Vos Poèmes ...

Rappel du premier message :

Quand la porte du bonheur se ferme, une autre
s'ouvre, mais souvent nous regardons si longtemps
la porte fermée que nous ne voyons pas la porte
qui a été ouverte pour nous.
Il est vrai que nous ne savons pas la chance que
nous avons d'avoir quelqu'un (ou quelque chose!),
jusqu'à ce que nous le perdions,
mais il est aussi vrai que nous ne savons pas
ce que nous avons manqué quand cela arrive.

Donner à quelqu'un tout votre amour n'est
jamais une assurance qu'il vous aimera en retour!
N'attendez pas d'amour en retour, attendez
seulement que cela grandisse dans leur coeur.
Mais si cela ne se produit pas, soyez content
tout de même que cet amour ait grandi dans le vôtre.
Cela prend seulement 1 minute pour remarquer quelqu'un,
1 heure pour l'apprécier, 1 journée pour l'aimer.
Mais oublier quelqu'un prend toute une vie.

Ne vous fiez pas aux apparences,
elles sont souvent trompeuses.
Ne vous basez pas sur la richesse,
elle peut disparaître.

Merci Sharifa pour ce poème , que tes ailes te portent ....

La détresse du coeur



Que faudrait-il que je dise ?

A qui adresser les mots
pour lesquelles mes lèvres résistent
comment parler des maux
d'un cœur qui hésite

Je vois à l'intérieur des paysages
dans le reflet des larmes
toujours les mêmes traits, le même visage
celui du feu dans la nuit, d'une flamme

Que faudrait-il que je dise ?

Devrais-je prier un ciel
pour la poussière que je suis
qu'il redonne à mes ténèbres le soleil
et au silence de la vie son bruit

Je sais que dans tout l'univers
peu importe mon cri d'humaine
mais pour un cœur qui espère
n'y a-t-il rien pour apaiser sa peine

Que faudrait-il que je dise ?

Devrais-je prêter mon cœur
au souffle ailé du vent
qu'il porte avant qu'il ne meurt
mon message à travers le temps

N'y-a-t-il aucun cieux clément
à travers toutes les étoiles de la terre
qui seulement écoute et entend
le souffle de l'amour d'une prière

Que faudrait-il que je dise ?

N'ai-je pas déjà foi
alors qu'ici tout s'effondre
encore je crois
alors que le tonnerre gronde

Malgré les torrents sauvages
qui emportent ma vie
dans leurs orages
encore de toute mon âme je prie

Que faudrait-il que je dise ?

La tempête ravage le jardin
qui nourrissait ses fruits
à l'aube de chacun de mes matins
au soleil de mes rêves enfuis

Mais dans le désert neuf
une existence nouvelle s'écrit
laissant à la terre l'œuf
d'où émergera une autre vie

Que faudrait-il que je dise ?

que la forêt vaste brille comme l'émeraude
que l'océan reflète l'immensité de l'azure
mensonge pour loups qui rôdent
ce ne sont que des poèmes pour cacher ta vrai nature

Non la vérité, elle, est trop dure
pour que mes lèvres la prononce
alors sur l'horizon je garde un regard sûre
et dans l'eau j'abandonne mon cœur qui renonce

Que faudrait-il que je dise ?

Il n'est rien qui puisse s'exprimer
lorsque la langue se prête aux sentiments
tant est trop grand celui d'aimer
dans les souffrances d'un amour chantant

Mais voila que se pose sur le silence
l'aube et le crépuscule, la nuit et le jour
brillant sur le monde immense
brillant de la sensation de vivre toujours

Que faudrait-il que je dise ?

Au cœur de l'obscurité
me voici qui resplendis
habillée de la clarté
que m'inspire ton paradis

Je ne suis qu'errance
sur un chemin perdu
égarée dans l'enfance
du fruit défendu

Que faut-il que je dise ?

Si de belles paroles ne te suffissent pas
peut-être que mon amour
dans tes songes te parleras
et qu'alors tu comprendras au petit jour…

Oui, quand illuminera cette lumière
quelque part en ton âme tu sauras
tu verras mes rêves de l'autre bout de la mer
et alors tu comprendras…

( Que je t'aime)

Dans cette nuit ,dans le desert neuf , l'oeuf luit ... c'est plein d'espoir Kirasan ! Bonne journée

Un petit texte, écrit, pour le fun, juste avant de manger



Il fut un jour ou les hommes naissaient du Vent,
comme la lune refletant de sa croute argenté
un soleil doré.

Quant la lune fut dorée,
les hommes nacquire du soleil
et ils méprisaient le Vent.

Bientot les hommes furent dorée
et louaient cet liberté
bien leur en fut de s'éclairer
seul sans sa majesté.

Le feu dorée éclairait leurs entreprises
tout était si confortable
et a leurs guises.

Ainsi l'homme fut perdu,
dépendant de sa solitude
la raison n'était plus, une raison du Vent

Les moulins ne tournaient plus


Vent, vent , vent, s'écria l'homme
et le vent ce fit jour dans la nuit
catastrophe pour l'homme.

Le Vent souffla
toturres des milles degré
attisant les flammes de leurs dorures tronquées.

Tous furent brulé de leur dévoiement.
Mais quelques argenté, hommes,
bousolé,
s'inclinaire devant sa Majesté.

Et de leurs larmes
devant l'effroyable
firent naître dans la boue
des hommes argenté,

une nouvelle humanité
un Vent toujour présent
acclamé en mémoire des héros fidèles d'un autre temps.

Merci Nicolas , pour la lune , le soleil et le vent ...

Je vais prendre le temps de lire ce très beau post, merci pour ce partage

Sous influences

hier est déjà loin pourtant ça raisonne encore à mes oreilles
je donne; la présence prend tout; elle me donne à son tour
et je peux la prendre comme je peux la refuser
j'influe sur elle; elle est sous mon influence et je m'influence
elle voit tout; elle entend tout; elle prend tout
karma passion; fruit de l'obsession; on ne s'en détache pas
ou si peu pourtant les erreurs présentent s'effacent....
quand je me regarde dans la glace; un coup à droite
un coup à gauche à moitié dans les yeux; préférant scruté
le regard de l'autre mais moi comment je regarde les autres?

Voici une histoire en poésie inspirée par cette musique : https://www.youtube.com/watch?v=dOqdYbhwjRk&feature=fvst



Des sanglots habitent l'ancienne demeure
elle se dresse en une ombre dans la nuit
effilée comme une lame sur le ciel qui meurt
transperçant lune et nuages sans un bruit

Voici mon crime porté à la plume d'encre noire
quand le jour se couche et la lumière s'éteint
je laisse dans l'obscurité s'écouler le désespoir
celui qui brille du crépuscule jusqu'au matin

Sur la colline entourée d'arbres mourants
elle se dresse-là étrange ruine
de pierres de bois et de fantômes errants
entourée de la brume et de la bruine

Laissez moi vous racontez ce qu'il se passa
lorsque le dernier carillon eu sonné la fin du jour
dans un silence mortel le temps soudain s'arrêta
laissant ici suspendu la nuit pour toujours

On dit qu'elle gît dans une forêt maudite
qu'elle fut il y a bien longtemps abandonnée
aux portes de l'enfer qui l'avait construite
car dans son lit dormait quelques morts endiablées

Mais il y eut un jour il y a bien longtemps
où elle n'était qu'une chaumière dans le bois fleurit
jusqu'à que vienne ce soir avant le printemps
où toute trace de vie y fut à jamais flétrit

Il y a au sommet de sa tour de pierre
au plus profond du cauchemar sombre
par delà les pièces vêtues de poussières
quelques noires secrets emplis d'ombres

C'est là que dort mon meurtre pour les siècles à venir
celui qui a abattu sur notre toit ma malédiction
et que rien ne pourra empêcher de ternir
tendis que le soleil se noie dans l'horizon

Un ancienne pièce ensorcelée fermée clé
parfumée de sang, de souvenirs et de noires sentiments
qui renferme tous nos mystères et nos secrets
un grenier où nous pleurons éternellement

Je pensais rêver encore lorsque tremblant je me saisis
de la faux dont la lame brillait de l'éclat de la fureur
je leur tranchais la gorge tandis qu'ils m'observaient surpris
et dans le reflet du miroir pour finir j'assassinais le tueur

Ici personne ne vient jamais
c'est un vieux cauchemar pourrissant
sur les murs d'une bâtisse hanté
que surplombe un ciel s'assombrissant

Mais si vous entrez dans ce monde sans vie
surtout avancez entre nous avec prudence
car sinon vous succomberez vous aussi à ma folie
en nous voyant cadavres marchant dans le silence.

encore un poème assez horrible lui aussi inspiré de cette musique : https://www.youtube.com/watch?v=6Ar0AoiCjhw&feature=related



Cette nuit je vis un monstre en rêvant
étendant ses griffes sur le ciel
l'étirant d'un crépuscule sanglant
dévorant les rayons voilés du soleil

Voila que je m'éveillais au cri de la lune
dans un lit de feuilles mortes allongée
posée là au bord du fleuve à l'eau brune
dans une forêt de brume enténébrée

La ramure argentée où soufflait le vent
s'agitait en nuée de serpents entremêlés
faisant valser des éclats d'ombres dansant
au pied des arbres cadavres tordus et effilés

Un air glacial et sifflant caressait la peau
torsadée de la végétation sauvage
projetant des ombres en formes de crocs
tandis qu'elle se transformait sous l'orage

La forêt n'était plus qu'antre de sorcières
lorsque dans l'obscurité du soir
elle se cachait de la lumière
devenant fantômes dans le noir

J'errais dans le tombeau des âmes perdues
celles égarés sur le chemin du destin
à la nuit enchantée leurs cœurs éperdus
avaient abandonné l'aube du matin

Plongée dans des ténèbres sans visage
dans l'abîme sans nul retour
pour qui commençait ce long voyage
où il se devrait de dormir toujours

J'arpentais une terre en poussières
lambeaux décharnés de combats
tombée sous les coups d'une guerre
plongée entre la vie et l'au-delà

Sans jamais regarder derrière moi
je quittais peu à peu les sentiers humains
m'éloignant de la protection de leurs lois
pour franchir la ligne sans lendemain

Peu à peu je courrai dans le noir
m'effondrant dans le fleuve incandescent
d'une fuite à travers le désespoir
poursuivie par quelques songes effrayants

Je les sentais bruler mon dos
leurs écailles flamboyantes
leurs yeux d'or lisses comme de l'eau
la musique de leurs voix étourdissantes

La crinière d'ébène jaillissait de leurs poitrails
leurs pattes creusaient la terre de larges sillons
leurs gueules se déchiraient en éventails
de dents acérés comme celles des lions

La langue pendante sur les babines ébréchées
la bête fendait l'air bondissante entre les arbres
ombres unies en une créature d'un cauchemar éveillé
qui profilait un funeste destin d'une tombe de marbre

Je fuyais au travers de la montagne rocailleuse
s'érigeant en silhouette sombre et menaçante
sur le village invisible perdu dans la plaine songeuse
tandis que s'ouvrait la plaie d'une blessure béante

Celle de l'arrachement de mon être
à ce corps de chair et de sang mortel
pour ne redevenir qu'esprit maitre
d'une âme aux tortures éternelles

Je me réfugiais dans les hauteurs
surplombant la nature agonisante
d'un monde que je quittais déjà à cette heure
alors qu'émergeait des fourrés l'ombre angoissante

Elle se tendait vers moi de ses serres entrouverts
dévoilant à la lumière diaphane des nuages
son visage de cauchemars et de mystères
qui brulait du feu de la fureur et de la rage

M'arrachant du regard animal
je titubais jusqu'au rebord étroit du ravin
j'entendais encore son cri bestial
rugissant comme une plainte sans fin

Je glissais mes iris d'opales
jusque dans les tréfonds obscurs
dans les profondeurs abyssales
dans un gouffre sans futur

Et avant que la créature ne m'arrache
à la contemplation du désert aride
qui attendait que mes pas m'y relâchent
je m'envolais dans le silence du vide

Je déployais des ailes invisibles
que seul l'imagination savait faire voler
pour flotter dans la nuit invincible
avant que par la mort je ne me laisse emporter

Je flottais entre deux mondes
la bête rugissait encore sur le rivage
tandis que je traversais le rideau d'onde
et me noyais loin de son mirage

Déjà elle n'était plus qu'illusion
pâle reflet du jeu des arbres ombreux
s'enlaçant dans le vent bercés de frissons
secret de quelques rites mystérieux

Les filaments de ma mémoire périssaient
faibles lueurs sous l'arche du passage
tandis que les traces du passé s'effaçaient
et que je remontais le fil des âges

je m'aperçu alors là étendue
sur le lit des feuilles mortes endormie
au bas de la falaise perdue
mon corps à la vie évanouie

quelques angles tortueux
déformaient le squelette rongés
par les vers du temps aventureux
laissé là alors qu'il pourrissait

Du sang irriguait l'eau de la rivière
déversant sa marée pourpre sombre
jusque dans les tempêtes de la mer
où les vagues le diluaient en nombre

Quelques pics de roches grises
perçaient la chair blanchâtre
de l'inconnue que la mort avait ici remise
au bon gré du gouffre et des flammes de son âtre

Voila comment alors je me découvris
spectre chaque soir voué à la chute éternelle
penchée sur mon ancienne dépouille ainsi
hantant ses lieux de mon supplice immortel.

Les oiseaux-larmes

Les larmes sont une sorte d'oiseaux
qui habitent le coeurs des êtres.
Quelquefois, elles apparaissent en bande:
Souvent, ce n'est qu'une seule qui prend
son envolée pour se poser sur le bord d'une paupière.

En s'envolant de nous,
ces oiseaux-larmes entraînent comme des pierres
sous leurs ailes de la douleur qui rend le coeur si lourd à porter.
Mais pour ce rendre jusqu'aux yeux,
d'où ils s'échappent, ils doivent lutter
contre les vents de l'indifférence de l'orgueil;
ceux-là qui, quelquefois attrapent les oiseaux
dans un grand filet, les gardent prisonniers
en une boule au centre de la gorge.

Ne capturons jamais d'oiseaux-larmes,
ce sont des messagers du monde de notre coeur.
Ils ont quelque chose à dire, à montrer aux autres.
Les oiseaux-larmes chantent la beauté de notre être.

Lorsqu'une larme jaillit des yeux d'un être pour se
laisser glisser sur la joue, cueillez-la d'un baiser...
Elle donnera à vos lèvres des paroles d'amour.

Auteur inconnu

A mon ami le vent.

Te voilà mon ami invisible trés présent.
Parfois doux et chaud defois froid et violent.

Lorsque je t'entend passer entre les feuilles des arbres.
Je t'ignore et reste de marbre.

Tu t'agite tu souffle pour marquer ta présence.
Alors je t'invite à la dance.

Nous sommes lier depuis lontemps.
Par une fraternité sans frontière sans temps.



Oui je ris je me sens vivre.
Car comme toi j'aime être libre.

Je ne savais pas où "coller" ces paroles d'une belle et pas toute jeune chanson de Pierre Barouh. Ce matin elle est venue me rafraîchir les idées...

tu commenças ta vie
tout au bord d'un ruisseau
tu vécus de ces bruits
qui courent dans les roseaux
qui montent des chemins
que filtrent les taillis
les ailes du moulin
les cloches de midi
soulignant d'un sourire
la chanson d'un oiseau
tu prenais des plaisirs
à faire des ronds dans l'eau
aujourd'hui tu ballottes
dans des eaux moins tranquilles
tu t'acharnes et tu flottes
mais l'amour, où est-il ?
l'ambition a des lois
l'ambition est un culte
tu voudrais que ta voix
domine le tumulte
tu voudrais que l'on t'aime
un peu comme un héros
mais qui saurait quand même
faire des ronds dans l'eau
s'il y a tous ces témoins
que tu veux dans ton dos
dis-toi qu'ils pourraient bien
devant tes ronds dans l'eau
te prendre pour l'idiot
l'idiot de ton village
qui lui est resté là
pour faire des ronds dans l'eau
pour faire des ronds dans l'eau

Une nouvelle fois
je partage avec joie
ce bout de ciel chatoyant sans toit ...avec toi !

de maladresse en détresse pour une caresse reçu
aucune donnée autant déçu qu'inachevé
heureusement je suis un chien je n'attend rien
préfère être analphabête devant votre tristesse
et pencher la tête

Evidemment des mots lavés rient tellement
Entraînés étoilés, voient-uniformément
À l'âme où resplendit de chacun embellit
En cercle les sondés, visages d'un ami

Splendide Séraphien !

Pour tous tes maux,
Je te dirai des mots.
Pour tes tourments,
Je serai confident.

Pour chaque voile soulevé
à chaque ancre levée
que tes mots soient portés
soufflés par le vent léger
révélant ta réalité
n'es-tu pas Dieu incarné ?

Bonjour Sharifa ! je suis heureuse de te revoir là !

En fait , vous m'épatez ,plus je vous lis et plus je me dis que la poésie c'est être capable de créer des images qui nous parlent au delà des mots ? c'est la beauté des images qui nous parle ...
Alors souvent on ressent une émotion sans même avoir compris tout le sens ou l'intention de chaque mot !
La poésie" finalement" découle du lâcher-prise , autant pour la créer que pour la lire , c'est ..divin !

Bon dimanche MERCI à vous !

L’espoir

Comme un regard qui résonne
Dans le cœur de la terre
Dans le cœur d’une mère
Puisses-tu encore élever ta voix
De cette lueur que tu portes en toi

Comme un arbre centenaire
Dans la peau d’un homme
Dans l’ombre de l’humanité
Puisses-tu encore faire grandir
Cet amour qui s’écorce de toi

Comme une enfance oubliée
Dans les pas de nos conquêtes
Dans les bras de nos illusions
Puisses-tu toujours graver l’émotion
Cette douceur qui s’efforce de toi

Comme un voyage étoilé
Dans la grandeur du monde
Dans la chaleur des anciens
Puisses-tu engendrer la conciliation
Cet élan que tu sèmes en nous

Comme un aigle déployé
Dans les montagnes souveraines
Dans tes racines, tout l’univers
Puisses-tu remplir l’espace de
Cet horizon qui émane de toi

Comme un humain debout
Sur les chemins de la dignité
Sur les sentiers de l’humanité
Puisses-tu éclairer les rêves
De nos âmes oubliées

"Il y a un poème à faire sur l'oiseau qui n'a qu'une aile" Ibid, Les Fenêtres.

{Au Jardin De Mon Pays}

Lili bat ikusi dut baratze batean
Desiratzen bainuke nere sahetsean
Lorea ez du galtzen udan ez neguan
Haren parekik ez da bertze bat munduan !

Au jardin de mon pays
J'ai laissé une fleur
Elle ne fleurit que la nuit
Et seul'ment sur mon coeur.

C'est une fleur sauvage
Nul ne la peut cueillir
Au long de mes voyages
Elle est mon souvenir.

Etsenplu bat nahi dut eman guzieri,
Eta partikulazki jende gazteari :
Gauaz ibiltzen dena ez da zuhur ari
Ni begiraturen naiz , eskerrak jaunari !

Au jardin de mes amours
Quand revient le printemps
Elle refleurira toujours
Comme aux beaux jours d'antan.

Petite fleur de campagne
Elle ne saurait mourir
Son parfum m'accompagne
Elle est mon souvenir.

Mon envie du moment.

Le chemin

Il y a un chemin que j’aime prendre, mais j’aime être accompagné.
Il y a un chemin qui peut être long et si court si l’on est bien accompagné.
Il y a un chemin que j’aime rêver de prendre.
Ferme les yeux et ressent le chemin.
Regarde, il t’apparait au loin aide moi à y accéder.
Prends-moi la main, et emmène-moi sur ce chemin.
Je sais que je peux y aller seul, mais je veux te faire partager, mon chemin.
Quand nous arriverons ensemble au bout du chemin,
Tout paraîtra si lumineux.


Pascale.

S'il y a mille chemins
comment sauront-nous lequel prendre ?
S'il y a un chemin
encore faut-il le prendre ...
Si l'on est le chemin
allume une loupiote et donnons-nous la main !
Tout est bien