Les hommes oiseaux.
Moi l'homme célicole, j'entends se soir le langage des oiseaux, porter par le vent des songes mystagogie, il souffle sur le voile de mon âmes diaphane une mélodie alizéene. Il dessine sur le derme de ma peau en sommeille, des empreintes de mémoire originel, de motif aux gouts éternelle et trace peut a peut, avec la pointe de mes l'armes de sel, l'ébauche d'un royaume en arc en ciel.
C'est sous une neige de pigment d'or, que je chavire sans effort dans le lie cristallin d'une rivière de réconfort, songe liquide et aérien, j'arpente se chemin en ondulantes apesanteur et remonte peut a peut le courant de se ruban d'excès exquis. Au grès des courant ascendant, se flux et reflux de fluor boréale, d'étincelle d'aurore éternel et de parfums de printemps permanent, m'entraine dans un corps a cœur aérien.
Des volute édénique et de braises de vertus, grave une a une en lettre de feux follet, le mots fusion a l'un parfait. De pastoral vision géométrique, de totem flamboyant, brule de mille délice mes irise transfiguré, bulle de gouache multicolore, prunelle opiacé, délice sempiternelle, qui décode les cirrus pastel de toute éternité. Mon âmes tatoué, enluminé a l'encre des nuages bigarré, papillonne et butine le nectar de mon cœur chatoyant.
D'élégantes volutes incandescent abreuve mes milles et un neurone déifiée. Onirique métamorphose euphorisante, instant de volupté, au delà de tout mots prononcer, le voile de mon essence succombe et fulmine, pousser par le zéphyr d'une transe éthéré. Et tel le phénix qui fait sa cour, l'élixir de vie originel danse et converge, métamorphosé, vers la voute céleste d'éternité.
Route d'amour des trépasser, courant d'air d'odyssée, qui emporte cette crânienne boite illuminée, vers les pléiades invariables. Catéchisme de clarté, je communie des blés issus des champs Élysée. Recueil, conscience, grâce sidéral en guise de réverbère. L'altruisme de l'instant, diffuse d'ivresse fertilité. Attraction de joie, ces larmes d'ambre cristallisé, ne font plus que déraisonnablement monter, monter et monter encore, au delà de toute disgrâce.
C'est dans ce luxe de quiétude en micro gravité, qu'existe sans contraste, l'extase de béatitude, le verbe « amour désintéressé », source d'absolue, si loin des vices, juste dans l'essence de ses vertu célicole. Moi, homme volatile, retourne au peuple des oiseaux de feux, qui habitaient jadis sur les soleil de vie et qui volaient toujours si haut, pour que personne n'oublies le sens du mot étoiles. Au cœur de nos nuit noir, l'espoir du soleil ne tarde jamais a se faire revoir, car tout est toujours lumière, a qui sais voler suffisamment haut, pour ne plus faire de l'ombre aux autres eux même.
Samadhi
paix, amour et lumière sur vous...