Forum de partage sur la spiritualité, l'éveil de l'âme conscience et harmonie

Forum de discussion sur la spiritualité pour la rencontre et le partage dans l'éveil spirituel de la conscience, bouddhisme zen, lithothérapie meditation et citation.
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Réassort du coffret Pokémon 151 Électhor-ex : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 Conférence-Débat

Aller en bas 
AuteurMessage
christophemarie
Membre
christophemarie


Date d'inscription : 01/05/2012
Nombre de messages : 144
Masculin
Taureau Cheval
Age : 69
Ville : carcassonne

Conférence-Débat Empty
MessageSujet: Conférence-Débat   Conférence-Débat Icon_minitimeVen 15 Juin 2012 - 6:45

Conférence-Débat
Animé par Eric Delmas Association Culture et Etudes Cathares.

Le 24 Juin 2012 à 15h00
Salle de Conférences " Les Vents d'Anges"
Rue Ampère 11000 CARCASSONNE
Réservation 0626303956

Théme de la Conférence :

Origine et filiation du catharisme – 1
3 juin 2012 16 h 00 minRuben de Labastide

Dans sa lettre adressée à Bernard de Clairvaux en 1143, Evervin de Steinfeld rend compte qu’il venait de découvrir une nouvelle hérésie. Il y décrit ces « nouveaux hérétiques qui jaillissent de tous côtés des puits de l’abîme »A. Ces propos sur l’apparition obscure des cathares rend parfaitement compte de la situation dans laquelle se trouve toujours aujourd’hui la question des origines du catharisme. Comme Evervin, nous ignorons toujours d’où proviennent les Cathares. Pourtant, ce n’est pas faute d’avoir recherché et ce ne sont pas les propositions qui manquent non plus, mais la question demeure. Elle n’a toujours pas été élucidée.
Tout ce que les historiens s’accordent généralement à reconnaître, c’est que « le phénomène cathare », comme René Nelli l’avait si bien ditB, apparaît dans les sources au Xe siècle et en disparaît au XVe siècle. On le voit surgir d’orient en occident en l’espace de quelques décennies, et c’est précisément ce phénomène qui ne cesse pas d’étonner. D’où pouvait bien surgir ce christianisme si particulier qui ne semble concorder totalement avec aucune hérésie connue, mais qui en même temps semble regrouper en lui toutes les propositions jugées hérétiques par la grande Église au cours de son histoire ?

Les contemporains des Cathares avaient associé le catharisme aux hérésies qu’ils connaissaient et qui pouvaient correspondre à cette prétendue hydre multi-faces. L’arianisme, à cause de la christologie particulière du catharisme qui n’avait pourtant aucun point commun avec lui, mais aussi et surtout avec le manichéisme, à cause du trop fameux dualisme cathare ; dualisme qui n’avait pourtant pas grand rapport avec le manichéisme. Mais comme l’accusation était bien pratique sur le plan répressif, et comme on ne voyait pas d’autre proposition à avancer, on retint cette idée. D’autant plus qu’à cette époque, la plupart des religieux ignorait ce qu’était réellement le manichéisme.
Il a fallu attendre les travaux des historiens modernes pour pouvoir démentir cette association entre catharisme et manichéisme, mais on s’avéra incapable d’élucider la question des origines du catharisme. On s’est borné seulement à voir en lui un vieux christianisme, mais sans définir ce que l’on entendait par « vieux christianisme ». Certains y ont vu un vieux christianisme d’inspiration johannique ou origénienC resté à la marge du christianisme officiel. Certains ont même avancer que les cathares n’étaient rien d’autre que des catholiques diaboliser par leur Église au moment de la réforme grégorienne.
Ces thèses, aussi séduisantes qu’elles puissent être, ne rendent pas compte de l’ensemble du phénomène cathare. On ne voit pas bien, tout d’abord, en quoi le droit pour les femmes — dans le catharisme — de prêcher, de baptiser ou de consacrer le pain serait un vieil héritage du catholicisme. Aussi loin que l’on remonte dans le temps, le catholicisme comme l’orthodoxie ont toujours exclu les femmes du sacerdoce. Ensuite, les Églises orthodoxes n’étaient pas dans ce processus de réforme dans laquelle l’Église catholique s’était engagée, et pourtant c’est bien là que le catharisme apparaît en premier dans les sources. Enfin, que ce soit en orient ou en occident, ce sont toujours les mêmes points théologiques qui sont dénoncés et combattus avec constance, malgré la diversité des sources, séparées dans le temps et dans l’espace.
Ces explications par la dissidence ou le complot ne peuvent pas être pertinentes. Elles traduisent le désarroi des historiens face à une tradition chrétienne qui leur échappe, et elles attestent de la prégnance dans les esprits de l’histoire et de la théologie édifiées par la grande Église.
Toutefois, nous sommes bien d’accord avec l’idée que le catharisme est un vieux christianisme, un vieux christianisme auquel on ne peut nier son caractère paléochrétien, anté-nicéen, mais un vieux christianisme qui ne peut être associé au judéo-christianisme qui fut à l’origine de l’Église d’État de l’Empire romain.
On ne peut comprendre le catharisme que par une critique serrée de l’histoire que la grande Église a écrite elle-même, et par la redécouverte d’une autre pensée chrétienne, originelle au christianisme lui-même, mais qui fut anéantie par le fer et le feu. Ce christianisme vaincu, n’a donc pas bénéficié de la préservation de sa propre histoire et de la transmission de sa pensée. Les vainqueurs n’écrivent pas seulement l’histoire, ils inscrivent aussi au fer rouge leurs conceptions dans les consciences.

Pour comprendre le catharisme, il nous faut revenir sur le point de départ du christianisme, c’est-à-dire sur Jésus lui-même et sur les débuts des premières communautés chrétiennes. Ensuite, faire l’état des lieux du christianisme au cours des premiers siècles de son histoire, pour pouvoir enfin replacer le catharisme dans une histoire et une théologie qui ne fut pas celle écrite et définie par les deux grandes confessions judéo-chrétiennes, l’orthodoxe et la catholique.

A – Traduction d’Anne Brenon, Les Archipels cathares, Dire éditions, Cahors, 2000, p. 50.

B – Le phénomène cathare, perspectives philosophiques et morales, René Nelli, Éditions Privat Toulouse 1964.

C – Origène, éminent exégète et théologien du début du IIIème siècle, mais certaines de ses thèses furent condamnées en 543.
I – Jésus et les premières communautés chrétiennes

La question de savoir qui était réellement Jésus et quel était son véritable enseignement est une question débattue depuis que la critique rationnelle s’est substituée aux croyances.

Cette question a fait couler beaucoup d’encre et elle a suscité beaucoup d’hypothèses, mais cette effervescence n’a pas encore permis d’élucider de manière formelle la question, et elle ne le sera probablement jamais. En revanche, elle a permis de dégager des perspectives nouvelles sur Jésus et sur le christianisme. Cependant, la mauvaise conscience des intellectuels vis-à-vis du judaïsme, dont la culture judéo-chrétienne n’était pas étrangère à l’antisémitisme et à ses conséquences les plus effroyables, a tenu à réhabiliter la part du judaïsme dans le christianisme, c’est-à-dire à réinscrire le message de Jésus, l’Évangile, dans le cadre du judaïsme. Dans cette perspective, on oppose Yeshoua, le rabbi Juif, à Paulus, l’apostat.

Ainsi, ce serait l’apôtre Paul qui aurait dénaturé l’enseignement du « naziréen », et ce serait également lui qui aurait fondé le christianisme et non Jésus. Avec cette idée, Paul devient plus que jamais « l’apôtre des hérétiques »1, comme le disait déjà en son temps Tertullien.

Dans son remarquable ouvrage, « Un Jésus plusieurs Christs », le professeur Gregory, J. Riley, spécialiste du Nouveau-Testament, a parfaitement résumé la question du judaïsme de Jésus : « En disant que Jésus était Juif, on croit souvent exprimer quelque chose d’important et de significatif sur son identité, alors qu’en fait l’usage du terme “ Juif ” apporte au débat plus de confusion que de clarté. Dans le judaïsme du temps de Jésus, coexistaient à peu près une douzaine de partis, chacun avec ses chefs, ses partisans et ses adversaires ; précisément Jésus ne s’inscrivait dans aucun d’entre eux. Selon les sources chrétiennes primitives, il est entré en débat ou en conflit avec pratiquement chacun des groupes Juifs qu’il a rencontrés, et il a été condamné à mort par le gouverneur romain avec la complicité des principaux partis au pouvoir chez les Juifs. En d’autres termes, nous n’avons pas d’idée précise sur le sens de l’expression “ être Juif ” dans son cas spécifique, mais nous savons en revanche très bien que sur certains points cruciaux, Jésus n’entrait pas dans les catégories conventionnelles du judaïsme de son temps. […] Si Jésus avait été un Juif au sens ordinaire du terme – comme on se représente ordinairement les Juifs ou comme on croit les connaître – il n’y aurait pas de christianisme à l’heure actuelle »2.

Ajoutons que a contrario du judéo-christianisme, les Juifs n’ont pas trucidé leurs coreligionnaires pour des questions de divergences de points de vue ou de pratiques. La coexistence de multiples et si diverses écoles juives à l’époque même de Jésus l’atteste amplement.

La loi mosaïque est claire, ce ne sont que les blasphémateurs qui doivent être mis à mort3, c’est-à-dire ceux qui portent atteinte au nom de Dieu, autrement dit à la Loi, c’est-à-dire la Torah, ce que nous appelons communément l’Ancien Testament.

Or, les évangiles nous disent précisément que Jésus fut accusé de blasphème et que ce fut la raison de sa condamnation à mort. L’évangile de Jean le dit très clairement quand les juifs répondent à Jésus : « ce n’est point pour une bonne œuvre que nous te lapidons, mais pour un blasphème, et parce que toi, qui es un homme, tu te fais Dieu »4. Remarquons qu’il y a en réalité deux blasphèmes dans ce verset, un blasphème qui n’est pas précisé, et un blasphème de se faire égal à Dieu. La teneur du blasphème passé ici sous silence se trouve dans un autre passage de l’évangile de Jean quand il rapporte un propos de Jésus aux Juifs : « Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir le désir de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne s’est pas tenu dans la vérité, parce que la vérité n’est pas en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, ses paroles viennent de lui-même car il est menteur et père du mensonge »5. Cette association du Dieu trois fois saint d’Abraham, d’Isaac et de Jacob avec le diable lui-même est indéniablement un blasphème qui devait être des plus intolérables pour les juifs.

Mais ce n’est pas tout, il faut encore ajouter les multiples provocations et infractions à la Loi de la part de Jésus et de ses disciples, sans oublier non plus l’affront ultime du chambardement du Temple, quand Jésus renversa les tables des changeurs et fit fuir les animaux destinés aux sacrifices.

Il est manifeste qu’aux yeux de la Loi et des tenants de la Loi, Jésus était parfaitement condamnable. Il faut absolument le reconnaître, Jésus reçut le châtiment mérité que la Loi mosaïque prescrivait. Comme l’avait si bien remarqué Yves Maris : « Le Christ est mort à cause de la Torah, que l’on proclame paradoxalement comme parole de Dieu »6.

Le judéo-christianisme a donc fait un bien mauvais procès aux Juifs de l’époque en les accusant de félonie, alors même qu’ils ne faisaient que suivre fidèlement les prescriptions de leur Loi.

Par conséquent, la vieille accusation de déicide dont les Juifs furent accusés n’est pas seulement une terrible bêtise, c’est aussi un double renversement du message évangélique. Double renversement, parce que l’on fait de Jésus un disciple de la Loi et parce que l’on nie que c’est la Loi qui condamna Jésus. Et elle le condamna d’autant plus justement qu’il y contrevenait et qu’il la dénonçait.

Celui qui sait bien observer les évangiles constatera que Jésus ne cesse de contrevenir à la Loi, sciemment et résolument, tout au long des évangiles. Il ne faut pas se laisser impressionner par les interpolations manifestes qui tentent de prouver le contraire, comme la célèbre formule matthéenne : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre »7. Alors que toute la vie de Jésus manifeste exactement le contraire ! Paul en rend témoignage quand il dit que le : « Christ est la fin de la loi »8, et quand il précise que « la puissance du péché, c’est la loi »9.

Ne nous trompons pas, le cœur du message évangélique est la contestation de la Loi, et non l’injustice de la condamnation et de la crucifixion de Jésus. Jésus ne fut pas victime d’une injustice, il fut victime de la justice de la Loi, comme le dirent expressément ceux qui accusèrent Jésus devant Pilate : « Nous, nous avons une loi, et selon cette loi il doit mourir »10.

Observons maintenant ce que les textes nous disent sur le début du christianisme après la mise à mort de Jésus ; que voyons-nous ? Les Actes des apôtres nous dit qu’une première et seule communauté s’était constituée à Jérusalem11 et qu’elle se trouva tout de suite en butte avec les autorités juives. Dans un premier temps, on nous dit que Pierre et Jean furent arrêtés pour s’expliquer sur leur foi, parce qu’ils se revendiquaient d’un certain Jésus condamné et mis à mort pour blasphème. Pierre et Jean furent eux aussi présentés devant le Sanhédrin, comme l’avait été Jésus, mais à l’inverse de Jésus ils furent relâchés sans qu’on leur fît le moindre mal12. Après examen, le Sanhédrin n’a visiblement pas trouvé dans leur conviction religieuse de quoi les condamner. Pas de contestation de la Loi, pas de blasphèmes sur Dieu visiblement.

Ensuite, les Actes des apôtres nous raconte qu’Étienne, un jeune diacre, fut arrêté à son tour par le Sanhédrin, mais au motif cette fois-ci qu’il blasphémait « contre Moïse et contre Dieu »13, c’est-à-dire qu’on l’inculpait du même chef d’accusation que celui dont Jésus avait été accusé14. Étienne fut donc scrupuleusement entendu, mais à l’inverse de Pierre et de Jean qui repartirent en paix, Étienne fut lapidé sur le champ15.

Après quoi, nous dit le texte, se développa « une grande persécution de l’Église qui était à Jérusalem »16. Le texte nous dit également que cette persécution provoqua la fuite de toute la communauté « dans les contrées de la Judée et de la Samarie »17, sauf « les apôtres »18, est-il précisé.

L’affirmation nous apparaît quelque peu inexacte. Ce ne peut pas être toute la communauté qui prit la fuite puisque par la suite celle-ci y est toujours attestée. Il est également certain que l’exil ne se cantonna pas aux contrées juives ou samaritaines, puisque Paul lui-même dut continuer les poursuites en Syrie19. Nous verrons aussi que ce ne serait pas non plus tous les apôtres qui restèrent à Jérusalem.

En fin de compte, ce fut seulement une partie de la communauté qui resta à Jérusalem avec ses « apôtres » à elle, et la raison de cette attitude ne fait pas grand mystère. Ce n’est pas une question de courage ou de lâcheté, comme veut le faire accroire le texte, c’est seulement qu’une partie de la communauté n’était pas concernée par la persécution, fort probablement parce qu’elle ne contestait pas la Loi et ne proférait pas de blasphème sur Dieu, puisqu’on nous dit précisément qu’ils étaient « zélés pour la Loi »20.

Nous l’avons vu, Pierre et Jean n’ont pas été réellement inquiétés et Jacques — « le frère du Seigneur »21 et non l’un des deux disciples éponymes22 — ne l’a pas été du tout, alors qu’il apparaît comme le chef de la communauté de Jérusalem. Par contre nous avons vu ce qu’il en était pour Étienne. Cette différence de traitement nous apparaît comme la conséquence du degré de compatibilité ou d’incompatibilité avec le judaïsme. Il est clair que les autorités religieuses juives ont pourchassé avec beaucoup de discernement les blasphémateurs et les contestataires de la Loi seulement. Il fallait qu’eux aussi soient traînés devant le tribunal. La Loi les condamnait tout autant que Jésus lui-même. Face à ces individus, les autorités juives furent confrontées à un impératif : mettre un terme à l’abomination des blasphèmes sur la Loi et sur Dieu qui souillaient l’ensemble du peuple Juif. La Loi mosaïque le prescrivait : « Ce prophète ou ce visionnaire sera puni de mort car il a parlé de rébellion contre l’Éternel, votre Dieu, […] il a voulu te pousser hors de la voie dans laquelle l’Éternel, ton Dieu, t’a ordonné de marcher. Tu extirperas ainsi le mal au milieu de toi »23.

Enfin, contrairement à ce que veut nous faire accroire le texte des Actes des apôtres, la première communauté de Jérusalem n’était pas « qu’un cœur et qu’une âme »24, ni que ses membres allaient tous « au temple d’un commun accord »25.

Ces précisions apparemment anodines et innocentes, témoignent précisément du contraire. C’est seulement par la suite, après le départ d’une partie de la communauté persécutée, que la communauté de Jérusalem retrouva une unité autour de Jacques. Cette communauté qui prospéra à l’ombre du Temple joua d’ailleurs un rôle déterminant contre l’Évangile que Paul prêchait26. Nous le verrons.

1 – Contre Marcion, III, 5, 4. Traduction de René Braun, éd. du Cerf, Paris, 1994.

2 – Gregory J. Riley, Un Jésus plusieurs Christs, Labor et Fides, Genève, 2002, p. 14 – 15.

3 – Cf. Lévitique 24 : 10 – 16.

4 – Jean 10 : 33.

5 – Jean 8 : 44.

6 – Yves Maris, En quête de Paul, ANRT Diffusion, Lille, 1999, p. 27.

7 – Matthieu 5 : 17.

8 – Romains 10 : 4.

9 – I Corinthiens 15:56.

10 – Jean 19 : 7.

11 – Cf. Actes 2 : 37 – 47 et 4 : 32 – 33.

12 – Actes 4 : 1 – 20.

13 – Actes 7 : 11

14 – Signalons toutefois que les textes dénoncent ces accusations de blasphème comme fausses et erronées. Ces dénonciations sont en réalités le produit d’une réécriture de l’histoire. Les tenants du judéo-christianisme ont tenu à laver Jésus comme Étienne de cette accusation car elle était contraire à leurs idées et témoignait en faveur des propos que tenaient leurs adversaires Marcionites. Alors, on accusa avec ignominie les Juifs de perfidie et de mauvaise foi. Mensonge et accusation qui eurent les effets dévastateurs que l’on connaît, ceux de l’antisémitisme.

15 – Cf. Actes. 7 : 59.

16 – Actes 8 : 1.

17 – Ibid.

18 – Ibid.

19Cf. Actes 9 : 1 – 2.

20 – Actes 21 : 20.

21 – Galates 1 : 19.

22 – Les évangiles mentionnent deux disciples appelés Jacques : Jacques, fils de Zébédée et frère de Jean (Matthieu 10 :2) et Jacques, fils d’Alphée (Matthieu 10 : 3).

23 – Cf. Deutéronome 13 : 2 – 6.

24 – Actes 4 : 32.

25 – Ibid. 2 : 46.

26 – Cf. Galates 2 : 11 – 14.





Revenir en haut Aller en bas
http://www.iletaitunefoislalumiere.fr
 
Conférence-Débat
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Forum de partage sur la spiritualité, l'éveil de l'âme conscience et harmonie :: Conférences - salons - expositions-
Sauter vers:  
Spirit Partage - Forum spiritualité de rencontre Montpellier et autre ville
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Contact | Signaler un abus | Forum gratuit