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 De santé et nutrition...

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MessageSujet: De santé et nutrition...   De santé et nutrition... - Page 2 Icon_minitimeJeu 28 Juin 2012 - 17:28

Rappel du premier message :

L’huile essentielle de menthe poivrée est un des joyaux de l’aromathérapie

Je vous en parle avec d'autant plus d'assurance que la menthe poivrée est utilisée depuis des millénaires en médecine, ce qui en fait une des plantes dont les effets sont les mieux connus. Elle a fait l’objet de nombreuses études cliniques et scientifiques (1) (2) pour ses propriétés incroyables.

Vous la trouverez principalement dans le commerce sous son nom latin, mentha piperita, bien utile pour être sûr que nous parlons bien de la même espèce de menthe poivrée.

Et vous allez voir qu'en posséder un flacon dans l'étagère de votre salle-de-bain se justifie d'autant plus que son action ne se limite pas aux maux de tête.


Découvrez le monde merveilleux de l'aromathérapie
L'aromathérapie est l'utilisation médicale des extraits aromatiques de plantes (essences et huiles essentielles). C'est donc une branche de la médecine par les plantes, que les spécialistes appellent la phytothérapie.

Cette discipline est, évidemment, vieille comme le monde, les plantes et leurs arômes ayant été de tous temps indispensables à la santé de l'homme. Mais d'immenses progrès ont été faits au 20e siècle.

En effet, ce n'est que depuis une centaine d''années que des scientifiques ont commencé à concentrer leurs recherches sur les arômes exclusivement. Le mouvement aurait commencé, comme beaucoup de grandes découvertes, par un accident : en 1910, le chimiste René-Maurice Gattefossé, qui faisait des recherches en parfumerie, se brûla grièvement les mains, lors d'une explosion de laboratoire.

Sa blessure s'infecta et il fut rapidement atteint de gangrène gazeuse, un mal qui, à cette époque, ne pardonnait pas.

Dans un geste désespéré, René-Maurice retira ses bandages et appliqua sur ses plaies de l’huile essentielle de lavande, dont il se servait pour ses parfums et qu'il soupçonnait être puissamment antiseptique et cicatrisante. On raconte que les résultats furent stupéfiants. René-Maurice Gattefossé, en tout cas, en réchappa. Dès lors, il orienta ses recherches sur les propriétés des huiles essentielles.

C'est lui qui, en 1935, inventa le terme d'aromathérapie. A noter que la France fut le berceau de l'autre grand maître de l'aromathérapie, Jean Valnet.

Grâce aux techniques modernes de distillation, l'aromathérapie peut aujourd'hui recourir à des arômes de plantes extrêmement concentrés, ce qu'on appelle les « huiles essentielles », et dont tout le monde parle autour de vous...


Les huiles essentielles
L’huile essentielle est le principe actif, c'est-à-dire l'ensemble des composants possédant un effet thérapeutique, qui est récolté par distillation à la vapeur de la plante fraîche. Elle a donc l'odeur de la plante, mais en beaucoup plus puissant. Les fabricants distillent parfois plusieurs tonnes de plantes pour obtenir un seul litre d'huile essentielle (3), ce qui explique le prix exorbitant de certaines huiles.

Ainsi, un litre d'huile essentielle d'une plante aussi bête que l'estragon peut coûter 820 euros !

Et ne vous laissez pas tenter par le discount : une huile essentielle trop bon marché est forcément de faible qualité, voire " frauduleuse ", c'est à dire mélangée ou coupée à d'autres substances naturelles (huiles végétales, alcools…) ou chimiques (solvants, colorants, parfums de synthèses…).


Les différentes voies d’utilisation des huiles essentielles
Il existe trois modes d'administration des huiles essentielles, qui varient selon les huiles, tout comme les doses d'utilisation.


Par ingestion : sur du pain complet, par exemple, ou tout autre aliment solide. On utilise ici du pain comme intermédiaire pour diminuer la concentration de l’huile (sans diminuer la quantité ingérée) et ainsi éviter tout risque de brûlure interne si l’ingestion est faite directement. Les huiles essentielles peuvent aussi être diluées dans d'autres huiles, mais pas dans un liquide aqueux, puisque l'huile n'est pas soluble dans l'eau.
Par massage : sur le corps mais jamais sur une zone trop étendue, par l’intermédiaire d’une huile végétale (dilution à 20 %, soit 2 gouttes d'huile essentielle pour 10 gouttes d'huile végétale). Le massage est nécessaire car il va permettre au principe actif de pénétrer directement dans la peau et d'aller ensuite dans la circulation sanguine pour produire son effet. L'action est moindre quand l'huile est utilisée dans le bain.
Par diffusion : cette méthode ne concerne pas ou peu la menthe poivrée, dont nous parlons plus loin, mais il est possible de diffuser les huiles dans les pièces de la maison grâce à un diffuseur qui mettra en suspension des micro-gouttelettes. Ne pas utiliser de diffuseur chauffant, car la chaleur peut dénaturer les huiles.


Les étonnantes vertus de l'huile essentielle de menthe poivrée
Mais venons-en au cœur de notre sujet : les étonnantes vertus de la menthe poivrée.

L'huile essentielle de menthe poivrée mentha piperita est efficace contre les maux de tête, les nausées, la mauvaise haleine, la digestion difficile et l'hypotension... entre autres. C'est donc une petite pharmacie portative.

Dans le cas de maux de tête, il suffit d’en déposer 2 gouttes sur l’index et de se masser les tempes et l’ensemble du front en faisant très attention de ne pas s’en mettre dans les yeux car cela provoque des brûlures (dans ce cas, rincez abondamment à l’eau froide et demandez conseil rapidement à votre pharmacien/médecin). Il n'est en général pas utile de diluer l'huile essentielle de menthe poivrée, mais certaines personnes particulièrement sensibles pourront ressentir des brûlures. Dans ce cas précis, mélangez la menthe poivrée avec une huile végétale de millepertuis (dans le cas des maux de tête) ou de l’huile d’olive que vous avez plus facilement à portée de main.

Ce massage a un effet vasodilatateur (dilatation des vaisseaux sanguins) : votre circulation sanguine ralentit, provoquant un effet calmant. Le résultat est rapide. Au bout de quelques minutes déjà vous ressentez les premières sensations de froid qui sont apaisantes.

Pour compléter l'effet, si les applications de menthe poivrée ne suffisent pas, une autre huile essentielle a un effet fantastique (et le mot n’est pas exagéré) sur les maux de tête. Il s'agit de l’huile essentielle de gaulthérie, qui mélangée avec de l’huile végétale de millepertuis, a un effet rapide et très efficace.

Dans les cas de mauvaise haleine, nausées (d’une efficacité incomparable) et de problèmes digestifs de tous ordres (vomissements, flatulence, digestion difficile...), mettez-en une à 2 gouttes sur du pain complet et mangez le tout (ne pas dépasser 3 prises par jour). L’effet est quasi immédiat et vous bénéficierez d'une haleine fraîche pendant plusieurs heures, ce qu'aucun « bonbon » ou autre « médicament » ne peut faire. Vous pouvez même effectuer un test intéressant : massez-vous la voûte plantaire en mettant de l’huile essentielle de menthe poivrée. Au bout de quelques minutes, vous aurez, Mesdames et Messieurs... une haleine de menthe ! Ceci pour vous montrer la puissance de diffusion dans le corps de l'huile essentielle de menthe (à quand ce numéro au cirque Zavatta ? ).

Contre la toux, il est possible d’appliquer en massage 2 gouttes de menthe poivrée sur le thorax pour libérer les bronches du fait de l’action du menthol contenu dans l’huile.

L'huile essentielle de menthe poivrée possède aussi des vertus contre les traumatismes bénins par massage sur la zone concernée. Selon le magazine professionnel, Profession Kiné (5) « le mécanisme d’action du menthol, en déclenchant une sensation de froid, entraîne une analgésie (interruption de la douleur) locale significative d’ailleurs appréciée de tous les kinés du sport ayant à soulager rapidement les compétiteurs sportifs souffrant d’un traumatisme bénin. »

Enfin, je recommande l’utilisation d’huiles essentielles bio: dans la mesure où vous allez ingérer, respirer, ou vous appliquer le produit sur la peau, mieux vaut éviter qu'il ne contienne des agents chimiques. Vous en trouverez dans les magasins Nature et Découverte, mais aussi dans la plupart des magasins bio, herboristeries et pharmacies.


Prix
Le prix de l'huile essentielle de menthe poivrée est un peu moins élevé que la moyenne. Un flacon de 10 ml (environ 200 gouttes) coûte 5 à 6 euros, 13 euros environ si vous choisissez la formule biologique. Cette quantité vous suffit pour une année d'utilisation.


Précautions à prendre avant l’utilisation
L'huile essentielle de menthe poivrée est formellement déconseillée aux femmes enceintes, ainsi qu'aux enfants de moins de six ans.

Ne substituez pas des huiles essentielles à un traitement médical sans en avoir parlé au préalable à votre médecin.

Manipulez toujours avec prudence les huiles essentielles pures. Elles brûlent facilement la peau, et plus encore les muqueuses (yeux, narines, etc.). A la moindre irritation, augmentez le niveau de dilution.

Si vous avez un doute, adressez-vous à votre pharmacien ou herboriste le plus proche, qui saura vous donner des informations complémentaires.

Il est conseillé de conserver les huiles essentielles à l’abri de la lumière pour éviter toute dégradation, à une température constante aux alentours de 20°C, et dans leur flacon d’origine bien fermé. La conservation dans ces conditions est supérieure à 5 ans.

A votre santé,

Jean-Marc Dupuis


*******************


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MessageSujet: De santé et nutrition...   De santé et nutrition... - Page 2 Icon_minitimeMer 25 Juil 2012 - 14:18

Idem merci pour l'eau Anubis .
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MessageSujet: De santé et nutrition...   De santé et nutrition... - Page 2 Icon_minitimeMer 25 Juil 2012 - 14:39

De Toulouse je déménage en Ariège lors d'un contôle de santé le medecin verifie ma glande thyroide et me dit qu'il la trouve un peu trop grosse, je lui dit demande que faut t-il faire il me parle de l'iode .Bien me suis je penser! tout les samedis pendant 2 mois au marché de Saint girons j'irais acheter une douzaine d'huitres ,résultat ma glande thyroide a repris sa forme initiale.
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Reïna
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MessageSujet: Re: De santé et nutrition...   De santé et nutrition... - Page 2 Icon_minitimeLun 10 Sep 2012 - 17:11

Cher Jean-Marc, les céréales...
Un fidèle lecteur me demande si, lorsque je recommande de limiter les « céréales », il s'agit des Corn Flakes, Smacks et autres Choco-Pops du petit-déjeuner.

La réponse est non.

Ou plutôt oui ! Ces céréales doivent être évitées mais c'est aussi le cas des autres produits à base de céréales, y compris les céréales complètes.

Le pain, les pâtes, le maïs, la semoule et même le riz, le seigle, le sarrasin, le boulgour, le millet, l'avoine, tous ces aliments sont à limiter au maximum.

Je dis bien limiter car il est difficile dans nos sociétés de les éviter tout-à-fait.


Pourquoi ??
Vous ne trouverez pas l'explication sur mangerbouger.fr, qui recommande au contraire de vous bourrer de céréales, mais les céréales sont des sucres : elles se transforment en glucose dans votre estomac, provoquant un afflux nocif de sucre dans votre sang.

Sucres lents, sucres rapides, là n'est pas la question. Jusqu'à l'apparition de l'agriculture il y a 10 000 ans (époque néolithique), l'homme ne mangeait pratiquement pas de céréales. Notre système digestif n'est donc pas prévu pour assimiler les quantités de glucides que nous mangeons actuellement. Il n'a pas les enzymes nécessaires. Les enzymes sont des molécules qui déclenchent des réactions chimiques, et en particulier la transformation des aliments en molécules utilisables par les cellules. C'est parce que les bovins ont d'autres enzymes que nous qu'ils sont capables de brouter de l'herbe, et de la digérer.

Pour un être humain, manger des céréales ne revient pas à brouter de l'herbe, mais presque. 10 000 ans ne suffisent pas à ce que notre système enzymatique évolue assez pour s'adapter à un si grand changement alimentaire. Beaucoup d'êtres humains, sans le savoir, souffrent actuellement de l'excès de céréales dans l'alimentation.

Les pires sont les céréales qui sont raffinées, grillées et/ou soufflées, car elles augmentent encore plus vite le taux de sucre sanguin, ouvrant grand la porte à l'obésité et au diabète. Mais le seul réel avantage des céréales complètes est de contenir des minéraux, des fibres et des vitamines, du moins tant que la cuisson ne les a pas détruites. Or, vous pouvez trouver ces nutriments en abondance dans d'autres aliments, qui n'auront pas l'inconvénient comme les céréales d'être si chargés en sucres.

La plupart des céréales contiennent aussi du gluten, cause de réactions allergiques nombreuses, bien que souvent non diagnostiquées.

Parmi les céréales courantes, toutes ont une très forte charge de sucre, et seuls le maïs, le riz, le sarrasin et le millet ne contiennent pas de gluten.


Gluten : le nouvel envahisseur
L'alimentation des populations européennes et nord-américaines repose essentiellement sur le blé, et en particulier le froment, qui est l'espèce la plus importante de blé cultivé.

Le froment est aussi appelé blé tendre. Vous le trouvez dans toutes les cuisines, sur toutes les tables.

Or, le froment moderne a été sélectionné par l'homme pour contenir un maximum de gluten, un complexe de protéines.

Plus une farine est riche en gluten, plus elle est panifiable, c'est-à-dire qu'elle produit une pâte élastique, qui lève facilement. Vous pouvez faire l'expérience : essayez de faire de la pâtisserie avec une farine sans gluten comme la farine de sarrasin (blé noir), de maïs ou de riz. Après avoir mélangé cette farine à de l'eau et à vos autres ingrédients, vous obtiendrez un espèce de ciment compact qui refusera obstinément de gonfler, à moins d'y mettre des tonnes de levure chimique. C'est pourquoi les civilisations qui n'avaient que des farines sans gluten, sont devenues des spécialistes... des crêpes et des galettes : les Bretons font des galettes de blé noir, les Aztèques des galettes de maïs (la fameuse tortilla des Mexicains), les Vietnamiens des galettes fines de riz, pour faire les nems ou les rouleaux de printemps.

Les farines riches en gluten, au contraire, permettent de faire des brioches gonflées, des pains de mie mousseux et, avec une bonne dose de beurre, des viennoiseries croustillantes .

En fait, les boulangers se sont aperçus que plus leurs produits sont riches en gluten, plus ils plaisent. Ils mettent donc du gluten partout : ils en ajoutent encore à la farine, et le gluten est utilisé comme additif pour donner du liant à de nombreux autres produits, comme les soupes, les plats préparés (y compris les conserves), les biscuits et les bonbons.

Sans le savoir, vous mangez donc constamment du gluten, et vous en mangez considérablement plus que vos ancêtres, ce que Dame-Nature n'avait pas prévu pour vous.

Le problème est que l'intolérance au gluten, que l'on croyait autrefois rare, est courante. Elle pourrait toucher un tiers de la population (certains pensent que le chiffre est plus élevé encore).


Êtes-vous intolérant au gluten ?
L'intolérance au gluten est une maladie considérée comme génétique, et auto-immune, mais il arrive qu'elle ne se manifeste qu'à partir de trente ou quarante ans. Lorsqu'une personne intolérante mange ou boit un aliment contenant du gluten, les protéines déclenchent une réaction allergique, provoquant une inflammation.

Les symptômes varient beaucoup d'une personne à l'autre : dermatite (irritations de la peau), fatigue, douleurs articulaires, reflux gastro-œsophagien, ballonnements et diarrhées, infertilité. Certaines personnes sensibles au gluten n'ont toutefois pas de symptômes apparents, au moins durant certaines périodes de leur vie.

Dans les cas les plus graves, l'intolérance au gluten provoque des trous dans l'intestin : c'est la maladie cœliaque. Les minuscules plis qui recouvrent la paroi intérieure de l'intestin, et que les médecins appellent « villosités », sont détruits. L'intestin devient poreux, laissant passer de grosses molécules de nourriture qui auraient dû être filtrées. Mais comme sa surface diminue du fait de la disparition des villosités, il absorbe moins bien les nutriments qu'il aurait dû laisser passer, provoquant une dangereuse dénutrition.

Parfois, les symptômes sont si évidents que vous ne pouvez pas les manquer, comme par exemple une diarrhée précipitée ou une violente crise d'eczéma dès que vous touchez du gluten. Mais lorsqu'il s'agit d'un mal de crâne, de douleurs articulaires, d'une intense fatigue, la plupart des gens ne font pas le lien avec le sandwich qu'il viennent de manger.

Ce sont donc souvent les effets de la dénutrition (interruption de croissance chez les enfants, amaigrissement, troubles du comportement) qui entraînent le diagnostic de la maladie par les médecins. Mais il est alors trop tard.

Une personne sur 133 est touchée par la maladie cœliaque, mais malheureusement, la maladie est rarement diagnostiquée assez tôt pour éviter que l'intestin ne soit endommagé.


Faire le diagnostic
Heureusement, les méthodes de diagnostic de la sensibilité au gluten ont beaucoup progressé ces dernières années, grâce à une large prise de conscience du public.

Il existe des analyses de sang et de selles, qui mesurent la présente d'IgA anti-gliadine, un anticorps qui apparaît dans le sang et dans les selles en présence de gliadine, une protéine entrant dans la composition du gluten. Avant d'apparaître dans le sang, ces anticorps apparaissent dans l'intestin et c'est pourquoi les analyses de selles sont considérées comme plus précises pour détecter la sensibilité au gluten.

Cependant, plutôt que de faire des analyses, le mieux est de faire l'expérience d'une vie sans gluten pendant quelques semaines (disons un mois).

Au bout d'un mois, ré-introduisez progressivement le gluten dans votre alimentation et surveillez l'apparition de tout symptôme étrange (liste ci-dessus). Si vous voulez une confirmation de votre diagnostic, vous pouvez passer aux analyses sanguines et aux analyses de selles, mais commencez par le changement de régime.

Ce sera votre meilleur indicateur, et probablement le seul nécessaire.


Cuisiner sans gluten, c'est facile
Cuisiner sans gluten est une expérience culinaire passionnante, et franchement très agréable, qui vous permettra de redécouvrir une alimentation saine et riche en vitamines et minéraux. Avec un peu d'organisation, vous vous apercevrez qu'il n'est pas vraiment plus compliqué de vous nourrir sans gluten, à partir du moment où vous avez fait les bons choix au supermarché.

Bien entendu, au départ, il faudra des efforts pour perdre vos réflexes. Il faudra éliminer de votre caddie farines, pains de toutes sortes, biscottes, biscuits (salés et sucrés), semoules, pizza, toutes les pâtes alimentaires (cannelloni, spaghetti, lasagne…), pâtisseries, viennoiseries, pâtes à tartes, chapelure, pain, bière (malt), flocons d’avoine, céréales du petit-déjeuner.

Cela paraît beaucoup, mais les rayons des magasins sont grands ! Et il vous reste des centaines d'aliments dans lesquels piocher. Voici une liste rapide de ceux qui pourront faire la base de votre régime sans gluten :

Riz, sésame, maïs, sarrasin, pommes de terre, manioc, foie, abats de volailles, longe de porc, jambon, oeuf, saumon, sardines, hareng et autres poissons gras, huîtres et palourdes, haricots (blancs et rouges), lentilles, fèves, soja sous toutes ses formes, fromages à pâte dure, lait de chèvre, tomates, concombres, épinards, bette à carde, asperges, toutes les sortes de choux, brocoli, algues nori, cresson, légumes à feuilles, patates douces, citrouilles, carottes, champignons shiitake séchés, graines de lin, noix du Brésil, amandes nature, graines de tournesol nature, noisettes nature, huile de tournesol, huile de canola (colza), vinaigre.

Et vous trouverez de nombreuses recettes sans gluten, y compris de pâtisseries, sur http://www.lafaimdesdelices.fr/

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis
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MessageSujet: Re: De santé et nutrition...   De santé et nutrition... - Page 2 Icon_minitimeLun 10 Sep 2012 - 21:00

Merci pour tes interventions, Reina.
Elles sont riches et m'apportent beaucoup

Pour ce qui est de l'eau, est ce que l'eau du robinet passé par un filtre (type Brita...) serait buvable ?
:smitten)
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Reïna
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MessageSujet: Re: De santé et nutrition...   De santé et nutrition... - Page 2 Icon_minitimeLun 10 Sep 2012 - 23:24

Je pense que oui, je me sers de la carafe Brita. Ce qui ne m'empêche pas parfois pour le plaisir de boire des eaux minérales ou de source...
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MessageSujet: Re: De santé et nutrition...   De santé et nutrition... - Page 2 Icon_minitimeMar 11 Sep 2012 - 13:03

Oui parce que concernant l'eau de source / minérale en bouteille, il faut prendre en compte l'énergie "dépensée" pour l'extraire, fabriquer les bouteilles, la conditionner dans les bouteilles et la transporter jusqu'au consommateur... scratch
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MessageSujet: Re: De santé et nutrition...   De santé et nutrition... - Page 2 Icon_minitimeMar 11 Sep 2012 - 13:28

Vous avez raison, les bouteilles plastiques polluent notre chère mère.
De plus les bouteilles, sur leur chaine de remplissage, passe au rayon X pour empêcher les prolifération en tout genre.
Les carafes filtrantes sont beaucoup plus écologique, néanmoins l'eau de notre robinet n'est pas très nette, et les filtres ne suppriment pas les nitrates, les bactéries..
Certains ont l'immense privilège d'avoir une source d'eau, qu'ils les préservent !
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MessageSujet: Re: De santé et nutrition...   De santé et nutrition... - Page 2 Icon_minitimeVen 14 Sep 2012 - 12:22

Bonjour,
Et bien la discussion est remplie d'information intéressante. Passionnée d'aromathérapie, j'ai été contente d'en savoir autant sur la menthe poivrée.
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Reïna
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MessageSujet: Re: De santé et nutrition...   De santé et nutrition... - Page 2 Icon_minitimeMar 9 Oct 2012 - 23:20

Pourquoi tant d'hostilité contre les médecines naturelles ?

Les médecines naturelles sont un domaine plus surveillé par les autorités que bien des activités criminelles.

La vente de compléments alimentaires naturels (plantes, vitamines, acides gras, acides aminés, minéraux, etc.), par exemple, est réglementée de façon beaucoup plus stricte que la vente de tabac, d'alcool, d'armes, ou encore de films incitant à la violence.


Le cas de la vitamine D
Pour illustrer la rigidité de la situation, nous allons parler d'un produit naturel dont aucun scientifique sérieux ne peut contester les bienfaits : la vitamine D.

La vitamine D est produite dans votre peau sous l'effet du soleil, et plus précisément sous l’action des rayons ultraviolets. Dans les pays du Nord de l’Europe, 75 % de la population souffre d’une carence en vitamine D pendant l’hiver. Cette carence est d'autant plus répandue que les foies de morue et de flétan et les poissons gras (sardines, hareng, maquereau, thon etc.) qui sont les principales sources alimentaires de vitamine D, sont de moins en moins consommés.

Or, manquer de vitamine D a des effets graves. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la régulation du métabolisme phosphocalcique (indispensable au bon fonctionnement musculaire, intestinal, neurologique et à la minéralisation des os) ; elle est aussi fortement impliquée dans la synthèse de l’insuline par le pancréas. Enfin, elle exerce des fonctions physiologiques de type hormonal sécostéroïde en exerçant de multiples effets sur l’expression des gènes.

En effet, la vitamine D influence plus de 3000 gènes dans le corps dont, par exemple, les gènes qui contrôlent la lutte contre les infections, et qui produisent plus de 200 peptides anti-microbiens.

Et ce n'est pas tout !

Les études scientifiques ont établi un lien incontestable entre le taux de vitamine D et l'état de santé :


Selon une méta-analyse de 18 études en double aveugle randomisées, un taux élevé de vitamine D dans le sang réduit le taux de mortalité toutes causes confondues [1]. Une étude en double-aveugle, ou double insu, est une étude où des personnes suivent un traitement ou un placebo (faux médicament), sans que ni leur médecin, ni elles-mêmes, ne sachent si elles reçoivent le traitement ou le placebo.

Une étude récente a montré que le nombre de décès au Canada pourrait être réduit de 37 000 annuellement, soit 16 % des décès du pays, si la population avait un taux de vitamine D plus élévé [2].

Une étude réalisée en commun par les universités de Graz (Autriche) et Heidelberg (Allemagne) est arrivée à des conclusions similaires, en février 2009 : 3200 hommes et femmes de 62 ans en moyenne ont été observés sur une période de sept années. 740 sont décédés entre temps. Parmi les personnes décédées, elles étaient deux fois plus nombreuses à avoir un taux de vitamine D réduit, qu'un taux de vitamine D élevé.

Grâce à ses effets bénéfiques sur le système immunitaire, la vitamine D pourrait avoir un puissant effet de protection contre le cancer. Les chercheurs sur le cancer de l'hôpital Mount-Sinai de Toronto (Canada) ont comparé les habitudes alimentaires de 760 femmes ayant le cancer du sein à un groupe de 1135 personnes en bonne santé. Ils ont constaté que les personnes ayant un bon taux de vitamine D avaient 24 % de risques en moins de tomber malade. Des résultats similaires ont été observés pour le cancer de la prostate et du colon.

Les chercheurs de l'Institut du Coeur de Kansas City (USA) ont également démontré un effet protecteur de la vitamine D sur le coeur et les artères. En décembre 2008, ils ont évalué les données concernant plus de 10 000 personnes test, sur une durée de dix-sept ans. Il s'est révélé qu'un taux réduit de vitamine D dans le sang doublait le risque d'infarctus. Une cause possible de cet effet protecteur est la capacité de la vitamine D à diminuer la pression sanguine.
Face à tous ces bienfaits (et il y en a d'autres), la vitamine D présente aussi des dangers pour la santé. Mais ces dangers sont limités : il est impossible de souffrir de surdose de vitamine D par sa seule alimentation. Et il faut prendre quotidiennement des doses supérieures à 20 fois les apports journaliers recommandés (AJR), autrement dit avaler une douzaine de pilules ou d'ampoules de vitamine D par jour, pour observer des effets indésirables.

Vous pourriez donc penser qu'une complémentation modérée de vitamine D, dans les populations déficitaires, serait favorisée par les pouvoirs publics ; que le ministère de la Santé informerait le public ; et que les fabricants de ces compléments seraient autorisés à signaler les bienfaits à attendre de cette vitamine, par exemple en diffusant les résultats des études scientifiques citées ci-dessus.

Eh bien pas du tout. La vente de vitamine D à des doses suffisantes pour avoir un effet bénéfique réel est strictement interdite sans ordonnance d'un médecin. Ce qui explique que seule une infime proportion de la population, particulièrement bien informée et motivée, bénéficie des nouvelles découvertes sur la vitamine D.

Non seulement les fabricants de compléments alimentaires ne sont pas encouragés à informer le public de ses bienfaits, mais il leur est même interdit de le faire, et même de vendre des doses de 5 microgrammes de vitamine D (Apport Journalier Recommandé officiel).

De plus, s'ils vendent de la vitamine D en citant sur la notice une seule des études citées plus haut, ou s'ils laissent entendre dans la présentation du produit qu'elle peut avoir un bienfait pour la santé, quel qu'il soit, ils sont passibles des poursuites prévues à l'article L5122 du Code de la Santé Publique.


Interdiction des allégations thérapeutiques
Il est interdit aux fabricants de compléments alimentaires de mentionner sur leurs produits les effets escomptés sur la santé, les maladies, en termes de prévention comme de guérison.
Si on suit la réglementation actuelle jusqu'au bout, il est interdit à une marque d'eau minérale d'indiquer sur l'étiquette que l'eau « aide à prévenir la déshydratation ». Ce n'est pas un canular, mais l'expérience réelle que viennent de réaliser deux chercheurs allemands, dont la demande a été refusée par l'agence européenne du médicament.

La conséquence est que les patients en sont réduits à courir des risques insensés en recherchant sur Internet des indications sur les compléments alimentaires qu'ils achètent. Risques insensés non parce que les produits qu'ils prennent pourraient leur causer des inconvénients, mais parce qu'ils ont de grands risques de passer à côté d'un produit qui pourrait les aider. Et pourtant, cette interdiction d'information est imposée au nom de « la protection de la santé publique ».

En prenant ainsi la défense des fabricants de compléments alimentaires, je sais que je m'expose à être critiqué comme un « suppôt de l'industrie » et des « vendeurs de pilules ».

Mais mon activité professionnelle ne consiste pas à vendre de tels produits : elle consiste à produire et publier de l'information sur la santé naturelle. J'aurais tout à perdre, en terme de crédibilité, à prendre le parti de tel ou tel secteur de l'industrie. Et précisément, ainsi que je le dis toujours, votre meilleure source de vitamine D est entièrement gratuite puisque c'est... le soleil !!


Comment en est-on arrivé là ?
L'hostilité des pouvoirs publics vis-à-vis des médecines naturelles date de la Seconde Guerre Mondiale, lorsque fut créé l'Ordre des Médecins en 1940, et que fut supprimé le diplôme d'herboriste en 1941.

Il s'agissait de faire entrer le pays dans la médecine « scientifique moderne ».

Il faut se replacer dans le contexte de l'époque pour comprendre cette démarche.

En toute bonne foi, des médecins, des chercheurs et des responsables politiques ont créé un système de santé centralisant tout le pouvoir et les ressources financières pour, selon leur vision, découvrir, et imposer, la meilleure solution, le meilleur protocole de traitement pour chaque maladie.

Cette démarche leur paraissait d'autant plus légitime que beaucoup étaient persuadés que ce n'était qu'une question de temps avant qu'on trouve un vaccin, ou des médicaments quelconques, qui viendraient à bout de toutes les maladies.

Le Ministère de la Santé en France développa une technostructure complexe faite d'un enchevêtrement d'agences, de comités, de « hautes autorités », d'ordres et de commissions, qui prirent sur eux de prendre les grandes décisions concernant la santé de la population. Les médecins, dans leur optique, devaient être traités comme de simples courroies de transmission soumises à leurs ordres et à leurs règlements. Les patients, eux, ne devaient plus avoir leur mot à dire puisqu'ils n'avaient pas la compétence technique pour comprendre ce qui était le meilleur pour eux.

L'Ordre des Médecins commença à imposer des protocoles de traitements standardisés, et à exclure les médecins qui refusaient de s'y soumettre. Une fois exclu de l'Ordre, un médecin n'a plus l'autorisation d'exercer la médecine. C'est donc une sanction extrêmement grave pour lui. Non seulement il perd son métier, mais il subit une opprobre telle que rares sont les médecins qui osent s'exposer à de telles sanctions – et personne ne peut leur en vouloir.

La médecine française a donc été mise au pas, et forcée d'entrer dans un seul moule. Un nombre incalculable d'herboristes et de guérisseurs, héritiers de traditions ancestrales d'une richesse pourtant fabuleuse, se retrouvèrent du jour au lendemain passibles de poursuites pour « exercice illégal de la médecine », ou « exercice illégal de la pharmacie » sous prétexte qu'ils n'avaient pas, et ne pouvaient pas, adhérer à l'Ordre des Médecins ou des Pharmaciens. Il en fut de même dans les monastères où certains religieux se transmettaient encore des savoir-faire médicinaux datant de la nuit des temps.

On imagine le scandale que causerait une telle décision, prise aujourd'hui par le gouvernement du Brésil par exemple, qui imposerait du jour au lendemain sur toute l'Amazonie que seuls les médecins dûment diplômés des facultés d'Etat des villes côtières occidentalisées aient le droit de prodiguer des soins, ou de donner des plantes aux malades.

Nul doute que des mouvements énormes de protestation seraient organisés à l'ONU, à l'UNESCO, et par les ONG du monde entier au nom du « respect des cultures », pour protester contre une tentative aussi barbare de faire table rase du passé. C'est pourtant exactement l'oppression qui a été imposée, et qui continue d'être imposée, en France sur les malades et les médecins bien qu'en Occident, le savoir en occident se soit aujourd'hui très largement perdu.


Un couvercle de plomb
Protocoles de traitements de la moindre maladie, autorisations de mise sur le marché des médicaments, taux de remboursement, prix des consultations, critères de sélection des médecins, nombre de diplômes de médecins délivrés (le fameux numerus clausus), répartition territoriale des hôpitaux et cliniques, campagnes de vaccination, tout fut donc désormais décidé par le seul Ministère de la Santé, et la technostructure qui en dépend. Aujourd'hui encore, c'est lui, et lui seul, qui décide ce qu'il faut faire et penser dans tous les domaines de la médecine et de la santé : ce que votre médecin a le droit de vous prescrire, les traitements que vous avez le droit d'entreprendre.

Cette situation est potentiellement génératrice de souffrance pour les patients, qui peuvent avoir l'impression de n'être qu'un rouage du système de santé. Mais elle est également d'une grande violence pour les médecins, qui peuvent avoir le sentiment que les conditions ne sont plus réunies pour qu'ils puissent remplir leur mission auprès des malades.

L'extrême sévérité et rigidité du système de santé à l'encontre des médecins « déviants » n'a toutefois pas permis de protéger le public contre les charlatans, qui semblent même être plus nombreux que jamais, ainsi qu'en témoigne le rapport, certes critiquable par bien des aspects, de la Miviludes (Mission de vigilance contre les sectes) paru le 10 juin 2011 au sujet des dérives sectaires dans le monde des thérapies parallèles.

Tout se passe comme si le couvercle de plomb qu'on a voulu imposer sur la santé, avait en réalité servi de serre protectrice pour que se développe, en France, une myriade de pratiques thérapeutiques douteuses. Ces dérives sont d'autant plus dangereuses que le patient en quête de solutions naturelles n'a plus aucun moyen de distinguer les thérapeutes sérieux des autres, tous étant soumis à la même suspicion, voire aux mêmes interdictions, dès lors qu'ils ne suivent pas les protocoles officiels.

Il est alors aisé pour un authentique escroc de crier à la persécution, ou aux atteintes à la liberté individuelle, alors qu'il met réellement en danger la vie de ses victimes.

La plus totale confusion, donc, règne.


La révolution Internet
Ce n’est pas parce qu’il y a un problème qu’il y a une solution.

Ainsi beaucoup de personnes malades aujourd’hui ne peuvent-elles pas compter, sans d’immenses risques et difficultés, échappper au carcan médical créé par le Ministère de la Santé, et à tous ses dangers.

Elles n’auront probablement jamais accès à l’information, ou au médecin alternatif, qui existe peut-être quelque part, et qui détient la solution pour les soigner.

Et de toutes façons, ne serait-ce que parce seuls les soins agréés ne leur sont remboursés, elles sont obligées de s’y soumettre pour des raisons financières, même si elles savent qu’il existe, ailleurs, des alternatives meilleures pour elles. Il n’y a pas le choix.

En revanche, rien n’interdit aux plus jeunes d’entre nous d’espérer avoir, un jour, la liberté de choisir leur médecine.

En termes de prévention également, la recherche scientifique progresse rapidement et les possibilités sont de plus en plus grandes. La seule difficulté est d’avoir accès à une information scientifique fiable et objective.

Mais grâce à Internet, d’immenses horizons de liberté se développent depuis plusieurs années. Cette lettre d’information gratuite est, je l’espère, un moyen pratique et agréable d’acquérir une culture générale sur la santé naturelle, et qui peut se révéler vitale un jour pour vous ou pour un de vos proches. Informer le public le plus largement possible, c’es en tout cas une façon de mener le combat pour la défense de l’intérêt des patients.

Puissions-nous, chacun là où nous nous trouvons, oeuvrer comme nous le pouvons pour que la médecine se recentre sur un seul objectif : la bonne santé… naturellement.

A votre santé,

Jean-Marc Dupuis
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Hidraya
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MessageSujet: Re: De santé et nutrition...   De santé et nutrition... - Page 2 Icon_minitimeMer 10 Oct 2012 - 13:39

Excusez moi je n ai pas lu le topic depuis le début.
Je réagis au long texte posté par Reïna.
Il faut bien comprendre que ceux qui nous gouvernent, ne sont pas ceux que l on croit! Mad Donc de la vitamine D gratuite, grâce au soleil, cela n intéresse pas tout le monde! D où les nombreuses publicités interdisant de s exposer au soleil. Résultat, encore plus de personnes en déficience de cette vitamine, si importante!!
J en profite pour rajouter: la médecine naturelle oui, mais pas la Bio, avec les recherches effectuées en Amazonie!! C est encore du business au détriment de notre planète!!
Et puis j en profite encore pour ajouter, que la médecine commence par le spirituel, car environ 80 % des maladies mentales et physiques ont une origine spirituelle! Soyons des êtres spirituels et notre santé sera bonne.
sunny
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solasido
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MessageSujet: Re: De santé et nutrition...   De santé et nutrition... - Page 2 Icon_minitimeMer 10 Oct 2012 - 13:47

En effet toute colère semble l'écho d'une guerre spirituelle.

Attention donc à ce qui entre mais aussi à ce qui sort de la bouche,
dans la mesure où chacun n'est finalement nourrit que par ses actions...

:jap:
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Reïna
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MessageSujet: Re: De santé et nutrition...   De santé et nutrition... - Page 2 Icon_minitimeJeu 11 Oct 2012 - 13:00

:171878[1] :jap:
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MessageSujet: Re: De santé et nutrition...   De santé et nutrition... - Page 2 Icon_minitimeMar 13 Nov 2012 - 22:04

Bonjour,
Et bien on en apprend beaucoup sur ce forum. Au moins ici, personne n'est avare d'explications. Comme le sujet a évoqué les huiles essentielles plus haut j'aimerais ajouter qu' il y a des précautions à prendre avant l'utilisation des huiles essentielles et que se renseigner au préalable est vivement conseillé. En effet, les huiles essentielles sont des produits très très concentrés et une mauvaise utilisation peut causer beaucoup de tort.
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MessageSujet: Re: De santé et nutrition...   De santé et nutrition... - Page 2 Icon_minitime

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