Initiation Reiki: qu'avez-vous ressenti ?

Rappel du premier message :

Bonjour, je relance le sujet pour cette année 2017.

J'ai participé pour la première fois à l'initiation reiki 1er degré. C'était en novembre 2016.
On a commencé par une méditation collective.

Le concept est de se connecter via l'énergie pour la déverser sur l'autre dans un but de rééquilibrage énergétique. La volonté de l'égo ne doit pas intervenir, ce qui est très difficile, car souvent quand on fait ce genre de séance c'est que l'ego, justement, veut une guérison. Il faut se rappeller qu'on ne guérit pas. ça reste du coup bien mystérieux lol.

J'ai imposé mes mains à distance du corps sur les différents chakras. La plupart du temps, je ne ressentais pas grand chose....ou parfois je ressentais des choses sans être à l'écoute de mon corps.. C'est à dire que souvent je disais "je ne ressens rien"...puis 10 minutes après, je disais "ah oui j'ai ressenti des picotements"... Je suis du genre à ressentir à retardement lol. Particulière...

Parfois j'ai senti comme des vagues quand je faisais un scan du corps...c'est à dire que ma main, au lieu d'aller tout droit, butait sur un endroit pour faire une vague...je trouvais ça fun... du coup je repassais ma main pour retenter l'expérience...Moi et ma curiosité..

Là où ça été fulgurant dirais-je, c'est lorsque le prof de reiki nous a reçu individuellement... Assise sur une chaise, les yeux fermés, il s'est mis derrière moi, je ne sais pas ce qu'il faisait ....mais j'ai commencé à ressentir comme de la fraicheur au niveau du 7ème chakra et puis une vague d'énergie est parti du bas vers le haut en sortant par ma tête... J'en ai pleuré... Qu'est ce que c'était? Je ne sais pas. Les larmes étaient là, je les ai laissé couler. J'avais l'impression qu'il avait ouvert une soupape.

Après, je me suis sentie très "hypersensible", à fleur de peau...

Mais ce n'était pas fini, on devait continuer nos séances d'apprentissage. ça a duré toute une journée... C'était bien long et fatiguant quand même.
Mes mains sont devenus chaudes pdt tout le long. Mais je n'ai rien ressenti de particuler en plus.

J'ai tenté de faire des séances à mon entourage...Certains ne ressentient rien. A part mon mari qui ressent bcp de choses... parfois désagréables... Il ressent parfois comme un aimant qui appuie sur son corps...

Je n'ai pas encore appris à retirer l'énergie en plus, il y en a que je vois qui tire comme s'il tirait un fil sortant du corps...Mais je ne ressens rien...

J'ai pour projet de refaire cette séance bientôt.

Voilou.

Suara

L'étude des fascias est intéressante mais comme toujours, il n'est pas question de considérer le rôle de l'énergétique vital alors que c'est un "élément" clé faisant évoluer le fonctionnement de l'organisme et pouvant totalement modifier les conclusions des études.
Par exemple, estimer que la cause de douleurs ne provient pas forcément de l'endroit du ressenti: C'est effectivement ce que l'on vérifie suite à constatations de l'aspiration d'énergie vitale puisque la baisse énergétique peut-être globale ou locale avec une zone en déficit assez étendue.

Intéressantes aussi les séances avec application des mains: Quelle quantité d'énergie vitale transférée sans en avoir conscience?

d777
encore une fois toujours la même et unique question: peut-on en prendre conscience et si oui peut-on travailler par couche?

Comme je l'ai dit un peu grossièrement les gens bruts (je n'ai pas dit brutaux) travaillent la couche osseuse et/ou les fascias sans être le moins du monde dérangés au niveau énergétique leur "poids" leur" masse" les protégeant de toute attraction, je ne parle pas là de poids physique bien sûr.

Je n'ai pas cette force pour l'instant j'en suis à ma dixième intoxication médicamenteuse (pour la plupart reconnues par les médecins) + problèmes familiaux d'une certaine façon mes enfants préfèreraient que je m'intéresse à eux . Mais je continue à m'intéresser au sujet, ça me console de ce que la médecine est devenue.

Et puis retrouver toutes ces questions, ces contradictions sous le pseudo d'un autre ça me réconforte de n'avoir jamais rien fait jusqu'ici. C'est donc que mes questions n'était pas si inutiles.

A au fait ressusciter un mort, à part me ressusciter moi je n'ai jamais ressuscité personne, sauf par la manœuvre de Heimlich dans mon travail.

Moi par contre je me suis servie de ce que je connaissais pour me maintenir en vie.

Malheureusement on croit que la foudre ne tombe pas deux fois au même endroit.

Bien sûr que si, le facteur de risque le plus important pour certains accidents c'est d'avoir déjà subi ce type d'accident!

Suara

Travailler sur la couche osseuse ou les fascias ne va pas déranger, en gros 80% de la population qui arrive à conserver son potentiel énergétique vital puisque ne pouvant pas émettre ou très peu.

Le problème se pose pour les 20% environ autres, sensitifs, qui peuvent perdre leur potentiel énergétique vital sous condition que le patient soit en déficit important mais parmi tous les malades, peu sont affectés d'une baisse énergétique et heureusement.

il n'y a donc, en apparence, peu de problème potentiel pour ceux dont la profession nécessite le contact manuel avec le patient. Par contre celui qui va être sensitif, va, de temps à autre, constater les répercussions de l'émission énergétique sans en avoir conscience.
Ce qui fait dire qu'il n'y a pas de problème, en général, et surtout pas d'identification et donc pas de réalité de l'aspiration énergétique. Il faut l'avoir identifié pour constater ensuite la réalité de la corrélation entre pathologie, aspiration et résultat.

Au sujet de l'intoxication médicamenteuse, pour avoir constaté, de visu, les effets du Lévothyrox (pas reconnus officiellement malheureusement), je trouve de plus en plus nécessaire de s'impliquer dans la conservation de son état de santé et surtout dans l'analyse des effets secondaires des traitements.

On dit toujours que l'on n'est jamais mieux servi que par soi-même et c'est vrai dans tous les domaines. Ta volonté t'a permis de rester la tête hors de l'eau, c'est la bonne démarche encore faut-il avoir le courage de serrer les dents.
Au fil du temps, on s'aperçoit que l'acquisition de connaissances personnelles peut permettre d'être plus performant que le professionnel puisque l'on s'intéresse à un seul sujet à la fois et que l'on cherche à l'approfondir au maximum. Le domaine de la santé ne fait pas exception même si c'est très complexe dans bien des cas.

Celui-ci n'est malheureusement pas négociable, sans doute le seul vu que j'ai eu une ablation mais maintenant après la statine je tiens le mors et je vise les autres...