Citation de Pascal Picq, paléoanthropologue.

Figaro a écrit:

Eh bien non, la femelle épaulard prend soin de son nouveau-né. En outre, les orques vont par couple, et restent fidèles respectivement jusqu'au trépas. En revanche, la chair humaine a peu d'intérêt pour les orques; à l'instar du requin blanc, ils y goûtent davantage par curiosité que par goût.

En effet, c'est un fait observé.
Certains animaux comme les orques ont des comportements concernant la maternité et la fidélité qui feraient pâlir bien des morales humaines.

Cependant cela reste une interprétation humaine, nous prêtons aux animaux des sentiments et des pensées calquées sur les nôtres.
Nous faisons une transposition, un anthropomorphisme, etc..

Mais cela n'est intéressant que pour étudier l'être humain.

Pour ce qui est de la pensée réelle de l'animal...... nous n'en savons rien.

Nous humains sommes des êtres individualistes, dans un couple nous avons 2 individualités distinctes capable d'indépendance l'une vis à vis de l'autre.
Rien ne dit qu'un couple d'orques se considère ainsi, peut-être sont-ils un seul être sous 2 formes l'une mâle, l'autre femelle, la fidélité au sein d'un seul être ne se posant pas plus que de savoir si la main gauche et fidèle à la main droite.

Pareil pour la maternité, rien ne dit que les animaux dit maternel ne considèrent pas leur progéniture comme une simple extension d'eux même dans un premier temps. Ce qui pourrait confondre la maternité et l'instinct de protection vis à vis de sa propre intégrité. Et dans le cas de la perte de leur progéniture, cela pourrait être considéré de la même façon que la perte de la queue d'un lézard,... quelque chose de remplaçable et de non vital.

Entre () certains humains se comportent facilement ainsi.

La fidélité des orques porte au romantisme humain avant tout