Improvisation poétique (oshimoto)

Rappel du premier message :

Dieu est la vie
Dieu est le don d'amour
La source infinie de tout être fini

l'émergeance d'un savoir ancestrale
nait en moi depuis ma plus tendre enfance
bien avant que je ne soit né
dans l'horizon lointain d'une matrice éphémère
comme la fleur qui renait à chaque printemps

La source de vie est une multitude
un réservoir grandissant
le canal de l'amour
entre les êtres
entre la vie
(à suivre...)

voir mes autres créations sur wattpad : Improvisations poétiques

Au plus intime de l'être , elle vient puiser
De ses plumes légères aux effluves dorées

Au plus intime de l'être , elle vient puiser
De ses plumes légères aux effluves dorées
Ce que la nuit a doucement déposé

Au plus intime de l'être , elle vient puiser
De ses plumes légères aux effluves dorées
Ce que la nuit a doucement déposé
Dans la profondeur des âmes à éveiller.

Au plus intime de l'être , elle vient puiser
De ses plumes légères aux effluves dorées
Ce que la nuit a doucement déposé
Dans la profondeur des âmes à éveiller.

Elle regarde plus loin, c'est-à-dire en elle
A la source des mystères sempiternels

Au plus intime de l'être , elle vient puiser
De ses plumes légères aux effluves dorées
Ce que la nuit a doucement déposé
Dans la profondeur des âmes à éveiller.

Elle regarde plus loin, c'est-à-dire en elle
A la source des mystères sempiternels
Des monceaux d'étoiles encore tout mordorés
Jalonnent une Terre de poussières ailées.

Au plus intime de l'être , elle vient puiser
De ses plumes légères aux effluves dorées
Ce que la nuit a doucement déposé
Dans la profondeur des âmes à éveiller.

Elle regarde plus loin, c'est-à-dire en elle
A la source des mystères sempiternels
Des monceaux d'étoiles encore tout mordorés
Jalonnent une Terre de poussières ailées.

Une Terre aride cependant ensemencée
Enfante tous les Eden de sa destinée

Au plus intime de l'être , elle vient puiser
De ses plumes légères aux effluves dorées
Ce que la nuit a doucement déposé
Dans la profondeur des âmes à éveiller.

Elle regarde plus loin, c'est-à-dire en elle
A la source des mystères sempiternels
Des monceaux d'étoiles encore tout mordorés
Jalonnent une Terre de poussières ailées.

Une Terre aride cependant ensemencée
Enfante tous les Eden de sa destinée
Pieds nus, elle ose un premier pas
Et mille et une fleurs se déploient sous ses doigts.

On pourrait le clore sur ce dernier vers, qu'en dis-tu ?

J'en dis que oui

Merci

Des barques sur les flots crépusculaires
Vont et viennent dans la fraîcheur de l'air

Des barques sur les flots crépusculaires
Vont et viennent dans la fraîcheur de l'air
Que l'on hume avec délices sur le Mont d'or
Dans un frisson qui nous insuffle ses trésors.

Elle porte une robe à fleurs et un feutre noir (tu penses au crayon ou au chapeau?)

Au chapeau

Des barques sur les flots crépusculaires
Vont et viennent dans la fraîcheur de l'air
Que l'on hume avec délices sur le Mont d'or
Dans un frisson qui nous insuffle ses trésors.

Elle porte une robe à fleurs et un feutre noir
Entre les deux la quiétude de son regard

Des barques sur les flots crépusculaires
Vont et viennent dans la fraîcheur de l'air
Que l'on hume avec délices sur le Mont d'or
Dans un frisson qui nous insuffle ses trésors.

Elle porte une robe à fleurs et un feutre noir
Entre les deux la quiétude de son regard
Effleure au ciel le rayon des étoiles
Inondant ses yeux bleus de cristal.