Pot-aime (expression artistique)

Rappel du premier message :

tu as déjà trop pleuré
là où tu as pu tu t'es cherché
puis le coeur amoché
dieux tu as imploré
pour le repos, la liberté
c'est à toi même que tu demandais
mais tu ne t'es pas écouté.

dans tes yeux j'ai plongé
juste une seconde, tu as scillé
puis de ton âme tu m'as rejeté
du vide tu t'es vite écarté
entre les choses et les objets
noyé dans une mer de carton mouillé
en silence, amour je t'observais
la main éternellement tendue,prêt
pour le jour où tu voudra te relever

u depart de mon cheminement,suite a une depression aigu,qui est survenu apres une rencontre,j'avai vu la pureté de cet personne et voulai rester avec malgrer les dire de mon "moi" qui comme d'hab voulai mieu plus,plus belle,plus bonne.....
en allan contre sa je suis tomber malade,cela a ouvert la voie,etant fatiguer je me suis m'y a lire,je ne pouvais rien faire d'autre.
et la il m'est arriver un tas de pulsions,meurtre,sexe et ces monstruositer(vous pouver imaginer les pires je ne veu pas choquer plus en les citant)
depersonalisation,peur extreme d'etre poseder,defois je me senter dans la peau d'une femme,je senter des presence,je penser devoir me prostituer.......enfin j'en passe et j'ai tout observer,tout,sans rien dire ou tres peu,sans parler a personne,ou a peine.
et doucement je me decolle de moi-meme,tres doucement mais surement.
j'ai eu des tas d'experience de transcendance,mais on le sais cela arriver au sujet,il ne faut pas s'attarder dessu.

salut dodo-chan! héhéhé! tu a pus vérifier le pouvoir de l'esprit d'une manière plutôt...effrayante. moi aussi je suis passé par des phases que je qualifierai de ...étranges
mais depuis j'ai fait la paix avec le petit ornithorynque violet qui vis dans ma chaussure gauche hi hi hi
sans déconner, elle est pas marrante la vie?

hum hum! voici voila! un petit poème de rue qui sens le vécue! pittoresque, n'ayez craintes, personnes ne vous mordra:

je traverse la rue crue
rejoindre la banque
et voila que devant un troquet, un cabot que je n'ai pas vu
ce met à gueuler comme si il allait me bouffer tout crue

je sursaute comme une sauterelle épatée
et maudis le clebs affamé
dans ces côtes j'ai l'idée de fourrer deux trois coups de pieds histoire de me faire respecter
je peste et je m'en vais

le clébard a eu peur d'un géant qui file,
il jappe prêt à mordre
moi, j'ai eu peur d'un fauve qui n'en est pas un
je gueule prêt à a lui ficher un coup de quille

la morale de cette histoire qui sent le trottoir;
en fait je ne suis pas si différent d'un chien