Improvisation poétique (oshimoto)

Rappel du premier message :

Dieu est la vie
Dieu est le don d'amour
La source infinie de tout être fini

l'émergeance d'un savoir ancestrale
nait en moi depuis ma plus tendre enfance
bien avant que je ne soit né
dans l'horizon lointain d'une matrice éphémère
comme la fleur qui renait à chaque printemps

La source de vie est une multitude
un réservoir grandissant
le canal de l'amour
entre les êtres
entre la vie
(à suivre...)

voir mes autres créations sur wattpad : Improvisations poétiques

Des barques sur les flots crépusculaires
Vont et viennent dans la fraîcheur de l'air
Que l'on hume avec délices sur le Mont d'or
Dans un frisson qui nous insuffle ses trésors.

Elle porte une robe à fleurs et un feutre noir
Entre les deux la quiétude de son regard
Effleure au ciel le rayon des étoiles
Inondant ses yeux bleus de cristal.

Elle est pareille aux voiles que dore le couchant
Bois porté à l'alchimie de l'Amant

Des barques sur les flots crépusculaires
Vont et viennent dans la fraîcheur de l'air
Que l'on hume avec délices sur le Mont d'or
Dans un frisson qui nous insuffle ses trésors.

Elle porte une robe à fleurs et un feutre noir
Entre les deux la quiétude de son regard
Effleure au ciel le rayon des étoiles
Inondant ses yeux bleus de cristal.

Elle est pareille aux voiles que dore le couchant
Les coups sourds et chauds de son coeur tambourinant
Rythment les pas de son ombre suave et ondulante
Laissant dans chaque empreinte sa force élégante.

Des barques sur les flots crépusculaires
Vont et viennent dans la fraîcheur de l'air
Que l'on hume avec délices sur le Mont d'or
Dans un frisson qui nous insuffle ses trésors.

Elle porte une robe à fleurs et un feutre noir
Entre les deux la quiétude de son regard
Effleure au ciel le rayon des étoiles
Inondant ses yeux bleus de cristal.

Elle est pareille aux voiles que dore le couchant
Les coups sourds et chauds de son coeur tambourinant
Rythment les pas de son ombre suave et ondulante
Laissant dans chaque empreinte sa force élégante.

Elle danse ivre et sereine au sein des prairies tendres

Des barques sur les flots crépusculaires
Vont et viennent dans la fraîcheur de l'air
Que l'on hume avec délices sur le Mont d'or
Dans un frisson qui nous insuffle ses trésors.

Elle porte une robe à fleurs et un feutre noir
Entre les deux la quiétude de son regard
Effleure au ciel le rayon des étoiles
Inondant ses yeux bleus de cristal.

Elle est pareille aux voiles que dore le couchant
Les coups sourds et chauds de son coeur tambourinant
Rythment les pas de son ombre suave et ondulante
Laissant dans chaque empreinte sa force élégante.

Elle danse ivre et sereine au sein des prairies tendres
Parmi les violettes, les myosotis et les boutons d'or
Et s'ouvre l'espace où le Silence peut s'étendre

Des barques sur les flots crépusculaires
Vont et viennent dans la fraîcheur de l'air
Que l'on hume avec délices sur le Mont d'or
Dans un frisson qui nous insuffle ses trésors.

Elle porte une robe à fleurs et un feutre noir
Entre les deux la quiétude de son regard
Effleure au ciel le rayon des étoiles
Inondant ses yeux bleus de cristal.

Elle est pareille aux voiles que dore le couchant
Les coups sourds et chauds de son coeur tambourinant
Rythment les pas de son ombre suave et ondulante
Laissant dans chaque empreinte sa force élégante.

Elle danse ivre et sereine au sein des prairies tendres
Parmi les violettes, les myosotis et les boutons d'or
Et s'ouvre l'espace où le Silence peut s'étendre
Sans déchirer cette nouvelle Aurore.

De son île blanche il entend la résonance

Des barques sur les flots crépusculaires
Vont et viennent dans la fraîcheur de l'air
Que l'on hume avec délices sur le Mont d'or
Dans un frisson qui nous insuffle ses trésors.

Elle porte une robe à fleurs et un feutre noir
Entre les deux la quiétude de son regard
Effleure au ciel le rayon des étoiles
Inondant ses yeux bleus de cristal.

Elle est pareille aux voiles que dore le couchant
Les coups sourds et chauds de son coeur tambourinant
Rythment les pas de son ombre suave et ondulante
Laissant dans chaque empreinte sa force élégante.

Elle danse ivre et sereine au sein des prairies tendres
Parmi les violettes, les myosotis et les boutons d'or
Et s'ouvre l'espace où le Silence peut s'étendre
Sans déchirer cette nouvelle Aurore.

De son île blanche il entend la résonance
Des larmes versées sur le rivage
Ravivent du sable en chaque grain la brillance
D'une écriture simple comme au coeur d'une page.

Des barques sur les flots crépusculaires
Vont et viennent dans la fraîcheur de l'air
Que l'on hume avec délices sur le Mont d'or
Dans un frisson qui nous insuffle ses trésors.

Elle porte une robe à fleurs et un feutre noir
Entre les deux la quiétude de son regard
Effleure au ciel le rayon des étoiles
Inondant ses yeux bleus de cristal.

Elle est pareille aux voiles que dore le couchant
Les coups sourds et chauds de son coeur tambourinant
Rythment les pas de son ombre suave et ondulante
Laissant dans chaque empreinte sa force élégante.

Elle danse ivre et sereine au sein des prairies tendres
Parmi les violettes, les myosotis et les boutons d'or
Et s'ouvre l'espace où le Silence peut s'étendre
Sans déchirer cette nouvelle Aurore.

De son île blanche il entend la résonance
Des larmes versées sur le rivage
Ravivent du sable en chaque grain la brillance
D'une écriture simple comme au coeur d'une page.

Chaque nuit, il arpente la toile noire du ciel
Azur profond où des constellations l'appellent

Des barques sur les flots crépusculaires
Vont et viennent dans la fraîcheur de l'air
Que l'on hume avec délices sur le Mont d'or
Dans un frisson qui nous insuffle ses trésors.

Elle porte une robe à fleurs et un feutre noir
Entre les deux la quiétude de son regard
Effleure au ciel le rayon des étoiles
Inondant ses yeux bleus de cristal.

Elle est pareille aux voiles que dore le couchant
Les coups sourds et chauds de son coeur tambourinant
Rythment les pas de son ombre suave et ondulante
Laissant dans chaque empreinte sa force élégante.

Elle danse ivre et sereine au sein des prairies tendres
Parmi les violettes, les myosotis et les boutons d'or
Et s'ouvre l'espace où le Silence peut s'étendre
Sans déchirer cette nouvelle Aurore.

De son île blanche il entend la résonance
Des larmes versées sur le rivage
Ravivent du sable en chaque grain la brillance
D'une écriture simple comme au coeur d'une page.

Chaque nuit, il arpente la toile noire du ciel
Azur profond où des constellations l'appellent
L'orientent, lumineuses, et l'ensemencent
Son cœur s'éveille à une nouvelle danse.

Des barques sur les flots crépusculaires
Vont et viennent dans la fraîcheur de l'air
Que l'on hume avec délices sur le Mont d'or
Dans un frisson qui nous insuffle ses trésors.

Elle porte une robe à fleurs et un feutre noir
Entre les deux la quiétude de son regard
Effleure au ciel le rayon des étoiles
Inondant ses yeux bleus de cristal.

Elle est pareille aux voiles que dore le couchant
Les coups sourds et chauds de son coeur tambourinant
Rythment les pas de son ombre suave et ondulante
Laissant dans chaque empreinte sa force élégante.

Elle danse ivre et sereine au sein des prairies tendres
Parmi les violettes, les myosotis et les boutons d'or
Et s'ouvre l'espace où le Silence peut s'étendre
Sans déchirer cette nouvelle Aurore.

De son île blanche il entend la résonance
Des larmes versées sur le rivage
Ravivent du sable en chaque grain la brillance
D'une écriture simple comme au coeur d'une page.

Chaque nuit, il arpente la toile noire du ciel
Azur profond où des constellations l'appellent
L'orientent, lumineuses, et l'ensemencent
Son cœur s'éveille à une nouvelle danse.

L'amour au regard d'ange, à mon cœur qui se venge.
De n'être seul à présent, grâce à vous mes amants.
La solitude change, devient mots se mélange.
A terre les vents violents, pour la beauté d'un chant.

Des barques sur les flots crépusculaires
Vont et viennent dans la fraîcheur de l'air
Que l'on hume avec délices sur le Mont d'or
Dans un frisson qui nous insuffle ses trésors.

Elle porte une robe à fleurs et un feutre noir
Entre les deux la quiétude de son regard
Effleure au ciel le rayon des étoiles
Inondant ses yeux bleus de cristal.

Elle est pareille aux voiles que dore le couchant
Les coups sourds et chauds de son coeur tambourinant
Rythment les pas de son ombre suave et ondulante
Laissant dans chaque empreinte sa force élégante.

Elle danse ivre et sereine au sein des prairies tendres
Parmi les violettes, les myosotis et les boutons d'or
Et s'ouvre l'espace où le Silence peut s'étendre
Sans déchirer cette nouvelle Aurore.

De son île blanche il entend la résonance
Des larmes versées sur le rivage
Ravivent du sable en chaque grain la brillance
D'une écriture simple comme au coeur d'une page.

Chaque nuit, il arpente la toile noire du ciel
Azur profond où des constellations l'appellent
L'orientent, lumineuses, et l'ensemencent
Son cœur s'éveille à une nouvelle danse.

L'amour au regard d'ange, à mon cœur qui se venge.
De n'être seul à présent, grâce à vous mes amants.
La solitude change, devient mots se mélange.
A terre les vents violents, pour la beauté d'un chant.

Ce soir, la peine nourrit tous leurs soupirs.
Solitude des mots. Résignés à une même passion,
A la lueur de la nuit, dans un fougueux baiser,
Ils oublieront leur souffrance pour une dernière danse.

Des barques sur les flots crépusculaires
Vont et viennent dans la fraîcheur de l'air
Que l'on hume avec délices sur le Mont d'or
Dans un frisson qui nous insuffle ses trésors.

Elle porte une robe à fleurs et un feutre noir
Entre les deux la quiétude de son regard
Effleure au ciel le rayon des étoiles
Inondant ses yeux bleus de cristal.

Elle est pareille aux voiles que dore le couchant
Les coups sourds et chauds de son coeur tambourinant
Rythment les pas de son ombre suave et ondulante
Laissant dans chaque empreinte sa force élégante.

Elle danse ivre et sereine au sein des prairies tendres
Parmi les violettes, les myosotis et les boutons d'or
Et s'ouvre l'espace où le Silence peut s'étendre
Sans déchirer cette nouvelle Aurore.

De son île blanche il entend la résonance
Des larmes versées sur le rivage
Ravivent du sable en chaque grain la brillance
D'une écriture simple comme au coeur d'une page.

Chaque nuit, il arpente la toile noire du ciel
Azur profond où des constellations l'appellent
L'orientent, lumineuses, et l'ensemencent
Son cœur s'éveille à une nouvelle danse.

L'amour au regard d'ange, à mon cœur qui se venge.
De n'être seul à présent, grâce à vous mes amants.
La solitude change, devient mots se mélange.
A terre les vents violents, pour la beauté d'un chant.

Ce soir, la peine nourrit tous leurs soupirs.
Solitude des mots. Résignés à une même passion,
A la lueur de la nuit, dans un fougueux baiser,
Ils oublieront leur souffrance pour une dernière danse.


Soupirs exhalés des brumes du silence
Dans le creux offert de la main déposés
Entre ses doigts ouverts la rivière danse
Fluide cristallin libérant sa rosée

Erell  

Des barques sur les flots crépusculaires
Vont et viennent dans la fraîcheur de l'air
Que l'on hume avec délices sur le Mont d'or
Dans un frisson qui nous insuffle ses trésors.

Elle porte une robe à fleurs et un feutre noir
Entre les deux la quiétude de son regard
Effleure au ciel le rayon des étoiles
Inondant ses yeux bleus de cristal.

Elle est pareille aux voiles que dore le couchant
Les coups sourds et chauds de son coeur tambourinant
Rythment les pas de son ombre suave et ondulante
Laissant dans chaque empreinte sa force élégante.

Elle danse ivre et sereine au sein des prairies tendres
Parmi les violettes, les myosotis et les boutons d'or
Et s'ouvre l'espace où le Silence peut s'étendre
Sans déchirer cette nouvelle Aurore.

De son île blanche il entend la résonance
Des larmes versées sur le rivage
Ravivent du sable en chaque grain la brillance
D'une écriture simple comme au coeur d'une page.

Chaque nuit, il arpente la toile noire du ciel
Azur profond où des constellations l'appellent
L'orientent, lumineuses, et l'ensemencent
Son cœur s'éveille à une nouvelle danse.

L'amour au regard d'ange, à mon cœur qui se venge.
De n'être seul à présent, grâce à vous mes amants.
La solitude change, devient mots se mélange.
A terre les vents violents, pour la beauté d'un chant.

Ce soir, la peine nourrit tous leurs soupirs.
Solitude des mots. Résignés à une même passion,
A la lueur de la nuit, dans un fougueux baiser,
Ils oublieront leur souffrance pour une dernière danse.


Soupirs exhalés des brumes du silence
Dans le creux offert de la main déposés
Entre ses doigts ouverts la rivière danse
Fluide cristallin libérant sa rosée

Flots dont l'ondoiement discontinu
N'achève pas de nous mettre à nu