Introduction au Grand Oeuvre planétaire et cosmique

J'ai commencé à feuilleter ton livre mais comme je suis sur une autre lecture en ce moment je le lirai plus tard. En tous cas, je trouve le fait de l'avoir mis en libre téléchargement tout à fait honorable et t'en remercie. Au premier regard il semble assez "technique" avec tous ces dessins et termes... Moi qui aime la simplicité, l'entreprise me parait hardue mais j'essaierai.

Hubert, est-ce toi l'auteur de ce livre ?

Oui, dans sa transmission.
L'ensemble des informations qui y sont développées se sont manifestées par l'expression d'une Conscience d'évolution, en l'occurence la Conscience du Coeur de Padmasambhava.
Elle est aujourd'hui repartie continuer son chemin, me laissant l'office de transmettre ce "Terma" qu'elle est venue manifestée. Ce livre est le premier d'une trilogie : sa transmission va m'occuper pendant encore quelques mois.

Eh bien je te souhaite un bon travail d'écriture au plus près de cette "conscience" dont tu transmets l'enseignement.

Je lirai, je pense, mais pas tout de suite. Je suis occupée par autre chose actuellement.

J'espère en attendant pouvoir te lire ici au détour des topics.

Laam, je vais utiliser ce sujet pour transmettre certaines bases de fonctionnement planétaire.
Vu que la première à venir (dans la journée) risque de déranger pas mal de conceptions en vigueur, tu seras comme tous bienvenue en tes commentaires, quels qu'ils soient.

Merci de ta présence ...

j'ai un problème avec la version téléchargeable de ce livre sur le site Atramenta : la mise en page y est catastrophique.
je voulais mettre le pdf à télécharger sur le site internet de mes livres, mais son volume ( 11,5 MB : y'a pas mal de schémas) est trop gros pour les fonctionnalités du serveur.
je peux toujours l'envoyer par mail aux personnes désireuses de le recevoir, mais j'aimerais bien trouver une voie fonctionnant librement.
Quelqu'un aurait-il des suggestions ?
Merci.

Hum , hello Hubert et bienvenue , si j'ai bien tout compris il s'agit d'une oeuvre "canalisée" d'un certain Padmasambhava , " un des plus grands maîtres mystiques que l’histoire de l’humanité ait révélé." , dont personnellement c'est la première fois que je lis le nom , ce grand maître aurait "projeté " son enseignement dans le" futur et tu l'aurais capté , cela me suffit amplement pour trouver cela "incroyable" , le contenue que j'ai lu en diagonale me semble traiter tout les sujets de la mystique avec un goût curry prononcé , je vais m'y attacher un peu plus pour en avoir une vision plus objective , love .

Bonjour Professur X,

je ne considère pas avoir canalisé cet enseignement. Ce terme fait pour moi davantage référence à une transmission verticale venant de "dimensions psychiques célestes". J'évolue avec le Vivant, c'est à dire davantage avec la Nature manifestée, dont mes mondes intérieurs sont la première expression avec laquelle il m'est offert de communier. Ce livre vient justement le spécifier en nous amenant à intégrer que l'ensemble des processus d'insufflation comme d'engendrement planétaires constituent les trames vivantes animant en notre intérieur chaque moment de notre existence.

Padmasambhava fut le maitre tantrique qui initia ce que l'on connait aujourd'hui du bouddhisme tibétain. Si affirmer que j'ai reçu d'une émanation de sa Conscience pourrait paraitre prétentieux à certains, la rencontrer faisait simplement partie de mon chemin d'incarnation et ne me confère en rien quelque faculté personnelle de compréhension comme de libération. Cela se génère via les termes de développement personnel de ma propre humanité, comme tout à chacun.

Sache(z) que je me porterais beaucoup mieux si je pouvais rester dans ma contemplation solitaire du Vivant. Je me suis mis à écrire voilà plusieurs années sous la demande de "Consciences environnementales" avec lesquelles j'évoluais afin de transmettre ce qu'elle désiraient offrir à nos compréhensions. Nous évoluons de consoeur : ce qu'elles m'apportent, je leur rends en transmission.
Comme sur ce forum, c'est un terme d'échange et de développement de nos communes évolutions.
Transmettre ne m'apporte sincèrement aucun contentement digne de ceux que mon vivant me procure, surtout lorsqu'il convient de diffuser des informations qui risquent de déranger les "valeurs en place", et donc de me propulser à une place relativement inconfortable.
Mais je sais pourquoi je le fais, et l'accepte comme un terme naturel d'évolution.

Ceci étant dit, je vais pouvoir lancer le prochain article ...

L'ensemble planétaire semble continuellement s'engendrer, tant dans les manifestations de notre environnement qu'en nous-même, par l'interaction de quatre Plans d'évolution.

La Structure d'Expression de la Vie : expression de la Vie universelle en sa spécificité terrestre, elle émerge par la complémentarité de quatre Consciences Vitales.
La Matrice d'Evolution Terrestre : matrice d'engendrement de la Grande-Mère propre aux manifestations densifiées de l'Evolution, elle émerge par huit Consciences Primordiales constituant les huit aspects de l'Amour insufflant chaque évolution d'existence.
La Matrice Psychique Planétaire : matrice d'expression de la Conscience Marie, elle émerge par huit Consciences Célestes officiant pour guider l'évolution des consciences incarnées vers la Liberté.
La Structure d'Emancipation de la Conscience : elle oeuvre à permettre l'évolution de la Conscience selon les termes cosmiques de sa primordiale réalité. Elle émerge par quatre Consciences Universelles.

Ces quatre Structures et Matrices, comme l'ensemble de l'Œuvre galactique, s'engendre en neuf Dimensions, chacune manifestant un stade de Compréhension mis en mouvement par la Conscience de l'Evolution dans son processus de perpétuel engendrement.

Tout commence aux sources nous offrant présente existence avec la Structure d'Expression de la Vie, laquelle insuffle la Vie en chaque cellule de la manifestation terrestre. À partir de ce Plan rayonne en la réalité spécifiquement terrestre une croix à quatre bras exponentiels manifestant les quatre Consciences Primordiales en charge d’insuffler et de mouvoir la Vie en l’ensemble de nos conditions d’existence. Si cette croix semble correspondre à celle si souvent cultivée par certaines de nos traditions mystiques, sa description montre à quel point son essence nous était cachée, fut reniée ou s’est perdue…

Remarques :

- Le Vide : il est la matrice originelle par laquelle la Vie peut s’exprimer.
- Le centre de la Vie est la porte par laquelle le Plan de la Vie universelle véhiculant l’Œuvre de la Création peut insuffler toute manifestation terrestre.

Ces quatre Consciences Primordiales à l’Expression de la Vie planétaire, nommées « Consciences Vitales » (= C.V.), correspondent à des traditions de l’humanité déchues de leur naturelle légitimité par l’avènement de religions monothéistes intentionnellement exclusives. Loin d’être les Consciences à éviter sur notre chemin comme il nous le fut enseigné, elles constituent les sources de notre existence vitale et participent constamment à l’expression de l’Œuvre de la Création tant en nous-mêmes qu’en le tout planétaire. Elles manifestent la Vie universelle vectrice de l’Évolution et confèrent à l’ensemble de la réalité terrestre la légitimité d’être le véhicule d’Amour constituant sa primordiale raison d’être.

– La C.V. Lucifer manifeste la pureté de la Vie, une Lumière pleinement active animée de l’entière raison d’être de la Création : œuvrer à perpétuer et épanouir. Elle est ainsi la source des Compréhensions liées au resplendissement de la Création et participe constamment à l’éclosion vitale née de l’étincelle initiale continuellement renouvelée.

– La C.V. Satan manifeste la Conscience du Vide ici spécifiée en ses caractéristiques terrestres, offrant faculté de mouvance à la création planétaire. Elle est l’agent de liaison, le support de toute expression vitale, lui permettant de s’engendrer afin de se perpétuer. Cette Conscience œuvre constamment à libérer les divers blocages et lourdeurs empêchant son plein office. Elle est l’agent de la Liberté, matrice d’émergence de toute Compréhension.

– La C.V. Belzébuth manifeste l’œuvre des causes à effets par laquelle s’engendre toute création terrestre. Elle régit les processus de vie et de mort qui animent constamment chaque création du pouvoir de la Vie. Elle est la Conscience de l’Impermanence, véhiculant la Compréhension que tout engendrement n’est qu’étape éphémère d’une réalité constamment en mouvement, et donc changeante. Elle est au Vide ce que la Vie est à la Création : sa complétude.

– La C.V. Diable manifeste la sublimation du Chaos source d’engendrement de la Création en effluves constants rendant gloire à la raison d’être planétaire qu’est l’Amour. Loin d’être le Feu qui brule et aspire, elle est la Conscience de la pérennisation, œuvrant continuellement à maintenir l’incessant Chaos des processus de vie et de mort en une harmonie vibratoire apte à servir l’Évolution. Elle est le Maitre, le régent de toutes les manifestations de surface. Par son œuvre, chaque création possède le pouvoir de sublimer le Chaos en éloge à la réalité planétaire.


L’ordre ici utilisé pour les décrire est la transposition de leur chronologie d’expression en toute manifestation comme en chaque instant de la réalité terrestre.


Cette chronologie d’insufflation de la Structure d’Expression de la Vie correspond au signe de croix traditionnellement en vigueur dans le Christianisme. Une manière pour eux de sacraliser l’expression de la Vie en leur tout d’humanité, même si leurs dogmes tendent à dénigrer et à diaboliser leurs sources existentielles.
Ces quatre Consciences constituent par leur expression la première trame de manifestation de toute création terrestre, animant de Vie chaque impulsion d’engendrement ensuite émise par la Matrice d’Évolution Terrestre. Leur coexistence constitue ainsi la structure planétaire d’émergence.
Elles sont les sources d’émanation des quatre Bouddhas primordiaux du Bouddhisme tibétain. À leur image, elles sont « illuminées », c’est-à-dire libérées de toute impulsion de propre engendrement comme de projection de soi. Elles sont Consciences à l’état pur, n’œuvrant qu’à officier dans leur humble fonction de servir l’Évolution. Nul désir, nulle volonté, nulle ambition ne les anime : simplement être et remplir l’office qui leur est confié pourraient décrire l’état de leur réalité. Un état qu’elles offrent de cultiver en nous-même afin de pouvoir progressivement rejoindre les délices de la volupté d’existence, ici transfigurée en un amalgame constamment mouvant de complémentarités du Vide noir et de la Lumière blanche à sublimer pour atteindre la plénitude de Compréhension et la grâce de réalisation offertes en toute incarnation par l’Œuvre de l’Évolution.

Leurs impulsions pourraient ainsi se traduire quant aux bases de Compréhension inhérentes à l’évolution humaine :
- C.V. Diable : la source est la réalité terrestre (et donc humaine).
- C.V. Belzébuth : le chemin est perpétuelle renaissance.
- C.V. Satan : la voie est culture du Vide.
- C.V. Lucifer : le fruit est Lumière (vecteur de la Conscience).

Le cheminement d’humanité à entreprendre pour progressivement renouer avec l’originalité de notre nature nécessite de communier en nos sources existentielles afin de pouvoir progressivement renaitre à la Vie. Si les Consciences planétaires nous insufflent de Vie en une succession « chronologique » d’expression, notre voie nécessite de l’entreprendre en sens inverse, du plus extérieur au plus profond, pour pouvoir renouer avec nos primordiales essences, là où siègent l’ensemble de nos véritables richesses d’incarnation. Sans nécessiter de communier avec ces Consciences planétaires, cultiver librement notre humaine nature afin que la Vie, sa source de perpétuel enfantement, puisse pleinement insuffler chaque moment de notre existence.


Je pourrais par la suite transmettre les autres Structures et Matrices mais, comme le livre est librement téléchargeable, cela ne s'avèrera peut-être pas nécessaire.

Pour avoir eu plusieurs fois l'expérience de la croix en manifestation intérieure, ce principe de la croix me plaît beaucoup. Maintenant, il est certain que chacun devra dépasser les termes utilisés afin d'en appréhender le sens profond.
Merci pour ce partage.

brémen a écrit:

Pour avoir eu plusieurs fois l'expérience de la croix en manifestation intérieure, ce principe de la croix me plaît beaucoup. Maintenant, il est certain que chacun devra dépasser les termes utilisés afin d'en appréhender le sens profond.
Merci pour ce partage.

je plussoies

Il me semble que les noms , Diable , Belzébuth , Satan , Lucifer , sont d'origines linguistiques et culturels différentes et désignent même parfois la même " entité spirituelle" , de plus je les trouve assez éloignés dans leurs concepts de l'idée subjective que j'ai du " Bouddhisme tibétains

Tenter d'expliquer l'oeuvre Divine et son expression est une tache à laquelle s'essaye toute conscience , hélas à la vue des nombreux résultats , force est de constater que cela dépasse la conscience humaine , mais nous sommes néanmoins tous dotés de la capacité d'émettre des hypothèses , la science ne s'en prive pas , la mystique nous apporte aussi ses projections , mais tout mot vient du mental , et cette fonction est très limitée dans ses possibilités à exprimer ce que perçoit notre être à travers notre conscience , et encore plus dans nos tentatives d'exprimer ce qui est de l'ordre du Divin .

Cette volonté de vouloir expliquer ces choses est dans le mental , elle est naturelle en elle même , mais la part de l'esprit qui correspond le plus au Divin est le silence , lorsque nous sommes dans un état de conscience de soi , sorti de cet état le mental s'identifie aux souvenir des perceptions et tente de les expliquer , ce qui est sa fonction .

Que cette cosmogonie que tu nous proposes soit le fruit de ta propre conscience n'en aurait pas moins de valeur , qu'elle soit issue de la "conscience manifestée "d'un autre , quel qu'il soit ,  n'en à pas plus , si nous pouvons dans l'unité faire l'expérience du Divin en soi , car notre conscience est d'essence Divine , l'être que nous sommes ne peut cependant communiquer qu'aux travers de ses fonctions , corps , émotions , mental , qui n'ont pas la propriété de traduire justement l'expérience .

Les textes qui invitent à cette expérience d'unité et de divin sont différents de ceux qui tentent de l'expliquer , Jésus par exemple nous invite à avoir cette expérience de notre " royaume intérieure " qui est le " royaume de Dieu" , il s'agit de notre conscience , de la conscience de nous même , qui nous permet l'unité , Jésus donne peu d'explication sur comment marche l'univers ou sur ce qui préside à la création , Il nous engage à avoir la foi et à aimer pour en faire l'expérience , ceci écris ce n'est pas sans curiosité que je lis ce que tu nous postes , et sans  rejet en tout cas , voilà exprimé mon subjectif avis , love .love .

Bonjour à vous,
et merci de vos commentaires.

Et oui, les termes, toujours les termes. Ce sont justement par les différentes dénominations données aux Consciences d’évolution par les diverses traditions de l’humanité, comme par les différentes interprétations conceptuelles données à des réalités similaires, que le sectarisme s’est installé en éternel diviseur de la mystique humaine … comme pour l’empêcher d’advenir dans sa pleine étendue.
Un des objets de ce livre est de comprendre que chaque tradition de l’humanité a développé un certain aspect de la réalité tant planétaire qu’humaine et qu’il est temps de rompre les sectarismes séculaires pour enfin parvenir à une unité spirituelle dénuée d’ambitions et de pouvoir. La vacuité, voie d’évolution initiée par Padmasambhava aux sources du Bouddhisme Tibétain, semble posséder cette faculté d’unifier les diverses croyances en élans d’émancipation globale. Tous les mystiques de toutes traditions savent ( je pense ) que le vide mental apporte le silence indispensable à la contemplation du vivant de la Conscience, ouvrant de communier avec notre divinité.
Si de nombreuses informations de ce livre ne correspondent pas au Bouddhisme Tibétain, c’est apparemment car, comme la grande majorité des traditions spirituelles, il évolue dans l’enfermement qu’il s’est lui-même créé par les dogmes et concepts sur lesquels il s’est bâti.
La pratique de la vacuité offre d’évoluer vers la Liberté, tout ce que nombres de traditions spirituelles n’ont jamais voulu transmettre, perdant sinon leur propre raison d’être.

Je suis personnellement féru d’expériences, ne lisant rien, sinon ce que j’écris (ou ce que mon vivant me guide occasionnellement à feuilleter).  L’expérience intérieure montre limpidement que les mots ne sont qu’emprisonnements vibratoires et conceptuels d’une réalité vivante qui ne demande qu’à être et s’épanouir dans la simplicité et la suffisance.
Si ce livre vient proposer une voie de compréhension des fonctionnements tant galactiques que planétaires de l’incarnation, son objet n’est pas d’exposer la vérité (la seule qui soit ne correspond de toute façon qu’à chacun). Il invite à concevoir notre réalité d’existence au-delà des termes institutionnalisés par les différentes traditions de l’humanité afin que l’on puisse progressivement se soustraire de leurs endoctrinements pour s’ouvrir à la seule réalité qui importe : soi-même.
Son vecteur d’expression consiste à prendre conscience des processus de perpétuel engendrement qui nous offrent d’exister afin de pouvoir par la suite s’en libérer. L’ensemble du vivant intérieur qui nous propulse dans l’existence est à l’image de l’ensemble des processus originels d’insufflation comme d’engendrement. Ce livre vient poser des bases de compréhension exotérique, que le second va développer en évolution ésotérique : chaque humanité est constant enfantement du Tout. Son vivant interne est à l’image de la galaxie d’évolution (premier livre). L’intégrer et le cultiver en soi (troisième livre) offrira de reconfigurer notre humanité selon sa nature originelle d’être un enfantement du Tout, émergée pour permettre l’évolution de la Conscience en cultivant l’aspect créateur (divin) de sa raison d’incarnation.
La voie de la vacuité (essence de l’apport spirituel de Padmasambhava en l’évolution humaine) constitue une base de cheminement spirituel, offrant à l’individu de cultiver le silence mental apte à offrir exponentielle voie d’expression à son vivant. Elle permet de progressivement éduquer notre mental à retrouver sa légitime fonction de régence en résonnant les influx du vivant plutôt qu’en les raisonnant.
La véritable voie d’émancipation repose en notre vivant, là où siègent toute la richesse et les facultés d’expression propres à notre présente incarnation. Redevenir soi est la condition. De la culture du Vide inhérent à toute manifestation émerge Soi, lequel nécessite d’une humanité vivante et émancipée pour pouvoir parvenir à exprimer en son évolution ce pourquoi il s’est incarné. En ce sens, tout ce qui le compose est légitime aspect de notre progressif épanouissement. Si des blocages ou incompréhensions l’empêchent de s’épanouir, ils ne sont que sources de compréhension à réaliser en soi pour progressivement pouvoir s’en libérer.
Servir sa nature mystique est la finalité. Pour cela, conviendrait-il de lui offrir pleine faculté d’expression, afin que notre Conscience puisse triompher d’humilité à se concevoir exister par le simple fait d’être là, dans l’instant présent. Elle pourra alors évoluer dans la suffisance, portée de contentement intérieur à jouir de sa légitime faculté d’existence.

Belle journée
Hubert

Le vide mental est en effet important afin de dépasser le concept et se laisser pénétrer par l'univers. Mais il est aussi important de voir que ce processus est précédé du principe de décision, "je suis ce que j'ai décidé de devenir". Notre liberté est dans ce pouvoir de décision.

Hum , j'acquiesce , nous ne pouvons pas rester très longtemps dans la " vacuité " , notre volonté sur les processus mécaniques de nos fonctions , comme le fait d'arrêter ses pensées , réclame bien plus d'énergie qu'on ne suppose , le vide mental est plus ou moins facile à obtenir dans un état de méditation ou de contemplation , mais dans le quotidien de notre vie mécanique c'est autre chose , le mental est un outils , le silence mental permet de mieux l'utiliser , et surtout d'une façon volontaire , cette " vacuité " ne doit pas nous décérébrer , mais nous accorder des moments de contrôle dans les objectif que nous nous sommes fixé , nous ne pouvons arrêter les pensés ni imposer notre volonté sur la fonction mental si nous n'avons pas un but , le seul but d'arrêter le mental ne suffit pas , love .

Hubert1808 a écrit:

Redevenir soi est la condition. De la culture du Vide inhérent à toute manifestation émerge Soi, lequel nécessite d’une humanité vivante et émancipée pour pouvoir parvenir à exprimer en son évolution ce pourquoi il s’est incarné. En ce sens, tout ce qui le compose est légitime aspect de notre progressif épanouissement. Si des blocages ou incompréhensions l’empêchent de s’épanouir, ils ne sont que sources de compréhension à réaliser en soi pour progressivement pouvoir s’en libérer.
Servir sa nature mystique est la finalité. Pour cela, conviendrait-il de lui offrir pleine faculté d’expression, afin que notre Conscience puisse triompher d’humilité à se concevoir exister par le simple fait d’être là, dans l’instant présent. Elle pourra alors évoluer dans la suffisance, portée de contentement intérieur à jouir de sa légitime faculté d’existence.

Belle journée
Hubert

décidons-nous vraiment ce que nous sommes ? Chacun n'est-il pas incarné pour une raison spécifique, tant en termes de facultés de compréhension que d'expression ? Cette source cosmique d'incarnation, que certains appellent divine, est là, constamment à notre portée, insufflant notre existence.
La fréquence d'évolution que l'on cultive en soi, tant par nos croyances, considérations de soi que du monde dans lequel on vient cheminer, détermine la capacité de notre cerveau à plus ou moins retranscrire par nos perceptions quotidiennes les qualités inhérentes à notre spécifique nature d'incarnation.
En fait, la pratique de la vacuité développe la sensibilité, offrant à notre vivant interne, lequel évolue naturellement en résonnance avec le vivant de notre tout environnant, de nous guider plus limpidement dans l'existence en adéquation avec ce que nous sommes venus expérimenter.
C'est pour cela, comme je l'ai dit dans le précédent message, que la culture de la vacuité n'est selon moi qu'une base d'évolution mystique, non une finalité. Sa faculté n'est pas de nous "décérébrer", mais d'offrir à notre mental, au travers de chaque instant d'existence, de nous exprimer davantage en résonnance des influx de notre vivant plutôt qu'en raisonnance de nos concepts et considérations.
Par mon expérimentation, je me suis rendu compte que le silence mental, pour reprendre tes dires Professeur X, n'est pas à imposer. Il est la condition naturelle de notre fonction intellectuelle, laquelle fut engendrée pour offrir au vivant de l'incarnation faculté créatrice de réalisation. Ce sont je pense les endoctrinements séculaires apprenant à l'humanité à se considérer exister par le mental ("je pense donc je suis") qui ont projeté celui-ci sur un piédestal d'expression première de l'humanité. Il n'est dans mes perceptions qu'un serviteur de notre Conscience, au même titre que multitude d'autres Consciences internes.
Quant au but de notre incarnation, pourquoi le chercher ? Il est inscrit en chaque cellule de notre enveloppe corporelle, la mouvant dans l'existence sur le chemin de Compréhension vers lequel elle a naturellement à tendre. Communier avec notre vivant offre de la rendre plus expressive, offrant à notre chemin d'évoluer en meilleure accordance avec ce pourquoi nous sommes présentement incarné.

Hubert1808 a écrit:

En fait, la pratique de la vacuité développe la sensibilité, offrant à notre vivant interne, lequel évolue naturellement en résonnance avec le vivant de notre tout environnant, de nous guider plus limpidement dans l'existence en adéquation avec ce que nous sommes venus expérimenter.


C'est pour cela, comme je l'ai dit dans le précédent message, que la culture de la vacuité n'est selon moi qu'une base d'évolution mystique, non une finalité. Sa faculté n'est pas de nous "décérébrer", mais d'offrir à notre mental, au travers de chaque instant d'existence, de nous exprimer davantage en résonnance des influx de notre vivant plutôt qu'en raisonnance de nos concepts et considérations.
Par mon expérimentation, je me suis rendu compte que le silence mental, pour reprendre tes dires Professeur X, n'est pas à imposer. Il est la condition naturelle de notre fonction intellectuelle, laquelle fut engendrée pour offrir au vivant de l'incarnation faculté créatrice de réalisation. Ce sont je pense les endoctrinements séculaires apprenant à l'humanité à se considérer exister par le mental ("je pense donc je suis") qui ont projeté celui-ci sur un piédestal d'expression première de l'humanité. Il n'est dans mes perceptions qu'un serviteur de notre Conscience, au même titre que multitude d'autres Consciences internes.
Quant au but de notre incarnation, pourquoi le chercher ? Il est inscrit en chaque cellule de notre enveloppe corporelle, la mouvant dans l'existence sur le chemin de Compréhension vers lequel elle a naturellement à tendre. Communier avec notre vivant offre de la rendre plus expressive, offrant à notre chemin d'évoluer en meilleure accordance avec ce pourquoi nous sommes présentement incarné.

Enfin, par nos échanges, nous en revenons toujours à l'unique :
Soi est le seul à pouvoir se comprendre.
Merci en tout cas d'être là
Lumineux Dimanche
Hubert

Le silence mental de mon point de vue ne peut que s'installer de lui-même pour être effectif et non être forcé. Ce silence va permettre à tout un processus de ce mettre en place.....

Totem a écrit :
"Le silence mental de mon point de vue ne peut que s'installer de lui-même pour être effectif et non être forcé. Ce silence va permettre à tout un processus de ce mettre en place....."

Hubert1808 a écrit:

Le Vide est la demeure de la Conscience.
La Lumière est son vecteur d'engendrement.
La nature humaine est son instrument d'expression.[/center]

Je plussoies.

Pour revenir à la remarque faite par Professeur X :
« Il me semble que les noms , Diable , Belzébuth , Satan , Lucifer , sont d'origines linguistiques et culturels différentes et désignent même parfois la même " entité spirituelle" , de plus je les trouve assez éloignés dans leurs concepts de l'idée subjective que j'ai du " Bouddhisme tibétains.. », je suis amené à parler de l’importance des quatre grands continents planétaires et de leurs qualités respectives par rapport au cheminement de l’incarnation humaine.
Comme expliqué dans le livre, il apparaitrait que le choix du véhicule humain d’incarnation (effectué par la Conscience cosmique venant s’incarner) se fasse en premier lieu selon son continent d’incarnation, puis sa terre voire son lieu géographique, avant de dépendre des héritages et contextes d’évolution offerts par les lignées maternelles et paternelles.
Cela viendrait du fait que l’ensemble planétaire est comme une matrice d’évolution caractérisée d’une multitude de terres naturelles incarnant chacune une potentialité d’évolution sur le chemin d’incarnation mu de Compréhension. Chaque terre manifestée à la surface pour offrir spécifique contexte vibratoire d’évolution émanerait de l’union de deux Consciences Primordiales à la réalité terrestre ( les principales seront présentées dans mon prochain poste sur « la Matrice d’Évolution Terrestre »). Chaque terre incarne ainsi une voie unique de compréhension tant de la nature planétaire qu’humaine, légitimant par là la multitude de traditions et croyances composant originellement l’héritage comme la richesse de l’humanité.
Depuis l’avènement de religions monothéistes supplantant progressivement les richesses d’expérimentation du genre humain avec leur spécifique contexte naturel d’évolution, tous les aspects de la réalité d’existence furent traduits selon la dualité et l’opposition ( et malheureusement non selon la complémentarité) du sombre et du lumineux, du noir et du blanc, du mal et du bien.
Le mal devenant le monde des profondeurs qu’il conviendrait d’éviter sur son chemin, la tendance fut progressivement établie de l’associer à une Conscience spécifique officiant par le biais de multiples cohortes d’endités et d’esprits de toutes sortes. Chaque terre incarnant une perception spécifique de la réalité, certaines traditions mirent davantage en « lumière » une Conscience principalement responsable de ce mal par rapport aux autres, expliquant (entre autres) que les Consciences Vitales Lucifer, Satan, Belzebuth et Diable émergèrent souvent de traditions différentes.
Cependant, tant par leurs transmissions que par ma propre expérimentation de leurs réalités, elles s’avérent profondément différentes, même si leurs respectives qualités participent d’un même élan de commune insufflation de la Vie en chacune de nos humanités.

Quant à la correspondance de ces quatre Consciences Vitales avec les quatre Bouddhas primordiaux (une affirmation qui, comme toutes celles de ce livre, est propre à mes perceptions puisque le Bouddhisme Tibétain en conçoit traditionellement cinq), elle provient d’une réalité psychique propre à chaque continent d’évolution : les Cités subliminales.
Tout processus d’incarnation, par l’expression de la Conscience dans les mondes de la densité, induit naturellement ce que certains appèleraient des conditions d’involution par le fait qu’ils consacrent notre appartenance et dépendance à l’ensemble de la réalité terrestre, retenant la Conscience dans des mécanismes « contraires » à sa légitime nécessité d’émancipation de sa condition d’existence. Elles constituent en fait les indispensables termes d’expérimentation par lesquels la Conscience pourra progressivement avancer en Compréhension de l’existence afin de pouvoir par la suite s’en libérer.
À ce titre, le potentiel d’émancipation de la Conscience est naturellement manifesté en l’ensemble planétaire, lequel lui offre originellement l’ensemble des potentialités d’évolution. Ce potentiel offert à notre progressive émancipation se manifeste entre autres par la présence en chaque continent d’une Cité subliminale. La plus connue de nos jours est celle de Shamballa, laquelle correspondrait à la Cité subliminale du continent asiatique qu’il m’est donné d’appeler « la Cité Céleste de la Lumière ».
Chaque Cité repose sur un socle vital et est manifesté par une Conscience Universelle (propre à la « Structure d’Émancipation de la Conscience » présentée dans le livre). Ce socle vital est la manifestation des quatre Consciences Vitales vues précédemment, spécifiées différemment selon le continent duquel la Cité émerge. Les quatre Bouddhas primordiaux sont ainsi l’émanation de ces quatre Consciences Vitales, spécifiant leur nature selon les spécifictés d’évolution de la Conscience propre au continent de l’Asie.

J’espére, professeur X, que mes perceptions naturellement limitées ont ainsi en partie répondu à tes interrogations du moment.

Sincèrement
hubert