Le désir physique...

Rappel du premier message :

Hello !


Le désir physique est-il vraiment nécessaire à une vie épanouie ???

Personnellement je n'aime pas ça parce que j'ai l'impression de me faire contrôler par le désir...

Qu'en pensez-vous ?

Bonsoir à tous
Décidément le DESIR et l'argent sont toujours des sujets épineux!
Je trouve que lorsque les gens sont justes épicuriens,ils ont des désirs,qui fluctuent,comme la marée.
Ils consomment,avec généralement peu d'état d'âme.
Il me semble,que lorsqu'une personne a beaucoup évolué spirituellement,elle n'a de désir,qu'après avoir été charmée par l'âme.
Dans ce sens,le désir physique n'est qu'une suite saine à un processus
louable,non?

Yes ! Très louable, Fluorite

le désir vient certes du coeur mùais quand l'argent ne maintient pas cet amour alors là les crises de couplus demarre et je suis bien placé pour vous en parlez

Si le désir dépend des états des finances de l'autre...y a-t-il vraiment amour ? les périodes de crise (financière ou autre), sont certainement des épreuves pour les couples...à surmonter...

Le désir est comme un jardin qui se cultive, et quand il y a la sécheresse et bien il y a aussi des solutions...à trouver à deux...même si le désir tarit, cela ne veut pas dire qu'il n'y a plus d'amour...

Et puis chaque couple fonctionne à sa façon, il n'y a pas de modèle en la matière...

Oui, je croit que le désir vient après la rencontre d'âme...le cri du cœur, c'est plus sûr pour l'avenir...

oui c'est sur je suis d'accord avec ce que tu dit mais quand un couple a était attaqué de front par tant et tant de probleme en quelque années meme voir le décés d'enfant du couple le ciment qui batit les fondations parfois s'éffrite et s'écroule ce qui nous arrive en ce moment c pour cela que je disait cela

moi quand j'a rencontré ma femme c'est d'abbord son etre qui m'a attiré vers elle et une flamme a jaillit de mon coeur ce jour là c'est cette attirance qui m'a donné envie de la connaitre

Difficile en effet de se reconstruire après de tels ras de marrée...chacun réagissant souvent différemment aux épreuves que la vie nous envoie...Vous souhaitant de trouver la force de les affronter...et de trouver de l'aide si tel n'est pas le cas...

Rien n'est jamais acquis, tout bouge dans nos vies...mais je crois que l'amour que l'on porte à une personne, même si la vie nous en sépare pour X raisons,lui, ne disparait pas...

rick c'est dur je te comprend....courage

j'ai de bonnes pensées pour toi, qui que tu sois

MERCI MERCI DU FOND DU COEUR A VOUS TOUS DE M AVOIR REPONDU MAIS VOUS SAVEZ PARFOIS LE COEUR A SES RAISON D ETRE QUE NOUS NE POUVONS EXPLIQUER CELA FAIT DES MOIS ET DES MOIS QUE NOUS NOUS BATTONS ENSEMBLE POUR RENAITRE DE NOS CENDRES CAR DEPUIS CES 7 DERNIERES ANNEES ON EN A TELLEMENT BAVER, AUJOURD'HUI NOUS AVONS PRIT POUR ACCORD DE NOUS RECONSTRUIRE EN PHASE ET DE VOIR SI BESOIN LA PERSONNE POUR AIDER NOTRE COUPLE A RESSURIGR ET CONTINUER A NOUS BATTRE
MERCI A VOUS TOUS

Plume a écrit:

Smehen a écrit:

Oui le désir physique peut épanouir la Vie.

Sans doute est ce pour celà qu'il existe.

Oui tout à fait Smehen, mais à la condition d'être véritablement amoureux.

Le désir vient de notre Coeur ? ou de notre Ame ? de notre esprit ? ou notre cerveau ? là, la réponse est complexe... par que multiple...

Le désir est (à mon humble avis...) une vibration, (plutôt positive ) reste à savoir d'ou elle vient, et donc si on se l'autorise, mais vient-elle toujours du plus profond de notre ame ? je pense vraisemblablement que non, enfin pas toujours, est-ce pour cela que nous ne devons pas nous y abandonner ? je ne le pense pas... car oui le désir physique peut épanouir la vie... Et se transformer en un Amour incommensurable... cela existe dans ce sens aussi... Et alors se laisser diriger par le désir, peut être pas mal... Comme aussi se refuser le désir pour ne pas blesser est beau

Dans "La formule du Desir" Lucy Vincent (neurobiologiste) écrit un roman amusant sur l'alchimie du désir et ses composantes hormonales, le jeux des phéromones, les réponses physico-chimiques de la "machine humaine"... Une espèce d'ascèse cybernétique des bio-feeback ou certaines visions "romantiques" sont revues à la baisse... Bien entendu, son approche ne se veut pas définitive, mais simplement humoristique et scientifique.

Tout dépend d'où vient la chose. C'est l'origine de la chose, qui fera la nature, l'essence de cette chose.

Peut importe sous quel forme se présente une impulsion du moment où elle vient du coeur, de l'âme ...


Perso, je vois l'amour dans un couple comme la réalisation profonde des sentiments que chacun ressent l'un envers l'autre. Une sorte d'apothéose, une sorte d'expression physique de chose à essence subtils. Comme pour toute chose, ce n'est pas la forme que revêt l'impulsion qui importe ( ou finalité de l'acte ) mais l'essence qui l'anime. A tout niveaux, la seul réalité est l'essence qui anime. Et non l'apparance, la forme, sous la quel elle apparait ^^


Peu importe ce qui s'agite sous le couvert des sentiments du coeur. Ce qui importe c'est l'expression de ce coeur, ce qui importe c'est l'essence de notre Soi, exprimé en ce monde.


Après pour moi, le reste c'est du chipotage intellectuel ... :p

N'est-ce pas "mettre la charrue avant les boeufs" que déjà parler de grands sentiment si, au final, par "ignorance" on s'est fait piégé par le jeux complexe d'une "chimie" dont on découvre à peine les subtilités ?

Le "silence" des théories en cours d'élaboration nous permet-t-il d'affirmer tout et n'importe quoi ?

Je pense que le désir physique c'est comme une partition de musique.

N'importe qui, qui s'en donne le temps et le courage peu apprendre à lire une partition, à jouer d'un instrument de musique et acquérir la maitrise d'un grand nombre de technique musicale.

En ce la ce n'est pas différent de l'analyse biochimique des désirs.
Et nul doute que c'est une partie importante à connaitre pour atteindre de plus haut niveau de compréhension et de maitrise.

Mais il y a une chose qui ne s'apprend pas c'est la musique, le son qui en sortira, cet air habité ou non par une dimension angélique propre à soulever l'âme.

Je pense que c'est pareil pour le désir physique, il y a une vibration, une musique à ressentir derrière le mécanisme biologique, sans quoi on ne ressent, on ne désire qu'à moitié.

Loryan a écrit:

Je pense que le désir physique c'est comme une partition de musique.

Métaphore de la musique tout en sachant que "comparaison n'est pas raison"

N'importe qui, qui s'en donne le temps et le courage peu apprendre à lire une partition, à jouer d'un instrument de musique et acquérir la maitrise d'un grand nombre de technique musicale.

Apprentissage... beaucoup de "choses" s'aprennent, la patience moins facilement car nous sommes, jusqu'à preuve du contraire, éphémères donc pressés de conclure, même au prix de l'erreur, au nom de nos certitudes contingentes, d'autant plus que la nature du "coeur" nous est étrangère et au centre du débat.

En cela ce n'est pas différent de l'analyse biochimique des désirs.

Analyse qui nécessite la patience avant de conclure...

Et nul doute que c'est une partie importante à connaitre pour atteindre de plus haut niveau de compréhension et de maitrise.

"Patience dans l'azur"....

Mais il y a une chose qui ne s'apprend pas c'est la musique, le son qui en sortira, cet air habité ou non par une dimension angélique propre à soulever l'âme.

La musique des sphères ?... Le nombre d'or.... La paix des cimetières.... "dimension angélique" Quels éléments biochimiques nous font atteindre cet état modifié de conscience ? Le manque d'oxygène ? L'ivresse des profondeurs ? Les endorphines ? Un état de mort imminente ? Les cablages de notre systéme neuronnal commencent à peine à voir le jour avec une fantastique moisson d'information... mais n'est-ce pas encore trop tôt pou s'exclammer "Voilà, je vous l'avais bien dit...!!!" N'est-il pas d'ailleurs toujours trop tôt ? Peu importe le sens ou le but, le voyage n'est-il pas simplement complexe et "envoûtant". Pourquoi vouloir l'interrompre même si ça n'est pas notre "Je" qui entrera en "terre promise" si tant est qu'elle existe ? Sommes nous si pressés d'atteindre cette létale séreinité ?

Je pense que c'est pareil pour le désir physique, il y a une vibration, une musique à ressentir derrière le mécanisme biologique, sans quoi on ne ressent, on ne désire qu'à moitié.

Que nous soyons des "psychopathes "vibrants", des obsédés du ressentis, ne peut-on pas y voir que des tropismes aveuglants ?

"Rome ne s'est pas bâtie en un jour".

Toutes ces tentatives de réponses prématurées me semble trahir un angoisse de la mort qui une fois arrivée... ne nous concerne plus, car, tout bêtement, nous ne sommes plus là.
Il y a un avant dont seuls les survivants peuvent évoquer, parlant de ce qu'ils perçurent qu'on fût, mais pour le "je" il n'y a pas d'après, si ce n'est le maëlstrom des atomes... de la mystérieuse matière noire dont nous n'avons qu'une intuition d'existance mais rien quant à sa "nature". Et nous sommes peut-être qu'un simple processus cognitif de ce qu'on apelle évolution dont le sens nous échappe toujours en dépit de nos "croyances" qui ne sont que des principes heuristques plus ou moins sophistiqués très probablement en dessous de la vérité si elle est accessible. Il semblerait que notre vie ne soit qu'une des partitions d'une plus vaste théorie des jeux et Je qui ne manque pas de sel et peut faire s'exclamer "l'humour est l'élégance du désespoir"... en celà "le rire est le propre de l'homme" conclut sombrement Dieu, reprit en coeur par ses anges et diablotins... !

Aucune idée précise mais je ne pense pas qu'il faille raisonner du point de vue de la matière.

Derrière chaque chose matérielle, derrière chaque forme, chaque structure il y a quelque chose, une information qui échappe à la raison.

Est-ce que cette information est un simple processus cognitif comme l'interprétation de la musique, des couleurs, etc via nos sens ou un code biologique complexe nous fait croire que nous ressentons ?
Qui peut savoir vraiment.
Une chose semble certaine cependant nos sens transmettent une information dont nous pouvons tirer ou sublimer quelque chose à l'intérieur de nous même.

Le désir peut se définir comme un réflexe biologique nous poussant à obtenir ce qui fait plaisir à notre cerveau, lire plaisir = ce qui biologiquement maintien notre structure physique.
Car comme disait H. Laborit (j'aime beaucoup ce neurobiologiste), chaque structure a pour but principal de se maintenir.
Le plaisir résultant de l'énergie pouvant contribuer à cela, le déplaisir étant tout ce qui peut altérer la structure.
Le désir n'étant que la volonté de répétition du plaisir.

Après on peut partir dans un langage plus complexe, comme provoquer la notion de désir chez un sujet en le stimulant par rapport à son code du désir.
Instinctivement ce sont les hormones ou tout ce qui provient du langage corporel, mais nous savons aussi tirer cette notion du mental.

Après savoir de quelle origine cognitive de la cognition .. ça devient vite une usine à gaz.

Sur un autre registre, beaucoup de choses circulent sur le discernement entre le moi et le soi, entre l'âme et le corps.
Et si j'ai bien compris ce qu'on nous apprend dans ce cas précis c'est de ne pas nous identifier avec nos désirs.
Cela ne nie pas le désir mais demande juste le recul, et prendre le désir pour ce qu'il est un langage complexe parmi d'autre.
Et c'est dans la nature même de ce langage, son essence, sa raison, sa création, son fonctionnement qu'on trouve quelque chose.. une information qui échappe elle à la raison

Il est vrai que le langage est un outil dont l'existence précède l'essence qui, étrangement, semble se manifester dans le silence des mots, comme une expression "en creux" ; d'où, pour moi, ma prédilection pour une approche apophatique qui n'affirme rien, en suggérant sans cesse d'autres possibles, encore informulés, laissant la porte ouvertes sur d'autres "aventures" de la vie.... dans un "gai savoir", par delà "le principe du plaisir" dont les publicitaires font la clef de voûte de leur approche de l'humain en stimulant des désirs créés de toutes pièces auxquels nous sommes terriblement sensibles... Nous sommes des "animaux" de séduction et de pouvoir donc "piègeables"... mais nous ne sommes pas que celà...

Plume, ta peur d'être controlée par.... ferait-t-elle de toi un bigotte folle de la messe ?

Hokmah, ton besoin incessant d'exposer ta compréhension de l'autre ne ferait-elle pas de toi un égo auto-trait à chaques instants ?





Car la satisfaction, le plaisir que tu éprouves a faire cela ne nourrit que l'égo ... et trouve toujours dans le mental une justification genre : mais c'est pour les faire évoluer ...


Matte la source de l'envie qui te pousses à écrire ce genre de trucs ... pose ton attention sur la nature du machin ... et tu verras bien que c'est pas aussi clean que tu aimerais le penser ... La façon de faire les choses, montre souvent beaucoup sur la nature de l'impulsion ayant motivé à ...

Imré, je ne sais pas ce qu'est un "ego auto-trait" permanent ni ce que l'on peut entendre par cela.

Je n'ai que faire de l'évolution de l'autre, si tant est qu'il doive y en avoir une ni même si cela sera qualifié de "bien" ou "mal"

"La nature du machin" ??!! si c'était plus clair je pourrai comprendre plus exactement ce que tu veux me signifier.

Si tu pars du principe "il fait la bête" mais je suis certain qu il a compris ce que je veux dire etc... je Te soupçonne , sans savoir si c'est ton "ego", ou autre "mental" ou fragment de Ta personnalité qui insinue.

Eclairci aussi ce qui te gène dans "ce genre de truc". Ma réponse à Loryan ou celle faite à Plume ?

Si c'est celle de Plume, tu manques d'humour car tu n'y aurais peut être pas vu une contrepèterie ; si c'est celle faite à Loryan, merci de préciser.

Je ne suis pas "clean" et n'ai jamais prétendu l'être, encore faudrait il savoir quel anti-biotique tu mets sous ce mot "clean" ou quel anti septique, car je "sens" que le septicisme te gène...

Voit l'impulsion qui a motivé ta réaction pourrai-je te dire, par effet miroir.

S'il y a malaise, lâche toi !

J'ai souvent remarqué que tu abordais l'autre, lorsque ce qu'il exprimais ne rentrais pas dans ta vision des choses, d'une façon assez calomnieuse ... enfin je trouve pas le mot exact, mais c'est un truc assez proche. Je connais assez bien l'impulsion qui anime la plupart de tes phrases lorsque tu vises ton interlocuteur, car j'ai déjà vu ça chez pas mal de gens assez élevé qui malheureusement utilisent leur intelligences à des fins égotiques, d'une façon assez subtil, bien souvent pour se délecter de leur image de plus fort, de plus intelligent, et ce au travers d'épinglages non-constructifs et méprisantes ( souvent irrespectueuses ) ...


En fait, la quasi-totalité des gens ci présent s'expriment assez souvent avec leur égos. Et cela n'est pas problématique en soi, car ils ne l'utilisent pas pour épingler, juger, mépriser les autres, et donc ne se révèlent pas être nuisibles. Mais d'autres, par moment, de part leur intelligences, s'expriment au travers de leurs égo pour mener des sortes de confrontations, des sortes de duels, où leur seul but est de péter plus haut que l'autre, et cela passe très souvent par le mépris et le manque de respect, motivé par la traite de l'égo, qui fournit à ces gens une sensation de supériorité, de grande satisfaction de leur personne. Ces personnes ne sont pas conscientes, dans la plupart des cas, des tenants et des aboutissants que cela implique dans leur psyché, et les conséquences que cela a ailleurs. Elle font cela souvent de façon très subtil de façon à ce que ça passe toujours, même auprès des modos, pour que le manques de respect, le mépris et autre ne soient pas flagrants.


Toi je te sens pas vraiment dans le mépris. Ton truc se joue dans les épinglages que tu fais des phrases des autres, et où tu commentes leur personne de façon négative. Là je vois des trucs nuisibles et une grosse inutilité vue la façon dont c'est fait ... ( je parle surtout d'autres sujets que celui-ci ) m'enfin, tu m'as demandé, je t'ai répondu ... d'ailleurs ça m'emmerde un peu de faire causette de ce genre de truc ... Maintenant je pense que si tu veux répondre à ce message, il serait plus judicieux de le faire en MP pour éviter que l'on continue à spammer pour rien le sujet ...

Hockmah et Imré, essayez s'il vous plait de ne pas trop virer dans la critique et le jugement du comportement de l'autre, ce serait plus cool pour la discussion...

Sinon je vais surement faire une redite mais désolé, je n'ai pas le courage de lire les 11 pages précédentes.

Sur la question du désir physique, comme de n'importe quel désir d'ailleurs, j'ai trouvé l'enseignement d'un swami très juste. Il disait un truc dans ce genre là :
Le problème ce ne sont pas les désirs... Le problème, c'est comment se placent nos désirs. Si l'on compare ceux-ci aux wagons d'un train, ce qui importe c'est la locomotive : si la locomotive c'est le désir de l'absolu (seul désir qui peut nous conduire à un bonheur stable, permanent) alors peut importe tous les autres désirs, car c'est la locomotive qui donne la direction... Le problème c'est que bien souvent notre désir de l'absolu est au 36ème wagon...

Tant que l'on est pas parvenu à l'illumination totale, se sont toujours les désirs qui nous guident. Mais si notre désir de l'absolu est réellement le plus fort, alors il oriente et régule tous les autres.

Tout désir est un désir d'Absolu. Bien cerner ceux qui sont utiles et, ces derniers, prendre conscience de ce qu'ils sont en vrai : un désir d'Absolu. Des désirs l'on en a des dizaines et dizaines par jours. Une vrai mine d'or pour travailler sur soi et prendre conscience de Soi ...

Je pense qu'il y a 2 types de désirs. Ceux qui correspondent à la satisfaction des besoins élémentaires à la survie de l'individu et ceux qui sont induits par le type de société dans laquelle nous vivons.
Je suis mal placé pour parler des désirs qui naissent hors de la société de consommation dans laquelle j'ai grandi mais il me semble qu'il m'est nécessaire d'en comprendre les mécanismes qui permettent l'existence même de cette société. La circulation des biens et services et une propension à créer des frustrations chez les individus, sources de désirs induits et "artificiels" qui vont créer des flux offre/demande, le tout agrémenté de crises sources de peurs et désir de sécurité, le tout en boucle.

De ses peurs et mal-être naissent des désirs politiques offrant d'autres types de scénari entrainant des comportements plus ou moins adaptatifs dans la danse des feed-back.

Le désir absolu ou d'absolu ne m'habite pas. Désolé.