Précepte de l'indolore

Précepte de l'indolore

Chaque possibilité est une composante de l'infiniment grand donc l'infiniment grand c'est l'infinité de possibilités
qui sont donc l'infiniment grand.
L'infiniment grand infini en temps est éternel donc il existe qu'il le veuille ou non cela fait de lui un être involontaire.

Alors lorsqu'on ne peut pas changer d'avis quand on fait un choix cela n'est pas réellement un choix ou alors on
n'a pas de choix parceque si on fait le mauvais choix c'est qu'on avait pas tous les éléments en mains pour faire
le bon choix. Et même si on avait tout en mains pour faire le bon choix l'on n'aurait pas de choix si ce n'est faire le
bon choix et cela s'appelle l'évidence, c'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui est perçu.

La perception de la douleur cause l'acte à conséquence douloureuse et la perception de l'indolore cause l'acte à
conséquence indolore. L'indolore est estimé positif la douleur est estimée négative.

L'infiniment grand est composé d'une infinité de possibilités douloureuses et d'une infinité de possibilités indolores.
L'infiniment grand ne s'oppose que de douleur et d'indolore. De leur opposition autant de possibilités douloureuses
que de possibilités indolores s'annulent en une inexistence qui est indolore car l'inexistence de la douleur c'est
l'indolore.

L'infiniment grand est donc indolore à être perçu, par ce précepte, causant l'acte à conséquence indolore
et rendant chaque possibilité indolore car chaque possibilité est une composante de l'infiniment grand.

Hum , il me semble bien que " l'infiniment grand " n'ait pas finit de grandir , que sa grandeur soit même définie , qu'avant d'être grand cet "infini " tenait sur la pointe d'une aiguille , qu'aillant eu un début il aura une fin , l'éternité n'a ni début ni fin , nous ne sommes pas limités par les choix qui nous échoient  , nous en créons aussi de nouveaux auxquels l'univers s'adapte , l'univers n'est certes pas divisé entre les impressions de douleur et celles de plaisir , il existe un aspect neutre , des impressions qui ne sont ni douleur , ni plaisir , il ne faut pas prendre en compte que la douleur physique , la  "douleur " émotionnelle ou bien mental sont des impressions bien différentes , souvent le mental bâti des théories dans l'espoir de conscrire les douleurs métaphysiques ou existentielles auxquelles il est confronté, love .

nous en créons aussi de nouveaux auxquels l'univers s'adapte.


L'univers ne s'adapte pas à ce que l'homme crée pour la bonne raison que l'univers comprend l'homme ou si tu préfères l'homme est intrinsèque à l'univers.

Hum , l'homme comme l'univers ont des vies indépendantes , l'univers est'il même au courant que nous existons , est'il à même de commander à l'astéroïde qui ferait de la Terre sa trajectoire , la ferraille que nous y envoyons ne doit pas trop perturber cet univers , est-ce que la construction d'engins spatiaux est " intrinsèque " à l'humanité , voilà de quoi faire fumer notre micro processeur à pensées , love .

Bah non! Tout ce qui est permis de faire à l'homme est écrit et ce depuis le big bang. L'homme invente, mais il n'invente qu'inventions potentielles permisent par les lois cosmiques depuis la nuit des temps.
En fait l'homme ne découvre pas "l'inconnu à l'univers", l'homme découvre le potentiel mis à disposition par l'univers... cela fait toute la différence...
L'homme lui ne fait qu'essayé d'échapper à son jardinier (sa nature), c'est la seule cause de ses recherches...

Hum , tu veux dire que notre conversation était inscrite dans le big bang , ça m'en bouche un coin , si c'est tout ce que l'univers met à notre disposition pour y réfléchir , ble belebel , prthtf , miuutgl utfjlhg:kjsqojzhmiusggsèy , arf , j'essaie de m'échapper de ce que l'univers à prévu que je t'écrive mais la tentative est désespérée , love .

T'en viens vraiment à raconter n'importe qu'awak...
Relis moi et trouve dans mes mots ce que tu affirmes être mes pensés.

"L'infiniment grand ne s'oppose que de douleur et d'indolore."
Toutes oppositions n'affirmeraient que ce précepte. Une concession de faite.

"Et même si on avait tout en mains pour faire le bon choix l'on n'aurait pas de choix si ce n'est faire le
bon choix et cela s'appelle l'évidence, c'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui est perçu."

Sans espace pas de mouvement, l'espace précéde même le temps car le temps c'est du mouvement. Et moi je propose cet espace infiniment grand pour si ce n'est l'espoir de conforter une réponse existenstielle.

Si tu rajoutes bien être après indolore alors la concession est faites car il ne peut y avoir deux faces d'une même pièce sans y avoir une tranche.

Et au milieu coule la rivière.... une concession faite!

L'inexistence de la douleur c'est la mort.
La douleur peu être remplacer par une sensation ,
Mais pour empêcher les signaux électriques transmis par les nerfs,il faut mourrir^^

Non Andalou, pour avoir été obligé de prendre pour amie la souffrance je sais que l'on peut avoir aussi le bien être pour ami...

Combien d'êtres chaques années meurent sans avoir connu la véritable souffrance..... beaucoup!

Andalou a écrit:

L'inexistence de la douleur c'est la mort.
La douleur peu être remplacer par une sensation ,
Mais pour empêcher les signaux électriques transmis par les nerfs,il faut mourrir^^

"L'infiniment grand est donc indolore à être perçu, par ce précepte, causant l'acte à conséquence indolore et rendant chaque possibilité indolore car chaque possibilité est une composante de l'infiniment grand."



Il existe un indolore, il existe des indolores mais l'indolore c'est l'infiniment grand c'en est l'absolu.

Oui c'est vrai!!!!
La douleur n'est qu'enseignements... avant le grand retour...

L'infiniment grand est il quelqu'un ? Oui ou non ?

"L'infiniment grand ne s'oppose que de douleur et d'indolore."

Prokap De Hendel a écrit:

Andalou a écrit:

L'inexistence de la douleur c'est la mort.
La douleur peu être remplacer par une sensation ,
Mais pour empêcher les signaux électriques transmis par les nerfs,il faut mourrir^^

"L'infiniment grand est donc indolore à être perçu, par ce précepte, causant l'acte à conséquence indolore et rendant chaque possibilité indolore car chaque possibilité est une composante de l'infiniment grand."

C'est intéressant cet espèce de raisonnement par tâtonnement, pour pas dire pas l'absurde. N'est on pas dans le syllogisme ?

N’empêche in fine ça voudrait dire que la souffrance n'existe pas? Pour l'absolu à priori non?

Le seul point bizarre dans cette approche douleur/indolore, c'est que ça ne s'applique à priori qu'à des êtres doués de perceptions. Ainsi sans ce premier constat, ça ne veut rien dire non?
Sauf à considérer que l'"univers" s'explore lui même via ses créatures sensoriels.
Dans la nature la douleur sert à échapper à la destruction (le feu ça brûle, les épines ça pique, etc.)
L'homme souffre cependant de questionnements métaphysiques particuliers, et de l'attachement aux êtres, à la vie, etc. Il ressent la rage, la colère, l'injustice, l'absurdité, la chaleur de son coeur, l'abysse de ses doutes. Il se pose des questions sur la liberté. Certains ont des pratiques spirituelles. D'autre prient même un Dieu!

Prokap De Hendel a écrit:

"Le seul point bizarre dans cette approche douleur/indolore, c'est que ça ne s'applique à priori qu'à des êtres doués de perceptions. Ainsi sans ce premier constat, ça ne veut rien dire non?"

"L'indolore est estimé positif, la douleur est estimée négative"

Je ne vois pas trop ou tu veux en venir.

à l'infiniment grand.

Prokap De Hendel a écrit:

Précepte de l'indolore

L'infiniment grand est composé d'une infinité de possibilités douloureuses et d'une infinité de possibilités indolores.
L'infiniment grand ne s'oppose que de douleur et d'indolore. De leur opposition autant de possibilités douloureuses
que de possibilités indolores s'annulent en une inexistence qui est indolore car l'inexistence de la douleur c'est
l'indolore.

L'infiniment grand est donc indolore à être perçu, par ce précepte, causant l'acte à conséquence indolore
et rendant chaque possibilité indolore car chaque possibilité est une composante de l'infiniment grand.

Ok j'avais mal lu, tu parles de perception de l'infiniment grand. Dans cette perspective de dés-identification, en effet on peut intellectuellement tout accepter stoïquement suivant ce précepte.

Reste à percevoir réellement l'infiniment grand le jour ou l'on sera jeté au bûcher! Ou plus probablement écrasé par une voiture.

L'infiniment grand parle à L'infiniment petit..
Hey, pourrait tu t'exprimer en l'infiniment intelligible ?  
L, infiniment grand s'exprime dans l'infiniment clarté et avec infiniment de simplicité.
Mais l'infiniment petit s'exprime infiniment en infini confusion.
L'infini confusion est en opposition avec l'infini sagesse qui est simplicité
   

L'infiniment petit est une possibilité.
"Chaque possibilité est une composante de l'infiniment grand donc l'infiniment grand c'est l'infinité de possibilités
qui sont donc l'infiniment grand".

dròlle a écrit:

Si tu rajoutes bien être après indolore alors la concession est faites car il ne peut y avoir deux faces d'une même pièce sans y avoir une tranche.

Et au milieu coule la rivière.... une concession faite!

*RE: Ceci me semble empli de bon sens et de bon aloi.

Fraternellement Nous marchons ensemble.

A Prokap De Hendel et tout venant,  

-Qu’elles sont donc les possibilités de cette…infiniment grand et que représente-t-il ?

-Déjà parler d’une inconnue ne peut déboucher sur…rien au stade ou l’humanité se trouve, elle apprend.

-Si l’on prend déjà l’univers dans lequel on se meut, qui est déjà immense, il est né et mourra…ainsi d’infinis univers cohabitent et auront aussi cette destinée. Le fait est qu’est-ce donc qui se joue en arrière de tout ceci?Que représente le microcosme et le macrocosme?

-Désolé, mais les conséquences d’actes sont et de loin plus reliées à ce que l’on ne perçoit pas, qu’à ce l’on perçoit (étant d'évidence limité, et de loin s'en faut),  et heureusement que la Mère veille (la Mère du monde), ce qui représente l’enfantement du monde, l’essence de la Vie.

-Pour le choix, simple, ne pas choisir découle d’un choix, certes par certains aspects laxistes, mais cette évidence est tellement présente chez l’humain, une entrave à la liberté, au libre arbitre et à l’autodétermination que cette réappropriation sera longue et ardue.

-L’indolore est tout simplement une position hors de ce qui est douleur. La douleur et l’indolore sont des notions duelles, cette notion ne peut échapper au discernement.

-Il est un lieu dans l’unité ou ceci n’a pas lieu.

-Ce qui est vu comme opposés, en réalité se pose en complémentarité, afin que l’expérience de choisir fut possible, et c’est ce dont nous faisons l’expérience, celle de l’arbre de vie sis en nous, et lorsque ceci est accompli, l’unité, la fusion par la destruction du duel se rétablit en unité, hors de la souffrance.

-Tant que ce postulat que tu proposes est duel, un équilibre est sans cesse en cours et non résorbé. En fait, il manque tant d’éléments à ce postulat qu’il ne peut l’un sans l’autre, garder l’un pour l’autre. Il y aurait cessation. Ceci est d’une logique implacable autant par exemple, pour le bien et le mal. Ôtant l’un pour l’autre, toute notion incomparable n’a raison d’exister alors.

-Ceci n’a d’ailleurs valeur, tant que l’Amour de sa Présence éternelle n’éclaire ce champ et ce chant céleste d’effacement de ce qui est opposé.

*NB : Ceci n’est qu’une vision proposée et sa valeur reste une hypothétique position à vérifier.

MERCI Prokap De Hendel de l'avoir posé.

Fraternellement  

J'espère que cela causera l'acte à conséquence indolore, rendant chaque possibilité indolore.