Ce monde ne me suffit pas, et je partirai un jour, et même si je n'ai pas le choix, j'ai appris à attendre ce jour, car je sais que ma vraie vie m'attend... MON Mister Cervo est devenu serviteur, il a cesser de prétendre être roi !.
Mister Cervo, a été, dès les premières heures de son existence, au départ de sa fonction, confronté à désirer … ce violent désir de nourrir son corps, auprès, de cette intime personne qu’est sa mère, il n’a eu que cette volonté de boire ce lait, si chaud et plein d’affection. Ses premières impressions, ont fait grandir en lui, cette conviction, qu’il fallait réclamer ce qu’il avait besoin.
Et de fil en aiguille, les mots qu’il apprenait, lui donnaient, le rapport et la relation, au monde qui l’entourait.
C’est une école, qui finalement, apporterait à son mécanisme, les règles du fonctionnement de ce qui l’entoure. Les lois de ce monde, ne fonctionnent, qui si tu y mets, la « cause » … un geste qui se couvre de conséquences. Et sans cette cause, pas de conséquences … Alors ce monde qui le recouvre, lui fait sentir, l’apesanteur, et prend conscience de cette apesanteur, par le pouvoir de « l’avoir » … il découvre, la puissance de « l’avoir », et le pouvoir contre cette apesanteur. Posséder, devient alors la base de Mister Cervo.
Mister Cervo, comprend très vite, que ce qu’il ressent, crie son importance, car son « moi » réclame sa demande, son besoin. Et Mister Cervo, se satisfait, de réunir autour de lui, ce qui l’arrange et le sécurise …
Il assimile, les sentiments, ou plutôt, les désirs, … les désirs et les sentiments qui orbitent, qui tournent autour de ces désirs, et malgré, l’idéal, des philosophies, des valeurs morales, Mister Cervo, sait ce qui est bénéfique à son « moi » et sait aussi, ce qui est nécessaire de « paraitre » …
La nécessité de « paraitre », est une règle, mathématique et logique, afin de se confondre dans une foule d’individus. C’est un Génie qui apparaît de Mister Cervo, et avec cette rapidité redoutable, il fait succéder les mutations, pour se fondre dans une société d’individus, qui, individus, sont régis par un équilibre commun … L’adaptation de Mister Cervo, est efficace lorsqu’il sait accepter cette morale commune …. Je ne dis pas morale universelle, mais morale commune, car Mister Cervo, s’adapte, au groupe d’individus, avec lequel, il grandit. Sa valeur morale, est adéquat avec son propre groupe, qui peut être différents que d’autre groupes d’individus, ailleurs … c’est une valeur de morale commune à l’échelle « locale ».
Que cette paix de façade, soit instaurée, pour que son « moi » soit en mesure d’élaborer son mécanisme de développement. Mister Cervo, développe donc, un Génie, et prend sa place, dans un corps, au rapport avec le monde, à la mesure de ce monde... Donnant, donnant …
Mister Cervo, comprends d’une manière aussi rapide que pragmatique, qu’il est face à des règles implacables … le principe de la matière s’impose, à son fonctionnement, et pour élaborer la « maîtrise » il construit, son « savoir-faire », son « savoir-faire » lui apporte la liberté de son « moi » …
Ainsi, Mister Cervo, « Maitrise » la Matière … et occulte toutes autres formes de progression.
Pourquoi dire qu’il y a cette occultation ?
Il y a-t-il d’autres formes de progression ?
« Maitriser » la matière n’apporte-t-elle pas cette liberté ? L’indépendance à l’existence n’est-elle pas atteinte ?
EN apparence, je suis d’accord, la liberté est atteinte, mais tant que ce « savoir-faire » est actif … Combien de temps ce « savoir-faire » reste actif ? 40ans ? 50 ans ? 60 ans ? … 100 ans ?
Cette liberté ne finit-elle pas par s’évaporer ? Par disparaître ?
Il n’y a-t-il pas un arrêt à cette liberté ? Ce « savoir-faire » ? … naturel et normal me diriez vous !
dans ce cas vous vous contentez, d’après les règles de cette matière a ce qui est éphémère … un petit instant de vie, d’existence, et de liberté... qui finit bien tôt ou tard …
Il y a donc cette fatalité impitoyable, qui vient détruire Mister Cervo … Mister Cervo, est une étoile qui brille pour la sensation d’un petit instant …
d’avoir « jouit » un instant
Le problème, est que dans une vie, accompagnée de désirs, et de sentiments reliés à ces désirs, nous avons oublié, ces émotions puissantes et merveilleuses … un vrai sentiment, relié lui à des moments d’amour. Cette vie est passée, couvertes de courses « d’avoir », et nous avons laissé de côté, ces instants merveilleux de ressentir, quelque chose d’extraordinaire.
Si nous avions eu, cette intelligence de vouloir en savoir d’avantage, et de persévérer, vers ces sentiments, nobles et souvent partagés, merveilleux et porteurs de bonheur, nous aurions fait goutter à notre mécanisme de réflexion, une saveur au-delà de ce que notre esprit peut comprendre …
Si Mister Cervo, avait , par humilité, écouté Mister Adam(as), il aurait eu des perspectives raisonnements en adéquation , non seulement avec la matière, mais avec tout l’univers … la contemplation des espaces du cœur, aurait guidé Mister Cervo, à la richesse du pouvoir d’ « être » …
car « être » par « l’avoir » finit par disparaître, mais « être » par les sentiments et les émotions travaillées, nous offre un espace à la méditation, et cet espace de médication nous ouvre les portes de l’espoir à une existence au delà de la matière et de l’instant de ce monde.
N’avez-vous jamais ressenti ce moment, ou rien ne vous paraissait important, que de vivre cet instant qui vous était offert ?
Un instant ou toute l’importance de ce monde et de ce qui s’y trouve disparaît, et en finalité vous vous réveillez avec cette nostalgie de le revivre encore …
J’ai aussi, l’expérience d’avoir assouvi mes désirs les plus « obscures », ceux aussi qui étaient en rapport avec Mister Cervo, mais son souvenir me fait mal …
tout au contraire, les moments merveilleux réveillent moi ce bonheur, d’avoir vécu ces émotions, et ces émotions sont encore vivantes en moi.
Mister Cervo, peut se rebeller, peut trépigner, et s’insurger, mais il sait se taire, si ce moment de vérité a guidé mon « être », … Mister Cervo, sait contempler le beau qui s’est exprimé, et découvre des mondes qu’il ne soupçonnait pas.
Alors et enfin, pour connaitre la réalité mystique du « 1 » …symbole, d’ « un soi vivant » … je suis « 1 », je "suis" … il est nécessaire, que d’abord, nous avions ressentis de n’« être » que « 0 » … et pour ressentir, ce « zero » en son être, c’est l’humilité qui prend son importance, sa primeur et sa réalité …
Ibliss, refusa de se sentir « zéro » devant Adam (as) … il n’a depuis ce jour, été que le Diable.