Rappel du premier message :
Le mantra de mère.
l était à peu près 1Oh, un jour de semaine anonyme.
Une belle journée baigner de soleil s'enclencher sur la surface du monde.
La vie s'activer ici et là , teinter de sons, enlacer d'odeurs, tâcher de couleurs, se développant comme un virus.
UN virus qui de plus, aussi proche ou loin fut il être de vous, porter un chuchotement qui ne manquait jamais de se déverser a vos oreilles, d'un air de dire;
« Hé n'oublie pas suis la »
Il était a peu près 10 h, à l'intérieur d'une maison quel qu'onques.
Dans une pièce qui s'apparenté à une chambre, sur un lit de bois deux places,
Un Corp Gisait quasi inerte.
Avec concentration on pouvait percevoir un souffle à travers ce silence.
Ici une personne dormait profondément,
MOI.
La tête barricader entre deux énormes coussins, j'était hors circuit de ce côté-ci du rêve.
J'ignorai ou ma conscience pouvait être, et je ne m'en souciai plus.
Tout ce qu'il me fallait c'était quatre murs, un plafond, un lit et du silence.
Erre ai-je quelque part-en de profondeur insondable ? Black hole divin, libérai du véhicule, jouissance atemporel....
Puis, comme un harpon transperce un poisson trop naïf et le ramène à la surface,
Je fus réveillé par un coup de téléphone.
Ma première réaction fut une non réaction.
L'appareil me sembla égal à un fou, criant dans une salle de cinéma, à son héros projeter sur l'écran
;;----Fait gaffe le tueur et sur ta gauche ------;;
Comme deux dimensions qui ne se pénètreront jamais.
Par instinct je me mit a bougé, enfin cela y ressemblait.
Était ce plutôt une naissance ? Une mise a bas ?
Sur le rectangle onirique, on assista à l'irruption d'un volcan ;
Le sommet de la montagne, ce craqueler, se soulever, se déchirer part à -coup,
La couverture ondulée, les draps à moitié au sol agoniser, le matelas trembler
........hypnotranse chamanique.
ET SANS BRUIT, dans un out-timing, les coussins se soulevèrent sec, s'éjectèrent au loin, puis une petite tète raser et hargneuse fit son apparition.
La lave au bout des lèvres, de la cendres au coin des yeux, je gouttai mon haleine fétides.
La chambre, elle, en résistance, tentai de feindre la venu du jour.
Je compatissais.
Elle pleurait ces amis rideaux, mort au combat, ils furent mitrailler sans relâche, depuis l'aube, part des rafales de balles-lumière .(Assurément l’œuvre d'un sniper gradé du monde -du dehors -)
Cette guérilla donna à la pièce une ambiance typique de cette heure matinale, une tonalité chaude, ronde, une couleur douce, indescriptible et familières.
Robotique ment je me saisit du cellulaire le porta a hauteur du cerveau puis;
-moi-Allo
-Oui allo bonjour.
Moi-C'est qui ?
-Pourrai-je parler a------- ??
En cet instant je fus pris d'un douloureux vertige.
Quelques choses d'indicible ébranla la réalité.
moi -euuuuu oui c'est à dire que ....c'est de la part de qui ??
Tout en posant cette question, ma voix m’apparut comme celle d'un autre.
Le temps se figea ici, mais de l'autre côté, je l'entendais, il coulait sans aucune pitié.
_Je suis bien chez --------- ??
-moi- Euuuu oui je crois bien, hé que lui voulez-vous ?
-J'ai un message pour elle.
-moi-(l'esprit sonnait)...ok je vous écoute.
Mon souffle, se coupa.
Dans quelle réalité me trouvait-je à cet instant ?
Ai-je basculé ailleurs ?
-Dite a-------de ne pas ramener les affaires d'hier, je dis bien,
ne pas ramener les Affaires d'hier.
-Moi-(estomaqué).............euuu ok.
_Très bien (avec de la joie dans la voix) merci beaucoup, au revoir.
-moi-Hee attendez s'il vous pait.
-Oui je vous en prit ?
A travers le téléphone, sa curiosité était palpable.
-moi- Hum...(Toussotement volontaire)
Etes-vous au courant que ma mère est décéder? Il y a de cela de fort longtemps?
-Ha...Hum... (Toussotement de gène)
Il me semblait bien avoir fait un mauvais numéro, je suis sincèrement désolé mon enfant.
Ensuite la vieille dame m'expliqua que la jeune fille qui lui fournissait l'aide a domicile
s'appeler-------comme ma mère,et,pour la petite histoire, cette dernière n'ayant pas ramenait les courses de la veille, la gentille retraitée espérai lui transmettre ce message dans les temps.
- Ne pas ramener les affaires d'hier-
Je la remercier, la connexion se coupa, puis je rester là , avec ce message,
comme une litanie, en boucle dans mon crane.
Ne ramène pas l'affaire d'hier
Ne ramène pas l'affaire d'hier
Ne ramène pas l'affaire d'hier
Ne ramène pas l'affaire d'hier
Ne ramène pas l'affaire d'hier
Ne ramène pas l'affaire d'hier
Ne ramène pas l'affaire d'hier
Je repris mes esprits , combien de temps avais j'écouler ainsi?
A répété le mantra de maman.
La chambre à mon insu avait changeait de visages, aux dehors deux hommes discuter a forte voix.
Je songeai à faire réchauffer la tasse de café qui traine sur la commode, mais une envie de me brosser les dents me tirailler de l'intérieur.
Par ailleurs ,là , tout doucement, un besoin d'aller au toilette, l’envie furieuse de prendre une douche, et tout un tas d’autres rumeur se propageai en moi.
Par où commencer ?
dodo