Question de "mépris" ??

Hello

J'ai l'impression, enfin, disons que jusqu'à maintenant je l'ai peut-être "occulté" en moi, mais j'ai l'impression que je méprise les hommes.
Attention par contre, je n'ai pas dit que je déteste les hommes, mais c'est simplement que j'ai peur de m'investir (je suis très entière et lorsque je m'engage ça ne peut être qu'à fond).
En fait, lorsque j'essaye d'y penser, j'ai toujours cette impression de mépris qui s'impose à moi.
Je ne sait même pas si "mépris" est bien le mot juste...

Vos avis ??

Merci pour vos réponses.

Ben c'est sûr que le mot "mépris" aura une signification différente pour chacun.

Tu veux dire:
1) que tu considère que les hommes que tu rencontre ne te méritent pas?
2) que les hommes sont tous des tocards?
3) que les hommes sont des gamins irresponsables?
4) que les hommes ne sentent pas très bon?
5) que le monde tournerait mieux sans hommes?
6) que ... ??

Enfin l'idée c'est de poser plus de mots dessus, ça permet aux autres de mieux comprendre mais ça permet aussi parfois de mieux se rendre compte soi-même de ce qu'on pense!

ben alors Plume, qu'est-ce qu'il t'arrive ?

tu as surement été échaudé et tu en veux un peu à tous les hommes ?
Mais il y en a des biens ! regarde sur le forum !
que des hommes ouverts d'esprits !
et surement que dans la vie , il y en a !
bon , je te l'accorde ! pas beaucoup ! (je plaisante )

bisou plume

On en a autant à votre service! lol

Non, enfin, ce que je veux dire c'est qu'il vaut mieux, avant de songer à se mettre en couple "sérieusement", être déjà son propre meilleur ami. Une fois qu'on n'a pas "besoin" de "prendre" quelque chose chez l'autre, les qualités et les défauts deviennent juste les ingrédients d'une alchimie unique et forcément enrichissante.

Rebonjour Plume,

Le mot "mépris" est valable pour traduire ce que ressens ton conscient pour se protéger! A mon sens , c'est plutot de "peur" qu'il faut parler.

Tu dis avoir peur de t'investir, par peur transitive d'être décue...

Ce mépris, non certain d ailleurs, n'est surement qu'un mécanisme de protection. C'est moins lourd à porter de croire que l'on méprise les hommes (donc, choix personnel, impression de maitriser la situation) plutot que de réaliser qu'on craint leurs trahisons ( cela entraine vers un sentiment d'insécurité et une angoisse, vu que nos projections sont calquees sur nos experiences passées.)

Ca reste mon humble avis, faut dire que tous mes chakras sont massacrés en ce moment, peut etre que je suis dans les champs! lol

Bon courage à toi, et.... pourquoi eprouver du mépris pour quelqu un que vous n'avez pas encore découvert? laissez lui sa chance...

je plaisantais Méhen, je sais bien que les femmes sont pareils !

plume pose toi cette question la

que serait ma vie sans homme ca va te donner la reponse

en fais tu devrais peux etre aussi te demander quelle est ma peur

vis a vis une relation quand je m engage amoureusement

et aussi en fait le mepris est peux etre pas le bon mot choisi

pour la question et relis toi tu donnes une reponse sourire

tu es entiere et tu as peur de t investir toute une contradiction ca

ahhahahhah je ris mais pas de toi imagine l homme il saura pas trop

quoi s attendre tu lui lanceras deux messages a la fois

en esperant qu il sera tres patient ton amoureux

te fais une bise sur la joue pas drole les femmes des fois

colette a écrit:

je plaisantais Méhen, je sais bien que les femmes sont pareils !

Vi je l'ai compris comme ça mais ce que je disais après c'était toujours pour Plume. En fait, je ne pense pas que qui que ce soit sur cette terre soit vraiment digne de mépris.
Quelqu'un qui ne croit pas en la réincarnation et qui estime qu'on a tous une vie à mener et basta peut avoir toutes les raisons de mépriser un tas de gens. Mais avec une vision des choses plus proche du bouddhisme, qui semble être la norme ici, le mépris n'a plus vraiment de sens.
Enfin bon, ce sont des mots... y'a sans doute moyen de proposer un réconfort plus "terre à terre" =)

Coucou Plume,

(C'est simplement que j'ai PEUR de m'investir).

Avec toutes les discussions qu'il y à déjà eues sur ce forum concernant la (PEUR) , cette sacrée farceuse qui nous met beaucoup d'obstacles sur notre chemin, tu oses encore la citer chère Plume.
Ne serais-ce pas un manque de confiance en toi (ou en l'autre) qui t'empêche de t'investir?
N'as-tu pas eu une mauvaise expérience avec des hommes dans ta tendre enfance?
Pour ma part, je me suis investie souvent mais cela à foiré à chaque fois,comme quoi, tu vois,c'est pas toujours évident......
En tout cas, t'en fait pas trop, pose-toi les bonnes questions et ça va aller.
Bisous.

Bonsoir

L'ego a toujours une tendance à nous donner une vision lisse de soi, une vision idéalisée et c'est toujours une bonne chose lorsque ça remonte en soi. Car lorsqu'il n'y a rien, que tout semble parfaits, c'est qu'il a bien structuré ses mécanismes de maintien.
Naturellement, l'homme et la femme sont comme le coté pile et le coté face d'une même pièce de monnaie, ils ne vont pas l'un sans l'autre mais je crois que tu n'as pas de doute à ce sujet et bien sûr, tout mépris, même s'il apparait comme une image en soi, n'est pas fondé.
Mais la compréhension intellectuelle de cet état de fait ne donne pas l'issue, ne dissout pas pour autant la sensation ou le sentiment en soi (de mépris en soi).
Dès que l'on émerge un peu de cette vision lisse de soi que nous donne l'égo, plein de choses remontent, elles ne nous apparaissent pas toujours belles et valorisantes...
Peut-être, associes-tu la spiritualité à la légèreté ( d'où peut-être le choix de ce pseudo "Plume "). Et bien sûr les hommes sont plus grossiers que les femmes dans le sens où ils ont une sensibilité généralement moindre. Ils sont moins légers... Ce qui ne les diminue nullement car ils ont, bien sûr, d'autres qualités...
Mais bon, tout ceci n'est que ce qui ressort en moi après avoir lu ton texte...
Bisou

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bonsoir Plume

si tu te poses ce genre de question c'est que tu aimerais bien te rapprocher d'un homme mais la peur de te donner entierement t'amenes au mepris

tu as deux solutions :

rester seule et vivre pleinement ton etre

te rapprocher d'un homme et chercher cet equilibre entre la liberter de l'etre et la fusion des deux

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Bonjour à tous,
Bonjour Plume

A la lecture de ce que tu as écris :

Citation :

Hello
J'ai l'impression, enfin, disons que jusqu'à maintenant je l'ai peut-être "occulté" en moi, mais j'ai l'impression que je méprise les hommes.
Attention par contre, je n'ai pas dit que je déteste les hommes, mais c'est simplement que j'ai peur de m'investir (je suis très entière et lorsque je m'engage ça ne peut être qu'à fond).
En fait, lorsque j'essaye d'y penser, j'ai toujours cette impression de mépris qui s'impose à moi.
Je ne sait même pas si "mépris" est bien le mot juste...

Vos avis ??

Merci pour vos réponses.

de ce que vous avez tous écrit

J'entends et je retiens ta peur de t'investir dans une relation, donc sans doute la peur de voir tes attentes déçues. Quelles sont ces attentes ? Quelle est l'origine de cette peur ?
Plutôt que de "mépris", ne s'agirait-il pas de "méfiance" dont tu souffres, d'une absence de confiance ?
Confiance en toi, en l'autre, en la vie ?

Que crains-tu en aimant l'autre ?
Qu'est-ce qu'aimer ? Qu'est-ce qu'aimer l'autre ? Est-ce maîtriser l'autre, la relation à l'autre, en faire l'objet de son désir, de la satisfaction de nos désirs ? Ou le reconnaître libre comme soi et l'aimer parce qu'il est libre ?
Donner et non prendre, et recevoir (deux fois ?) alors qu'on ne s'y attend pas.

Faire d'une relation, quelle qu'en soit sa nature, une rencontre de deux solitude, de deux libertés. Créer quelque chose à deux qui aura les reflets de l' Inconnu n'est-il pas réjouissant ?
Plutôt que d'avoir une idée préconçue de la relation avant même qu'elle ne soit et de vouloir reproduire cette idée. Idée basée sur nos expériences passées, plus ou moins bonnes, sur des modèles forcément extérieurs, sur nos projections qui ne reflètent pas la réalité, sur des êtres qui n'existent plus ou pas, appartenant au passé ou à l'imaginaire. L'ancienne Plume, son ou ses anciens compagnons, imaginaires et réels.

Bien sûr le mieux est de se connaître le plus possible pour mieux apercevoir l'autre.
Mais la vie appelle malgré la peur, nos imperfections, notre connaissance de nous-mêmes encore approximative.

Avoir moins d'attentes, cela limite la déception, pour le moins les voir et vivre au plus près ce qui est.
Ne pas craindre l'imperfection d'une relation, c'est-à-dire la distance qui existe entre l'idée que l'on se fait de la perfection d'une relation et ce qui est. Ne pas craindre la rencontre, l'incertitude, l'inconnu dans nos relations et plus généralement dans la vie.

Ce que je te dis là, je me le dis à moi aussi.

Je t'embrasse.
Je vous embrasse.

Bonne journée.

Quand on est en démarche spirituelle , on ne peut pas se permettre de mépriser qui que ce soit.
Pourquoi 'mépriser' une partie du genre humain?
Le mieux est d'aimer tout ce qui fait nos différences.

De plus , ce sentiment de mépris doit émettre des basses vibrations créatrices ne l'oublions pas .

Quand on a l'impression de mépriser une catégories d'individus(ici, les hommes) , c'est qu'on se trompe sur eux (et sur Soi).

Ce que je dis là n' a rien à voir (dans mon esprit ) avec la question du couple.On peut aimer (et non pas mépriser) les hommes (aimer ce qui fait qu'on est différent en fait) , c'est pas pour ça qu'il faut se donner l'objectif de créer un couple si ça ne nous parle pas.


Bisouilles

Plume


Dans tous hommes , il y a Dieu qui veille .

Tiens voilà un cadeau: https://www.youtube.com/watch?v=eoUIskf0ke0&feature=related



Bisouilles

Plume a écrit:

Hello

J'ai l'impression, enfin, disons que jusqu'à maintenant je l'ai peut-être "occulté" en moi, mais j'ai l'impression que je méprise les hommes.
Attention par contre, je n'ai pas dit que je déteste les hommes, mais c'est simplement que j'ai peur de m'investir (je suis très entière et lorsque je m'engage ça ne peut être qu'à fond).
En fait, lorsque j'essaye d'y penser, j'ai toujours cette impression de mépris qui s'impose à moi.
Je ne sait même pas si "mépris" est bien le mot juste...

Vos avis ??

Merci pour vos réponses.

Bonjour Plume

Je crois que mépris n'est peut être pas le mot le plus juste...

Tous les fruits ne sont pas à mettre dans le même panier, il y a des gatés, il y en a dont le parfum ne nous convient pas et il y a en qui sont pleins de vie

Un jour on m'a donné une phrase que je te redonne, peut être elle te parlera :

La peur, ca ne fonctionne pas

Je te souhaite le meilleur des fruits



Le secret du changement consiste à concentrer ton d'énergie pour créer du nouveau et non pour te battre contre l'ancien.

Bonjour à vous tous,

Tout d'abord un grand merci pour vos réponses... et wouaahh !!!
J'étais pas là ce matin et j'avais déjà un peu vu certaines de vos réponses hier mais pas pris le temps d'y revenir...

En fait, pourquoi cette question ? C'est qu'en réfléchissant à ma dernière "relation sentimentale" qui fut donc le père de mes enfants, je me rends compte que c'est moi qui gérais la plupart des choses.
Bref, nous sommes quand même séparés depuis maintenant un peu plus de deux ans... et là depuis quelques temps... j'ai pas l'impression d'être séparée, dans le sens où je gère encore les choses pour lui, soit à sa demande, soit de mon propre chef !!

En fait je pense que je suis en colère contre moi-même... parce que je me rends compte que je le couve encore !
J'oublie de préciser qu'il n'y a plus rien de commun entre nous que nos enfants et qu'il y a longtemps que je ne suis plus amoureuse de lui et que mes sentiments sont plutôt "fraternels".
Ah, c'est compliqué à expliquer, mais lorsqu'il me demande de lui rendre un service, par exemple de téléphoner à son assurance ou de faire un courrier pour lui, je le fais bien sûr, même si parfois je lui dis que j'ai autre chose à faire, et que si j'étais pas là il faudrait bien qu'il se débrouille... mais le pire, et en fait c'est là que ça "cloche", c'est que même quand il ne me demande rien, je fais quand même !
Par exemple, avant-hier matin en prenant mon café j'ai pensé que je devrais l'appeler parce qu'il était peut-être resté endormi... et puis je me suis un peu "secouée" en me disant que de toute façon ça n'est pas mon problème, mais je l'ai appelé quand même et en fait j'ai été étonnée qu'il réponde au téléphone vu qu'avec son temps de trajet il aurait déjà dû partir à l'heure de mon appel.
Bref, il venait en fait de se lever et donc je lui ai dit que je n'avais rien de particulier à lui dire, mais que je l'appelais pour le cas où il serait resté endormi, et il m'a dit qu'il avait en effet failli resté endormi.
J'ai l'impression que je me comporte avec lui comme s'il était mon gamin et ça m'énerve un peu !

Je souris à la lecture des questions (la n°3) de Méhen, parce que alors ça pourrait être que je considère les hommes comme des gamins... je ne sais pas parce que je ne pense quand même pas que tous les hommes sont des gamins.
Bon, parler "des hommes" en général, ce n'est pas ça, mais si je réfléchis, je suis restée 8 ans avec le père de mes enfants et avant lui environ 5 ans avec un autre... qui ne savait pas mieux gérer sa paperasse (les deux relations sont séparées par 4 années de célibat).
Alors, pourquoi donc est-ce que j'ai attiré ce type d'hommes ? Pourquoi j'ai ce comportement quasi-maternel avec certains ???

Frisoty souligne la peur de s'investir car peur d'être déçue...
Avant quand j'étais ado, je disais souvent que quand on tombe on se relève et on continue d'avancer, peu importe que l'on tombe une ou vingt ou cinquante fois... et je n'ai pas changé d'idée là-dessus.
Alors en fait ce n'est pas la peur d'être déçue, c'est plutôt une déception que je ne digère apparemment pas...
C'est-à-dire que je me suis décidée assez tard à fonder une famille et pour moi ça signifiait de ne pas "se tromper"... et je me suis quand même plantée.
Amour propre ? Non je ne le pense pas. C'est un événement n'ayant aucun rapport avec notre relation qui a amené la rupture entre nous et on pourrait penser que cette rupture n'est pas acceptée mais ce n'est pas le cas.
Il est absolument hors de question de recoller les morceaux (il a déjà essayé...). Mes sentiments à son égard ont changé et ils avaient peut-être même changé avant la rupture... tout doucement.
Je prends donc mes relations pour des échecs au lieu de les considérer comme des expériences ni bonnes ni mauvaises...

Kalinda, pour la question "que serait ma vie sans homme"... est-ce dans le sens où aucun homme n'existerait ??
Ce n'est pas ma conception, cette question je ne la comprends pas.
Si la question sous-entends le fait de vivre seule... euh, je suis en plein dedans et ça va.
Peut-être qu'en fait je ne sais pas trop ce que je veux ou plutôt, je trouve bizarre de n'être attirée par personne.
Je ne tombe plus amoureuse et je me demande pourquoi, je trouve ça bizarre.

Méhen tu dis "je ne pense pas que qui que ce soit sur cette terre soit vraiment digne de mépris".
Moi non plus et d'ailleurs "mépris" n'est pas le mot juste... "peur"... oui.

Indécise, tu me parles de manque de confiance en moi et c'est bien là un problème à mon avis aussi parce qu'en plus il n'y a pas qu'en ce domaine que je manque de confiance en moi.
Et le fait de manquer de confiance en moi, ça veut donc me dire que je ne fais pas confiance à ma Source intérieure, que je ne la reconnais pas.

En effet Jean-Yves, tout mépris n'est jamais fondé et le mot n'était pas juste en fin de compte.
Tu me parles donc de mépris de soi (puisque mépris de l'autre) mais non, je ne pense pas me mépriser.
Tu me dis que "peut-être que j'associe la spiritualité à la légèreté (choix de mon pseudo Plume)"...
En fait je ne sais pas trop pourquoi j'ai choisi ce pseudo, c'est vrai qu'une plume c'est simple, c'est doux, c'est léger... et par rapport à la gente masculine, je ne pense pas que les hommes soient moins sensibles que les femmes. Je pense que leur sensibilité s'exprime peut-être différemment, mais ça ne veut pas dire qu'ils sont moins sensibles. Il y a peut-être même certains hommes plus sensibles que certaines femmes... nous ne sommes hommes ou femmes que par choix d'incarnation.

Lavande, tu es... toute mignonne, mais il faut pas avoir mal au coeur. J'ai pas mal au coeur moi, c'est simplement que quelque chose en moi appelle à être changé. Mais je ne suis pas malheureuse par rapport aux hommes, ni malheureuse tout court d'ailleurs.
Tu as raison, mon ressenti veut me parler et comme je me sens mal avec ce ressenti je ne veux pas l'écouter. Je dois adapter ma perception à mes "attentes".

L'Être, tu émets la probabilité que j'aimerais me rapprocher d'un homme mais que c'est la peur de m'investir qui m'amènerait à ce ressenti...
Je pense que si je tombais éperdument amoureuse... je m'investirais, mais encore faut-il tomber amoureuse... La "passion" est mon moteur et peut-être que c'est là que ça coince.
Enfin, je m'investirais...
La première solution : "rester seule et vivre pleinement mon être" me conviendrait... mais partager l'existence avec un homme, je le voudrais, mais je dis toujours non. Je suis trop difficile.

Eh bien voilà Amiemonami... ce n'était donc pas une question de "mépris" mais en effet, de manque de confiance en moi et donc c'est le non alignement divin.

Manu tu me dis : "Avoir moins d'attentes, cela limite la déception, pour le moins les voir et vivre au plus près ce qui est.
Ne pas craindre l'imperfection d'une relation, c'est-à-dire la distance qui existe entre l'idée que l'on se fait de la perfection d'une relation et ce qui est. Ne pas craindre la rencontre, l'incertitude, l'inconnu dans nos relations et plus généralement dans la vie."
Eh oui, j'ai encore du pain sur la planche comme on dit... encore bien du travail de ce côté là apparemment.

"Tous les fruits ne sont pas à mettre dans le même panier"... oui, tout à fait Pongo, et avec la peur rien ne fonctionne.
En fait je suis pleine de contradictions, j'ai vraiment l'impression de ne pas trop savoir ce que je veux par rapport aux hommes.
Aujourd'hui une nouvelle relation ? Je dis oui, non, je sais pas... hum !!!...
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué... bouh, je me fais mal à la tête toute seule là lol.
Peut-être un manque d'estime envers moi-même... un défaut d'amour envers moi-même.

Une seule solution... Nettoyage ! Relâcher tout ça et vivre le plus simplement du monde. Alors je m'y attèle sérieusement dès maintenant... et voyons ce qui change en moi.
Le meilleur des fruits ne se présentera qu'ainsi.
Oups, j'allais oublier Smehen... "dans tous les hommes il y a Dieu"...

Merci à vous tous

JE VOUS AIME !

et bien plume finalement tu te reponds sourire

pour ce qui est de ma question vivre sans homme

c etait partager ta vie avec un autre vivre une belle relation

tu vois chacun chacune apporte un peu de son vecu

pour aider geniale tous toutes


je crois sincerement que c est difficile la vie sans etre en couple

je parle pas de pas bien vivre une certaine solitude saine

mais a long terme ca pese sur l etre

en souhaitant que tu vive un jour une belle rencontre amoureuse

avec un homme qui saura toucher ton coeur ton ame

et te souhaite de le vivre autant et lui permettre de se vivre

l amour entre deux etres est la plus belle aventure de toute une vie

voila mon petit cote amoureuse devoilee sourire


allez vous fais la bise a tous toutes

Merci Kalinda, je dois en effet me permettre de vivre une telle relation, et pour cela... il faut que je m'applique de plus en plus à m'Aimer moi-même.
Le message m'apparaît maintenant bien clairement.

Je viens de capter que je ne m'occupe pas du tout de moi... et que c'est peut-être pour ça que je m'occupe (trop) des autres...
J'accepte enfin de le voir en face et de comprendre que ça n'a pas lieu d'être car comment peut-on s'occuper convenablement d'autrui si on ne le fait pas pour soi ?
En fait je pense que nous ne sommes venus que pour apprendre à aimer, voilà un bon sens à la Vie.

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Plume a écrit:

En fait je pense que nous ne sommes venus que pour apprendre à aimer, voilà un bon sens à la Vie.

Oui, je le pense aussi

Bises

bonsoir Plume,

a savoir que chaque etre humain est regi par son mental, alors ne soyons pas etonne qu'il y a tant de difficulte a nous aimer.

comment veux tu que les etres humains puissent un jour reellement s'aimer s'ils ne s'ouvrent pas entierement a l'etre.

l'homme et la femme, sont ils reellement fait pour vivre ensemble ?