Faire un texte /poème , ensemble

Rappel du premier message :

Voilà une petite idée est née hier soir , avec Anima, ce serait de faire un texte ou plusieurs , ou des poèmes, en commun pour ceux qui veulent, voir ce que ça donne, ça peut être marrant, touchant, enfin, plein de choses , qui sait? ça peut être, simplement
Alors voilà le concept, c'est chacun son envie du moment pas de règles, juste du feeling, tout ça dans une bonne énergie créatrice voilà en joignant nos goûts, nos façons de faire sonner les mots, notre poésie, notre penchant pour l'écriture etc...
voilà, si c'est 1 mot, si c'est 5 lignes, peu importe, si on sens que le texte/poème se termine, au feeling, et oui et bien quelqu'un en relance un autre, voilà, juste pour voir ce que ça donne
qui est partant ? allez on verra je me lance donc :


Neutralité latente, sublime ta vie ...

voilà, ah VOUS donnez le sens , la forme que vous voulez, c'est libre allez -y sinon si ça vous inspires pas cette 1ère ligne, changez-là , no problemo,

ah là là ça faiblit ce post...

C'est la fête
les lampions s'allument
et tournent les têtes
dansent comme des plumes
La musique s'arrête
Vive les enclumes....

C'est la fête
les lampions s'allument
et tournent les têtes
dansent comme des plumes
La musique s'arrête
Vive les enclumes
où on s'enroule dedans
et on en ressort conquérant
les cheveux en bataille
le coeur qui bat la chamade
les bras au ciel
bénissant l'air

C'est la fête
les lampions s'allument
et tournent les têtes
dansent comme des plumes
La musique s'arrête
Vive les enclumes
où on s'enroule dedans
et on en ressort conquérant
les cheveux en bataille
le coeur qui bat la chamade
les bras au ciel
bénissant l'air
la tempête est passée
nous avons été courbés
Nos larmes ont coulé
sillons sur nos joues creusés
et à nouveau la danse sous nos pas
le rire dans nos voix
les hampions s'allument
alors volent les plumes

...

Vu que le dernier poême finissait sur une note gaie, et que ça fait un bon bout de temps que personne est venu par là, je preferé recommencer...

Au fond de moi, vit une petite chose,
cachée, dans un endroit qu'elle seule connait,
une sorte de temple de la métamorphose,
magique alchimie je suis née.
Une étincelle d'abord, juste pour me guider,
j'ai voyagé à l'exterieur dans mille lieux,
cherchant a me saouler de liberté,
et, l'illusion devant les yeux,
j'ai pris peur de tout ce vide...


Allez je passe la main !

Au fond de moi, vit une petite chose,
cachée, dans un endroit qu'elle seule connait,
une sorte de temple de la métamorphose,
magique alchimie je suis née.
Une étincelle d'abord, juste pour me guider,
j'ai voyagé à l'exterieur dans mille lieux,
cherchant a me saouler de liberté,
et, l'illusion devant les yeux,
j'ai pris peur de tout ce vide...


Je m'en suis retournée dans cette matrice
ou éloignée des illusions de ce monde
loin des bruits d'une foule mystificatrice
je me laisse dériver au gré de cette onde
qui sait m'entourer de tendresse bienfaitrice
Un jour je retournerai dans cette ronde
des êtres humains, elle sera libératrice
alors j'irai sur le chemin, vagabonde
et cette danse sera purificatrice

Au fond de moi, vit une petite chose,
cachée, dans un endroit qu'elle seule connait,
une sorte de temple de la métamorphose,
magique alchimie je suis née.
Une étincelle d'abord, juste pour me guider,
j'ai voyagé à l'exterieur dans mille lieux,
cherchant a me saouler de liberté,
et, l'illusion devant les yeux,
j'ai pris peur de tout ce vide...


Je m'en suis retournée dans cette matrice
ou éloignée des illusions de ce monde
loin des bruits d'une foule mystificatrice
je me laisse dériver au gré de cette onde
qui sait m'entourer de tendresse bienfaitrice
Un jour je retournerai dans cette ronde
des êtres humains, elle sera libératrice
alors j'irai sur le chemin, vagabonde
et cette danse sera purificatrice

Le temple de la métamorphose s’éveille
Et s’illuminera de mille feux de vie
L’air dansera les volutes décisives
Déjà je sens s’accumuler l’énergie
En moi, comme en toi, si tu le sais reconnaître
La voûte étoilée rit de nos peurs immatures
Les ténèbres effarouchées de leur nudité
Retrouvent la simplicité de l’enfance
Dans un éternel retour évanescent

C'était magnifique, vraiment très beau
je relance
Onde du temps, insondable vérité
Il n'est que la notre, insatiable et immuable... à vous les amis

(celle-là elle est bonne, très bonne, même, mais tellement vraie, )

Salut les amis,
En panne d'inspiration ?
Allez c'est reparti...

Onde du temps, insondable vérité
Il n'est que la notre, insatiable et immuable
Qui frémit dans nos cœurs intimement habités,
Et qui d'un seul souffle rend l’indicible palpable...

La lune rousse dans un ciel étoilé,
éclaire ton chemin, dans une demi obscurité,
Tu pourrai tomber, trébucher, te blesser,
les épines te pressent, mais les ronces s'écartent,
le souffle du vent n'est qu'une caresse,
et le temps, dans mon coeur n'est plus que vague promesse.



A vous les studio

super idée , j'aime beaucoup, je me lance ( trés joli le poème alaka)


neutralité latente , sublime ta vie
aux confins des opposés,

Onde du temps, insondable vérité
Il n'est que la notre, insatiable et immuable
Qui frémit dans nos cœurs intimement habités,
Et qui d'un seul souffle rend l’indicible palpable...

La lune rousse dans un ciel étoilé,
éclaire ton chemin, dans une demi obscurité,
Tu pourrai tomber, trébucher, te blesser,
les épines te pressent, mais les ronces s'écartent,
le souffle du vent n'est qu'une caresse,
et le temps, dans mon coeur n'est plus que vague promesse.

Marche encore, dans ce noir silence,
Ton chemin deviendra Confiance;
Et dans cette nuit protectrice,
Mère Nature deviendra Nourrice...

neutralité latente , sublime ta vie
aux confins des opposés,
Entre Soleil et pluie,
Tu trouveras l'Unité,
Oui marche encore, dans ce noir silence,
Ton chemin deviendra Conscience,
Et dans cette nuit créatrice,
Tu renaîtras tel le phoenix....

bonsoir à tous

trés joli Kaissa

Merci je nai écrit que les 6 derniers vers, jai repris les premiers ainsi que ta phrase selon la regle du jeu!
To be continued......
A vous les studios!!!

et de tes cendres comme un sédiment,
naitra la fleur de l'entendement.
Dans ton vol de feu,
aérien dans les cieux,

aérien dans les cieux...
comme le bleu de tes cheveux
et ton sourire au repos sur mes lèvres
qui me raconte mille promesses,

qui me raconte mille promesses,
je reconnais ta caresse.

caresse de soie et de l'un
puis de l'autre dans la profondeur
du soir noir de tendresse....

du soir noir de tendresse....
où l'amour est pour chacun,
rêche et douce, en attendant l'heure,
dans cette douce ivresse.

Et cette douce ivresse nous emporte et nous porte où l'on n'ose l'imaginer
dans un brusque souffle de vie , on se sent bien, la vie nous revient
mais ce n'est que l'ombre de nos peurs qui nous traversent, rien n'est inaccessible
et combien même nous nous séparerions du tout, il reviendra jusqu'à nous, inexorablement, et ce
jusqu'au dernier souffle
sans un mot et sans un cri, je reviendrai, à pas et mots de velours, je reviendrai, enflammer vos vies
à cela, je ne trouve aucun répit, jusqu'à ma dernière heure, jusqu'à notre dernière heure l'absolu sera notre dernière lueur, après cela, que restera t-il de nos peurs et de nos doutes ?
Rien, seulement du vent, soufflant sa lumière stellaire aux quatres coins de l'univers

emportant nos vaisseaux, comme un papillon de nuit, dans l'immensité du vide...

( chaotique ?:, passez de la rime à la prose , la rime arrime, la prose s'impose ?)

emportant ce vaisseau,
indomptable chaos,
comme un papillon, je me fond dans l'infini ;
et dans l'immensité du vide, nous trouvons là, notre juste mesure,
notre juste demeure, celle de l'humanité,
tas de corps empalé sur notre Terre,
il n'est pas de vérité autre que celle à soi-même,
qu'importe les différences après tout,
nous sommes issus de la même matière,
du même néant,
tas de formes, abruptes et indissociables à jamais jusqu'à notre éternel foisonnement
chaotique ou symbiotique, nous avons encore le choix .(j'ai laissé l'inspi me souffler ces mots, malgré les modifications ... spontanéité, spontanéité

Je reprend tout depuis le début, pour la vue d'ensemble

Onde du temps, insondable vérité
Il n'est que la notre, insatiable et immuable
Qui frémit dans nos cœurs intimement habités,
Et qui d'un seul souffle rend l’indicible palpable...

La lune rousse dans un ciel étoilé,
éclaire ton chemin, dans une demi obscurité,
Tu pourrai tomber, trébucher, te blesser,
les épines te pressent, mais les ronces s'écartent,
le souffle du vent n'est qu'une caresse,
et le temps, dans mon coeur n'est plus que vague promesse.

Marche encore, dans ce noir silence,
Ton chemin deviendra Confiance;
Et dans cette nuit protectrice,
Mère Nature deviendra Nourrice...

neutralité latente , sublime ta vie
aux confins des opposés,
Entre Soleil et pluie,
Tu trouveras l'Unité,
Oui marche encore, dans ce noir silence,
Ton chemin deviendra Conscience,
Et dans cette nuit créatrice,
Tu renaîtras tel le phoenix....

et de tes cendres comme un sédiment,
naitra la fleur de l'entendement.
Dans ton vol de feu,
aérien dans les cieux,
comme le bleu de tes cheveux
et ton sourire au repos sur mes lèvres
qui me raconte mille promesses,
je reconnais ta caresse,
caresse de soie et de l'un
puis de l'autre dans la profondeur
du soir noir de tendresse....
où l'amour est pour chacun,
rêche et douce, en attendant l'heure,
dans cette douce ivresse.

Et cette douce ivresse nous emporte et nous porte où l'on n'ose l'imaginer
dans un brusque souffle de vie , on se sent bien, la vie nous revient
mais ce n'est que l'ombre de nos peurs qui nous traversent, rien n'est inaccessible
et combien même nous nous séparerions du tout, il reviendra jusqu'à nous, inexorablement, et ce
jusqu'au dernier souffle
sans un mot et sans un cri, je reviendrai, à pas et mots de velours, je reviendrai, enflammer vos vies
à cela, je ne trouve aucun répit, jusqu'à ma dernière heure, jusqu'à notre dernière heure l'absolu sera notre dernière lueur, après cela, que restera t-il de nos peurs et de nos doutes ?
Rien, seulement du vent, soufflant sa lumière stellaire aux quatres coins de l'univers,
emportant nos vaisseaux, comme un papillon de nuit, dans l'immensité du vide...

emportant ce vaisseau,
indomptable chaos,
comme un papillon, je me fond dans l'infini ;
et dans l'immensité du vide, nous trouvons là, notre juste mesure,
notre juste demeure, celle de l'humanité,
tas de corps empalé sur notre Terre,
il n'est pas de vérité autre que celle à soi-même,
qu'importe les différences après tout,
nous sommes issus de la même matière,
du même néant,
tas de formes, abruptes et indissociables à jamais jusqu'à notre éternel foisonnement
chaotique ou symbiotique, nous avons encore le choix .

Yesss ! ça donne vraiment je trouve...
Comme ça commence à être long,
et si on repartait vers un nouvel horizon?
( la rime, je l'ai même pas fait exprès )

Je lance donc les premiers mots...

Il est un lieu que moi seule connait,
Fait de lac, d'eau pure, de montagnes, de vallées,
Où le silence en suspent s'étire,
irradiant des senteurs de menthe fraiche et de myrrhe.

irradiant des senteurs de menthe fraîche et de myrrhe
que la fée venait couper dès l'aube en cette journée d'été ...