Quelles solutions proposeriez vous pour un monde meilleur ?

Quelles solutions proposeriez vous pour un monde meilleur ?

Bien évidement "Meilleur" dans le sens général (l'idée n'est pas de se perdre dans le sens d'une discussion sur ce qui est "meilleur"), mais de proposer des idées, peut être que vous avez déjà mis en place autour de vous, ou des exemples de gens qui l'on fait.

A vous !

Pour moi, la meilleure solution pour que ce monde soit meilleur, c'est que chacun agisse dans l'amour et le respect de l'autre. Cela commence donc par une prise de conscience personnelle.

La solidarité envers son prochain et soi-même. Et comme le dit la "belette" ci-dessus, que chacun agisse dans l'amour, et par amour, dans la mesure de ses possibilités.

Je vous rejoins ! et aussi du même coup lutter contre l'indifférence !!! il y a trop d'indifférence ...

Et donner de soi-même ! il y a trop d’égoïsme !

Et changer notre vision du monde et des autres ! l'élargir notre vision , l'assouplir toujours plus

Dire ce que l'on a sur le cœur.
Traduire l'amour (qui est un mot) par des actes concrets.
Donner de soi-même, mais savoir aussi se préserver.
Prendre soin de soi.
Que chacun-e exploite son talent et trouve ce qui lui convient.

Taxer lourdement toutes les formes de spéculations financières ...

Bonjour, En accord avec vos idées , vos propositions; le plus facile il me semble, c'est de sourire, oui, sourire aux personnes que l'on rencontre, un sourire apporte beaucoup de chose, une ouverture, un dialogue, un bien être aux gens que l'on croise, ça veut dire "la vie est belle malgré tout, - je suis ouverte au dialogue, ça efface l'indifférence et l'égoïsme,c'est contagieux, un si petit signe pour moi est porteur de beaucoup d'espoir...alors, ça va peut être paraître infantile, mais...il y aurait déjà je crois beaucoup de "choses" données,de façons immédiate..Belle journée, je vous souhaite d'avoir le sourire aujourd'hui.;

Vous aimez la nature, les plantes, les animaux et les rivières qui serpentent parmi les rochers. Alors la société qui est en train d'assassiner ces choses vous révulse quelque fois. Si vous passez a l'acte vous mangez déjà bio, ou bien vous aimeriez le faire. Quand vous vous souvenez de votre pouvoir d'achat, vous prenez du café en commerce équitable. Vous vous soignez parfois avec des plantes ou des médecines alternatives parce que c'est mieux, ou bien vous ne savez pas par ou commencer parce que vous avez oublié que vous pouvez vous faire des ordonnances pour ces choses là.

Il vous semble que les femmes sont des humains avant d'être des femmes. 
Vous vous dites que parmi les qualités humaines qui seraient plus souvent chez elles, leur tendance a l'écoute, leur tendance a la coopération et leur refus de la violence, feraient bien de devenir une habitude chez les humains qui sont des êtres humains avant d'être des hommes.

Il vous semble que les étrangers sont des humains avant d'être des étrangers.
Alors vous ne voyez des étrangers nul part, vous voyez des humains ayant d'autres cultures, ou simplement des différences assez profondes avec vous mêmes. Et en s'ouvrant a eux vous avez tous les deux une occasion de vous enrichir. Mais comme c'est difficile vous n'y arrivez pas souvent, voir vous laissez tomber. Mais peu importe : de temps en temps vous essayez, vous apprenez. 

Ce que vous êtes passe avant ce que vous avez.
Vous ne transigez pas là dessus.
Et être plutôt qu'avoir est tellement naturel pour vous que vous n'aviez même pas remarqué que tout le monde n'est pas comme ça. Donc quand il vous arrive de vous laissez avoir par votre propre tendance au paraître, vous vous dites justement que vous venez de vous faire avoir, plutôt que de bâtir votre existence sur l'apparence que vous n'auriez même pas identifié comme apparence .

Comme vous savez intuitivement que tout le reste dépend de ça, vous prenez en main votre évolution, via la spiritualité ou via la connaissance de soi sans dimension de transcendance, cela revient au même. Mais cette fois ci, vous avez remarqué que tout le monde n'est pas comme ça. 

Etant donné tout ce qui précède, vous vous dites que ce monde va de travers et qu'il vous appartiens de le changer avec des actes que vous ferez autour de vous. Vous êtes peut être déjà en train de le faire dans les associations de votre quartier. Ou bien vous ne savez pas par ou commencer. Alors vous y pensez de temps en temps, et puis d'un coup vous ouvrez un sujet sur un forum de spi, ou bien simplement vous postez dans le sujet, juste pour voir...




Quel que soit ce que vous faites au quotidien dans ces domaines que je viens d'énumérer, vous venez globalement de vous reconnaître.

Donc il y a fort a parier que vous ayez aussi une autre caractéristique : vous n'aimez pas être mis dans une case, vous n'aimez pas être étiqueté. 

Alors je n'irai pas plus loin.
Je ne vous dirais pas le nom que le sociologue Paul Ray et le psychologue Sherry Anderson on donné a ces gens qui accordent de l'importance a toutes ces choses que je viens de vous décrire.

Mais puisque VOUS, vous accordez de l'importance a toutes ces choses, vous avez encore une autre caractéristique : vous croyez que vous êtes quasiment seul a être comme ça, ou disons très très peu.

Vous ignorez que 17 % de la population française accorde aussi de l'importance a toutes ces choses. 

Si vous ne le saviez pas, cette ignorance est une des choses qui nous empêche de changer le monde.

Comme vous ne voulez pas démordre tout de suite de cette conviction d'isolement, maintenant que je vous est dit que nous sommes 17 %, vous vous sentez un peu moins seul. Pour commencer ça fait du bien. Mais vous trouvez que 17% c'est quand même pas beaucoup. 

Puisque 17 % c'est une personne sur six, la solution que je propose pour aujourd'hui - dans le but de changer le monde plus tard - c'est d'aller se promener dans la rue. Aller se promener dans une ou il y a du monde et de compter les gens que vous croisez : un, deux, trois, quatre, cinq, six - avec vous ça fait deux - sept, huit, neuf, dix, onze, douze - avec lui ça fait trois - etc...

Vous venez de louper deux occasions de rencontrer des gens qui ont les mêmes valeurs que vous.
Il y en a des dizaines dans votre quartier, et des milliers dans votre ville.

Ne me dites pas que si vous aviez pris le temps de les observer intuitivement vous ne les auriez pas reconnus. Je ne vous croirais pas. En général ça se voit dans leurs yeux, du moins c'est comme ça que je les reconnais. Ils ont des yeux vivants. Dites moi plutôt que vous croyant tout seul ou quasiment vous marchez le regard planté part terre, et là je vous croirait.

Que ce soit pour changer le monde ou autre chose, quand le moment est véritablement venu de faire quoi que ce soit, nous avons tous la possibilité de reconnaître les gens avec qui nous ferons ces choses.

............

Alors bonne promenade a tous.
Et pourquoi pas se dire bonjour entre inconnu, comme ça, au pif.
Pour aujourd'hui ça peut suffire a changer un petit peu le monde.
Pour demain on verra le résultat.

Vous me faites copieusement rigoler avec vos déclarations d'amour ... Ça fait plus de deux mille ans qu'un certain Jésus a donné la recette et que ça ne fonctionne pas. Vous n'avez pas encore compris que les hommes ne peuvent pas s'aimer les uns les autres ! Il suffit d'un seul pourri dans le troupeau pour contaminer toute la bande. Seriez-vous utopiques au point de penser que cet amour universel pourrait enfin submerger la planète.
Vu mon age, j'avais 25 ans dans les années " peace and love ". On était sur la bonne voie ! ... Mais que s'est il passé ? Les jeunes hippies échappaient au système !... Les pouvoirs politico-financiers ont vite repris les choses en mains. C'était urgent ! On s'est fait baiser comme des bleus et personne n'a réagi ... Et surtout ne me parlez pas des illuminachoses !

@ananard, serions-nous tous des "Alceste" en puissance ?

Myssterre a écrit:

Bonjour, En accord avec vos idées , vos propositions; le plus facile il me semble, c'est de sourire, oui, sourire aux personnes que l'on rencontre, un sourire apporte beaucoup de chose, une ouverture, un dialogue, un bien être aux gens que l'on croise, ça veut dire "la vie est belle malgré tout, - je suis ouverte au dialogue, ça efface l'indifférence et l'égoïsme,c'est contagieux, un si petit signe pour moi est porteur de beaucoup d'espoir...alors, ça va peut être paraître infantile, mais...il y aurait déjà je crois beaucoup de "choses" données,de façons immédiate..Belle journée, je vous souhaite d'avoir le sourire aujourd'hui.;

Oui, le sourire est l'ouverture la plus efficace qui existe.
D'ailleurs, je sais pas si tu connais ça Myssterre, c'est pas mal: http://www.nicolecharest.com/Blog_images/la_revolution_du_sourire_juste.pdf

En revanche, lorsque quelqu'un-e abuse de ma confiance ou se fiche de moi, je lui ôte mon sourire et mon estime sans aucun problème.

Un peu comme Ananard, je ne crois pas à l'amour inconditionnel. A moins que le pourri du troupeau tombe amoureux et décide de changer par amour?
Allez, allez, un peu de foi, cela me fera du bien.

La Nymphe de papier a écrit:

@ananard, serions-nous tous des "Alceste" en puissance ?

Je ne sais pas et je ne pense pas être un Alceste, mais l'enracinement dans l’ego est quelque chose d’extrêmement puissant qui conditionne très fortement nos actes et nos sentiments. De plus les nouvelles âmes incarnées veulent faire l'expérience de la fortune, de la gloire, du pouvoir ( et je ne parle pas du sexe !) ... Exiger de l'amour de ces entités de basse vibration est aussi absurde que de demander à un tigre d'aimer les asperges ... Faut pas rêver l'homme est un loup pour ses congénères . Faut être lucide ... Derrière nos claviers on peut se livrer à des délires sentimentaux, mais dès que l'on fait trois pas dans la rue les choses changent du tout au tout.

La Nymphe de papier a écrit:

Et comme le dit la "belette" ci-dessus

Hermine et non belette s'il te plaît, merci.

@ananard, "Homo homini lupus est." Autrement dit, l'Homme est un loup pour l'Homme. Oui, sans doute, dans bien des circonstances. Il suffit de se pencher une seconde sur soi-même ou notre voisin pour y lire l'égoïsme et l'individualisme qui l'habitent. Toutefois, je ne crois pas que tout soit si opaque, j'ai foi en l'étincelle aussi infime soit-elle. Pourtant, il m'arrive bien souvent de désespérer de tout. Quant à ces entités de basse vibration, qui sait, elles attendent peut-être un élan de solidarité ? Au fond, tendre la main quelquefois, se sourire, c'est toujours mieux que rien ou que son contraire, non ?

wb35, j'aurais dû m'en douter !

Il n'y a guère que la tirade de Perdican dans "On ne badine pas avec l'amour " de Musset qui me donne quelque fois à songer que l'homme peut être autre chose ... Mais c'est bien limité ... On a trop souvent pris ma gentillesse pour de la connerie !

N'est-ce pas un homme blessé ou du moins déçu qui écrit la dernière phrase ci-dessus ?

Elle est bien belle cette tirade

Nous sommes nombreux.
Environ dix millions en France, on va pas pinailler pour un demi million. 
Nous sommes nombreux a faire déjà beaucoup de choses qui transforment doucement le monde. 
Et nombreux a se dire que ça ne suffit pas.

Comme le sujet demande "Quelles solutions proposeriez vous...", hier j'ai regardé dans mon chapeau et j'ai trouvé un fait, donc je l'ai dit : nous sommes nombreux.

C'est là que le candide arrive et dit : "Mais si nous sommes nombreux...pourquoi la société se transforme aussi peu ...alors que nous sommes dix millions a avoir cette capacité très prononcé d'inventer des formes nouvelles, dix millions a se dire que ce serait mieux si elle se transformait beaucoup, sans parler des autres millions qui seraient aussi preneurs, et rejoindraient sans doute le mouvement, a partir du moment ou certains donnent les impulsions ?"

Pour ce matin, je regarde dans mon chapeau...et je ne vois aucun fait a proposer.
Je vois simplement ma douleur devant ce monde qui me rend barge, et me rend barge parfois au point de croire que c'est lui qui est barge. 

Alors je fouille encore dans mon chapeau, et je vois tout au fond un truc qui pourraient servir au candide a trouver lui même sa réponse. C'est pas ça qui changera le monde. Les réponses ne changent pas le monde. Mais ça peut changer la vision qu'il se fait de lui même, et soit dis en passant c'est une autre caractéristique des dix millions : ils sont tous convaincu que c'est en se changeant intérieurement que nos actes vont changer, et donc que le monde va changer. Mais le contraire est vrai aussi : nos actes nous transforment.

Au fond de mon chapeau je vois le courage pour regarder en face les choses qu'on aime pas voir en soi : nos résistances.

Il faut du temps pour que certaines idées circulent, soient reconnue valables, puis mise en oeuvre suffisamment longtemps avant qu'arrivent des résultats flagrants.
Alors pour le moment nous sommes nombreux a ne pas savoir qu'on est nombreux.
Résultat : pas de sentiment d'appartenance, pas de conscience de groupe. On marche tout seul en regardant par terre. Le trottoir sent mauvais. Il n'est pas un chemin dessiné au milieu des fleurs - comme dans le monde qu'il nous faudrait pour être bien. Les seuls papillons que l'on voit sur le trottoir sont des papillons morts. 

C'est la cata.

Mais dans la rue qui pue... il passe un type que vous ne connaissez pas.
Le type vous dit bonjour tout en passant...
Vous souriez, vous répondez bonjour tout en passant...
Le type s'arrête et vous sourit.

 Il dit : " Paul Ray et Sherry Anderson disent que vous êtes "cultural créative". Vous aimez la nature, la coopération plutôt que la compétition et toutes les valeurs qui, symboliquement, sont associés au féminin. Vous ne voyez des étrangers nul part mais simplement des différences. Les jours ou vous êtes bien luné ces différences vous semblent intéressantes a découvrir et a comprendre, même si c'est difficile. Vous menez une recherche de sens sur votre vie et vous cherchez a évoluer intérieurement, par toutes sortes de travail sur soi qui marchent plus ou moins bien. Enfin, comme vous avez compris que l'état de la société dépend aussi de vous, et que cet état vous désole, parfois vous faites des trucs dans les associations. Ou bien vous aimeriez le faire, mais vous vous sentez démuni ". 

Comme vous êtes membres de spirit partage vous souriez une deuxième fois : vous étiez déjà au courant.
Mais comme cela ne change rien d'être au courant, vous répondez au type : "Qu'est ce que ça change d'apprendre que des sociologues nous ont mis dans une case ?"

Le type vous regarde droit dans les yeux.
Son regard est vivant.

Il dit : " Passons a l'acte ... non pas pour obtenir un monde meilleur, mais en sachant pertinemment que c'est dans le passage a l'acte que se révélerons nos résistances. Et il nous faut d'abord les rencontrer avant de les surpasser. C'est ainsi qu'on y arrivera plus tard, sans doute dans une incarnation prochaine. Alors patience. Et courage devant ce que tu ne veux pas voir en toi."

Il y a fort a parier qu'ici, sur ce forum, nous faisons tous partie de cette catégorie de gens qui ont vraiment, très prononcée, cette aptitude a inventer des nouvelles façon de vivre en société. Mais comme on se trouve incapable de les faire ensemble, on les invente juste pour soi, ce qui est un bon début, voir même un bon laboratoire pour les étendre au collectif dans le futur. 

ananard a écrit:

Ça fait plus de deux mille ans qu'un certain Jésus a donné la recette et que ça ne fonctionne pas.

Quand l'humain fait des choses dans le but d'obtenir un résultat précis, dans le but de voir arriver LE résultat que LUI voudrait, ce résultat et pas un autre, et surtout qu'il veut voir lui même arriver le résultat, pas dans cent ans ni dans milles ans, et qu'il ne voit pas arriver CE résultat, il dit : "ça ne marche pas".

Alors qu'en fait ça marche parfaitement bien : dans son passage a l'acte le type a rencontré ses résistances, qu'il surmontera plus tard afin d'y arriver.

S'il se comprenait un peu mieux devant le phénomène il pourrait dire : " ça ne produit pas encore le résultat que MOI j'attendais, et que MOI je voulais voir venir"

Seconde forme d'égoïsme qui fait que momentanément on laisse tomber.
Il reprendra le travail dans la prochaine incarnation.
D'abord récolter le résultat de l'égoïsme, autrement dit vivre dans la société présente, juste pour soi.

Patience mon pote.
Si je t'ai bien compris, pour l'instant t'es passé a l'acte dans ta jeunesse, donc tu a rencontré tes résistances, le premier pas est fait, bravo, la suite au prochain épisode.

Pongo a écrit:

Quelles solutions proposeriez vous pour un monde meilleur ?

Un tout petit chapeau pour Did afin qu' il puisse nous indiquer le beau chemin tout fleuri plus facilement .....

Je propose que les gens jardinent ensemble, en commun sur un même espace "public" (le plus possible).
Mais c'est très difficile, cela demande concertation, initiative, persévérance, etc...
C'est un apprentissage.
ça parait tellement simple.  


Ce qui est précieux dans cette solution c'est que c'est à la portée de tout le monde. Quelque soit la situation dans laquelle on se trouve, quelque soit le niveau de connaissance, quelque soit l'age, le lieu.
C'est possible de faire cet apprentissage, cette expérience au fil des saisons.
De se donner une chance.

Quel que chose se passe. On y participe, mais ça nous échappe pourtant.
Essayer, c'est vivant.


 

Biosphère a écrit:

Je propose que les gens jardinent ensemble, en commun sur un même espace "public" (le plus possible).
Mais c'est très difficile, cela demande concertation, initiative, persévérance,  etc...

Cela existe déjà, les jardins partagés, dans beaucoup de villes et gérées par les municipalités. Les revues alternatives regorgent d'initiatives de ce genre.

Il y en a un derrière chez moi, c'est très beau.
Dans ceux que j'ai vus à Paris et proche banlieue, il y a des fêtes, des visites qui sont organisées. C'est très convivial, et dans certains, des parcelles sont réservées aux écoles.

Mais, et là je te rejoins Biosphère, ce n'est pas suffisant, les citoyens doivent se réapproprier tout l'espace public que se soit à ce niveau-là, mais aussi pour l'art par exemple (street-art).

Itxaso a écrit:

....
Il y en a un derrière chez moi, c'est très beau.
...

super si tu jardines déjà dans ce jardin derrière chez toi.

Comment trouves tu cette fourmilière ? Ne trouves tu pas que les légumes ont un autre parfum ?


Perso, en plus de mon jardin perso, je jardines aussi dans plein d'autres endroits. c'est dans ma nature.
C'est pour ça que je propose une solution que j'expérimente déjà.


 

Biosphère a écrit:

Itxaso a écrit:

....
Il y en a un derrière chez moi, c'est très beau.
...

super si tu jardines déjà dans ce jardin derrière chez toi.

Comment trouves tu cette fourmilière ? Ne trouves tu pas que les légumes ont un autre parfum ?


Perso, en plus de mon jardin perso, je jardines aussi dans plein d'autres endroits. c'est dans ma nature.
C'est pour ça que je propose une solution que j'expérimente déjà.


 

Personnellement, je ne jardine pas dans cette structure, parce que je sais, pour être engagée dans d'autres choses, que je ne pourrai pas tenir les devoirs de régularité qui sont exigés, à juste titre, pour en bénéficier. Les listes d'attente sont longues, la demande est réelle.
Je jardine juste des fleurs sur mon balcon, mais j'ai des amis qui commencent à cultiver des légumes sur leur balcon (c'est ce que fait Ours d'ailleurs, il en parle souvent), et un qui cultive des pommes de terre (avec plus ou moins de succès) dans l'arrière-cours de sa maison à Paris (enfin Malakoff, pour celles et ceux qui connaissent).

En revanche, j'ai déjà bavardé avec de nombreuses personnes qui y jardinent, j'ai goûté à certains de leurs produits, bah, c'est variable, c'est comme tout, en fonction des intempéries, pucerons, etc ...
Mais j'ai quand même plaisir à manger "local" et à manger les légumes du voisin, cela crée un autre rapport au monde, de partage et de fraternité, et de toutes façons, plus on réduit les intermédiaires (en termes économiques et de distance), meilleur cela sera.
Idem au marché, il y a de nombreuses fermes en Ile-de-France et leurs produits sont bons, globalement.

J'ai vécu pendant 18 ans dans une ferme (enfin, dans deux très exactement) dans des coins très isolés et reculés et ce n'est pas pour ça que ce qui y était produit était bon.

Je puis t'assurer, maintenant que j'ai testé un peu tous les milieux, que le parfum d'un légume cultivé dépend de beaucoup de choses, mais surtout de l'amour que l'on met pour le cultiver.

Et mon rêve, c'est que l'avenue des Champs-Elysées devienne une voie piétonne et un champ, comme son nom l'indique, un immense champ de tournesols.

Bah, si je suis de passage dans ton secteur, je viendrai goûter tes légumes.