L’aurore
Toi qui fais passe l’ombre à la lumière
Toi qui dans ce spectacle de couleur
Tu n’es pour rien dans mes malheurs
J’aime te regarde te lever
Et ta beauté est aussi un fléau
Car pour moi si tu êtes levée c’est que la nuit c’est achevée
Ce qui veux dit que le temps est passe
Et qu’il m’éloigne de l’être aimé
Aimé est à la fois la meilleure et la pire des choses
Car la douceur de l’union des deux être aimé
Fini par être entaché te la séparation
Quelle durée quelques heures à quelque mois
Nul ne peut apaisée ces malheurs
Le temps nous usées en nous fait par ruse nous a fait accepté l’absence de l’être aimé
Mère lune
Toi qui joue de tes rayons
Cette douce lumière
Cet l’or blanc qui dans sur les pierres
Tu joue sur les pierres des cimetières
Les soirs pour tu est pleine
Au zénith de ta lumière céleste
Toi ma mère et sœur
Qui nous guide sur cette terre
Qui nous fait dansé sous la voute céleste
Qui nous fait vibrer dans la lumière lunaire
Le cœur de lumière stellaire
Composé par élise paquet
Ceci est une propriété privé merci de ne pas copier