'lelle de deux ans.
Je suis né à Bethléem. Mon père et ma mère firent ce voyage, sans doute pour leurs affaires ou pou leur plasir, dans le but de nouer des relations de comemrce ou dans cette autre intention, d'entretenir des rapports d'amitié : voilà toute l'histoire.[...]
Jésus arriva en Jérusalem dans l'année de ces douze ans, il fit la rencotre de Hoseph d'Arimathie, ami de son père, Joseph.
Il fit son instruction religieuse avec lieu, tout en marchant dans la condition modeste de charpentier.
Des hommes semblables à Joseph d'Arimathie jettent la semence, et Dieu permet que cette semence porte des fruits.
Ces hommes semblables sont des démonstrations de la Providence, et ces miracles ont lieu de vos jours comme de ceux de Jésus.
[...]Il se rendit un jour de Pâques au tembple de Jérusalem avec sa mère. Voulant s'approcher des orateurs sacrés, il se fit remarquer :
"Faites-donc attention à cet enfant, il nous écoute, peut-être pour nous mettre d'accord. Dieu envoie parsois aux enfants le don de sagesse dans les discussions au-dessus de la portée de leur âge."
Je me haussai sur la pointe des pieds pour mieux voir celui qui venait de prononcer ces mots. Il vint à moi, et me dit :
"La mère qui t'a élevé, mon enfant, t'a enseigné, n'est-ce-pas, que Dieu nous aime tous, et tu joins à cette connaissance de l'amour de Dieu pour ses enfants, la connaissance de l'amour des enfants entre eux ; eh bien, que dirais-tu à des enfants riches, libres, pleins de santé, dont les frères seraient pauvres, dans l'abandon, faibles, par la maladie, esclaves, dans une prison ?"
"A ces hommes, dans le bien-être, répondis-je sans hésite, je crierais : "Allez frères, allez secourir nos frères, Dieu vous l'ordonne et votre courage sera béni".
Je vis sourire celui qui m'avait interpellé : "Dieu a parlé par ta bouche,n mon enfant, dit-il".
Je pris la main qui se tendait vers moi et je loa serai dans mes mains moites démotion. Ensuite je pensai à rejoindre l'amie de ma mère. Elle m'observait depuis le commencement de cette scène : "fais-moi le plaisir, petit, me dit-elle, de m'enseigner aussi à moi ce que Dieu veut dire par ces paroles :
"Les enfants devront écouter sans émettre leur avis et grandir avant de s'élever à l'état dangereux de faiseurs de morale et de donneurs de conseils".
Je répondis : "Votre Dieu, est un despote. Le mien honore la liberté de penser et de parler. La faiblesse des exclaves fait la force des maîtres, et l'enfance prépare la jeunesse".
Dans ses yeux, je lus un étonnement plein de satisfaction ; et nous rentrâmes.
Je racontai à Joseph d'Arimathie ce qui venait de se passer et Lia, l'amie de ma mère rapporta :
" Votre fils, chère Marie, est destiné à de grandes choses. Je le dis devant lui : Vous êtes une heureuse mère, et vos entrailes ont été bénies".
Je me sentis grandir sous cette prédiction, et ma vie me parut plus que jamais influencée par les desseins de Dieu.
"Femme de Jérusalem, le pauvre enfant qui t'a suivie dans le temple du Seigneur te bénit encore aujourd'hui!"
Le lendemain, nous retournâmes au temple. La foule était grande.J'aperçus le docteur de la loi qui m'avait interrogé la veille. Ma mère me demanda alors le sujet de ma distraction et je lui fis cette réponse coupable :
"Ma mère, continuez vos prières et ne vous occuper pas de ce que je fais. IL N'Y A RIEN DE COMMUN ENTRE VOUS ET MOI".
Jésus écoutait tous ces enseignements divins. Il faisait clair enfin dans son esprit...
Je voyais,ô mon dieu, tes mystères étinceler devant moi,je lisais dans ton livre sacré, et je comprenais la magnificence de ton éternelle justice !
Je rêvais de radieuses conception ; je m'illuminais de la divine clarté ; je formais des projets insensés, mais généreux ;
je voulais suivre ce soleil et ces martyrs, dans des espaces inconnus !!!
Je revins à moi, à l'appel de ma mère. Un instant, je la regardai avec la retenue d'une âme qui n'ose pas s'épancher parce qu'elle sait que l'enthousiasme, comme la chaleur, se perd au contact du froid.
"Notre père Céleste, lui dis-je enfin, jette dans mon esprit le germe des sûres et fortes idées. Il commande à mon coeur ; il tient dans sa main le fil de ma volonté ; il tend vers moi la sagesse de ses desseins ; il prend tous les moments de ma vie ; il veut m'appeler à de grands travaux ...
En un mot, ma mère, retirez-vous ; allez à vos affaires ; laissez votre fils à son Père qui est aux Cieux.
"-- Veus-tu te taire, me dit ma mère. Tu es endoctriné, pauvre enfant. Je te dis que Dieu n'a pas vesoin de toi ... Allons, viens".
Ma mère eut besoin de l'intervention de mon père pour m'emmener.
Le lendemain, nous quittâmes Jérusalem pour retourner à Nazareth.
Suite 2è chapitre une prochaine fois

Voilà, je continuerai un peu comme un épisode, à vous retranscrire la vie, ses conseils et ses bonnes paroles prochainement, par quelques extraits de ce livre.
Espérant qu'il vous apporte de la lumière en vous, de la paix et aussi du bonheur .

Pensées ...

Bonjour à tous, juste pour savoir si le sujet "CHRISTUS" vous intéresse. Pour programmer une éventuelle suite sur sa période Ado et ses expériences spirituelles ...
Merci, n'hésitez pas à me le dire, si je vous ennuie, mais je trouvai que ce livre est encore bien d'actualité pour un enseignement spirituel.

Que votre journée soit faite de paix et lumière ...