Cessez de vous plaindre !

Merci de ce texte a vocation très pratique et à vivre au jour le jour

Aujourd'hui j'applique et j'ai décidé de ne pas me plaindre du comportement des autres automobiliste que moi.
Ca à l'air de rien... mais à force de le faire ça devient une habitude pour n'importe quel écart avec les effets suivants :
Et mine de rien..... on se pourri facilement une journée... à se plaindre dès les premiers mètres en voiture...
Bon là c'est la voiture...mais une journée comme ça en entraîne une autre, puis sur d'autres sujets.... et en quelques années on peut devenir agressif, râleur, de mauvaise humeur, rien ne va, déprimé, etc....

Bref en prenant l'habitude de se plaindre on peut très vite se charger de négativité sans même sans apercevoir... et mettre des années à réparer tout ça.

vendredi 18 mars 2016 10h47
Lolo a décidé de pas se plaindre..... aujourd'hui déjà

La façon vraiment efficace de cesser de se plaindre est de se plaindre consciemment, sans aucune justification, juste en observant le spectacle que nous nous offrons, à nous même et au monde. Si nous avons l' audace de ne pas fuir la vision de ce spectacle, il ne va pas tarder à se passer quelque chose.

Aie..! Il à raison le philo-computer... Ouille... Faut pas se plaindre... Houlaaa..!

On me coupe la jambe sans anesthésie... Aie..!... Me plaindre, moi... Le toubib s'est trompé de jambe... ouille... Ben j'uis dirais même pas...

On est pas des tarlouzes..!


Ouille..!

On se plaint tant qu'on a besoin de le faire.
Arrive un moment où les plaintes se délitent d'elles mêmes.

Cela advient quand au milieu des minis-égos qui s'égosillent en récrimination une voix faiblement suggère: "alors on fait quoi maintenant ? Concrètement"
Si cette voix arrive à se faire entendre le positionnement de conscience change sa focale et son orientation. L'énergie est investie ailleurs.

Ce texte prend le problème à l'envers comme d'hab
Tout ce qui vise à "faire cesser" conduit au refoulement. Les raisons scientifiques arguées n'y changent rien.

Citation :

Donc, quand une personne arrive et vous déballe une cargaison de commérages et de négatif, vous pouvez être sûr d'en être affecté biochimiquement et de voir diminuer vos chances d'être heureux.

Faux. Pour celui qui ne fait pas écho, toutes ces paroles désormais inconséquentes se laissent choir comme en un puits sans fond

@ Fol, heureusement qu'on est encore autorisé à hurler quand la douleur est trop intense !

Extérioriser ses plaintes est essentiel pour recouvrer une certaine légèreté.

Inspiré par Antiphon

Néhémyo a écrit:

On se plaint tant qu'on a besoin de le faire.
Arrive un moment où les plaintes se délitent d'elles mêmes.

Cela advient quand au milieu des minis-égos qui s'égosillent en récrimination une voix faiblement suggère: "alors on fait quoi maintenant ? Concrètement"
Si cette voix arrive à se faire entendre le positionnement de conscience change sa focale et son orientation. L'énergie est investie ailleurs.

Ce texte prend le problème à l'envers comme d'hab
Tout ce qui vise à "faire cesser" conduit au refoulement. Les raisons scientifiques arguées n'y changent rien.

Citation :

Donc, quand une personne arrive et vous déballe une cargaison de commérages et de négatif, vous pouvez être sûr d'en être affecté biochimiquement et de voir diminuer vos chances d'être heureux.

Faux. Pour celui qui ne fait pas écho, toutes ces paroles désormais inconséquentes se laissent choir comme en un puits sans fond

@ Fol, heureusement qu'on est encore autorisé à hurler quand la douleur est trop intense !

Je suis assez d'accord, être en empathie avec soi et communiquer est tout à fait normal,
je suis jamais très fan des approches comportementalistes qui ne font pas la différences entre une plainte, un ralage, un caprice, une colère, de l'autojustification, une réaction légitime, etc
Il y a les gens qui souffrent et qui font ce qu'ils peuvent, et ils y a les gens qui font tout pour aller mal et ensuite vont réclamer l'énergie des autres.
Je pense que ce texte manque cruellement de subtilité dans son analyse des choses

Ceci n'est-il pas qu'un problème de mots ?

Parce qu'il est amusant de voir que les réponses à ce sujet sont aussi variées que les intervenants, chacun ayant commenté le mot "se plaindre" d'une façon fort différente

Personnellement je l'ai compris comme le commérage de ses propres pensées toujours insatisfaites du monde et qui brûlent bien plus d'énergie à ergoter qu'à essayer de prendre les choses en main et d'aller bien

Hum , ce texte parle pour moi d'émotions négatives en général , c'est ce que nous échangeons la plupart du temps , nous commençons à imiter tout jeune ces émotions négatives à propos de tout et de n'importe quoi , le problème c'est qu'il n'existe pas de place où ranger en nous ce genre d'émotions , notre fonction émotionnelle ne sait pas les traiter , elles s'entassent en nous ulcèrent nos existences et éclatent à la première occasion , la non expression des émotions négatives permet de stopper pour une part ce processus , on peut toujours se plaindre avec esprit et humour sans avoir à utiliser les émotions négatives , chacun peut reconnaître ce qu'est une émotion négative , sauf quant on y est identifié , et on prend souvent plaisir à exprimer les émotions négatives , cela emploie une part de notre personnalité , et on peut même avoir le sentiment subjectif d'exister à travers elles , love .

Loryan a écrit:

Ceci n'est-il pas qu'un problème de mots ?

Parce qu'il est amusant de voir que les réponses à ce sujet sont aussi variées que les intervenants, chacun ayant commenté le mot "se plaindre" d'une façon fort différente

Personnellement je l'ai compris comme le commérage de ses propres pensées toujours insatisfaites du monde et qui brûlent bien plus d'énergie à ergoter qu'à essayer de prendre les choses en main et d'aller bien

Oui en effet, mais plus le temps passe et plus je prend de l'avance sur les élans de sur-interprétations etc
j'ai croisé trop de gens qui se servaient de ça pour se casser soi même ou les autres

Pour cesser de se plaindre , faut prendre conscience de sa nature véritable .

Quand nous nous savons être une parcelle de l'Esprit Créateur, il est évident qu'on ne cherche qu'à émaner l'Amour/la Paix/la Joie, il y a alors aucune place pour la plainte.

C'est un travail de chaque instant.

Âliya a écrit:

Pour cesser de se plaindre , faut prendre conscience de sa nature véritable .

Quand nous nous savons être une parcelle de l'Esprit Créateur, il est évident qu'on ne cherche qu'à émaner l'Amour/la Paix/la Joie, il y a alors aucune place pour la plainte.

C'est un travail de chaque instant.  

Oui clair !
Simplement si ce que tu dis est la vérité, alors à la simple lecture de ces mots nous devrions tous connaître l'éveil immédiat et instantané ! Allez hop, je prends tout de suite conscience de ma nature véritable ! Oh ! C'est merveilleux !  

Eh ben peut être bien oui

~~

Vers l'infini !!! et au delà...
-Buzz l'éclair

Oui , Nivid , ça peut être instantané, c'est ce que nous sommes déjà en vérité, suffit d'en prendre conscience .

Âliya a écrit:

Oui , Nivid , ça peut être instantané, c'est ce que nous sommes déjà en vérité, suffit d'en prendre conscience .

*RE: En prendre conscience est un premier pas... mais comme l'a précisé Nivid, alors ne rien faire reviendrait à ne pas être venu ici bas.

-"Ce qui est" en haut envoie en bas, et ce qui est en bas réintègre ce qui est en haut".

-La projection ne sera jamais ce qui est de nature immortelle, mais lorsqu'elle s'aligne à Elle, son essence, Sa cause, elle est transcendée.

-Lorsque l'illusoire disparaît, les projections du créé, reste le Réel, là est notre demeure. La joie de l'Être est alors présente où que l'on se trouve, dans la paix et SA quiétude, Son jeu.C'est ainsi que je le perçoit ceci dit.  

-Avec la Présence: "Les dons de Dieu sont éternels et en partage,
Nous pouvons agir selon ces principes".


-Les émotions traversées pour en revenir au sujet abordé, sont un chant d'expressions sensorielles colorées suivant les impressions qu'elles expriment et impriment en notre esprit émotionnel et sentimental, notre astralité, leurs énergies brutes sont à transcender à terme. Tout peut exprimer ce sentiment que l'unité peut rassembler, c'est ainsi que toutes émotions deviennent celles du créateur à travers chaque création, créature.

Fraternellement

Le simple fait que vous parliez de ne pas ce plaindre, me donne envie de me plaindre.

Mais je vais resté calme pour éviter que "la cocotte minute" déverse une colère.

Si vous voulez je peux venir vous aider à régler le minuteur :-3

pulsar a écrit:

La façon vraiment efficace de cesser de se plaindre est de se plaindre consciemment, sans aucune justification, juste en observant le spectacle que nous nous offrons, à nous même et au monde. Si nous avons l' audace de ne pas fuir la vision de ce spectacle, il ne va pas tarder à se passer quelque chose.

s'imposer le silence ...

Âliya a écrit:

Pour cesser de se plaindre , faut prendre conscience de sa nature véritable .

Quand nous nous savons être une parcelle de l'Esprit Créateur, il est évident qu'on ne cherche qu'à émaner l'Amour/la Paix/la Joie, il y a alors aucune place pour la plainte.

C'est un travail de chaque instant.
.

Bonjour, Âliya...

Cette "nature véritable", est-elle la même pour tous ?
.

-Ce qui se plaint doit être écouté, rassuré, entendu, accompagné vers la compréhension et la paix.

-Ce qui se plaint aspire à un regard, qu'on lui prenne la main, à l'amour, au sourire divinement, à de la bienveillance, une lumière.

-Ce qui se plaint souffre de ne se connaître et de se sentir étranger en ce monde, de ne le comprendre et de se comprendre.

-Ce qui se plaint est sensible, dans ses yeux une lueur demande l'espoir d'être reconnu.

-Un coeur calme lui versera un breuvage de reconnaissance qu'il ou elle est d'autant d'important et valable que n'importe quel être, que la vie qu'elle joue est l'instrument qui lui sied le mieux, que son rôle nul autre que lui-même est aussi apte à le jouer.

Fraternellement

COEUR A COEUR

Lorsque je tombe, à chaque fois je me relève, je m'éveille à ce que JE SUIS et ma conscience grandit en CELA.

Où que je sois, DIEU est en moi,
Ce que JE SUIS EST, je le vis.
Au centre du lotus resplendit le SOI,
Son rire me remplit à cet endroit.

Dans la fleur du cœur,        
Rien ne meurt.                                      
Un soleil de gloire,                        
Il faut voir.                                
Ses vagues de lumière
Remplissent les soleils,
Qui apportent la VIE.
Grande est SA Présence.

L'expression de l'AMOUR est une vivante expression subtile du cœur.
De son espace océanique, surgissent par vagues extatiques son effusion, elles remplissent tout manque, satisfont à tous besoins ou désirs inconsistants, rassasient et désaltèrent son hôte.

Ce que tu cherches n'est rien.
Ce que tu trouves est TOUT.
Lorsqu'il s'agit de DIEU,
Même l'imagination la plus fertile n'est rien.

De nombreux trésors et joyaux se présentent sur ton chemin,
Délaisse-les afin de ne pas alourdir ton pas,
Peut-être te suivront-ils alors,
Mais ce ne sera pas de ton chef,
Mais qu'ils voudront savoir ce qu'il y a de plus précieux,
Connaître quel est ce LIEU où tu vas.
Ne les en dissuade pas,
Ils sauront alors la Vérité,
Les jalons merveilleux qu'ils ont été,
Que le SEIGNEUR des mondes a créé.

Namasté

Coucou porte

De quelle tradition ou école spirituelle t'es tu enrichis mon ami ?  
Ou peut être est-ce ton propre vécu qui te fait exprimer ceci ainsi, dis moi je suis curieux de savoir !

Belle journée

Il y a peut-être aussi une différence entre se plaindre (soi même) et écouter les autres se plaindre.

C'est pas du tout le même sujet.

L'un relève d'un travail sur soi-même concernant entre autre l'impact de ses propres pensées négatives, voir de la gestion de ses propres émotions négatives.
L'autre relève de la compassion pour autrui, et de cette faculté à écouter, voir "soigner" l'autre. Mais aussi de la gestion de la "négativité" des autres sur soi même, ce qui peut revenir à se soigner soi-même.

L'un émet, l'autre reçois

Loryan a écrit:

Il y a peut-être aussi une différence entre se plaindre (soi même) et écouter les autres se plaindre.

C'est pas du tout le même sujet.

c'est vrai, c'est pas la même démarche !!
souvent écouter les autres se plaindre demande
plus d'écoute et ne pas s'écouter !

Figaro a écrit:

Extérioriser ses plaintes est essentiel pour recouvrer une certaine légèreté.

Inspiré par Antiphon

ça dépend...?!!
si c'est pour ennuyer le monde avec ses problèmes..
autant rechercher une autre forme d'extériorisation..
la peinture, l'écriture....la danse, le sport..la méditation...

Kouen a écrit:

Loryan a écrit:

Il y a peut-être aussi une différence entre se plaindre (soi même) et écouter les autres se plaindre.

C'est pas du tout le même sujet.

c'est vrai, c'est pas la même démarche  !!  
souvent écouter les autres se plaindre demande
plus d'écoute et ne pas s'écouter !  

*RE: Vous rigolez j'espère... Celui ou celle qui se plaignait hier, s'il a compris et résolu ce dilemme demande autant de s'écouter que l'autre pour communiquer, une sorte d'ouverture que le courant de la compassion ouvrira: entendre la plainte du monde, voilà pourquoi une force comme un Bouddha descend régulièrement à la rencontre des hommes.

NB: Les secrètes prières ni sont pas étrangères, ainsi que les invocations, les appels à la fraternité spirituelle, et au service de et en la Cause.

*Lorsque la conscience est alignée au centre du coeur Divin, la compréhension de la plainte est entendue dans ce qu'elle recèle de plus profond, ses attentes, ses espoirs et la cause de cet état: la séparation.

*Que voyons-nous dans la plainte, un reproche à la vie que nos attentes ne seraient pas prises en considération et satisfaites...mais que faisons-nous donc pour en arriver là?

-Le monde n'est pas la joie, la joie est une émanation de notre éternité, elle est tranquille tout en étant puissante, débordante tout en étant calme, un océan tout en étant ruisseau, un onde, une vibration pourtant silencieuse, invisible mais pleine, alors que les apparences n'en offre qu'un succédané.

Fraternellement

*"L'expérience de la plainte appel à s'aider soi-même alors que dans l'invisible l'aide est déjà donnée."

*Je puis en témoigner...ayant porté "ma plainte" dans l'écoute à la Vie...elle a répondu. Donner à ses failles suffisamment d'ouverture afin d'y accueillir le Divin, simplement l'inviter à sa table.

Namasté