Télépathie et projection de pensée

Rappel du premier message :

Il me tient à coeur d'échanger avec vous sur ce sujet passionnant qu'est la télépathie et la projection de pensée.

Je vous confierai ici quelques-unes de mes expériences,
et c'est avec un grand plaisir que je lirai les votre.

MLDP a écrit:

pour ce type de travail, il n'y a pas vraiment d'occasion, il faut le provoquer volontairement, et ça nécessite beaucoup de pratique pour en arriver a un niveau de contrôle plus que satisfaisant...

Je parle d'occasion en ce qui concerne le moment ou je suis parfaitement consciente de dormir et je ressens une montée de vibrations. C'est là pour moi une occasion de faire une sortie consciente.

En fait, je crois aussi que nous voyageons tous en "astral" durant le sommeil.
Le voyage astral, c'est un terme généraliste.
Et comme beaucoup je l'emploie de forme abusive.

Alors qu'en réalité, je pense que il s'agit d'une expérience hors du corps. C'est seulement la conscience qui s'extériorise.

Pour revenir à ce dont on parlait avec Kaliris, à propos de la "vision astrale".
Ce qu'en dit Mr Bruce est intéressant.
Je trouve juste dommage qu'il ne se soit pas attardé un peu plus sur la vision à 360°. Pour moi ce type de vision est de loin la plus riche d'enseignement.

Quand on voit de cette façon, on embrasse réellement tout ce qui s'offre à la vue, à telle point qu'il n'y a plus d'identification.
Je suis indifféremment ceci, ou cela.
C'est une vision juste, la conscience est claire.
Paradoxalement, c'est faire l'expérience du détachement en embrassant absolument tout ce qui est.

Si je dois être accro c'est de cette façon de voir les choses.
Mais je sais que les expériences hors du corps n'en est pas la condition.

Et bien voilà...

J'habitais une ancienne maison (qui avait quelque chose comme 200 ans).
J'avais décidé de l'acheter car en ce temps-là les maisons en picardie étaient encore abordables, à condition de les refaire entièrement, et comme je n'avais pas d'argent j'avais opté pour cette solution...

Mais je dois avouer que dès que j'ai mis le pied dans cette maison, que j'ai senti ses murs froids, l'humidité ambiante, l'obscurité et autre chose que je ne savais m'expliquer, je me suis sentie ... mal à l'aise.

J'ai mis ça sur le compte du climat de la picardie (vent du nord, climat de plaine) et de l'obscurité de la saison (c'était en octobre, et il faisait gris et froid).

Bref..

J'ai habité réellement cette maison durant... 6 ans...

Les deux dernières années, j'étais "à fond" dans la découverte de certaines pratiques ésotériques, aussi j'avais acheté une belle boule de cristal de roche, et j'avais décidé d'apprendre à l'utiliser.

Puis.. un soir.. alors que je plongeais mon regard dedans,
là, comme un film, je vis défiler l'image d'un soldat, d'une femme et d'une petite fille.
Je voyais parfaitement ces images. L'homme et son visage, sa moustache, son regard, son fusil. La femme, violée, la petite fille égorgée... (pardon pour les détails, mais c'est important).

J'ai pris peur et ai commencé à blémir... aussi l'ami avec qui je vivais (pas du tout féru d'ésotérisme) me demande ce qui se passait. Je lui expliquai, et lui proposait de "regarder lui-même".
Je disposais d'une autre boule de cristal, bien plus petite, et je lui expliquai comment y regarder, en la plaçant dans le même axe lumineux que la mienne.
Et là, il vit, lui aussi, l'image de la petite fille... On voyait parfaitement son visage, ses cheveux chatain clair mi-longs, et la plaie sur sa gorge...

A partir de ce jour, là, juste au-dessus de ma tête de lit, le visage du soldat s'imprégnait sur le mur, me regardant.

Je ne savais pas m'expliquer tout ça, alors j'en ai parlé à des copains-voisins.
Il y avait 2 maisons, sur son terrain. L'une leur servait de logement, l'autre de hangar.

Mais voici ce que mon ami m'a dit:
Pendant la guerre, mon hangar était l'ancienne école.
Ma maison était la mairie, investie par les soldats.
Ma chambre était le bureau où l'on interrogeait les gens.

Il avait consulté une voyante, qui lui avait, même, dit que sa cave petite et voutée était l'endroit où l'on attachait et torturait les prisonniers, liés aux 2 anneaux du mur de droite et de gauche.
Il ne restait plus qu'un seul de ces anneaux, et la voyante l'avait vu.

Sur les murs, il y avait des inscriptions, des noms, des dates...

Et voici ce qui s'était passé dans cette maison:
un jour, un soldat a violé et égorgé une fillette et sa mère.
(je ne me souviens plus si cette histoire était connue dans le village, ou si c'est la voyante qui le lui a dit).

Le fait est, que, apparemment (?), en ouvrant mes canaux de perception dans ces régions du monde astral, par la boule de cristal, j'avais capté ces images.
Ces gens avaient peut-être besoin d'être "reconnus" et cherchaient la paix...

En plus,
avant que j'achète la maison, la grand-mère qui y vivait est morte sur le sol, près de la porte de la chambre, entre son lit et la fenêtre...

J'avais transformé la pièce, qui était devenu ma cuisine.
Les mois où j'étais connectée à ce plan, lorsque j'entrais dans la cuisine, la porte s'entrouvrait ou se refermait (légèrement, mais sûrement) à mon passage, sans que je ne la touche ou ne la frôle...

Je ne savais pas comment gérer cela, alors j'en ai parlé à une collègue dont la soeur était voyante.
Claire m'a contactée par téléphone.
Et là, elle m'a dit:
"tu sais, la boule de cristal est du *matériel lourd*. tu entres là dans une région des plans que tu ne maîtrises pas, et tu pratiques *sans filtre pour te protéger*.

Elle m'a expliqué que ces gens avaient effectivement besoin d'être apaisés, et guidés vers la lumière... depuis tout ce temps...
et que la grand-mère m'avait "captée" parce que, justement, j'avais ouvert un canal.
Elle m'avait fortement conseillé de les accompagner dans la lumière.
Je ne savais pas, en ce temps-là.

Puis elle m'a dit: "un jour, tu n'auras plus besoin de tes cartes, de ta boule de cristal. Bientôt, plus tôt que tu ne le penses, tu pourras percevoir sans outil.
Elle avait raison".

Peut-être que le fait de vivre cette expérience dans cette maison m'a donné à réfléchir sur certains aspects de la "réalité", qu'alors j'ai su que "cela était en moi", je l'ai compris à cette époque,
et peut-être qu'alors j'ai cessé d'avoir peur des fantômes, de certaines visions, tout simplement en leur accordant leur "droit d'être"...

Quoi qu'il en soit, je reste persuadée depuis ce jour que nous sommes capables de capter bien des choses des différents plans, que cela ne tient qu'à nous d'y croire et de nous faire confiance.

Voilà. C'était un peu long, sorry.

Je voudrais apporter une précision sur ce qu'a dit la voyante à mon voisin:

Elle a dit que les esprits restaient dans les murs,
et que tant que tous les murs n'avaient pas été abattus et rebâtis, les esprits malheureux s'y accrochaient désespérément pour continuer de hanter les lieux où ils sont morts.

Elle a dit qu'elle les voyait, les sentais,
particulièrement dans la chambre (l'ancien bureau principal de la mairie),
où, d'aileurs, une affiche avec des noms était restée collée, dans l'un des placars (non, aucun habitant ne les a jamais décollées...),
et particulièrement dans les murs de la cave, où des gens prisonniers erraient encore...

Merci pour tes témoignages, Kaliris.

Kaliris a écrit:

Elle a dit que les esprits restaient dans les murs,
et que tant que tous les murs n'avaient pas été abattus et rebâtis, les esprits malheureux s'y accrochaient désespérément pour continuer de hanter les lieux où ils sont morts.

Selon Florence Hubert, une medium très connue et plus qu'efficace, ce qui reste dans les murs, c'est le souvenir. Tout s'y impreigne. Cependant, il es tout à fait possible de faire pratiquer un "nettoyage". Florence Hubert le fait sur demande. Elle est sérieuse.

La Louve a écrit:

Kaliris a écrit:

Elle a dit que les esprits restaient dans les murs,
et que tant que tous les murs n'avaient pas été abattus et rebâtis, les esprits malheureux s'y accrochaient désespérément pour continuer de hanter les lieux où ils sont morts.

Selon Florence Hubert, une medium très connue et plus qu'efficace, ce qui reste dans les murs, c'est le souvenir. Tout s'y impreigne. Cependant, il es tout à fait possible de faire pratiquer un "nettoyage". Florence Hubert le fait sur demande. Elle est sérieuse.

J'ai lu un article intéressant il y a quelques mois dans un magazine (je crois l'Initiation mais je n'es suis plus certain), je vais essayer de le retrouver car la personne expliquait comment elle faisait pour ecouter ce que les murs avaient enregistré et comment les "nettoyer".

On peut purifier un lieu en faisant bruler de la sauge dans une coquille d'ormeau. La plume est une aide utile pour diffuser harmonieusement la fumée.

La Louve a écrit:

Kaliris a écrit:

Elle a dit que les esprits restaient dans les murs,
et que tant que tous les murs n'avaient pas été abattus et rebâtis, les esprits malheureux s'y accrochaient désespérément pour continuer de hanter les lieux où ils sont morts.

Selon Florence Hubert, une medium très connue et plus qu'efficace, ce qui reste dans les murs, c'est le souvenir. Tout s'y impreigne. Cependant, il es tout à fait possible de faire pratiquer un "nettoyage". Florence Hubert le fait sur demande. Elle est sérieuse.

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... des mémoires.
oui, j'ai vu ça, aussi quelque part.
Merci, Louve, pour l'info, il doit alors être possible de purifier les "mémoires" d'âmes, et les lieux de ce fait...

je n'ai pas retrouvé l'article en question mais je vous mets un post que j'ai fait sur un autre forum :
Bruits d'outre-tombe ou mémoire des lieux et de la pierre 3/8/2009, 11:42

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Lorsque des bruits étranges qui semblent venir de nulle part se font entendre, on pense aussitôt à un endroit hanté, à des revenants ou des esprits errants n'ayant pas trouvé le repos. On parle alors de phénomènes paranormaux, de possessions ou poltergeist. Dans certains cas cependant, avec des conditions qui restent à déterminer, on se retrouve face à une chose plus surprenant encore: les sons et les images seraient enregistrées dans la matière environnante. Voici un extrait d'un cas survenu il y a quelques années en France qui avait été étudié par Guy Gruais :
Puisque de toute façon les sceptiques qui connaissent tout refusent d'admettre les témoignages comme éléments de preuve utile a la science; nous n'allons pas y aller par quatre chemin pour vous livrer brut de décoffrage une affaire poltergeist extrêmement intéressante , celle du POLTERGEIST ARTISAN qu'une suite d'heureux hasards a mis sur notre route. Il est évident qu'un témoignage de ce genre n'a pas de valeur intrinsèque. Toute la question repose sur un facteur d'évaluation qui n'a pas cours dans le monde scientifique : la sincérité du témoin. Ici c'est le côté fortuit avec lequel ces informations sont arrivées aux oreilles de Guy Gruais qui nous fait penser que cette affaire est sérieuse. Quoi qu'en disent les scientifiques intransigeants ; dans le pire des cas cette bande audio mérite d'être mise en réserve au cas où des éléments scientifiques convergents permettraient de supposer ce genre d 'avatar comme plausible .
Je laisse la parole a Patrick Flamand :TEMOIGNAGE SUR UN POLTERGEIST EN FRANCE :

Monsieur Guy Gruais était (car retraité aujourd'hui) photographe professionnel, il avait son laboratoire photos à Paris (rue de la Michodière, 2 ème arrondissement). Comme il avait l'habitude d'entretenir de bons contacts avec ses clients, il parlait de toutes choses de la vie avec eux., et, un jour, une jeune femme entra dans son laboratoire, et la conversation qu'ils eurent tourna autour du paranormal, et là, la jeune femme, constatant que Monsieur Guy Gruais avait une ouverture d'esprit sur ce sujet et qu'il ne jugeait pas ceux qui s'y intéressaient, se sentie en confiance pour lui confier une incroyable histoire qui l'avait profondément marquée, elle et son compagnon.. Guy Gruais n'a cessé de me répéter depuis des années que lorsque cette jeune femme en parlait, il y avait dans sa voix, dans son émotion, une telle sincérité qui s'en dégageait qu'il ne put jamais mettre en doute son témoignage, d'autant plus que ce couple n'avait rien à gagner ni à vendre dans cette affaire là, ne cherchant aucune "célébrité", mais désirant bien au contraire garder l'anonymat, sachant bien que les gens se moqueraient forcément d'eux et ne les croiraient s'ils en parlaient publiquement. Selon les propres paroles de Guy Gruais rapportées, ce couple ne voulait surtout pas avoir d'ennuis avec ça, car les événements qu'ils vécurent les avaient déjà suffisamment traumatisés et horrifiés comme ça qu'ils ne voulaient pas rajouter à cela la souffrance morale d'être pris pour des "cinglés" ! Voici donc leur histoire, telle que me l'a racontée Guy Gruais ; que je connais très bien depuis des années et que je crois sincère et honnête lui-même dans sa recherche de la vérité :


Ce jeune couple habitait en location dans un pavillon. Tout se passait bien au début, jusqu'au jour où ils entendirent des bruits assez bizarres dans le grenier, ils pensèrent qu'il y avait peut-être un chat ou un autre animal qui avait dû s'y introduire, et qui, coincé, ne pouvant plus en sortir, devait faire tous ces bruits. Ils eurent du mal à s'endormir à cause de ces bruits très curieux. Le lendemain matin, ils allèrent donc vérifier s'il y avait bien un animal enfermé dans le grenier, mais ils n'en trouvèrent AUCUN !!! A partir de là, on peut très bien se l'imaginer... ils se posèrent beaucoup de questions sur la nature étrange de ces bruits bizarres. D'où venaient-ils vraiment ??? Qui en était l'auteur ???Alors, les jours suivants, les bruits se renouvelèrent, non pas en permanence, mais de temps en temps, et chaque fois qu'ils montèrent au grenier : même constat : aucun animal, personne !!! Alors ils décidèrent la nuit avant de s'endormir de mettre dans le grenier un magnétophone en enregistrement, pour le cas où ces bruits reviendraient, de façon à mieux les entendre sur la cassette pour tenter ensuite, par curiosité, de mieux comprendre ce qui s'y passait....


Les bruits se firent entendre de nouveau....


Et, effectivement, la bande magnétique avait bien enregistrés ces bruits très étranges, ceci était bien la preuve qu'ils n'étaient point victimes d'hallucinations auditives et qu'ils n'avaient point "rêvés" : dans ces bruits, on entendait comme si quelqu'un bricolait dans un atelier avec des outils. Un jour même, et c'est là que cette histoire devient de plus en plus "incroyable", une voix forte se fît entendre, et là le couple crut


vivre en direct dans un film d'HORREUR, ils entendirent la voix d'un fantôme (comment le définir autrement ?) qui marmonnait des choses quasi-incompréhensibles, se mettant en colère parfois. Une autre fois, ce sont carrément des machines qui tournent et qui se font entendre très fortement !!!!!! Et le fantôme chante en même temps !!!!!


Il semble bien chanter : "Je t'aime.... toute la semaine...." Ce sera d'ailleurs parmi les rares mots que l'on pourra comprendre (avec difficulté quand même) en langue Française. Une autre fois aussi, le fantôme semble chercher un perroquet puisqu'à plusieurs reprises il dit à haute voix : " Coco ?.... où il est coco ? Coco ?.... Coco ? " Guy Gruais lui demanda si elle ou son compagnon avaient essayé de se renseigner auprès du propriétaire pour savoir qui avait vécu avant eux dans ce pavillon ?


Et aussitôt elle lui répondit : "Bien sûr, nous avons eu cette idée et le lui avons demandé, et c'est là que nous eûmes l'extrême SURPRISE d'apprendre qu'un vieux Monsieur y avait vécu, c'était un artisan qui fabriquait des sacs en cuir avec des machines, et qu'il était mort depuis !!!!!!!!! Il avait donc son atelier de bricolage et avait aussi un perroquet qu'il aimait beaucoup "


(D'autres histoires suivent)


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"Oublie ce que tu crois être et souviens-toi de ce que tu es vraiment : un être de lumière..."

la suite:
Le cas de Naseby (Angleterre) : En juillet 2008 une équipe de chercheurs dans le paranormal s'étairt rendue à Naseby où s'est déroulée en 1645, la célèbre bataille de Naseby pendant la 1ère révolution anglaise. Ils prirent de nombreuses photos. Assez tard dans la nuit, ils entendirent des bruits métalliques, sortes de cliquetis et aussi des sons similaires à ceux de tirs de canons. Ils continuèrent à prendre des clichés et à leur gande surprise, ils virent sur l'un d'eux, la silhouette des soldadts munis de lances.
D'autres témoignages :
En janvier 1964, lors d'une promenade en Sologne, un couple s'est soudainement retrouvé dans un paysage printanier au coeur d'un village du moyen âge. Tout était calme : les feuilles de arbres, les nuages, les fleurs tout était figé. Au bout d'un 1/4 d'heure de pomenade dans ce paysage étrange, tout a disparu. cent fois le couple a refait le même trajet sans revoir ce paysage surgit d'une autre dimension.
Cette expérience rarissime n'est pas sans rappeler l'étrange aventure vecue le 10 août 1901 par deux touristes anglaises , Miss Moberly et Miss Jourdain dans les jardins d grand trianon à Versailles. Ce jour là, il fait un temps lourd et orageux, elle se sont subitement retrouvées au temps de Marie-Antoinette comme à l'intérieur d'une tapisserie de cette époque où tout était figé...Un orage magnétique aurait peut-être rassemblé les conditions favorables à ce phénomène. Il règne parfois aux alentours du Trianon, des conditions climatiques inhabituelles, lesquelles pourraient provenir, non du ciel, mais des courants telluriques, qui auraient peut-être fait choisir ce lieux par Louis 14 pour y édifier son chateau.
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"Oublie ce que tu crois être et souviens-toi de ce que tu es vraiment : un être de lumière..."

suite :
Autre histoire (qui présente je pense, une analogie avec l'aventure de Voltigeur et ses amis dans le sud de la France -voir le post "auberge fantome") :
Dans les années 30, dans la région de Swindon en Angleterre, une jeune femme se rendait à vélo chez une amie, lorsqu'un orage éclata. Elle se réfugia rapidement dans une chaumière toute proche, dont la cheminée fumait. Un vieillard à barbe blanche était sur le pas de la porte et la laissa entrer sans réagir. Elle fut frappée par quelques détails illogiques : elle n'entendait pas le moindre bruit dans la maison, ni de voix, ni le bruit de l'orage à l'extérieur. Puis soudain, elle se retrouva sur la route, plus d'orage et totalement séchée. Plus tard, elle retrouva l'endroit où elle avait trouvé la chaumière, mais il n'y avait plus qu'une ruine. Les habitants des environs lui assurèrent que cette batisse était détruite depuis plus de 50 ans.
Il y a bien d'autres histoires comme celles-ci.
L'explication possible de tout ça, serait que selon le principe basé sur une loi physique, que tout est énergie : les sons, la matière, les émotions, les pensées, etc. et que une fois émises, ne sont pas effacées mais au contraire, sont transformées et restent "en vie" comme étant omniprésentes. Aujourd'hui nous savons que le processus de désagrégation de la matière ne s'arrête pas face au noyau de l'atome, mais continue de s'étendre jusqu'aux éléments mineurs grâce à l'énergie dont la matière est constituée. En résumé, aucune énergie ne peut être détruite, elle ne peut que se transformer. Ainsi rien ne se perd et tout est archivé naturellement en permanence. Est-là, une partie de l'explication du principe d'archivage dans les annales askhasiques?

comme l'a dit justement Glingal, la sauge est un puissant purificateur, (aussi bien en le brûlant qu'en le consommant sous forme de boisson) cependant ce n'est pas suffisant pour un nettoyage énergétique des lieux car il agit seulement en surface. Il faut aussi procéder à un nettoyage et une harmonisation énergétique qui agit aussi dans le sol où est implanté le lieu et parfois faire appel à un passeur d'âmes qui libèrera les énergies lourdes et les entités présentes.

Passé, présent, futur... tout existe en même temps. Je pense effectivement que certaines portes peuvent s'ouvrir pour nous laisser entrevoir ce qu'il y avait avant, ou ce qu'il aura après, ou ce qu'il se passe ailleurs.

Citation :

comme l'a dit justement Glingal, la sauge est un puissant purificateur, (aussi bien en le brûlant qu'en le consommant sous forme de boisson) cependant ce n'est pas suffisant pour un nettoyage énergétique des lieux car il agit seulement en surface. Il faut aussi procéder à un nettoyage et une harmonisation énergétique qui agit aussi dans le sol où est implanté le lieu et parfois faire appel à un passeur d'âmes qui libèrera les énergies lourdes et les entités présentes.

Oui certainement !
Moi je ne suis pas un "passeur d'âmes", mais je suis sensible, je crois, à la mémoire des lieux.
Surtout quand il s'agit d'une maison où j'habite.
J'ai déménagé tellement souvent !
Et j'ai la très forte impression que bien souvent ce n'est pas moi qui choisit l'endroit ou ma famille et moi allons nous établir. Ce sont les maisons qui nous choisissent. Un peu comme un chien ou un chat choisit son maitre.
Quelque chose pousse vers ces maisons, tout un tissus de circonstances.
Je ne sais pas si Kaliris ou bien d'autres personnes ici éprouvent cette impression aussi.

Au vues de la quantité de maisons ou immeubles "chargés" que nous avons occupés, ça défit les lois de la probabilité.

Une seule fois dans ma vie, j'ai aidé une âme à trouver son chemin de lumière, mais je ne l'ai pas fait seule. J'ai demandé à plusieurs de mes amis à prier avec moi afin de lui donner une "sépulture" symboliquement.
Moi qui croyais que tous les rites et us que l'on fait lors des funérailles c'est plus pour les vivants que pour les morts, j'ai du réviser mon jugement.
Car parmi les âmes qui n'ont pas eu de sépultures, nombreuses sont celles à ne pas trouver le repos, simplement parce qu'elles ne savent pas qu'elles ne sont plus de ce monde.


Tandis que pour d'autres âmes, même après avoir été rendues à la terre, il leur faut seulement du temps. Les habitudes terrestres sont comme profondément enracinées: les déplacements dans les habitations, les petits gestes quotidiens ....
D'autres choisissent elles de continuer à occuper des lieux tout en connaissant leur condition. Elles ne dérangent personnes et c'est juste leur choix.

Dans certains cas, je laisse. Tant qu'elles ne nuisent pas, ça ne me dérange pas.

Nabilkar a écrit:

comme l'a dit justement Glingal, la sauge est un puissant purificateur, (aussi bien en le brûlant qu'en le consommant sous forme de boisson) cependant ce n'est pas suffisant pour un nettoyage énergétique des lieux car il agit seulement en surface. Il faut aussi procéder à un nettoyage et une harmonisation énergétique qui agit aussi dans le sol où est implanté le lieu et parfois faire appel à un passeur d'âmes qui libèrera les énergies lourdes et les entités présentes.

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tu penses que guider ces "mémoires" d'âmes vers la lumière, en essayant de les apaiser, ne suffit pas?

[Quelque chose pousse vers ces maisons, tout un tissus de circonstances.
Je ne sais pas si Kaliris ou bien d'autres personnes ici éprouvent cette impression aussi.]
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de ce que je peux me souvenir pour l'instant, j'ai vécu cela que dans une seule de mes habitations.

Mais je le ressens très fortement dans des endroits très anciens.

Certains chateaux, par exemple, me mettent mal à l'aise. Je me sens oppressée. Je sens que mon corps se rétracte, que ma pensée s'assombrit.
Peut-être parce que les chateaux sont souvent des endroits sombres, sans chauffage, et que je suis sensible à ces ambiances, qui me glacent le sang...
Dans ces endroits-là, j'ai du mal à ressentir des sensations comme la joie,
l'ambiance qui pèse me rend triste,
comme si la vie, passé, dans ces lieux, avait faite d'ennui, de froideur, de solitude, dans ces pièces immenses et parfois sans vie...
je ne sais pas bien pourquoi je ressens ça.
est-ce mon mental qui me fait des tours,
ou est-ce que je capte les énergies du lieu? je ne sais pas...


Une seule fois dans ma vie, j'ai aidé une âme à trouver son chemin de lumière, mais je ne l'ai pas fait seule. J'ai demandé à plusieurs de mes amis à prier avec moi afin de lui donner une "sépulture" symboliquement.Moi qui croyais que tous les rites et us que l'on fait lors des funérailles c'est plus pour les vivants que pour les morts, j'ai du réviser mon jugement.
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je le pratique souvent pour des animaux défunts.
en tout cas pour certains, car les autres acceptent en général leur condition de défunt, et leur âme, pure, monte directement vers la lumière...

j'ai pratiqué une fois ou deux, pour des humains.
ce fut fantastique...

B.... était décédé d'un cancer...
elle était décédée un an plus tôt, lorsque j'appris que sa famille, et son mari surtout, n'arrivaiit pas à se remettre de son départ.
il avait édifié un vrai temple à sa déesse (B....) chez lui.
sa maison s'était transformée en un véritable musée: photos partout sur tous les meubles, objets lui ayant appartenu....
Je ressentais que B.... devant cette souffrance de son mari n'arrivait pas à se libérer, mais que pourtant elle avait besoin de se reposer, de quitter la terre pour trouver la paix.
Alors je lui ai proposé de l'accompagner un bout de chemin vers la lumière.
Elle dit Oui tout de suite. mais elle était sceptique.

Tout de suite, une magnifique pluie d'or est venue l'accueillir.
il y avait une telle lumière, partout et sur elle, qu'elle ne pouvait que la voir...
elle sourit, et me dit: "Alors, c'est ça !!!"
Puis elle me dit: "Je veux y aller. Oui,c'est là, que je veux aller".
Je voyais la joie en elle de découvrir que "cela" existait (elle qui n'y avait jamais, jamais cru et qui, même dans les derniers instants de sa vie, ne voulait entendre parler de rien de ce genre...).
J'ai vu son âme s'apaiser, désireuse de monter vers la lumière.
Puis elle est montée.... Elle avait le sourire aux lèvres,
et j'ai ressenti le soulagement, et la paix qui l'habitaient à présent.".

Ce fût un moment exceptionnel, je ne l'oublierai jamais.
Je n'oublierai jamais cette âme apaisée, acceptant de partir enfin, après tant de chagrin.
Et je n'oublierai jamais cette pluie d'or et lumineuse,
comme jamais je n'aurais pu l'imaginer probablement...

Trop fort ...

Car parmi les âmes qui n'ont pas eu de sépultures, nombreuses sont celles à ne pas trouver le repos, simplement parce qu'elles ne savent pas qu'elles ne sont plus de ce monde.
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certaines ne veulent pas accepter, apparemment...
soit parce trop attachées à des matérialités, ou des sentiments terrestres,

soit parce qu'elles ont encore des choses à régler sur terre avant de partir...
et ces gens-là ont besoin d'aide, je pense...

Tandis que pour d'autres âmes, même après avoir été rendues à la terre, il leur faut seulement du temps. Les habitudes terrestres sont comme profondément enracinées: les déplacements dans les habitations, les petits gestes quotidiens ....
D'autres choisissent elles de continuer à occuper des lieux tout en connaissant leur condition. Elles ne dérangent personnes et c'est juste leur choix.
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il faudra pourtant qu'ils partent, un jour...
ils ne peuvent pas rester dans cette région de l'astral trop longtemps.
l'âme doit finir, graduellement, par monter dans les plans...

j

Citation :

'ai pratiqué une fois ou deux, pour des humains.
ce fut fantastique...

B.... était décédé d'un cancer...
elle était décédée un an plus tôt, lorsque j'appris que sa famille, et son mari surtout, n'arrivaiit pas à se remettre de son départ.
il avait édifié un vrai temple à sa déesse (B....) chez lui.
sa maison s'était transformée en un véritable musée: photos partout sur tous les meubles, objets lui ayant appartenu....

Peut-être attendait-elle que son mari fasse son deuil !

En tout cas, quel bel instant que celui de sa libération !

Citation :

certaines ne veulent pas accepter, apparemment...
soit parce trop attachées à des matérialités, ou des sentiments terrestres,

soit parce qu'elles ont encore des choses à régler sur terre avant de partir...
et ces gens-là ont besoin d'aide, je pense...

La jeune fille dont il est question est morte alors qu'elle était sous l'effet de la drogue.
Au départ, ça je ne le savais pas.

Quand j'étais assise ou bien quand je me couchais, je sentais quelque chose s'enrouler à mes pieds. Comme une sorte de chiffon informe et gris, dévitalisé.
Dès que je me posais quelque part à la maison, elle se scotchait à moi.
J'en ai parlé à une amie et elle m'a conseillée de faire venir quelqu'un pour purifier mon appartement. Elle disait que cette entité était un parasite qui pompait mon énergie.
Mais une nuit, alors que je dormais, alors qu'elle était encore une fois lovée à mes pieds, je lui ai demandé pourquoi elle restait là accrochée à moi.
Elle m'a parlé mais je ne comprenais pas ce qu'elle cherchait à me dire.
Pas une seule pensée intelligible.
Au réveil, je ne pouvais plus me résoudre à appeler quelqu'un pour la faire partir.
Pas comme ça ! Pas sans savoir ce qui pouvait la retenir ici.

Je sentais qu'elle prenait de mon énergie, tous les jours. Je sais c'est difficile à comprendre, mais je sentais que je devais la laisser faire. Jour après jour elle reprenait un peu plus de sa forme.
Mon mari a pu la sentir aussi. Ca a fichu une belle pagaille entre nous: elle avait peur de tout ! Parfois elle était entre nous et mon mari ne supportait ni mon souffle sur son visage: tant il était glacé !
Elle était entre lui et moi.

Une autre nuit elle a réussi à parler dans mon rêve. Elle croyait être en plein bad trip et cherchait un moyen d'en sortir. Je l'ai éclairé sur sa nouvelle condition. Je lui ai expliqué qu'elle n'était plus tout à fait de ce monde et que la meilleure façon de sortir de ce cauchemar c'était de rejoindre la lumière.

Et là j'ai vraiment cru avoir fait une énorme erreur.
Car je l'ai vu alors sombrer dans la tristesse.

Plus tard j'ai ressenti de l'amertume. Genre: de toute façon c'est mieux comme ça !
Je ne savais pas vraiment comment l'aider.
Jusqu'à ce que je finisse par comprendre: personne pour réclamer son corps !
Personne pour se préoccuper d'elle.

C'est là que c'est imposer à moi la nécessité de lui organiser des funérailles.
J'ai écrit un poeme pour elle; J'ai appelé des amis et après avoir prononcé le poeme nous avons prié pour elle.
J'ai vu une une colonne de lumière s'ouvrir depuis le ciel et sa petite âme sous la forme d'une sphère minuscule, animée comme une petite flamme. Elle s'est agitée dans tous les sens, puis parvenue sous le puits de lumière elle est montée paisible et joyeuse à la fois.

Citation :

il faudra pourtant qu'ils partent, un jour...
ils ne peuvent pas rester dans cette région de l'astral trop longtemps.
l'âme doit finir, graduellement, par monter dans les plans...

Oui c'est certain.
C'est pas toujours facile.
Et puis cette ascension vers la lumière, si on peut l'accompagner, on ne peut l'imposer.