Notre dialogue intérieur nous empêche d'être libres ! (Table ronde à Avignon, 17 décembre)

Rappel du premier message :

Quelle étrange affirmation ! C' est quoi, le dialogue intérieur ? Nous parlons à nous -mêmes en permanence. Ce dialogue intérieur silencieux et souvent inconscient occupe tout notre espace intérieur. Il conditionne tout notre être. Continuellement nous sommes identifiés à nos pensées et nos émotions sans en être conscients. Espace intérieur ? Existe-t-il un intérieur en nous ? Ne nous précipitons pas pour dire oui ou non. Nous sommes des êtres très " extérieurs " et n' avons presque aucune notion de ce qui se passe en nous... Citation : " Quand le dialogue intérieur en nous s' arrête , tout devient possible ! "

Edit. Alaka: Table ronde  du mardi 17 décembre à Avignon. Rue bon martinet 13 bis.  A 20 h.

Totem a écrit:

Un ami athée et sceptique sur ce qui concerne le monde subtile récemment a dit cette phrase :
L’étranger ? Cette part de sombre en chacun, cette part étrange que toi et moi trainons une vie durant ?

Il est clair qu'il perçoit cet autre, cette part qu'il voit sombre alors qu'elle est lumineuse. Je n'ai pu le lui dire sachant qu'il ne voudrait rien savoir mais je me dit qu'il est en chemin et que le fait de percevoir quelque chose et de se poser déjà la question est un bon début.

"Sombre" c'est ce qui n'est pas éclairé, mal connu, il n'y a pas nécessairement de caractère négatif à ce qualificatif (ni divin par ailleurs). Mais tu l'as peut être perçu comme tel.

Lucrèce a écrit:

Totem a écrit:

Un ami athée et sceptique sur ce qui concerne le monde subtile récemment a dit cette phrase :
L’étranger ? Cette part de sombre en chacun, cette part étrange que toi et moi trainons une vie durant ?

Il est clair qu'il perçoit cet autre, cette part qu'il voit sombre alors qu'elle est lumineuse. Je n'ai pu le lui dire sachant qu'il ne voudrait rien savoir mais je me dit qu'il est en chemin et que le fait de percevoir quelque chose et de se poser déjà la question est un bon début.

"Sombre" c'est ce qui n'est pas éclairé, mal connu, il n'y a pas nécessairement de caractère négatif à ce qualificatif (ni divin par ailleurs). Mais tu l'as peut être perçu comme tel.

Pas du tout, je l'est perçu comme lumineux, c'est mon ami qui l'a perçut comme sombre.(j'ai précisé que c'était la phrase d'un ami. ).

Sinon Lucrèce, je m'ennuies déjà de ton précédent avatar.

Totem a écrit:

Pas du tout, je l'est perçu comme lumineux, c'est mon ami qui l'a perçut comme sombre.(j'ai précisé que c'était la phrase d'un ami.Smile ).

Tu l'as peut être perçu comme tel lorsque ton ami l'a exprimé.

Lucrèce a écrit:

Totem a écrit:

Pas du tout, je l'est perçu comme lumineux, c'est mon ami qui l'a perçut comme sombre.(j'ai précisé que c'était la phrase d'un ami.Smile ).

Tu l'as peut être perçu comme tel lorsque ton ami l'a exprimé.

Tu insistes drôlement alors que je dis l'avoir perçu de manière lumineuse.
Même que je lui ai dit le contraire de ce qu'il pensait et il n'a rien répondu.

 

Lucrèce a écrit:

Totem a écrit:

Un ami athée et sceptique sur ce qui concerne le monde subtile récemment a dit cette phrase :
L’étranger ? Cette part de sombre en chacun, cette part étrange que toi et moi trainons une vie durant ?

Il est clair qu'il perçoit cet autre, cette part qu'il voit sombre alors qu'elle est lumineuse. Je n'ai pu le lui dire sachant qu'il ne voudrait rien savoir mais je me dit qu'il est en chemin et que le fait de percevoir quelque chose et de se poser déjà la question est un bon début.

"Sombre" c'est ce qui n'est pas éclairé, mal connu, il n'y a pas nécessairement de caractère négatif à ce qualificatif (ni divin par ailleurs). Mais tu l'as peut être perçu comme tel.

Le sombre, n'est pas ce qui n'est pas éclairé, mais ce que l'on ne souhaites pas regardé.

Gnose a écrit:

Maintenant l' homme n' est pas seulement un animal parce qu' il tue et se nourrit d' autres êtres vivants. Il y a des raisons encore plus subtils. L' homme est un être de désir. Il désire tout en fonction de son propre être.Il est entièrement victime de son corps de désir comme les animaux. Comme les animaux il vie entièrement en fonction de son bassin. ( bouffe, argent, plaisir, succès, sex.... L' homme est prêt à tout pour assouvir ses désirs. Toute son éthique n' est qu' une couche de vernis ( culture, art ) pour cacher et faire oublier cet inconscient ( = tout ce que l' homme ne veut pas conscientiser ) , logé dans le bassin ( muladhara ) mais qui néanmoins s' exprime à chaque instant dans le dialogue intérieur. La soit disante démocratie n' est qu' un jeu d' équilibre périlleux, un consensus qui permet d' exprimer la violence collective sans faire trop de dégâts. Sans faire trop de dégâts ??? Combien de poules , de cochons, de veaux , de vaches,de chevaux, de chiens, de poissons, d' oiseaux et d' hommes sont tués chaque jour partout dans le monde ? L' homme n' est pas un animal ? Ah bon ...

 

Ceux sont des pensées qui t’appartiennent, et à toi seul, ceux sont des projections de ce que tu es, car comme tu le dit :

Gnose a écrit:

La souffrance est synonyme d' égocentrisme. L' amour ne connaît pas la souffrance.L' amour transforme la souffrance en compassion. La compassion est une faculté de l' âme renée, l' âme universelle.

Il suffit simplement de changer "souffrance" par pensées, et en l’occurrence les tiennes.

Ghandhi à dit :

« Croire en quelque chose et ne pas le vivre, c’est malhonnête »
« Le bonheur, c’est lorsque vos actes sont en accord avec vos paroles »
« Vis comme si tu devais mourir demain. Apprends comme si tu devais vivre toujours »
« C’est dans l’effort que l’on trouve la satisfaction et non dans la réussite. Un plein effort est une pleine victoire. »
« Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde »

Le vrai partage c' est laisser s' exprimer les autres comme ils le veulent sans vouloir changer quoi que ce soit à leur propos ! Et faire tout ce qui est dans notre possible pour comprendre ce qu'il expriment !

Gnose a écrit:

Le vrai partage c' est laisser s' exprimer les autres comme ils le veulent sans vouloir changer quoi que ce soit à leur propos ! Et faire tout ce qui est dans notre possible pour comprendre ce qu'il expriment !

Dans ce cas, applique, soit ce changement, et je le serais aussi, car la c'est contraire à ceux que tu dit :

Gnose a écrit:

Maintenant l' homme n' est pas seulement un animal parce qu' il tue et se nourrit d' autres êtres vivants. Il y a des raisons encore plus subtils. L' homme est un être de désir. Il désire tout en fonction de son propre être.Il est entièrement victime de son corps de désir comme les animaux. Comme les animaux il vie entièrement en fonction de son bassin. ( bouffe, argent, plaisir, succès, sex.... L' homme est prêt à tout pour assouvir ses désirs. Toute son éthique n' est qu' une couche de vernis ( culture, art ) pour cacher et faire oublier cet inconscient ( = tout ce que l' homme ne veut pas conscientiser ) , logé dans le bassin ( muladhara ) mais qui néanmoins s' exprime à chaque instant dans le dialogue intérieur. La soit disante démocratie n' est qu' un jeu d' équilibre périlleux, un consensus qui permet d' exprimer la violence collective sans faire trop de dégâts. Sans faire trop de dégâts ??? Combien de poules , de cochons, de veaux , de vaches,de chevaux, de chiens, de poissons, d' oiseaux et d' hommes sont tués chaque jour partout dans le monde ? L' homme n' est pas un animal ? Ah bon ...

Totem a écrit:

Tu insistes drôlement alors que je dis l'avoir perçu de manière lumineuse.Laughing

J'étais ailleurs !  

lux a écrit:

Le sombre, n'est pas ce qui n'est pas éclairé, mais ce que l'on ne souhaites pas regardé.

Ce que l'on ne souhaite pas regarder, c'est l'occulté. Mais j'ai l'ambition de croire comprendre ce que tu as voulu exprimer.

Gnose, il faut pourtant parfois imposer un silence, une parole, un acte à autrui.  

Les Nymphes a écrit:

Gnose, il faut pourtant parfois imposer un silence, une parole, un acte à autrui.  

En allant sur le topic Yolande:?:  

Quand je parle du comportement de l' homme ,il s' agît d' un constat, pas un jugement. Si toi Lux tu le perçois comme un jugement c' est ton affaire. Si l' homme est souvent destructif dans ces actes, cela veut dire qu' il a besoin de traverser cette expérience. Cela se comprend. Mais ça n' empêche d' en faire le constat.

Hum ,"  l'homme " c'est toujours l'autre , love .

Gnose a écrit:

Quand je parle du comportement de l' homme ,il s' agît d' un constat, pas un jugement. Si toi Lux tu le perçois comme un jugement c' est ton affaire. Si l' homme est souvent destructif dans ces actes,  cela veut dire qu' il a besoin de traverser cette expérience. Cela se comprend. Mais ça n' empêche d' en faire le constat.

Un constat, c'est si je rentre dans une voiture, ou que l'on me rentre dedans, un jugement sa peut être, femme au volant mort au tournant    

 

Mais si il y a constat, c'est qu'il y a casse...

Maintenant à l'heure d'aujourd'hui, je n'es jamais vu quelqu'un réparé la voiture de l'autre avant de réparer la sienne.

Quand je parle de l' homme dans mes messages, je parle de moi-même. Je ne fais pas de distinction entre moi-même et les autres. Entre un " bon " moi et les autres qui en sont encore là. Tous les êtres humains sont liés par le même sort. Nous sommes tous pareils devant le mur de l' ignorance. Celui qui a vu, vécu et constaté l' agressivité et la petitesse de son propre être, arrête de juger. Je pense que la spiritualité est un état dans lequel on n' a plus peur de rien, on peut tout affronter, on est capable de tout voir en soi et chez les autres sans être choqué ou déconcerté. L' homme est ce qu'il est. Nous sommes ce que nous sommes. Il faut oser le voir. La connaissance de soi est une étape indispensable. Celui qui se connaît, connaît ( et comprend ) les autres. Love aussi.

Tu sais que l'escargot à son coeur dans sa coquille, le coeur reste dans le temple, pourtant la coquille n'est pas un mur pour l'escargot, donc encore une fois non, de mon côté je ne vois pas de mur ou plutôt je n'en vois plus, est ce que je suis en désaccords ou en dualité avec toi, encore une fois non, car jusqu'à preuve du contraire tout le monde à un coeur, mais toi est tu en accord avec toi même et sans dualité ?

Non je ne suis pas sans dualité, je n' ai pas honte de le dire. Si toi tu vie sans dualité,alors bravo. Mais ce qui est étonnant, c' est que tu ne semble pas comprendre quelque' un qui vie dans cette dualité et qui en souffre. Au contraire, avoir connu un état de souffrance et en être sorti devrait te donner une compréhension profonde. Compréhension et compassion. Nous ne sommes que dualité.Tu connais beaucoup d' êtres autour de toi qui en sont sortis ? Pour guérir il faut faire le constat de la maladie. Je fais ce constat. Par rapport à moi-même. En toute honnêteté. La reconnaissance de la dualité en soi est la porte vers la guérison. Il faut l' espérer.

Non je ne suis pas sans dualité,  je n' ai pas honte de le dire. Si toi tu vie sans dualité,alors bravo. Mais ce qui est étonnant, c' est que  tu ne semble pas comprendre quelque' un qui vie dans cette dualité et qui en souffre. Au contraire, avoir connu un état de souffrance et en être sorti devrait te donner une compréhension profonde. Compréhension et compassion. Nous ne sommes que dualité.Tu connais beaucoup d' êtres autour de toi qui en sont sortis ? Pour guérir il faut faire le constat de la maladie. Je fais ce constat. Par rapport à moi-même. En toute honnêteté. La reconnaissance de la dualité en soi est la porte vers la guérison. Il faut l' espérer.

Je pense que vivant dans un monde de la dualité il est impossible d'y échapper même lorsque l'être intérieur est présent tout simplement à cause du vécu sur deux plans à la fois et qu'un va et vient se fait d'un plan à l'autre ou alors si l'on désire échapper à cette dualité il faut se retirer du monde comme certains le font.

Pour sortir de la dualité , suffit de rentrer dans l'Amour , c'est pas si compliqué que ça . 

Malheureusement on met longtemps à le comprendre , parfois même plusieurs vies ...

Nous sommes tous l'Amour en expression , mais nous l'avons oublié.

Entrons dans l'Amour et toute illusion disparaît , la dualité n'a plus place .

La Vie devient comme dans la belle verte ,.

Tout le monde aime d'un amour fraternel , humain , tout est simple , beau , y a rien à faire qu'à aimer .

 

Gnose a écrit:

Non je ne suis pas sans dualité,  je n' ai pas honte de le dire. Si toi tu vie sans dualité,alors bravo. Mais ce qui est étonnant, c' est que  tu ne semble pas comprendre quelque' un qui vie dans cette dualité et qui en souffre. Au contraire, avoir connu un état de souffrance et en être sorti devrait te donner une compréhension profonde. Compréhension et compassion. Nous ne sommes que dualité.Tu connais beaucoup d' êtres autour de toi qui en sont sortis ? Pour guérir il faut faire le constat de la maladie. Je fais ce constat. Par rapport à moi-même. En toute honnêteté. La reconnaissance de la dualité en soi est la porte vers la guérison. Il faut l' espérer.

Quand on est petit, on joue aux gendarmes et aux voleurs, dans les dessins animés y a toujours un gentil et un méchant, quand on grandit, on passe au superman, batman, Thor, et j'en passe.

Ce que l'on ne remarque pas la dedans, du moins ou j'ai mis du temps à remarquer, c'est que arrivé un moment, on s'identifie tôt ou tard au héros, ou au méchant, dans la spiritualité c'est la même chose, il y a la religion, les voies -le héro-, en bref on peut retrouver cette schématique partout.

A partir de la, quand c'est bien ancrée, y a la révolte, si il y a révolte, on crée des organismes, des institutions et un tas de truc, ou alors comme on à pas la force du "héro" on tombe dans la souffrance, la je parle de révolte, mais on peut mettre un tas d'autres mots.

J'ai "ramer" pendant un bon bout de temps, et des posts sur ma souffrance, j'en es écrit pas mal ici.

Ça c'était le côté extérieur de la chose, maintenant je vais passer à l'intérieur.

Il arrive un moment, et non sans mal, n'y dans un claquement de doigts, que l'on prennes conscience que ce qui ce passe dans les films ce passe à l'intérieur, on y retrouve tout les personnages du film, c'est les moi moi moi, le héro, le méchant, les intermédiaires etc etc, et y a un paquet de monde "la dedans", de la, il y a eu des messages sur le forum, qui je pense viennes de la, c'est "le monde extérieur et notre reflet, un truc du genre", quand tu regarde la vu extérieur, et l'intérieur c'est la même chose -.

C'est la que la phrase de Gandhi deviens intéressante :

Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde.

De la on passe à l'observation, introspection et tous ce qui s'en suis, on deviens comme un témoin qui observe, pour observer on se détache de tout, on ne s'identifie pas à ce que l'on regarde, n'y a ceux que l'on ressent, on va pouvoir observer les "moi", les "choper" et les "transmuter" ou plutôt les "transcender", pour qu'il n'en reste qu'un, arrivé un moment on ce retrouve à deux, la sa ressemble à de la schizophrénie -pareils- j'en es fait un post, c'est le héros et le méchant, on à beau ce battre, lutter, ça fatigue, ça épuise, mais quand on à le nez dans le guidon, on ne vois que le guidon, alors j'ai méditer, méditer, jusqu'a des 7 ou 8 fois par jour, et la on retrouve également un post le "non pensée", quand on à plus le nez dans le guidon, on peut voir autre chose, mais on est encore dans la dualité entre le pensée et le non pensée, c'est tel un cercle, on ce retrouve à chaque extrémité, alors on équilibre, on ce retrouve au milieu du cercle, mais au milieu du cercle passe un autre cercle etc etc, arrivé un moment, il n'y a plus rien, et dans ce rien il y a tout, il y a le silence, mais un silence parlant.

Et puis on arrive à ce que dit Âliya, après avoir transcender les moi, on prend conscience de l'Amour, ou ce que j'aime appeler la conscience du cœur, le petit escargot.

Mais le chemin est dur, très dur, on flirte avec la folie, la mort...

Est ce que je vie totalement en dehors de la dualité, non, mais elle ne m’entraîne plus -bon ok y a des moments je m'emporte c'est vrai, mais ça ne dure pas bien longtemps-, y a le cœur qui s'active et qui recentre l'être, quand on a sentit l'Amour dans le cœur, je sais pas comment l'expliquer, c'est comme si la poitrine s'ouvre en deux, et que le cœur ce met à respiré, j'ai pas vraiment de mot pour l'expliquer, mais dés que l'on porte son attention dessus, tous ce transforme.

Pour la compassion, j'ai pas de compassion, c'est pas parce que quelqu'un souffre, que je vais le traiter autrement qu'un autre, nous sommes tous des êtres entier, qui ne manque de rien, sourire et faire l'autre sourire c'est peut être bien, mais je trouve ça beaucoup plus beau quand le sourire viens du cœur, de Soi.

Vu que je suis partit dans un "pavé" autant continuer.

Petite anecdote avec mon ex :

Je suis quelqu'un d'hyper calme, zen.

De nombreuses fois, elle ma dit que ma présence l'apaisé, au début on trouve ça bien, et puis de fil en aiguille, on devient un "apaiseur", sauf que je suis un têtu, et que je pars du principe, que si elle peux s'apaisé en ma compagnie, elle le peut aussi d'elle même, dans ces moments la, je commence à prendre mes distances, de la on est plus "apaiseur" mais on met en évidence les "troubles" qui "désapaise", le gros problème c'est que les "troubles intérieur" ce retrouve projeter à l'extérieur plutôt que d'être observer intérieurement, viens un autre problème, de ma nature calme, je réagis pas au projection, de la les projections s'intensifie en "tu ne n'aime pas", "tu es méchant", viens la séparation, ce qui est amusant, c'est que ce soit, des semaines, voir des mois après, j'ai toujours des nouvelles, ou on discute "apaisesement" ou elle non plus besoin de moi pour être apaisé, vu de l'extérieur mes relations peuvent sembler chaotique, mais intérieurement c'est   .

Donc, non, je n'es aucune compassion, c'est pas en restant à côté constamment que les choses aurais bougé, au contraire, de la née une dépendance, et je me serais retrouvé enchaîné aussi.

Lux a écrit:

Donc, non, je n'es aucune compassion, c'est pas en restant à côté constamment que les choses aurais bougé, au contraire, de la née une dépendance, et je me serais retrouvé enchaîné aussi.

Ne serais tu pas entrain de confondre compassion et gentillesse? 

Peut être, enfin je sais pas, je m'y perd avec tout ces mots  

J' aime ton témoignage. Rien à dire. Je te comprend. A part la compassion : on n'a pas besoin de rester à coté, d' être là en permanence. La compassion est une compréhension du coeur, il me semble. Reconnaître.

Gnose a écrit:

J' aime ton témoignage. Rien à dire. Je te comprend. A part la compassion : on n'a pas besoin de rester à coté, d' être là en permanence. La compassion est une compréhension du coeur, il me semble. Reconnaître.

Si je prend la compassion sur le wiki :

La compassion est une vertu - par laquelle un individu est porté à percevoir ou ressentir la souffrance d'autrui, et poussé à y remédier. D'où le besoin de ce mot, ainsi que de celui d'empathie.

Si je reprend le suivit du post, je viens de m'apercevoir d'un truc, avec ton intervention que je peux maintenant observé.

Je me rend compte que j'ai eu de la compassion pour les "autres" quand tu parlais de l'homme dans sa globalité, j'ai plus vécu la compassion dans ceux qu'ils auraient pu penser de tes pensées, je me suis focalisé la dessus, pour ça qu'a un moment donné, je t'es dit, que t'es pensées n'appartenait qu'a toi, par la suite tu as dit :

" La reconnaissance de la dualité en soi est la porte vers la guérison. Il faut l' espérer. "

Ici, il n'y a plus les "autres", de la j'ai pu me recentré sur toi -au lieu de la compassion "des autres"- et faire mon témoignage.

Le cœur à fait son chemin.

Une petite définition de la compassion que j'aime bien :


Qu’est ce que la compassion ?

Qu’est ce que la compassion ? La question n’a rien à voir avec la définition du dictionnaire. Quelle relation y a-t-il entre l’amour et la compassion ? Se confondent-ils en un même processus ? L’emploi du mot relation sous-entend une dualité, une séparation : quel rôle exact joue l’amour dans la compassion ? N’est-il pas en fait la plus haute expression de la compassion ? Telles sont les questions que nous nous posons. Comment pouvez-vous être compatissant si vous appartenez à une religion, si vous suivez un gourou, si vous êtes croyants, si vous avez foi en vos saintes écritures, etc. si sous êtes attaché à des idées toutes faites ? Lorsqu’on est disciple d’un gourou, on a déjà ses conclusions ; si l’on croit fermement en Dieu, en un sauveur, ou en telle ou telle chose, la compassion peut-elle exister ? Certes, vous pouvez vous rendre socialement utile, secourir les pauvres par pitié, par solidarité, par charité, mais est-ce bien de l’amour, de la compassion ? Comprendre la nature de l’amour, être dans cet état où le cœur est habité par l’Esprit, c’est cela l’intelligence.

L’intelligence consiste à comprendre ou à découvrir ce qu’est l’amour. L’intelligence n’a absolument rien à voir avec la pensée, avec l’aptitude intellectuelle, avec le savoir. Vous pouvez faire preuve de grande capacité dans vos études, dans votre travail, être capable d’argumenter de manière très habile, très logique, mais ce n’est pas cela, l’intelligence. L’intelligence va de pair avec l’amour et la compassion, et il est impossible de faire la rencontre de cette intelligence à titre individuel. La compassion, ce n’est ni votre compassion, ni la mienne, et la pensée non plus ne nous appartient pas, ni à vous ni à moi. Lorsque l’intelligence est là, il n’y a plus ni de vous ni de moi. Elle ne réside ni dans votre esprit ni dans votre cœur. Cette intelligence suprême est partout. C’est elle qui fait tourner la terre, le ciel et les étoiles, car c’est cela la compassion.

L’esprit et la pensée, poche, p. 245-246 - Khrisnamurti