Qu'est ce qu'une femme ?

Sujet: Qu'est ce qu'une femme ? Dim 14 Sep 2008 - 14:30

Rappel du premier message :

Cette nuit, j'ai fait un rêve, où l'on me disait que dans ma famille, les femmes étaient trop homme (berk), en gros on m'expliquait qu'il y a des siècles une femme de ma famille, avait du se renforcer pour continuer, mais que maintenant toutes les descendantes étaient trop masculine.

Lorsque je me suis réveillée, ce matin, c'était l'illumination, je comprenais pourquoi, les hommes et moi ça faisait toujours tilt (je ne lâche jamais le morceaux, je ne baisse jamais les bras etc...)et les réflexions de mon ex étaient toujours "toi, plus forte que les autres, toi tu peux faire tout toute seule".

Donc depuis aujourd'hui, je comprends enfin pourquoi dans la famille, les femmes sont des fonceuses mais ne s'épanouissent pas forcément, ou elles vivent seules (parceque les hommes c'est trop ch....) ou elles finissent avec un homme mais elles s'éteignent complètement.

Le problème c'est que lorsque j'ai compris ça, je me suis dis que je ne savais pas ce qu'était une femme celle avec un grand F, donc méditation de suite après et là le mot qui me sort c'est "NOURRICIERE", je le sens vrai, mais encore.

Et vous où en êtes-vous de votre féminité, qu'est-ce qu'une femme pour vous ? Comment concilier Vrai femme et ne pas se laisser monter sur les pieds ?

Merci de vos réponses flower

Sujet: Re: Qu'est ce qu'une femme ? Sam 20 Sep 2008 - 21:33

Coucou les filles,

la souffrance était bien avant les religions ou les religions que nous connaissons au moins. même l'homme primitif, qui était religieux sans même appartenir à aucune religion, souffrait, avait peur de la nature, du dechaînnement des éléments, de la foudre, des animaux, de la chasse. il peignait afin d'exorciser le mal, l'éloigner. il faisait aussi des rituels, on enterrait les nouveaux nées tout contre le sein de leur mère. l'homme face aux mystères, à l'inconnu, avait peur et souffrait. les religions, les philosophies, ont essayé de lui donner des réponses afin de soulager sa souffrance ou de le rassurer. les stoiciens la suppportait en faisant appel à la volonté, les épicuriens s'en moquaient etc..les mystiques experimentaient des états de conscience qui leurs permettaient de gouter à la plénitude d'être dans l'être. les religions par leurs interprétations ont insuflé la foi dans un lendemain meilleur, dans un ailleurs où tous les problemes des hommes seront résolus. où la souffrance disparaitra. mais au fond, quelle est la cause de la souffrance?
les religions n'en sont surtout pas la source, j'ai l'impression, et c'est un avis très personnel, que la souffrance réside dans notre dualité. féminin/ masculin, âme/corps, ici/au delà, passé/futur...or, la porte de sortie n'est elle pas dans l'union de nos dualité? dans la simplicité? avancer, simple, uni, et au présent ne nous donnera t il pas des ailes qui nous permettront de voler, et de planer loin des contingences et des conditions qui créent la souffrance?

bisous et bonne soirée sunny

Nouraya

Invité

La souffrance viendrait de la pulsion de mort qu on aurait tous plus ou moins accentuée en nous.

Mais nous avons aussi une pulsion de vie , et notre libre arbitre se tient entre les deux.

Quelle pulsion prédomine en nous?

» Et LA FEMME FUT !
» Création d'une rubrique homme-femme
» La femme de Dieu
» Femme fatale...
» LETTRE A LA FEMME !