Conscience et enseignements (spirituels)

Bonjour à tous... Mon point de vue sur le sujet...

Il n’y a qu’à travers la conscience, notre conscience que les différents aspects de la réalité peuvent être révélés en soi… tout comme on voit le soleil, on ressent sa chaleur, et on pourrait même dire qu’il vit en nous… Ainsi nous avons conscience de sa réalité et à aucun moment nous ne pouvons douter de sa présence car on la ressent.

De la même façon, tous les différents enseignements (spirituels) qui peuvent être transmis, tous les différents pans de la conscience qui peuvent être décrits à travers différents ouvrages n’ont de valeur (pour soi) que s’ils nous amènent à reconnaître à travers ce qu’ils désignent, notre propre réalité intérieure. En d’autres termes il y a reconnaissance de soi à travers les écrits ou paroles des autres que s’il y a prise de conscience que ce qu’ils disent est authentique. Sinon, les enseignements, aussi beaux ou véridiques soient-ils, ne resteront en soi que des valeurs « rapportées », des choses qui sont rajoutées (surimposées) sur soi…

Il semble donc indispensable d’aborder les différentes lectures avec non seulement un désir de comprendre ce que veut dire l’auteur mais aussi une interrogation quant à la véracité de ce qui est dit ; comme une sorte d’ouverture intérieure où il n’y a pas de parti pris entre « c’est faux », « c’est vrai » ou même « c’est mitigé »…

S’il n’y a pas de préjugé, il semble que l’on passe alors à une compréhension intuitive des textes, qui nous amène à percevoir ou ressentir, ce que sont les choses, non pas dans le texte lui-même mais dans la corrélation avec notre propre être.. (Comme) à travers une sorte de note intérieure qui sonnerait juste et qui nous dirait : « voilà ce qui est vrai ! »
Il y a ici nécessité d’une sorte d’orientation de la conscience, où l’on cherche (aspire) à déceler ce qui est vrai sans s’appuyer sur des concepts ou des idées préétablies.

D’où l’importance que soit associée « la conscience » à la lecture et à l’étude des différents écrits spirituels. Par « la conscience », je veux dire cette capacité d’ouverture, de remise en question… et peut-être le plus important ce désir intense et authentique de s’ouvrir, de s’approfondir, de connaître ces plans de la réalité qui nous dépassent en tant que conscience individuelle…

Jean-Yves a écrit:

Bonjour à tous... Mon point de vue sur le sujet...

Comme un écho de branche en branche,

Quand l'oiseau de conscience pensa
faire son nid dans les couleurs de ta
pupille, il vit tes cils...et s'effraya à
la vue de ces filets !

Jean-Yves a écrit:

D’où l’importance que soit associée « la conscience » à la lecture et à l’étude des différents écrits spirituels. Par « la conscience », je veux dire cette capacité d’ouverture, de remise en question… et peut-être le plus important ce désir intense et authentique de s’ouvrir, de s’approfondir, de connaître ces plans de la réalité qui nous dépassent en tant que conscience individuelle…

Si l'on reconnait cette pleine conscience,
la confusion mentale se dissipe d'elle même !

Est-ce qu'on peut imaginer dans ce cas que la conscience évolue, et que nos "vérités" changent elles aussi?
je parle pour mon expèrience personnelle, lorsque je me suis complètement investi dans une reigion, qui à l'époque "résonnait" dans ma conscience. Je me suis aperçu bien plus tard qu'elle donnait une réponse à certaines peurs ou certaine équations insolubles. Je l'ai completement délaissé par la suite, et tout ce que j'y voyais de beau et devenu secondaire devant ce que j'y voyais de mauvais (pour moi uniquement, pas la religion entière!!) Ai-je trop intellectualiser cette "rencontre" ou ma conscience a eu besoin d'autre chose??

Je me souviens d'un livre formidable, "la conscience dans le Coran", d' Harun Yahia, ou il dévellopait l'idée que Dieu ait mis notre conscience en nous comme sa part divine de lui. Qu'il n'y avait pas necessité d'analyser tout et tout le temps, que simplement écouter notre conscience nous approcher de Dieu, en faisant uniquement le bien. En gros, le mal est marqué au fer rouge dans notre conscience, et rien de mal ne peut etre fait sans faire sonner cette alarme.
Cela m'a convaincu et c'est a peu prés la vision que j'en ai!

lounaaa a écrit:

Est-ce qu'on peut imaginer dans ce cas que la conscience évolue, et que nos "vérités" changent elles aussi?
:

Oui...certainement !

Voilà une bonne question a développer

lounaaa a écrit:

Ai-je trop intellectualiser cette "rencontre" ou ma conscience a eu besoin d'autre chose??

Le tout est de déterminer ce qui t'as amené à t'investir dans cette religion.. ton intellect ou ta conscience ?? Peut-être qu'en intellectualisant ta quête pour trouver "ta vérité", tu as trouvé logique de faire une expérience religieuse qui n'était pas en adéquation avec ton moi profond et qu'à un moment donné, ta conscience t'as dit stop, tu n'es pas sur la bonne voie..
En fait, quelquefois je trouve très compliqué de faire la part des choses. Sauf pour les révélations flagrantes qui font dire qu'il ne peut s'agir de notre nature véritable qui surgit et se passe de toute analyse rationnelle que nous acceptons car tellement évident.

Bonsoir ,

Je sais que c'est précisé dans le sujet " enseignements ( spirituels ) " mais La conscience n'est pas enseignée qu'à travers la spiritualité , la Psychologie sous toutes ses formes : la psychanalyse , la métapsychologie , la neurologie , ont rechercher la " conscience" et ont exposés leurs idées qui font autant enseignement que la connaissance spirituelle , notre conscience est avant tout humaine et c'est la conscience d'être humain qui'il nous est nécessaire pour découvrir cette humanité , même si cette conscience est d'essence Divine qu'elle est Dieu en nous , nous ne sommes pas la seule forme de vie animée douée de conscience sur terre , même si nous sommes les seuls à parler de conscience .

Bien en accord avec ce qui a été dit , la conscience est un voyage intérieure , une expérience sans fin qui commence par l'attention à soi même , l'attention à soi même , la conscience de soi , n'a pas de limite chez l'humain et ne dépend que de chacun , parfois notre conscience fait l'expérience de l'unité de la conscience , nous nous unissons à Dieu , ces expériences sont l'objets de la spiritualité , love .

Est ce à dire que sans spiritualité,
il n'y pas de conscience ??

Jean-Yves a écrit:

S’il n’y a pas de préjugé, il semble que l’on passe alors à une compréhension intuitive des textes, qui nous amène à percevoir ou ressentir, ce que sont les choses, non pas dans le texte lui-même mais dans la corrélation avec notre propre être.. (Comme) à travers une sorte de note intérieure qui sonnerait juste et qui nous dirait : « voilà ce qui est vrai ! »
Il y a ici nécessité d’une sorte d’orientation de la conscience, où l’on cherche (aspire) à déceler ce qui est vrai sans s’appuyer sur des concepts ou des idées préétablies.

Que de réflexions fort intéressantes ici! Je pourrais également vous citer tous car chacun apporte des points pertinents.

Ce qui m'amène à dire qu'il y a une distinction à faire entre «conscience» et «pensée», qui pour moi ne sont pas du tout la même chose. La pensée est rationnelle, logique et procède par déduction, interprétation, projection, à partir de nos croyances, notre éducation, nos connaissances acquises. Tandis que la conscience est la connaissance directe des choses, une perception immédiate et globale, qui se passe de mot, d'idée, de connaissances préalables ou toute autre référence mentale à quoi que ce soit d'autre que la réalité de ce qui est.

D'où l'importance d'aborder les choses avec une ouverture totale et une absence de préjugés, d'idées préétablies, en simple observateur dans la Présence de l'Être, sans entrer dans le mentale. Autrement on s'égare rapidement dans une boucle sans fin d'interrogation et de réflexions conditionnées et programmées qui amènent rarement les vraies réponses et étrangement nous fait plonger dans une sorte d'inconscience finalement.

lounaaa a écrit:

Est-ce qu'on peut imaginer dans ce cas que la conscience évolue, et que nos "vérités" changent elles aussi?

Oui, on peut effectivement considérer que notre conscience évolue (s'élargit), mais en réalité, ce sont nos limites qui se dissolvent et laissent apparaître, dans une mesure plus ou moins grande, ce qu’est notre réelle conscience. L’idée que la conscience s’élargit n’est cependant pas fausse, car on considère alors que c’est notre identité qui s’élargit, qui perd ses limitations.
C’est une « progression », un « chemin » pourrait-on dire qui mérite réellement d’être vécue, et qui amène dans la vie toujours plus de bonheur, d’épanouissement.
Krishna disait à ce sujet que celui qui vit sans amener d’évolution dans sa propre vie (c’est-à-dire l’élargissement de sa propre conscience), il vit pour rien.
«…celui qui ne suit pas la roue ainsi mise en mouvement, il vit en vain… »

C’est un « retour » en soi, un retour à soi, qui est à mon sens la raison d’être de toute spiritualité et de toute religion. Un retour à notre véritable conscience, qui est la plus simple, la plus ordinaire, dans le sens où elle n’a pas de déguisement, de distorsion…

Pour répondre à ProfX, je dirais que tout dépend de ce que l'on appelle "spiritualité", de mon point de vue elle englobe toutes les autres sciences dans la mesure où elles sont ouvertes sur une approche holistique de la vie...

Vu autrement...

Au lieu d’affirmer qu’il doit y avoir conflit ou un combat continuel,
nous pourrions considerer la bande de “simplets” qui s’agite
en nous comme autant de parts de l’esprit qui assument des rôles différents !!

Jean-Yves a écrit:

S’il n’y a pas de préjugé, il semble que l’on passe alors à une compréhension intuitive des textes, qui nous amène à percevoir ou ressentir, ce que sont les choses, non pas dans le texte lui-même mais dans la corrélation avec notre propre être.. (Comme) à travers une sorte de note intérieure qui sonnerait juste et qui nous dirait : « voilà ce qui est vrai ! »
Il y a ici nécessité d’une sorte d’orientation de la conscience, où l’on cherche (aspire) à déceler ce qui est vrai sans s’appuyer sur des concepts ou des idées préétablies.

Envol-du-Phénix a écrit:

Ce qui m'amène à dire qu'il y a une distinction à faire entre «conscience» et «pensée», qui pour moi ne sont pas du tout la même chose.

C'est juste...

A ce propos j'ajouterai que :
si la conscience est ce qui se fait dans le domaine du connaître,
et si la pensée est l’action de peser et de mesurer, d’examiner,
on peut dire que la conscience est ce qui résulte de la pensée.

L’homme pense pour devenir conscient,
et pour trouver quelle pensée est celle qui
lui permet de mieux exprimer ou agir après
avoir examiné et pesé les choses !!

En fait, l'humain est l’union de l’être
et de l’esprit, union de la conscience et de la pensée !!

Penser est l'action du mental comme le mouvement des doigts sur un clavier est du à notre corps , on ne saurait rapprocher la conscience d'une fonction en particulier , à part peut-être la fonction émotionnelle d'ou est issu la conscience moral , mais la pensée n'a pas plus d'affinité avec la conscience que les autres fonctions , love .

Selon ma compréhension de ton "exercice" Jean Yves il s'agit de lier les divers savoirs spirituels que nous abordons au long de notre vie, au vécu. Faire des ponts entre notre intellect et notre concret.
Et dans ce cas, excuse moi d'être "tatillone" je n'emploie pas le mot "conscience".
Si nous parlons bien du fait que nos croyances évoluent au gré des relations que nous établissons entre nos expériences et les diverses "infos" spirituelles.
La conscience est. Ce dont tu parles, à mon sens est du discernement. Car nous pouvons très bien être conscient d'un tas choses sans que celles-ci soient des choses "justes".
Qu'en penses tu? Me suis je trompée sur ce que tu voulais exprimer?

Je ne sais pas Edica... tout dépend peut-être du sens que nous accordons au mot "conscience". De toutes façons, ce genre de texte n'est pas vraiment là pour amener une réponse commune à tous par rapport à une question précise, mais plutôt pour approfondir l'interrogation et par la suite, que nous soyons arrivés au mêmes conclusions importe peu.
De mon point de vue l'interrogation est en elle-même plus importante que la possible réponse car elle est synonyme de l'approfondissement de soi.
Oui, "la conscience est." Mais ne peut-elle pas aussi être consciente de quelque chose ? par exemple je respire et je peux être conscient de ma respiration.

Meilleures pensées...

La Conscience est pure perception, elle est le percept. Quant la Conscience s'identifie a la forme, aux formes, elle est devient une Lumière qui s'éteint et que l'on appel mental. Alors le percept devient identification, pensée, émotions, désirs, opiniatreté. Il n'y a plus un percept qui voit la totalité, mais un oeil qui voit une petite partialité d'un tout. L'épée de la descrimination permet de coupé les identifications et alors, les nuages s'éteignent et laisse place au Soleil de la Conscience, la Totalité.


>>> Il y aurait trois consciences pour ma part :

- la conscience mental, l'homme qui dors.

- la conscience d'intellectualité, l'intellect Supérieur (objectivité) ( la Buddhi, opposé a l'intellectualisme qui est purement mental et subjective) permet de s'élevé, c'est la Transcendance. l'homme qui veille.

- La Conscience Une et sans second (l'Absolu, l'Infini). l'Homme Éveillé.

merci!
j'en comprend donc, pour ma part, que l'important n'est pas de savoir où se trouve ce qui résonne dans notre conscience, mais de la laisser vivre, de l'écouter et faire ce dont elle ressent le besoin à chaque moments. Si on admet la possibilité d'incarnation pour la faire evoluer, il me parait logique qu'a travers la même vie, des lacunes ou des doutes puissent trouver repos dans certains chemins, quitte à en changer en étant enfin certain que ce n'est pas celui que l'on souhaite suivre.
ma nature profonde aime tout passionement, entierement, mais s'en délaisse aussi vite. Je ne sais ou se trouve la limite du mental et de la conscience la dedans, mais je reste sure que chaque experience vécu EST un enseignement, une leçon, un plaisir...
La façon dont percutera l'enseignement sur mon esprit peut être plus ou moins long, à condition de chercher ce que l'on a reelement à apprendre du dit enseignement, et ce qu'on n'y cherche.
Je peux lire le meme texte et lui trouver une bonne dizaine de sens different, s'accordant maladroitement avec mon humeur, mon manque actuel ou l'epreuve que je cherche à surmonter.
C'est donc pour cela, qu'en avancant dans le debat, je me dis que "trouver ce qui fait echo à notre conscience" est quelque chose de perpetuel, non acquit et changeant.
merci à vous!

lounaaa a écrit:

...je me dis que "trouver ce qui fait echo à notre conscience" est quelque chose de perpetuel, non acquit et changeant.
merci à vous!

Oui tout à fait, parce que je pense que c'est uniquement dans l'instant présent qu'on peut savoir ce qui fait écho à notre conscience. La conscience pure est un état de simple Présence témoin et ne fait pas référence au passé ni au futur. Il n'y a que le mental qui se projette dans le passé ou le futur...

Edica a écrit " La conscience est. Ce dont tu parles à mon sens est du discernement. "
Jean Yves a écrit : "D’où l’importance que soit associée « la conscience » à la lecture et à l’étude des différents écrits spirituels. Par « la conscience », je veux dire cette capacité d’ouverture, de remise en question…"

Je ne pense pas que vous parliez de la même chose. Jean Yves parle bien de la conscience, il s'agit d'écrits spirituels, écrits pour nous aider à atteindre l'éveil. Pour en recevoir l'enseignement, nous devons nous y préparer, nous mettre dans un état d'esprit de réception. C'est à l'antipode de l'esprit critique ou du discernement dont tu parles Edica, à mon avis. Ce qui n'empêche pas d'être critique, mais dans un second temps(éventuellement). D'abord pour comprendre, il faut "prendre avec soi", intégrer, et digérer, puis"ruminer" disait Nietzsche. Mais plus simplement, accueillir, ce qui suppose de se mettre en situation d'accord. Se préparer intérieurement, comme on préparait son encre avant d'écrire, comme on se prépare intérieurement pour écouter l'autre vraiment. C'est-à-dire avec présence et conscience. C'est la conscience au sens boudhiste, exactement comme pour la méditation, la marche "en conscience", etc..

Est-ce bien ce que tu voulais dire, Jean Yves ?

Oui Margaux... Je reviendrai peut-être sur ce sujet...

Il n'y à qu'une conscience en nous la conscience dont nous pouvons faire preuve , nous pouvons diviser les fonctions entre mental , corps et émotionnel mais il n'y à qu'une seule conscience en nous , c'est la même conscience qui nous permet de percevoir le mental , le corps et les émotions , la conscience c'est avant tout l'attention dont nous pouvons faire preuve , l'attention au monde et soi même à travers nos différente fonctions , plus nous sommes attentif plus nous sommes conscient , et si nous ne sommes pas attentif ça fonctionne quant même tout seul , sans notre présence à nous même , love .

Jean-Yves a écrit:

Bonjour à tous... Mon point de vue sur le sujet...



Il semble donc indispensable d’aborder les différentes lectures avec non seulement un désir de comprendre ce que veut dire l’auteur mais aussi une interrogation quant à la véracité de ce qui est dit ; comme une sorte d’ouverture intérieure où il n’y a pas de parti pris entre « c’est faux », « c’est vrai » ou même « c’est mitigé »…

S’il n’y a pas de préjugé, il semble que l’on passe alors à une compréhension intuitive des textes, qui nous amène à percevoir ou ressentir, ce que sont les choses, non pas dans le texte lui-même mais dans la corrélation avec notre propre être.. (Comme) à travers une sorte de note intérieure qui sonnerait juste et qui nous dirait : « voilà ce qui est vrai ! »
Il y a ici nécessité d’une sorte d’orientation de la conscience, où l’on cherche (aspire) à déceler ce qui est vrai sans s’appuyer sur des concepts ou des idées préétablies.

D’où l’importance que soit associée « la conscience » à la lecture et à l’étude des différents écrits spirituels. Par « la conscience », je veux dire cette capacité d’ouverture, de remise en question… et peut-être le plus important ce désir intense et authentique de s’ouvrir, de s’approfondir, de connaître ces plans de la réalité qui nous dépassent en tant que conscience individuelle…

J'approuve ! Je vous laisse donc prendre connaissance des topics au sujet d'un homme qui est porté par l'esprit de vérité ! ! ! ( en guise d'exercice trés pratique ).

Margaux-la-caille a écrit:

Jean Yves a écrit : "D’où l’importance que soit associée « la conscience » à la lecture et à l’étude des différents écrits spirituels. Par « la conscience », je veux dire cette capacité d’ouverture, de remise en question…"

Cela me fait penser à la pratique du ZEN !

Car nous sommes conscients du rôle joué
de notre évolution d'esprit à travers certains
écrits , mais aussi dues à certaines pratiques !!

La quête du MOI et de l'éveil se réalise grâce
à une prise de conscience dans les livres et
dans les textes spirituels, mais si une forme
de pratique et d'expérience ne suit pas,
alors cette capacité d'ouverture..où va t elle ?

Bien à vous !