Dépression besoin d'aide.

Rappel du premier message :

Bonsoir,

Alors, je m'excuse de venir ici, pourtant je me suis dit que si je posais mes bagages avec des gens sains, j'avancerais plus que devant des réponses du style «moi aussi. Je sais pas quoi te dire. Amitiés ».

Alors je commence. J'ai 16 ans. J'ai découvert récemment ce forum très intéressant..et oui, j'ai triché sur ma date de naissance pour réussir à m'inscrire. Mon topique sera peut être supprimé, mais tant pis, je préfère ne pas mentir.
Je suis une fille. précision: mes parents sont des dépressifs qui s'ignorent, j'ai deux frères..et c'est juste dur à vivre
Tout a commencé à ma rentrée en seconde (je suis en première, là). Pour faire court, grosse dépression sévère, je passais mon temps à me mutiler, et à chercher un moyen SUR de mettre fin à mes jours. Je pleurais tout le temps, sans savoir pourquoi. Alors vers octobre (de l'année de seconde) j'ai demandé à ma mère, en prenant sur moi, si je pouvais voir un psy. Il m'a fallu DEUX MOIS pour oser lui demander. Elle a été très surprise, gênée, et m'a dit « ah, pour parler un peu, c'est ça? »...alors elle m'a dit qu'elle chercherait. Je lui ai demandé de garder ça pour elle. TOUTE ma famille a été mise au courant. Ce n'est que mi février, que j'avais donc mon premier rdv chez une psychologue psychothérapeute. Mon état s'était bien sur agravé en 4 mois. J'ai pris 10 kilos, j'étais en échec scolaire. La veille de la premiere séance, j'étais HORRIBLEMENt stréssée. J'étais du genre timide, et réservée, à la limite de la « phobique sociale ». Je n'espérais qu'une chose de ce rdv, une seule chose, c'était ça ou je mettais fin à mes jours pour de bon, j'ne pouvais plus, je pouvais plus: que cette psy me diagnostique depressive. Que ma mère arrête de penser que je consulte une psy « parce que je suis chiante ».

Je suis sortie du rdv en pleurs, comme tout ceux qui ont suivis: « si j'avais pas d'amis, j'avias qu'à m'en faire, si je me trouvais trop grosse, je n'avais qu'à prendre en longueur, plutôt que de prendre en largeur, et enfin, si je n'aimais pas mes parents, c'était pas grave puisque j'avais bientôt 18 ans. » Et elle m'a conseillé de commencer une psychothérapie. Les scéance à 70 Euros duraient 10min, à parler de mon « enfance », et encore, je parlais peu. Moi je voulais crever. Ma mère m'engueulait, me disait que j'avais qu'à parler àa la psy si j'allais pas mieux, si je trouvais que c'était trop court..

J'ai arrêté de la voir et en parant , la psy m'a dit « ça sert à rien, ça sera partout la même chose, tu compte lui dire quoi au prochain psy, hein? Bon courage ».

J'étais à bout. J'étais la méchante, toute ma famille en a eu marre de moi, je ne faisais plus rien. « tout le monde a des problemes, mais gère les ». Moi j'avais pas de problemes. Je souffrais et je voulais crever, c'est tout.

J'ai vu un infimirer dans un centre, qui m'a hurlé dessus: je lui faisait perdre son temps, si je disais rien! Puis j'ai demandé à voir un psychiatre dans ce centre pour ado, j'ai écris une lettre ou j'ai tout dit. Lui ne m'a rien dit, je parlais pas plus, j'ai fini par ne plus venir à ces scéances ou il me demandait à chaque fois les MEMES choses: en quelle classe j'étais, combien de frère j'avais..il refusait de me donner des médicaments. Quand j'ai eu un doute, je lui ai demandé si j'étais bipolaire, il m'a répondu que oui, mais que c'était pas grave. Puis il a convoqué mes parents, leur a dit que je lui parlait pas alors que il pouvait rien pour moi, à part m'hospitaliser, ce que j'ai refusé. Mes parents de toute façon, étaient très surpris qu'on me propose ça.

J'ai donc encore arrêté. Toujours sous les hurlements de ma mère que j'énervais, à tojours changer de psy, alors que « eux faisaient des efforts, ils m'autorisaient à voir des psy..que eux en pouvaient plus..que eux ne savaient plus quoi faire..que c'était à moi de les aider... »...
je pleurais. Je me disais, j'allais partir, m'en aller. Alors tout sera plus simple.

Un professeur que j'apprécie particulièrement, cette année de seconde, m'a demandé ce qui n'allait pas. Que je pouvais lui parler. Quelques mois plus tard, je lui ai écris. Elle était gentille. Peu à peu, je devenait dépendante d'elle, je vivais à chaque fois « jusqu'à son cours , au moins ». Puis je programmait mon suicide à la fin de la semaine. Chaque fois que j'allais passer à l'acte, je lui écrivais. Je l'adorais. Mais je souffrais encore quand même. Elle m'a conseillé un centre pour ado à paris, « reconnu ». J'ai eu un rdv...un peu après la fin de l'année scolaire.

Alors déjà, ne plus voir ma prof avait été dur, même si j'avais son téléphone.
Dans ce centre, on m'a donné des antidepresseurs. Les vacances, j'étais un peu mieux. Loin de tout, vivre au jour le jour, sans mes parents...j'avais moins d'idées noires, même si parfois des crises de larmes inexpliquées qui prevenaient pas.

Puis la rentrée. Des crises de larmes qui reprenent, parce que je me rends compte que je suis plus eleve de ma prof, même si je la revoyais un peu; parce que j'aime pas la vie, parce que je baigne à nouveau dans l'ambiance de l'année passée, et que..tout ressortait. Le psychiatre que je voyais, je lui parlait peu, même si je lui avait écris. Je l'adorais pas.

J'ai voulu passer dans un autre section, au passage, classe de cette fameuse prof (hasard?). J'ai du en parler à ma prof principale, pour les démarches..passer de S à L.. et quand elle m'a demandé pourquoi, j'ai répondu les larmes aux yeux, que c'était parce que «l'année d'avant, j'avais ait une dépression, et que là j'ai du mal à suivre »..
Elle a vu mes parents..et je suis finalement restée dans ma classe.

Je lui ai écrit, à cette prof, aussi, parce qu'elle a voulu me parler, et j'ai rien dit. Sauf que mes parents sont tombés sur cette lettre. L'ont passés au psy. Je suis arrivée dans le bureau du psy, et j'ai découvert , à ma grande surprise, cette lettre sur son bureau. Il s'en ai suivi: un bilan psychologique, un suivi par une infirmière tout les semaines, et des activités thérapeutiques avec d'autres ados.

Puis, j'ai bataillé pour avoir des horaires aménagés que j'ai depuis peu.
J'ai il y a un mois je crois, j'ai arrêté d'un coup les antidepresseurs, j'ai décidé que je vivrais ce que j'ai à vivre. Et finalement, pas de violente rechute. Moi qui arrivait plus à pleurer..ben j'ai parfois l'impression que je vais pleurer, mais ça sort pas.

Maintenant, je me sens..sensible à plus grand chose, ou bien trop sensible. J'ai l'impression que cette dépression n'a servit à rien. Je sais plus quoi faire, peut être parce que t'a rien à faire, ou alors que je suis capable de rien faire.
Je vais à peu près en cours, mais je ne suis rien, je dors, je vais aux activités...je vais mieux, mais je crois que je suis intérieurement morte.

Je dois commencer une psychothérapie, d'après l'infirmière, mais c'est le psy qui doit me donner les coordonnées «(pas pressé bien sur, hein....d'ici quelques mois peut être..)

J'ai beaucoup hésité à demander une hospitalisation là bas, je sais que c'est pas un hôpital comme les autres. Mais..j'arrive pas à la demander. Puis ,n en ai je vraiment envie? L'ai je mérité? Est elle nécessaire? Mon état l'exige t'elle, puisque je vais « mieux »?

Je sais pas quoi rajouter. L'année prochaine, je devrais aller dans une internat médicaliser pour avoir une scolarité tout en étant accompagnée, ce qui me réjouis pas du tout, parce que même si j'avais pas d'à priori, j'ai pas mal peur des psy, maintenant. J'apprécie pourtant l'infirmière à qui j'essaie de parler, mai j'ai du mal. Quoi dire. Rien d'autre. A part peut être: que c'est il passé? Je suis où? Je vais mieux? Pourquoi j'arrive ni à pleurer, ni à parler, j'arrive juste à sortir des rires qui me donnent envie de me tuer?

Merci d'avoir lu
C'est avec grand plaisir que je prendrais tous vos conseils, reflexions, réactions, témoignages...
merci encore.
Et bonne journée.

Bonjour Ophélie,

C'est dans un livre du Dalaï Lama, je crois (mais sûre de rien hein, j'ai la mémoire courte !), que j'ai lu quelque chose du genre : Les gens tombent en dépression lorsqu'ils prennent conscience de leurs défauts et qu'ils se croient incapable de les changer. Mais ce sentiment est faux, tout le monde est capable d'évoluer vers le meilleurs.

Je sais bien, ce n'est là qu'un "conseil" parmi tant d'autres, mais ce passage m'a marqué, parce que lorsque j'ai eu quelques coups de blues à une période je ne me l'avouais peut-être pas mais c'était certainement là le vrai fond du problème.

Je suis bien désolée de ne pas pouvoir faire plus, mais comme tout le monde ici, je t'envoie toute mon affection

Bonjour Ophélie.

A ce que je constate, tu en es toujours au même point.

Tu sais, dans la vie, il y a ceux qui passent leur temps à pleurer sur leurs sorts et qui attirent les sympathies d'autrui pour qu'ils pleurent avec eux,
et il y a ceux qui se prennent en charges et qui font tout pour s'en sortir...
Il y a tout un monde entre ces deux possibilités.

un conseil trouve toi une passion, un amis ou une amie ou un objectif accroche a cette chose que tu tient tant bat toi pour elle. et tu verra tu sera récompenser. la vie n'est pas fait que pour pleurer ( et les larmes ne ramène rien que tu a perdu)

accroche toi a ceux que tu aimes.... ne va t'engouffrer dans des sentiments que tu n'aimes pas . Seul ta réussite compte, c'est un peu égoïste je te l'accorde mais en faisant cela tu fera profiter ton sourire et ta bonne humeur a tout le monde et les autre prendrons exemple sur toi. tu fera une pierre deux coups. tu sera heureuse et l'être que tu tient sera heureux.

alors trouve ta voie.... accroche toi a elle, ne lâche pas prise si tu perd confiance pense a ceux que tu perd.

la vérité c'est toi seul qui peut la découvrir. Personne ne peut t'influencer sur les choix que tu fait. Ecoute les personnes que tu a confiance et qui ton jamais trahies.

ne garde jamais ceux qui te Gêne dans ton coeur car tu aura des regrets

je pense qu'on a tous passer par la, pour certain c'est supportable et d'autre pénible car l’écart entre les génération sont parfois douloureuse. N'en veut pas a ta famille, dit toi qu'il on était éduquer comme ça et toi différemment

Citation :

Je passe. Donner des nouvelles. Je devrais pas, m'enfin.

Ca va
pas vraiment du tout, mais je suis pas pour autant en recherche de
conseils, comme vous le dites si bien du haut de vos milliards de
principes celestes-boudhistes, je sais que tout est en moi.

Je suis tellement mal que je sais pas quoi dire, quel nouveau, quel sentiments, alors mon message s'arrêtera là.

Qu'attends tu en réalité ?


La véritable aide ne viendra pas de l'extérieur, jamais. Y a que toi qui peut faire bouger ton chmilblick. Tu parles de ta souffrance, mais ne songe pas vraiment à explorer, à creuser les conseils qui t'ont été donnés. Certe, il y en a beaucoup, mais la plupart se rejoignent en des points communs. Au final donc, il n'y en a pas tant que ça. Bouge toi le c*ul et arrête de vivre centré sur ton problème, ne voire que ça ... arrête cette égocentrisme, sinon tu t'en sortira jamais ... se complaindre dans sa souffrance, ça va un temps, ça te donne un peu d'importance, mais après ... ça devient juste de l'auto-destruction pur ... Mes paroles vont peut être sembler dur, mais comme le reste a pas l'air d'avoir marché jusqu'à présent ... Démer*de toi un peu quoi ... On te file toutes les clés pour solutionner tes soucis, et tu nous renvoie ça à la gueule avec ce genre de phrase :

Citation :

mais je suis pas pour autant en recherche de conseils, comme vous le
dites si bien du haut de vos milliards de principes celestes-boudhistes,
je sais que tout est en moi.

Je sais que tout souffre, mais ça n'excuse pas tout. A quoi sert-il de se plaindre pour se plaindre ? Si tu n'attends pas d'aide, de conseil, à quoi cela sert-il de pleurer sur ton sort et surtout d'ouvrir un sujet ayant pour titre : besoin d'aide ? ...


Encore une question d'égo qui crache sur tout ...


Faut vraiment que tu captes un truc ... :


Les choses prennent l'importance qu'on leur donne. C'est toi qui crée le monde dans le quel tu vît, au travers de la couleur de tes pensées ...


Et plus tu vivras dans ta tête, on donc à coté de la plaque, hors de la réalité, et moins tu percevras la saveur de la vie ... c'est aussi simple que ça, et un parfait indicateur de la justesse avec la quel tu vis ta vie.


Gravité, importance = futilité. Arrête de prendre tout ça au sérieux ... de te prendre au sérieux ... de prendre tes "problèmes" au sérieux ... ça ne fera que tout empirer. La vie, dans sa véritable réalité, est légèreté, pur positivité, mais pour ça faut savoir lacher prise, accepter la réalité tel qu'elle se présente à toi, en gros vivre la vie tel qu'elle est, sans tout ces masques que chacun porte, sans toute cette gravité illusoire dont chacun teints les événements de sa vie, ... sans tous ses filtres mentaux, tout ces concepts qui déforment totalement ta perception de la réalité ... C'est pourtant très simple dans le fond ... Laisse couler les choses, et tu verras la véritable couleur des choses ...


Tout commence dans la paix.

"Je suis tellement mal que je sais pas quoi dire, quel nouveau, quel sentiments, alors mon message s'arrêtera là."

Tu t'es trop laissée dépasser par la situation que tu vis. Tu ne t'en sortiras jamais seule. Il est urgent pour toi de rencontrer un psychiatre, car ton cas rélève de la psychiatrie.

Tôt où tard, tu risquerais d'être internée, car tes proches ne te regarderont pas t'auto-détruire indéfiniment comme tu le fais.

Si tu n'agis pas positivement, ils le feront à ta place. Tu auras beau les ménacer de te suicider, il sera trop tard, tu te feras interner.
Fais très attention Ophélie, car tu te trouves sur une pente raide.

Personne ne peut t'aider car tu ne t'aides pas toi-même. Tu te laisses glisser, je ne dis pas, lentement mais sûrement, car en réalité ton comportemt actuel m'en dis beaucoup sur ton venir proche.
Fais très attention avec tes envies de suicide, car c'est là que tu te feras interner. Et après, et bien ils te prendront en charge, que tu le veuilles ou pas. Et crois-moi, ils ne te lacheront pas.

Pour l'instant, tu continues ta descente en "enfer", parce que tu n'as même plus la volonté de vouloir t'en sortir. Tu t'es trop laissée aller. Tu t'es trop coupée de la réalité.

En réalité, même les avis qu'on te donne, n'ont même plus de prises sur toi. Tu t'es trop déconnectée.

Tout ce que nous pouvons te dire reste une lettre morte pour toi...

Bonjour,

Je rejoins complètement les sentiments d'Imré et Denis Pascal. Ma chère Ophélie tu te prépares à payer une facture qui n'est pas la tienne et de cela tu n'en tireras aucun bénéfice, et la finitude qui est au bout ne sera que pour toi et n'aura rien résolu de toutes façons.

Amarres-toi, démarre et tu finiras je l'espère par marre-toi.

Bises

Salut Ophélie !
content d'avoir des nouvelles de ta nature négative passive ,de lunaire il me semble , tu commence comme tout le monde , je te l'ai déjà dis , rien de psychologiquement exceptionnel , ne change rien , tu t'habitueras à ce que tu es même si cela prend parfois une vie entière , que les hommes et Dieu
puissent t'aider à trouver un peu de réconfort et de joie sur ce chemin , bon courage .

ça fait 3 mois, et 18 jours, que j'ai ouvert ce topic. 110 jours.
Y'a 110 jours j'avais besoin d'aide, besoin de conseils que j'avais la volonté d'appliquer.
C'est plus le cas aujourd'hui Imré, bêtement.
Si tu en a marre, PERSONNE ne te force à m'écrire.

Denis Pascal, ton dernier message raisonne bien fort.

Et tu l'as eu cette aide, il y a 3 mois ... Mais j'ai pas l'impression que tu as réelement tenu compte des conseils qui t'ont été prodigué ...

Citation :

Y'a 110 jours j'avais besoin d'aide, besoin de conseils que j'avais la volonté d'appliquer.
C'est plus le cas aujourd'hui Imré, bêtement.

C'est pourquoi dès lors je te posais la question suivante : Alors qu'attends tu ?

Citation :

Si tu en a marre, PERSONNE ne te force à m'écrire.

C'est pas de toi dont j'ai marre, mais de tes lamentations, de ta passivité, de ta négativité ... c'est le fait que tu te plaignes juste pour te plaindre et pour te faire prendre en pitié qui me dérange un peu, et ces menaces de suicides ... Une fois ça peut marcher, deux fois ça passe, mais après les gens te prennent plus au sérieux et ça devient ridicule, vraiment malsain.

Libre à toi de prendre les autres pour des bouffons, mais tôt ou tard il y aura un retour de flamme ... m'enfin, peu importe, c'est ta vie, tes choix, y a que par ta propre volonté que tu peux t'en sortir ... La seule chose que je peux te souhaiter, c'est d'arriver à laisser couler les choses à lacher prise pour réussir à voir la véritable couleur des choses, au travers de la paix intérieur.

Citation :

Et tu l'as eu cette aide, il y a 3 mois ... Mais j'ai pas l'impression que tu as réelement tenu compte des conseils qui t'ont été prodigué ...

J'ai pas réussi, pas voulu... tout ce que tu veux, dis moi ce que tu as envie d'entendre, je te le dirais, c'est cadeau.

Citation :

C'est pourquoi dès lors je te posais la question suivante : Alors qu'attends tu ?

Pas la moindre idée, rien sans doute, c'est pourquoi je te disais la chose suivante, rien ne t'oblige à poster ici.

Citation :

C'est pas de toi dont j'ai marre, mais de tes lamentations, de ta passivité, de ta négativité ..

Chui tentée de dire que c'est pas le propre de la dépression de rayonner de positif... mais je te vois venir, accuser la dépression est bien trop simple alors écoute, même chose, dis moi ce que tu veux voir écrit, je l'écrirais, parce que je ne sais pas quoi te répondre.

Imre,

Je ne crois pas qu il faille lui dire ca. Si quelqu un en a marre, il vaut mieux ne rien dire...


Ophelie,

Gros bisousousous

Bon, lis le post de Denis, encore et encore, et puis profite d etre au fond de la mare pour appeler Dieu.
C est le bon moment.
Et je ne veux pas entendre que tu es athee, etc, laisse les conditionnements negatifs a leur place et ecoute ton ame...
La vie est, et il faut ecouter son bruissement, simple et apaisant comme le roucoulement de la riviere qui s ecoule...

Bisous bisous

J'accuse pas la dépression ... lol

Pas besoin d'écrire quoi que ce soit ... essaye juste d'être réceptif aux écrits les plus utiles que l'on t'envoies, ... ce sera déjà bien ...

Citation :

Citation:

Et tu l'as eu cette aide, il y a 3 mois ... Mais j'ai pas l'impression que tu as réelement tenu compte des conseils qui t'ont été prodigué ...

J'ai pas réussi, pas voulu... tout ce que tu veux, dis moi ce que tu as envie d'entendre, je te le dirais, c'est cadeau.

J'ai rien envie d'entendre ... la seule chose qui serait cool c'est que tu me regarde pas de haut, que tu me prennes pas pour un bouffon ... Et que tu écoutes un peu autre chose que tes commentaires mentaux ... La clé peut aussi venir d'autrui.

Moi aussi je suis passé par ce genre de phase ... à tellement souffrir intérieurement que la seul porte de sortie que je voyais était le suicide ... Ca aura duré 6 mois à vérifier que le flingue de mon père était toujours bien à sa place ... , et j'en ai retiré les leçons nécessaire. J'écris donc en conséquence greenman Tkt

Je sais donc qu'il y a moyen de s'en sortir, et c'est pourquoi je partageais les compréhension nécessaire à acquérir, afin de l'aider.

Allez, bisoux :p je te souhaite juste le meilleur Ophélie.

Moi je sors, à toute les gens.

Tu as l'air bien sur de toi, c'est pas parce que tu as souffert que tu sais tout, que tu dois voir la souffrance des autres de haut, que tu peux quelque chose à celle des autres..non, tu ne sais pas tout.

Je serais tellement receptive Imré..

Allez, Au revoir à tous, bon courage sur vos chemins.

Citation :

Je serais tellement receptive Imré..

Allez, Au revoir à tous, bon courage sur vos chemins.

Peu importe tes choix, tant que tu les fais en conscience.

Comme tu le dis, chacun sa vie, chacun son chemin. C'est à respecter. Et même si tu te suicidais, c'est un choix que je ne remettrais pas en cause car il t'appartient, ça aura été ta vie, ta voie où tu aura fait des choix, choix qui auront été relatif à ce que tu auras vécu et à ce que tu auras été.


Good luck girl Que tu trouves ta voie.

ophelie a écrit:

Allez, Au revoir à tous, bon courage sur vos chemins.

Bon courage à toi, car il faut du courage pour vouloir remonter à la surface et prendre une bouchée d’air.



un petit lien pour toi : http://www.krist-all.fr/accueil/desespoir/desespoir.htm

Seul dans sa chambre, elle n'en finit plus de pleurer
Elle pense à ses amies, quelle ne reverra plus
Pour elle, ses sur, il n'y a plus d'espoir
Elle ferme sa porte, un petit mot sur un papier

Seul dans la rue, elle n'en finit plus de pleurer
Elle pense à sa maman, quelle ne reverra plus
Submerger par la douleur, elle ne veut plus souffrir
Au creux de sa main, un petit mot sur un papier

Seul face à la mer, elle n'en finit plus de pleurer
Elle pense à son papa, quelle ne reverra plus
Plonger dans les ténèbres, une larme, ruisselle sur sa joue
Se jetant dans le vide, un petit mot sur un papier

Au levée du soleil, une brise vient soufflé à mon oreille
C'est une voix familière, qui voudrait que je vienne
Seul face à la mer, effondrer je la regarde
Cette nuit, sous les étoiles, un ange est tombé du ciel

Seul face à la mer, je n'en finis plus de pleurer
Une douleur insoutenable, pour une âme en détresse
Seul, au pied de la falaise, je regarde vers le ciel
Flottant dans l'air, un petit mot sur un papier

Je pense à toi
domi

Ce qui me rassure c'ets de voir que tu as su réagir aux messages d'Imré. Ils t'ont interpellé, peut-être même énervée. C'est un ressort de vie.
Dans la dépression, il y a des périodes où on va mieux, et çà ne veut pas dire que tout est alors réglé. Ce sont des sursauts d'oxygène. Quelque part tu l'as eu là et je trouve, encore une fois, cela rassurant.
Tu montes marche par marche (pour reprendre le message de sandra) sans t'en rendre vraiment compte, mais la vie semble là. Tiens bon.

Petite recette de dépannage
Aller sur iTune store ou Amazone et chercher binaural et subliminal
J'y ai vu un bon MP3 qui calme la dépression

Ps: il faut arrêter de prier !!!

Explication: Parabole du paysan .
Un paysan veut mettre en culture un champs, il plante et il arrose, mais le blé sèche sur place.
Il va voir un conseiller qui lui dit qu'il fallait d'abord enlever les trous faits dans le champs par les rats
car l'eau n'a pas irrigué le champs mais est passée dans les trous des rats

En fait l'énergie du travail spirituel a alimenté les désirs. Plus de désirs, donc plus de frustrations, donc dépression

Et en prime incapacité totale d'assimiler ou de se concentrer , donc échec scolaire

Voir sur Amazone: Echec scolaire et perte de repères de Françoise Carette chez L'harmattan
Elle dit utiliser le Yoga Nidra

allez ophélie , un petit thé a la menthe avec moi ........

coucou Ophélie,

je pense que tu es juste comme le "vilain petit canard"
je m'explique:
tu ne connais pas encore le cygne qui es en toi,et en ce moment tu es juste dans une situation ou tu ne peux pas encore vivre ta vie comme tu le voudrai....

essaye de te concentrer sur ce que tu veux et ce que tu aimes,plutôt que sur ce qui ne va pas

qui voudrai tu être?qu'est ce qui te plait?qu'est ce qui te ferai plaisir de vivre?
même les choses simples sont très importantes
les petits bonheurs...une belle promenade...une musique....une tartine de nutella....lol

tout passe,tout évolue
tous les jours on fait des choix

je suis sûre que tu as un grand potentiel,car très sensible
concentre toi bien sur tes rêves et mets en place un plan pour y arriver étape par étape
et surtout celèbre bien tes victoires même celles qui te paraissent petites!

quand j'ai un coup de blues,je regarde des blagues sur internet...c'est une idée mais un échapatoire c'est important

en tout cas par là ou tu es passée,cela va te rendre plus forte et t'aidera

pense à demain,et c'est aujourd'hui que ça se prepare

je sais bien que c'est facile à dire tout ça,mais moi aussi j'ai mal vécu cette periode avant majorité avec mes parents qui m'ont envoyé voir des psy....et un jour j'ai compris que j'étais juste differente.....quel bonheur d'être different quand on sait que l'on est pas seule

et à mon avis ici tu es bien entourée

courage,le plus beau reste à venir

A force de souffrance voilà ce que l'on apprend

On peut aussi trouver des gens qui n'ont jamais eu d’épreuves particulièrement forte et qui seront heureux et bon, tout comme des gens ayant eu de grosses difficultés et qui serons aigris et mesquins.
J'ai toujours du mal (désolé pour le jeu de mot) avec la notion que c'est par la souffrance que l'humain apprends.