besoin d'aide / dépression

Bonsoir à tous,
je souffre d'une dépression assez grave depuis une année et demie. J'ai dû arrêter avec mes études universitaires en philosophie. Je suis bloqué, je ne sais pas quoi dire. Peut-être je commence à expliciter ce que j'aimerais obtenir à l'aide de ce message. J'aimerais beaucoup savoir si quelqu'un de vous à vécu une dépression plus ou moins longue, vos ressentis et comment vous avez réussi à vous en sortir.
En ce qui me concerne je pense être au 40-50% de mon parcours de guérison. Je suis suivi par un psychiatre, je prend des anti-dépresseurs, des tranquillisants, des neuroleptiques et des somnifères que j'ai diminué au fur et à mesure que mon état a amélioré. Au début j'ai cherché à me soigner avec des remèdes naturels mais j'ai pas eu de résultats. Depuis quelques mois je suis la méthode Phylllis Krystal qui a comme but de travailler sur l'inconscient et de modifier des tendances négatives qui y sont présentes. Pour le moment j'ai obtenu une plus grande estime de moi mais la dépression est encore là. Ce qui me met en crise c'est le fait que j'expérimente assez souvent une sensation de poids très fort au thorax que je ne réussis pas à gérer. Quand j'advertis ce poids, la majorité des fois, je suis obligé à me coucher dans mon lit. J'ai l'impréssion d'être attiré vers le bas. La souffrance que j'éprouve est pour moi insupportable. Mon médicin m'a dit qu'il s'agit d'une accumulation d'anxieté qui se somatise dans le thorax. J'ai souvent cherché d'analyser ce poids et cette sensation de souffrance extrême avec des personnes compétentes mais je n'ai pas atteint de bonne compréhension de cela.
Est-ce que vous avez déjà éprouvé une souffrance pareille? Comment puis-je la gérer ou l'éliminer? J'ai lu que la dépression implique souvent des doses plus ou moins grandes d'anxiété mais les dépressifs que je connais n'éprouvent pas de poids pareil.
Je m'excuse pour français imparfait. Je ne suis de langue maternelle française .
Je vous remercie déjà pour vos conseils et vos expériences.
Bonne nuit.

Il te faut réaliser que rien n'a d'importance. Tu dois te regarder d'en haut, en observateur, distinct de ton corps et de ton individu. Observe et ricane, ris des folies de ton individu, et cesses de t'y identifier. Appliquer ceci mène au final a un état de bonheur omniprésent. Un état paradoxal, où tu peux a la fois pleurer et rire. Il faut cesser d'accorder de l'importance aux choses, parce qu'elles sont réellement futiles.

la depression est un symptome d'eveil a la lumiere..
je connais bien...on en sort modifié...et donc different...
c'est la personalité qui endure...elle ne comprend pas ce qui lui arrive et cherche des comprehensions mentales a ce qu'elle vit.....

les constructions mentales et scenarios illusoires peuvent devenir tres vité tres noirs
et entrainer dans de basses vibrations .. dans la morosité ...la melancolie..la tristesse..la lethargie...

il faut comprendre que passer par ces phases est normal ...
il n'y a pas a culpabiliser...
tout est normal meme nos reactions par rapport a notre niveau de conscience du moment...

il y a donc a apprendre et a decouvrir ....
tout un tas de positionnement ...
pour voir a partir d'un autre regard et ainsi ......
mieux vivre les evenements qui surgissent dans notre vie...
pour les accepter...et s'elever au dessus...

ainsi tu es deja en mouvement poussé par ce que tu vis...
tu es entrainé que tu le veuilles ou nom...
l'experience est là...

selon ton degres de lacher prise ..d'acceuil...
et de comprehension le processus sera plus ou moins doux.....
il y a un nombre important de resistances chez l'homme ..
chacun a un rythme et un degres de progression different...


http://lumiere-energieamour.forumzen.com/decouverte-de-soi-f1/depression-et-spiritualite-t1127.htm?highlight=depression

la lumiere ..l'energie spirituelle
quand elle penetre dans l'Homme souleve les voiles de l'Inconscient...
aussitot tout un tas de reactions sur les 3 plans du bas sont a vivre...
physique..psychique ..emotionnelle...

l'ouverture et l'extension des centres psychique (chakra) passe par ces etapes ou la psychée est mise a mal...
tout energies de l'inconscient est soulevé et projeté dans la sphere mental...
cela se vit ..ainsi l'individu apprend a se connaitre......


va voir par là..cherche ...suit des pistes...ecoute ton coeur....
apprends a mettre des mots sur tes ressentis...
les reponses viendront...


la prises de medicaments et autres rajoute de l'huile sur le Feu...et retarde la progression de la lumiere...separer le subtil de l'epais...l'ombre et la lumiere..purifier le temple...
demande de passer par des phases de confusions et de brouillard mentales...


plus tu analyses ..plus tu penetres dans le mental...et t'eloignes du Coeur...

des pistes...

http://lumiere-energieamour.forumzen.com/decouverte-de-soi-f1/ressentis-incomprehensibles-t418.htm


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Moksha, quelques petites idées pour aller vers le mieux :

D'abord nourrir le positif dans tous les domaines. En gros soit Pour certaines choses et non Contre d'autres.
Tes pensées nourrissantes vont t'amener un mieux être dans le corps comme dans l'esprit.
Te faire plaisir, même s'il te semble que ça n'a pas de sens et que c'est une perte de temps, fais quelque chose que tu aimes faire.
Sois en contact avec ceux que tu aimes et qui te font du bien.
Vas marcher dans la nature, te poser, contempler sans rien attendre, le bien être viendra je te l'assure. Rien n'est meilleur que l'immersion en pleine nature.

C'est par les choses les plus insignifiantes et les plus simples que tu reprendras contact avec toi même.
Et puis Croire à ta "guérison". Y croire pleinement, sans aucun doute, te visualiser heureux et paisible, déjà te l'inventer, et remercier, de tout ton cœur et avant même d'avoir un résultat concret. Il faut croire pour voir, et non pas l'inverse.
Le résultat viendra. Gardes confiance.

Amicalement

Maurice M. a écrit:

Il te faut réaliser que rien n'a d'importance. Tu dois te regarder d'en haut, en observateur, distinct de ton corps et de ton individu. Observe et ricane, ris des folies de ton individu, et cesses de t'y identifier. Appliquer ceci mène au final a un état de bonheur omniprésent. Un état paradoxal, où tu peux a la fois pleurer et rire. Il faut cesser d'accorder de l'importance aux choses, parce qu'elles sont réellement futiles.

C'est exactement ce qu'il faut faire

...Plus il y a l'obscurité, plus la lumière est proche...

Accroches-toi Moksha, tu en sortira grandit

Tu dis que tu es suivi par un psychiatre, mais fait tu une therapie? ou es-ce le genre de psychiatre a consulter 9minutes et a te laisser repartir avec un liste de medicaments longue comme une liste de course?

Citation :

je prend des anti-dépresseurs, des tranquillisants, des neuroleptiques et des somnifères

la liste des medicaments que tu prends est tres impressionante, beaucoup trop a mon gout, tu dois te sentir comme un legume, ce genre de traitement est en generale reservé aux skyzophrenes,
je suppose qu'il doit y avoir des IRS et des benzodiazepines dans tes medicaments, de veritable poison pour l'esprit, dont on ne connait que vaguement les effets sur la psyché, et tres mal les effets au niveau organique.

Sache que l'industrie des antidresseurs et autres rapporte 3 milliards de dollards par an par medicament, et que les etudes destinés a tester les medicaments en vue de leur mise sur le marché sont tres lacunaire, parfois meme les sujets sont triés, et la conclusion sur l'efficacité du medicament est rarement favorable, pourtant on les retrouvent quand meme sur le marché, depuis le prozac c'est une vrai folie et un marché extremement lucratif,
on a decouvert recement que certain IRS genre Deroxat, Effexor, etc pouvaient causer des dommages au cerveau irreversible, qui sont expliqué par le fait que le cerveau tente de detruire ces propres emetteurs de serotonine pour retablir l'equilibre, or ces neurones ne se reconstruisent pas par la suite, ce qui crée un risque de syndrome de sevrage tres important,
bref tout ca pour dire, si ton psychiatre c'est juste un naze qui sait que prescrire a tout va abandonne le il fait parti des 9/10 psychiatres qui ne font pas leur travaille et dont les consultations dure moin de 10 minutes (infos venant de mon propre prof de psychologie clinique)

ce que tu decris au niveau de la poitrine ressemble plutot a une crise de panique qu'a une depression, en fait je comprend pas bien dans quel cathegorie tu es, et je ne suis pas sur que tu sois vraiment depressif, tout depend comment tu decrits ca, pourrais tu en dire plus ?

donc ce que je te recommande c'est de multiplier les medecins, car c'est aberant de voir a quel point la plupart en ont rien a foutre de leur patient, et prescrivent des trucs dont ils ont lu vite fait la brochure officiel, ensuite de positiver le maximum possible, il faut toujours faire l'inverse de ce que le mental veut faire pour programmer une nouvelle cognition, et enfin de te reinseigner un maximum par toi meme, en lisant encore et encore sur le sujet, car comme je l'ai deja dit le systeme de prise en charge des patients est vraiment pitoyable, lamentable, et 80% des demarches devront etre anticipé par toi meme pour que tu trouve le praticien competent.
Et essaye de diminuer les medicaments car a mon gout tu en prends vraiment trop et je pense que ca te fait stagner d'avantage dans ton probleme plutot que t'aider.
Enfin fait attention a ton regime alimentaire, supprime la cafeine au maximum, les sucres, les graisses (surtout les trucs de super marché), et mange un maximum de fruits et de legumes, car leur energie vient directement du soleil.

Je vois écrit beaucoup de bons conseils, il te faut trouver celui qui te correspond.

La visualisation est une bonne technique mais il faut anticiper la crise une fois dedans le plus facile à mon avis c'est de t'enraciner en imaginant tes pieds en forme de racine et que tu puises l'énergie le plus loin possible (l'agarta et ses êtres) pour pouvoir transformer cette émotion en lumière, souvent c'est une mémoire qui surgit.

Le point que tu indiques me fait penser que tu te trouves sur le chakra solaire lié aux émotions et qu'il te faut passer "la porte" pour te ressentir dans le chakra coeur, c'est un moment difficile (comme un petite mort) et il faut être dans le lâcher-prise pour que ça coule (sourire) mais le stress que nous vivons au quotidien et la pression des études pour toi ont du être un facteur accélérant pour ton évolution spirituelle.

L'harmonisation de tous tes chakras devrait t'aider à mieux aller et l'hématite est une très bonne pierre pour la dépression.

Bonjour Mokkshaputtaparthi,

J'ai connu aux alentours de ton âge actuel une profonde dépression, arrêtant également mes études.
Et j'ai traversé cet état.

Te dire d'abord que l'abandon de nos études n'a pas d'importance.
Le premier sujet de nos études, celui qui importe vraiment est nous-même.
Ce que tu accompliras au sortir de cette dépression ou pendant cette dépression comme étude, comme travail au sein de la société est de peu d'importance. Tu iras au sortir de cette dépression vers l'activité qui te correspondra le mieux.
Vois cette dépression comme l'occasion d'une transformation : devenir celui que tu es vraiment.

Les médicaments sont une de tes solutions actuellement (ce fut également la mienne), pense à les arrêter peu à peu un jour prochain, quand tu te sentiras mieux. Comme le dit Smehen, ne les arrête pas brutalement (Ce que j'ai fait). Dis toi que la respiration qu'ils te permettent, et l'espace qu'ils te donnent, ces deux choses là pourront être en toi découvertes et s'installeront naturellement peu à peu en toi.
Comme cela a déjà été dit, en devenant le témoin de ce qui s'agite en toi, l'observateur neutre et bienveillant. Comme te le dit Maurice "n'hésites pas à rire de tes folies".

Dans un premier temps j'ai suivi une psychanalyse qui m'était proposée lorsque j'ai cherché de l'aide. Ce qui a confirmé en moi l'observateur, et a commencé à me donner de l'espace. Puis à peu j'ai compris que cette analyse serait sans fin ou que j'étais arrivé à son terme et j'y ai mis fin. Je ne sais plus les pas que j'ai fait ensuite.
Je crois m'être appuyé sur mes succès passés, les expériences positives du passé. Quand tu prends conscience que les états négatifs se traversent, que peu à peu tu les traverses tu reprends confiance en toi. Ne les renforce pas en luttant contre eux (mais là c'est Emmanuel d'aujourd'hui qui le dit), prends de la distance vois les te traverser, apparaître puis s'en aller.
Car sous ton regard ils s'en iront.
Cultive ton ancrage dans le présent, ne cultivent pas tes pensées ou tes émotions, laisse les venir et disparaître.
Fais confiance à celui qui sait en toi et qui est déjà victorieux.

Je te souhaite du courage, de la persévérance et la joie de découvrir enfin ton vrai visage.

Bonjour Moksha,

Je vois en ta situation un point important à soulever : Es-tu en relation de confiance avec ton psychiatre ? As-tu déjà envisagé avec lui de changer de traitement neuroleptique ?
Je ne suis pas Psy, mais mon parcours de vie m'a fait avaler moultes neuroleptiques et anti-psychotiques, et je suis bien placé pour comprendre la "Léguminisation" qu'entraîne ce genre de traitement...
Aussi, as-tu déjà essayé de poser tes ressentis, tes expériences vécues, enfin tout ce qui te passe par la tête et dans le corps sur papier ?
L'écriture est réellement un excellent exutoire, je te parle de l'écriture, mais toute forme d'expression artistique est un bon exutoire....

A bientôt de te lire,
MT

Bonjour à tous et à toutes,
merci à tous pour vos conseils et vos expériences. Je vous ai lu avec plaisir et intérêt. J'ai été impressionné positivement par la vitesse de vos réponses. Merci encore.
Je lirai encore quelques fois vos conseils et vos remarques pour en profiter au maximum.

à Major Tom: oui, j'ai une relation positive et constructive avec mon psychiatre. Nous parlons beaucoup ensemble, il me comprends et me donne de bons conseils. C'est une personne précieuse pour moi. En ce qui concerne les neuroleptiques je peux te dire que j'ai diminué leurs doses. Notre but est de les enlever complètement peu à peu. Oui, j'écris mes ressentis sur papier. Je tiens un cahier journal.

à Aklan: oui, je fais une thérapie avec mon psychiatre. Il est très prudent avec le dosage des médicaments. La liste des médicaments que je prends est longue mais je connais des gens qui en prennent beaucoup plus que moi. Je t'assure que les médicaments que je prends sont très pertinents dans mon cas.
Tu te demande si je suis un depressif. J'ai parlé surtout de mon poids au thorax parce que c'est la chose la plus insupportable que je vis et que j'ai vécu et que je voudrais apprendre à gérer. A côté de ça je présente les caractéristiques typiques d'un dépressif telles qu'une volonté bloquée (j'ai beaucoup de peine à m'haussser du lit le matin, à lire, à cuisiner, à socialiser... à vivre) et un manque de joie de vivre et d'énergie (je pensais souvent au suicide - maintenant je vais un peu mieux et donc j'y pense beaucoup moins- parce que ma souffrance était insupportable mais ces pensées sont toujours restés dans ma fantasie parce que je crois à la réincarnation et je ne veux pas me trouver avec le même problème dans une autre vie). J'ai vécu une période où j'étais très triste mais grâce aux anti-dépresseurs cet état d'âme a disparu.
J'espère avoir dissipé tes doutes, Aklan.

Bonjour Mokkshaputtaparthi,
Comme ça ce n'est pas évident de donner des conseils, car en fin de compte, il n'y a que toi qui sache (au fond de toi même) pourquoi tu déprimes et comment sortir de la dépression. Le rôle d'un thérapeute c'est de t'aider à te révéler tout cela à toi-même. Tout ça pour dire que je vais dire des généralités, donc tu prends ce qui te parles et jette le reste.

La dépression vient souvent d'une difficulté à dire non, d'une incapacité à être soi-même face aux autres quand ils ne sont pas comme toi. Souvent le dépressif a été ou est assez dépendant du regard des autres, et il cherche inconsciemment à être approuvé par les autres, plutôt qu'à s'écouter lui-même. Ainsi, il entre dans un rôle qui n'est pas lui-même... Il finit par croire que ce rôle c'est ce qu'il est vraiment, et la dépression arrive pour lui montrer que ce n'est pas le cas.
Pour en sortir, il faut prendre conscience que faire dépendre son bien être des autres est une impasse. Qu'il n'y a qu'en étant toi même que tu seras heureux.
Comme je l'ai dit, ce sont des généralités... Tu prends ce qui résonne en toi.

Par contre le plus important, c'est de ressentir pleinement ce poids au niveau du thorax. Tu le ressens, sans lutter contre, sans chercher à l'enlever, en l'acceptant pleinement. Tu vis toutes les sensations associées à cela. Au début cela va être des sensations physiques, puis vont venir des émotions (que ce poids au niveau du thorax cherche à dire). Là encore il faut pleinement sentir ces émotions, les laisser vivre, les laisser sortir... Sentir l'oppression, la peine, la colère... Tout ce qui viendra. Car il faut comprendre ce qui se passe mais aussi vider ton corps et ton inconscient de toutes les émotions refoulées.
Cela risque d'être plus facile en étant accompagné de ton psychiatre.
Une fois que les émotions seront sorties et que tu auras compris le pourquoi du comment (qui viendra surement clairement avec l'expression des émotions), la dépression s'en ira.

Slt Mokkshaputtaparthi

Je te propose cette video de Jac O'Keeffe, en souhaitant que cela puisse te guider. Il s'agit de la première vidéo (Cliquer sur le lien ci-dessous pour être redirigé).

http://jacokeffe.blogspot.com/search?updated-max=2009-06-23T13%3A33%3A00%2B02%3A00&max-results=20

Bien à toi.

bonjour Mokshaputtaparthi et bienvenue

pendant un moment aussi j'ai vécu une dépression mon medecin traitant m'a prescrit du prozac et à nouveau je ressentais une joie de vivre; envie d'aller vers les autres, rire, s'amuser puis je les arrêtés d'un coup et redéprime; je sais pas trop en fait ce qui m'en a sortit pas totalement encore parce que des fois je me sens mal à l'aise surtout au boulot mais le fait de me sentir vivre m'a fait prendre conscience que normalement je suis une personne gaie et donc tout se mal être était présent parce que je laissais la porte ouverte à des fausses croyances du genre les gens se moquent de moi ou ne m'aime pas.

Cette dépression aussi m'a permise d'oser dire non ou stop à des personnes qui ne m'aidaient pas à guérir; bien qui n'est que moi qui puisse me sortir de cette impasse mais je veux dire que je sentais que je me laissais faire ou je laissais dire alors que ça me faisait mal et un beau jour j'ai décidé de prendre mon courage à deux mains et de dire ce que je ressentais quitte à perdre l'amitié ou l'amour de certains.

le fait de dire les choses aussi permet aux personnes en face de toi de voir ta vision des choses et peuvent aussi rectifier le tir tout comme toi d'ailleurs

si peut-être ce qui m'a sortit de là c'est le temps et l'indulgence envers moi même et les autres aussi y'a les gens qui te réconfortent et les autres qui te mettent un bon coup de pied au derrière y'en a pas une qui se vaut plus qu'une autre; ce qu'il faut retenir c'est que tu n'es pas tout seul et regarder aussi les expériences des autres, les malheurs fait que tu donnes beaucoups moins d'importances à ton mal être qui m'a paru dérisoire face aux histoires des autres et puis j'ai arrêté de fumer des cigarettes magiques je crois que c'est ça qui m'a le plus aidé en fait...

à bientôt

Bonjour,
je voudrais remercier les personnes que j'ai pas encore remercier pour leur contribution concernant ma dépression, c'est à dire guillaume974, parabram et anima. Merci beaucoup.
M.

Bonjour mokshaputtaparthi,

Seule une compréhension de la vie pourra t'aidé, le mal-etre vient de soi-meme, du conditionnement, de notre vision de l'extérieur et de l'importance qu'on lui donne sur soi, la connaissance de soi doit etre ta nécessité, ce ne sera qu'a travers elle que tu pourra comprendre et guérir, je te conseille de lire "Krishnamurti", simple, universel et compréhensible de tous, ses écrits pourront t'aidé a te connaitre toi-meme.

J'ai du mal à me livrer mais j'apprends à le faire alors voilà mon expérience.

Il y a 8 ans de cela,j'ai vécu une terrible épreuve et j'ai eu recours aux médocs.
Alors oui,on peut dire que j'ai eu besoin de ça pour traverser une partie de l'épreuve mais un jour,j'ai regardé la boîte et j'ai tout simplement dit que je n'en avais plus besoin.

Il s'est produit un phénomène que j'ai réalisé il y a peu de temps.Pour pouvoir faire face,une partie de mon être s'est endormi.Oui,j'ai du dormir debout et je pense que c'était une façon de me protéger mais cela inconsciemment.
Pourquoi un jour le réveil?
Juste parce que l'âme est guérie,elle peut renaître tel le "Phénix".
Voilà pour de ce qui est de propre voyage.

Bonne journée et bon courage à toi car il est en toi.

Bonjour Mokcha....je n'ai rien à ajouter à tout ce qui a été dis sauf que j'ai aussi vécu cette expérience de dépression.J'apporte juste un petit poids supplémentaire au côté positif de celle-ci,même si je sais combien elle est douloureuse....très très douloureuse.

Aussi bas tu peux descendre et aussi haut tu peux remonter....garde toujours bien courage et confiance en la vie....elle te le rendra au centuple.

Nous serons tous appelé à s'éveiller...et sans doute ce moment est venu pour toi....
Lorsque nous sommes enfin prêt à vivre celui-ci,tout un processus s'enclenche....un peu comme une femme prête à mettre son enfant au monde,tu es en plein travail....et celui-ci est nécessaire pour que tel un phénix....tu renaisses de tes cendres.
Voilà la "naissance" de l'âme dans la matière....
Tu es ce papillon encore un peu frêle qui se débat dans sa chrysalide,pour enfin voir le monde tel qu'il est réellement,avec une vue tout à fait différente que la chenille qui n'avait qu'une vision restreinte de celle-ci....

Sois spectateur de tout ce processus qui se passe en toi....la douleur que tu ressens n'est que la douleur de ton ego qui étouffe,que ton corps qui s'accroche à ses ancien schémas ,il faut apprendre et accepter le lacher prise pour laisser place à ta nature profonde.

Alala....je sais comme c'est douloureux....mais aie confiance car malgré ta souffrance,je me réjouie pour toi.....accueil ce qui sera pour toi le moment le plus merveilleux de ton existence.

Je te souhaite toute la confiance,la force et tout le courage qui te sera nécessaire pour passer cette expérience "déroutante"....comme nos amis ici présents,je sais que cette aventure est intérieure et personnelle et que tu es le seul à y faire face....nous ne pouvons que te rassurer sur celle-ci.

pour yoda57: merci de l'indication "krishnamurti". Peut-être un jour je vais appofondir sa pensée.

pour Nicobena: merci pour tes mots si pertinents et si justes. Je les ai beaucoup appréciés. Comme tu le dis, la dépression est douleuresuse mais nous permet de faire un saut de conscience remarquable. Pour le moment cet année et demie de dépression représente pour moi la période où je suis le plus grandi et ai appris le plus de choses au niveau spirituel et caractériel. Moi aussi je cherche à me réjouir de ma dépression car elle est un tremplin spirituel extraordinaire.

Citation :

pour Nicobena: merci pour tes mots si pertinents et si justes. Je les ai beaucoup appréciés. Comme tu le dis, la dépression est douleuresuse mais nous permet de faire un saut de conscience remarquable. Pour le moment cet année et demie de dépression représente pour moi la période où je suis le plus grandi et ai appris le plus de choses au niveau spirituel et caractériel. Moi aussi je cherche à me réjouir de ma dépression car elle est un tremplin spirituel extraordinaire.

Tout à fait Moksha et ce savoir sera ta plus grande force pour surmonter cette expérience qui t'est douloureuse et où seul le corps est en souffrance (physique,psychique et émotionnel).

N'hésite jamais à demander de l'aide à "là-haut" ils sont là et prêts à t'aider à passer ce cap difficile mais peut-être le fais-tu déjà?

Je ne sais pas quel mal-être t'a plongé dans celle-ci...mais sache qu'au bout du tunnel,il y a toujours une lueur d'espoir....garde toujours bien celle-ci en vue et approches-toi en....tous les jours un petit peu plus.

J'ai vraiment vécu cette expérience comme une mort,c'est comme si j'étais morte psychologiquement et "émotionnellement",pour renaître spirituellement.
Après avoir surmonté cette expérience,je n'ai jamais plus été la même et ma vie à changé du tout au tout....car aujourd'hui JE VIS!!!!ENFIN!!!!LOLOLOLOL

Voilà pourquoi il faut garder courage,voilà pourquoi il faut garder le sourire aux travers de tes larmes.....courage Moksha!!!!Tu y est presque!!!!

Oui, je demande de l'aide "là haut" Nicobena. Je suis guidé par Dieu (que moi j'adore dans la forme de Sai Baba; mais peu importe la forme dans laquelle on le vénère, ce qui compte c'est sa substance) qui est en train de m'enseigner beaucoup de choses à travers cette maladie. Je suis en train d'apprendre que je ne suis pas mon corps, ni mon mental, ni ma souffrance. Moi je suis le Soi Divin qui observe de façon détachée et en paix ce qui se passe. Mais comme toi aussi tu as sûrement vécu, il n'est pas facile de se disidentifier de la dépression et de toutes les émotions et pensées qu'elle entraîne. Je suis content que je fais des progrès sur la route de la guérison.
En ce qui concerne mon entrée dans la phase dépressive, j'ai pas de réponses. Les causes de ma dépression restent pour moi encore un mystère: un jour je les comprenderai, quand le temps sera mûr. Je sais toutefois que je suis en train de brûler de l'ancien karma et que mon désir d'évoluer et d'atteindre l'union avec Dieu ont attiré vers moi plus d'obstacles à franchir.
Je suis content de t'entendre dire que la dépression t'as changée profondément. Moi j'ai la même impréssion.
Je me demande en quoi la depréssion t'as changé. Si tu veux en parler, moi je te lirai très volontiers.
Pour ma part, la dépression m'enseigne à voir et à me réjouir de tous le cadeau que la Vie m'a fait. Je me sent aimé par Dieu et un priviligié parce que j'ai la possibilité d'affronter une épreuve si dure comme la dépression qui accélère, commme toi même tu le disait bien, mon évolution spirituelle. Une évolution plus rapide signifie qu'on est plus tôt à la Maison, qu'on sort plus tôt de la roue karmique, qu'on sera plus rapidement dans la béatitude infinie. A la lumière de tout cela je peux me réjouir de la dépression.
Merci de ton encouragement Nicobena, je l'apprécie.
Bonne nuit, M.