La vie sur terre est elle absurde?

Etes-vous certain d'atteindre votre but ?

Faut profiter les enfants...

Vous croyez que c'est quand vous serez Bouddha que vous pourrez tirer les sonnettes des honnêtes gens à 4 heures du matin; Envoyer une vraie/fausse déclaration pour les impôts du Maire de votre ville/commune en précisant le montant total et véridique des pots de vins qu'il s'arrogue...

Non; notre vie est courte, surtout si c'est la dernière... Autant rire un peu avant de méditer..!

Folichon.

shanka a écrit:

Bien sur, quand on tombe amoureux, par exemple, la vie a tout de suite une saveur particulière, et on peut y trouver un sens particulier.

Etre aimer nous porte , aimer nous transporte.

De papier a écrit:

Notre vie sur terre est-elle absurde ? Je ne puis m'empêcher de le croire certains jours. Et vous, qu'en dites-vous ?

*RE: Alors regarde loin, très loin tout ce que représente le "torrent de la vie" et non ce que toi seul en perçois comme un enferment.

-Ce sentiment, cette perception d'absurdité est aussi due au temps qui fige, alors que si tu situes les situations se plaçant dans des échelles temporelles longues, tels des siècles, des millénaires, des millions d'années, le tableau prend et rend ses couleurs. L'essentiel se tient sur la toile et non dans le cadre

Se placer comme un grain de sable sur la plage en voir que nous en sommes une pièce minuscules, mais importante, sauf, que nous avons en nous tous humains, les éléments du puzzle.

Soyons comme ce "petit Poucet" qui retrouve ses cailloux blancs.

*Un certain état d'esprit est requis à cette fin: "Être déterminé à voir les choses différemment et voir les témoins de la vérité et non les illusions que veulent bien nous montrer des systèmes dogmatiques.


Si tu perçois des oppositions
Ou des extrêmes à l’extérieur de toi,
Dis-toi qu’ils sont dans ton esprit,
Alors invite-les au centre de toi-même,
Qu’ils sachent qu’ils sont UN
Dans un seul Etre pour Père*,
Dans l’unité de CE QUI EST.
La plénitude de l’égalité de Dieu,
Sera séante, ton trône majestueux.

L’homme en ses activités
Consomme la terre et se consume avec.

La ténacité des croyances

En construisant sa vie autour et dans le corps de chair, l’homme oublie le sens véritable de l’existence. Plaçant tout sur son avoir ici-bas, sachant que cette attitude est le plus sûr moyen de le perdre, même s’il revient incessamment afin de le perpétuer en se reproduisant.

L’oubli par l’homme de ce qu’il est vraiment, de son origine divine réelle, est son refuge ténébreux. Croyant cela, croyant pouvoir se cacher, il en perd sa liberté et se retrouve sans cesse, dans l’obligation de la gagner, de la perdre ou de la défendre (se référer à l’histoire où cette évidence est flagrante). De maître, il est devenu esclave de ses penchants, de ce qu’il pense et ressent, de ce qu’il désire avec une soif insatiable, de ce qu’il projette et que cette conscience à part du Tout lui dicte, semant la terreur et l’incertitude dans ce monde.

Fraternellement  

andelig a écrit:

shanka a écrit:

Bien sur, quand on tombe amoureux, par exemple, la vie a tout de suite une saveur particulière, et on peut y trouver un sens particulier.

Etre aimer nous porte , aimer nous transporte.

*Partage:

Un rayon de soleil sur le sentiment amoureux
Un soleil pour l'Amour Divin impersonnel.

*Soyons amoureux de toutes choses
Avec cette perception intérieure
Que le Vivant nous soutient en permanence.

*Bien sûr que certains objecterons que ceci est une vision, un état d'esprit démesuré. C'est bien là que s'applique le regard intérieur éclairé et la perception du tableau intégral, non du cadre qui n'est que le support.

Aimer en particulier, reste à l'évidence une séparation quoiqu'on en dise...

Fraternellement

Le discours égotique (avec la Présence lumineuse JS):

A présent, ma loi devient : « Je cherche et je crois être libre par mes attachements, mes désirs, mon corps, mes sens, mes besoins, mon travail, ma famille, mes amis, mes relations, mes ennemis, mes rivaux, mes consommations, mes plaisirs, mes souffrances, mes déboires, mes déceptions, mes systèmes chaotiques, etc…créant en cela même, les lois de mon asservissement le plus sûrement. La mort est ma sentence et ma compagne régulière, dont je ne peux me débarrasser, dont je ne comprends le regard en son expression, en son sens ».

Dans la Réalité, la liberté réelle est bien libération par le non-attachement (non pas l’indifférence, bien au contraire) et l’amour, qui rendent la vue à l’aveugle qu’est l’égo, et l’affranchit de la roue du karma, ne consommant plus de ces drogues qui le consument, la soumission, la révolte aux désirs et aux passions, aux seigneurs du mental arrogants, en leurs vouant des cultes insensés, inconsidérés et avilissants. L’homme adore les « veaux d’or » et devient plus insignifiant que ce qu’il porte aux nues, car inconscient et oublieux de la Réalité de l’Eternel, son origine et sa parfaite éternité en CE QUI EST.

Namasté

*RE: Alors regarde loin, très loin tout ce que représente le "torrent de la vie" et non ce que toi seul en perçois comme un enferment.

-Ce sentiment, cette perception d'absurdité est aussi due au temps qui fige, alors que si tu situes les situations se plaçant dans des échelles temporelles longues, tels des siècles, des millénaires, des millions d'années, le tableau prend et rend ses couleurs. L'essentiel se tient sur la toile et non dans le cadre

Se placer comme un grain de sable sur la plage en voir que nous en sommes une pièce minuscules, mais importante, sauf, que nous avons en nous tous humains, les éléments du puzzle.

Soyons comme ce "petit Poucet" qui retrouve ses cailloux blancs.

*Un certain état d'esprit est requis à cette fin: "Être déterminé à voir les choses différemment et voir les témoins de la vérité et non les illusions que veulent bien nous montrer des systèmes dogmatiques.


Porte

Le regard porte aussi loin qu'il le peut. Je ne crois pas du tout en cette philosophie selon laquelle tout chose a une raison d'être. Le tableau, nous le peignons au fur à mesure de notre présence sur terre, puis, quand nous mourons, nous y participons mais sous une autre forme tout naturellement. Il n'existe pas de cadre, l'être se déployant sans trêve. Quant au Père auquel tu fais référence, je lui préfère le Fils, parce que plus doux, et plus vulnérable.

P.S Je salue l'image du Petit Poucet

L’homme en ses activités
Consomme la terre et se consume avec.


Porte

De papier a écrit:

Le regard porte aussi loin qu'il le peut. Je ne crois pas du tout en cette philosophie selon laquelle tout chose a une raison d'être. Le tableau, nous le peignons au fur à mesure de notre présence sur terre, puis, quand nous mourons, nous y participons mais sous une autre forme tout naturellement. Il n'existe pas de cadre, l'être se déployant sans trêve. Quant au Père auquel tu fais référence, je lui préfère le Fils, parce que plus doux, et plus vulnérable.

P.S Je salue l'image du Petit Poucet

*RE: La nature de l'être n'est pas un raisonnement en soi, Elle est une cause porteuse de Vie.

Donc pas besoin de croire ou de croyance à ce sujet fondamentalement...juste constater et observer et entrer en interaction avec ce courant de Vie intelligent.

-Ce qui nous amène à en être conscient et de diriger son attention dans le présent ou Elle est active.

-Le Père et le Fils...en réalité, ILS ne font qu'un; d'où cette paraphrase "Le Père et Moi ne faisons qu'UN" (CAD: de même nature et unis).

-L'univers est un cadre, le corps est un cadre, la forme, les formes sont des cadres, la terre en est une aussi, etc...c'est ce que tout ceci PORTE, qui est signifiant.


-Il est vrai que donc, le Père par le Fils est et semble plus proche, car il est incarné pour montrer que le corps de Dieu nous contient tous en réalité.

-La vulnérabilité est un miroir de ce qui craint...

Fraternellement et dans la bienveillance de "ce qui est présent et attentif à ceci".

De papier a écrit:

L’homme en ses activités
Consomme la terre et se consume avec.


Porte

*RE: Ce que l'on apprécie ensemble est communion et partage. Merci!

L emerveillement d un enfant qui joue en toute innocence .la joie d etre entourer de ceux que l on aime. Je dirais que le samsara me parait absurde ou bien astrait Et que le dharma est splendide

ricardo a écrit:

L emerveillement d un enfant qui joue en toute innocence .la joie d etre entourer de ceux que l on aime.                                                                                                                                                   Je dirais que le samsara me parait absurde ou bien astrait                                                                                Et que le dharma est splendide

*RE: Tant que l'un n'a pas pris conscience de l'autre, l'accord ne peut s'établir et l'instrument être accordé.

-Il est observable, que le vocable enfant et l'âge que l'on y attribue n'est pas une référence sur ce sujet pour ce qui est de cette innocence, comme la maturité n'a rien à voir avec l'âge. Ainsi, la clarté doit être retrouvée pour le percevoir pleinement.

Fraternellement

C est la clarté qui permet de s emerveiller devant l innocence d un enfant ou devant le son d une cloche.desoler de ne pas l avoir preciser.. Looooool

Veuillez cesser de fomenter sur ces rivages ou je m'en plaindrai à notre père ! Fi ! Complot !

De papier a écrit:

Notre vie sur terre est-elle absurde ? Je ne puis m'empêcher de le croire certains jours. Et vous, qu'en dites-vous ?

Qu'est ce qui te fait croire que notre vie sur terre est absurde à certain moment ?
Pourquoi ces moments plutôt que d'autres ?

Personnellement je ne vois pas en quoi cette vie serait plus absurde qu'une autre.

La question serai plus la vie global (peut être le tout) est elle absurde ?
Pourquoi il n'y aurait pas rien. Même pas le vide, un vrai rien.

De papier a écrit:

Notre vie sur terre est-elle absurde ? Je ne puis m'empêcher de le croire certains jours. Et vous, qu'en dites-vous ?

Selon moi, la vie ne peut pas être absurde. Il y a une logique, et une intelligence, qui permet aux éléments de la nature de se combiner pour former la vie, et pour leur permettre d'évoluer jusqu'au point où ils peuvent se poser cette question sur "l'absurdité de l'existence". Toute cette diversité n'existerait que pour aboutir à la réponse "oui, la vie est absurde" ? Ce serait en quelque sorte penser que cette "intelligence" sous-jacente n'en est pas une, ou même qu'elle serait "sadique" à donner la capacité de penser à des êtres pour qu'ils aboutissent à une telle conclusion.

De plus, je pense que si quelqu'un abouti avec tout son raisonnement à l'idée que la vie est absurde, c'est que son cheminement de pensée le mène à des impasses. Peut-être certaines croyances forment de telles impasses, car en s'imposant comme des "finalités" elles ne permettent pas d'aller plus loin, je pense notamment au matérialisme comme une telle impasse intellectuelle.

De papier, rien de désobligeant dans ce que je vais dire, ni de jugement, loin de là.
Tu réponds toujours plus ou moins à la réponse via des citations d'autres que toi.

Je dis ça parce que tu lances le sujet, et pour que nous le comprenions, du moins moi, savoir le pourquoi tu trouves la vie absurde à certain moment et d'autres non, peut aider.

Je dis ça parce que personnellement je ne l'ai jamais trouvé absurde.

Trouver la vie absurde est peut-être une invitation à devenir intelligent.
Loin de mener à l'impasse, ce constat peut amener à des choix, pas forcément négatifs.
Non ?

VeryGoodTruth a écrit:

De papier a écrit:

Notre vie sur terre est-elle absurde ? Je ne puis m'empêcher de le croire certains jours. Et vous, qu'en dites-vous ?

Selon moi, la vie ne peut pas être absurde. Il y a une logique, et une intelligence, qui permet aux éléments de la nature de se combiner pour former la vie, et pour leur permettre d'évoluer jusqu'au point où ils peuvent se poser cette question sur "l'absurdité de l'existence". Toute cette diversité n'existerait que pour aboutir à la réponse "oui, la vie est absurde" ? Ce serait en quelque sorte penser que cette "intelligence" sous-jacente n'en est pas une, ou même qu'elle serait "sadique" à donner la capacité de penser à des êtres pour qu'ils aboutissent à une telle conclusion.

De plus, je pense que si quelqu'un abouti avec tout son raisonnement à l'idée que la vie est absurde, c'est que son cheminement de pensée le mène à des impasses. Peut-être certaines croyances forment de telles impasses, car en s'imposant comme des "finalités" elles ne permettent pas d'aller plus loin, je pense notamment au matérialisme comme une telle impasse intellectuelle.

Le grand Architecte s'est sans doute trompé dans ses calculs. Cela ne m'étonne pas. Que sonne la révolte !

(Con)Science a écrit:

De papier, rien de désobligeant dans ce que je vais dire, ni de jugement, loin de là.
Tu réponds toujours plus ou moins à la réponse via des citations d'autres que toi.

Je dis ça parce que tu lances le sujet, et pour que nous le comprenions, du moins moi, savoir le pourquoi tu trouves la vie absurde à certain moment et d'autres non, peut aider.

Je dis ça parce que personnellement je ne l'ai jamais trouvé absurde.

La liste serait certainement trop longue. Il suffit de regarder autour de soi et en soi.

De papier a écrit:

Notre vie sur terre est-elle absurde ? Je ne puis m'empêcher de le croire certains jours. Et vous, qu'en dites-vous ?

Elle est ce qu'ont en fait ...

Eloha, c'est-à-dire ?