Le collectif du Maquis invite d’autres collectifs, associations, individus à se joindre à l’aventure en devenant acteur

Je suis pas certain que les amateurs soient pléthore.
Je connais bien le monde des petits paysans. Les gens travaillent quinze heures par jour toute l' année pour des clous. Leur dignité et leur richesse réside dans la terre . Donc si je comprends bien cet appel à des personnes physiques ou associations, en plus de ce qu' il doivent consentir à une administration impitoyable ( qui les met à sec bureaucratiquement , fiscalement et les subventionne uniquement pour les priver de tous leurs choix paysans en terme de graines, semences, races, nourriture, soins vétérinaires, traçabilité...) à laquelle ils resteront de toute façon liée juridiquement et financièrement, de consentir volontairement à l' abandon de la propriété de terres souvent familiales ou achetées au prix de la sueur et en plus de s' engager volontairement à rembourser les prêts présents et futurs du collectif  qui en sera l' unique propriétaire au final.
Soit je n' ai pas compris ce texte, soit j' y vois un collectif au mobile pour le moins tendancieux qui ne m' apparaît pas différer de ce qui existe ici ou là, notamment le communisme, qui, sous sa belle philosophie à accouché du monstre de la dictature du prolétariat à laquelle le 20eme siècle à payé le prix de plus de 130 millions de morts violentes.
Longue vie au collectif, et surtout bon courage, il va en falloir.
Sinon, moi je possède une parcelle de terre de 7500 m' près de Limoges, qui nécessite du boulot pour la mettre en ordre, mais dont je pourrais envisager de consentir à une personne qui désirerait la travailler ,en respect des lois de la nature et de la dignité humaine, un bail emphytéotique contre un loyer en nature de fruits et légumes bio.

http://www.cravirola.com/

Pour que les personnes puissent identifier concrètement le projet en conscience, sans avoir à passer par les pseudos analyses d'autres personnes.

On forme un collectif à compter de 2 personnes, pas besoin d'être toute une nation.  

Je ne fais pas partie de ce projet, je trouve intéressante toute initiative qui essaie de nous permettre de nous sortir du caca politico ambiant. j'irais voir dans qq temps ce que devient et propose réellement ce projet.

Les créateurs sont dans la société civile. Ce sont eux qui aident à améliorer le monde pour demain. merci.



De l'eau potable pour tous !


http://www.faiteslepleindavenir.com/2010/01/22/de-leau-produite-par-des-eoliennes/

La sueur et les responsabilités juridiques et financières sont le lot commun de la multitude, la propriété n'y change pas grand chose.
Ce projet concerne des idéalistes pionniers qui s'attaquent à ce que JJ Rousseau dénonçait : toute propriété est illégitime à son origine première (le premier qui a dit "ceci est à moi").
Il est vrai que l'investissement est double, mais n'en est il pas ainsi pour corriger un erreur quelle qu'elle soit ? C'est à dire réparer d'abord et construire ensuite.
Un projet courageux et sans doute difficile pour des personnes qui ne sont pas issues du milieu.

pulsar a écrit:

Sinon, moi je possède une parcelle de terre de 7500 m' près de Limoges, qui nécessite du boulot pour la mettre en ordre, mais dont je pourrais envisager de consentir à une personne qui désirerait la travailler ,en respect des lois de la nature et de la dignité humaine, un bail emphytéotique contre un loyer en nature de fruits et légumes bio.

Je connais une personne qui fait celà depuis 40 ans... Petit studio gratuit construit à cet effet sur la parcelle en échange de cultiver le potager et de partager.
Beaucoup de SDF ont retrouvé leur dignité et le chemin de l'autonomie grace à cela.
Et très important: personne ne le sait.

Hello

j'ai pratiqué l'échange de services contre une maison pendant 15 ans.
échange gagnant <-> gagnant !
Fermette avec 1 hectare de terrain, brebis, etc... contre menus travaux. ^^

ps : "Tu devrais éviter d'éditer tes messages Pulsar, lorsque les gens écrivent derrière...
ça permettrait de garder, avec honnêteté, la cohésion de la discussion. merci   "

 

Alcyan a écrit:

La sueur et les responsabilités juridiques et financières sont le lot commun de la multitude, la propriété n'y change pas grand chose.
Ce projet concerne des idéalistes pionniers qui s'attaquent à ce que JJ Rousseau dénonçait : toute propriété est illégitime à son origine première (le premier qui a dit "ceci est à moi").
Il est vrai que l'investissement est double, mais n'en est il pas ainsi pour corriger un erreur quelle qu'elle soit ? C'est à dire réparer d'abord et construire ensuite.
Un projet courageux et sans doute difficile pour des personnes qui ne sont pas issues du milieu.

Et bien, moi, je dis que rousseau se trompe sur ce point. Absolument aucun organisme n' échappe à la défense du territoire en ce monde, que ce soit individuellement ou collectivement en fonction des options adaptatives qui s' imposent.Tous les organismes disent: ceci est à moi et si tu veux t' en emparer viens m' en chasser ou attends que je m' en détourne.
Le problème à mon sens n' est pas la propriété individuelle, mais la définition commune de ce que contient la nécessité de posséder. C' est aussi les modalités de transmission de patrimoine. Ramener l' éducation à posséder de la notion fourre tout de l' envie à celle de la nécessité et refonder totalement le droit des successions au regard de cela, voilà qui, à mon sens, rééquilibrerait de façon équitable et rapide le partage des richesses et la possibilité pour chacun de vivre dignement de son action.
Mais comme on a les politiques qu' on mérite, attendons tranquillement le prochain génocide pour mettre une nouvelle société bancale sur pieds.

Biosphère a écrit:

Hello

j'ai pratiqué l'échange de services contre une maison pendant 15 ans.
échange gagnant <-> gagnant !
Fermette avec 1 hectare de terrain, brebis, etc... contre menus travaux. ^^

ps : "Tu devrais éviter d'éditer tes messages Pulsar, lorsque les gens écrivent derrière...
ça permettrait de garder, avec honnêteté, la cohésion de la discussion. merci   "

 

Désolé Bio, je me réserve le droit imprescriptible d' éditer mes conneries quand j' en profère. Si ton post était apparu avant mon édition, je me serais contenté de te dire que tu n' avais pas tort dans ton propos.

pulsar a écrit:

Le problème à mon sens n' est pas la propriété individuelle, mais la définition commune de ce que contient la nécessité de posséder. C' est aussi les modalités de transmission de patrimoine. Ramener l' éducation à posséder de la notion fourre tout de l' envie à celle de la nécessité et refonder totalement le droit des successions au regard de cela, voilà qui, à mon sens, rééquilibrerait de façon équitable et rapide le partage des richesses et la possibilité pour chacun de vivre dignement de son action.

La loi ne regarde pas du même œil que l'amour, et Rigueur et Miséricorde sont pourtant les deux piliers de l'arbre.
La disparité des avoirs suscite un lourd sentiment d'injustice. Quelle est la légitimité de ceux qui fixent la valeur des choses et les modalités de la transmission du patrimoine, le partage entre les revenus du travail et ceux des actionnaires, bailleurs de fonds ?

Ceux qui nous ont précédé ont battis au prix de leur sang l' outil démocratique dont nous nous laissons déposséder parce qu' on préfère des loisirs low cost et une bouffe de m... Pourvu qu' ils nous coûte peu et nous remplissent compulsivement.
Il y a en France plus de personnes non propriétaires que de personnes propriétaires. Et parmi ceux ayant accédé à la proprieté une grande majorité qui en usent sans que ce soit spoliateur pour autrui. Chacun jouit d' un même bulletin de vote, mais les moutons suivent le troupeau et tombent dans le ravin. Alors ?
Les individus ne croient déjà pas en eux même, comment pourraient ils croire en un collectif ?
Pour croire en soi il est impératif de savoir évaluer son engagement personnel pour pouvoir le mener à bien.
Ensuite , tout naturellement, vient l' engagement collectif , qui n' a rien d' un refuge mais est un service.

pulsar a écrit:

Alcyan a écrit:

La sueur et les responsabilités juridiques et financières sont le lot commun de la multitude, la propriété n'y change pas grand chose.
Ce projet concerne des idéalistes pionniers qui s'attaquent à ce que JJ Rousseau dénonçait : toute propriété est illégitime à son origine première (le premier qui a dit "ceci est à moi").
Il est vrai que l'investissement est double, mais n'en est il pas ainsi pour corriger un erreur quelle qu'elle soit ? C'est à dire réparer d'abord et construire ensuite.
Un projet courageux et sans doute difficile pour des personnes qui ne sont pas issues du milieu.

Et bien, moi, je dis que rousseau se trompe sur ce point. Absolument aucun organisme n' échappe à la défense du territoire en ce monde, que ce soit individuellement ou collectivement en fonction des options adaptatives qui s' imposent.Tous les organismes disent: ceci est à moi et si tu veux t' en emparer viens m' en chasser ou attends que je m' en détourne.
Le problème à mon sens n' est pas la propriété individuelle, mais la définition commune de ce que contient la nécessité de posséder. C' est aussi les modalités de transmission de patrimoine. Ramener l' éducation à posséder de la notion fourre tout de l' envie à celle de la nécessité et refonder totalement le droit des successions au regard de cela, voilà qui, à mon sens, rééquilibrerait de façon équitable et rapide le partage des richesses et la possibilité pour chacun de vivre dignement de son action.
Mais comme on a les politiques qu' on mérite, attendons tranquillement le prochain génocide pour mettre une nouvelle société bancale sur pieds.

Vous avez partiellement raison sur votre analyse, néanmoins vivre dignement de son action, c'est aussi l'employer à libérer celle des autres.
Mais vous avez raison sur un point, et je l'ai déjà constaté, même chez les gens prétendument les "plus spirituels" : aucun ne lâchera jamais ses propriétés. D'où l'ampleur de la tâche.

Si , au contraire, chacun lâchera en son temps. Le mûrissement n' est pas un arrachement. C' est la première chose à comprendre pour que la croissance puisse premièrement avoir lieu.

Vous évoquez la "croissance" des propriétés ?

La croissance du besoin de liberté ne peut s' établir sur la négation du besoin de sécurité mais sur son accomplissement qui commence individuellement et est très largement déterminé par les éducations des différents milieux auxquels l' individu a à être en contact.
Comment attendre d' une personne pas fichue de s' occuper de son propre intérêt qu' elle soit capable d' élargir cet intérêt à autrui ? Faut sortir du monde des Bisounours en même temps qu' on se sort les doigts  du fion
Oui, je sais, c' est pas vendeur...

Sortir du monde des bisounours, c'est arrêter d'employer des possessifs. Oui je sais, ce n'est pas vendeur non plus.

pulsar a écrit:

Ceux qui nous ont précédé ont battis au prix de leur sang l' outil démocratique dont nous nous laissons déposséder parce qu' on préfère des loisirs low cost et une bouffe de m... Pourvu qu' ils nous coûte peu et nous remplissent compulsivement.

L’outil démocratique a succédé laborieusement à l’Ancien régime. Mais l’inégalité devant la richesse et les droits politiques demeure au profit d’oligarques et je ne vise ici aucunement ceux qui possèdent légitimement et jouissent paisiblement de leurs biens.

pulsar a écrit:

Il y a en France plus de personnes non propriétaires que de personnes propriétaires. Et parmi ceux ayant accédé à la proprieté une grande majorité qui en usent sans que ce soit spoliateur pour autrui. Chacun jouit d' un même bulletin de vote, mais les moutons suivent le troupeau et tombent dans le ravin. Alors ?

Le suffrage universel tous les 5 ou 6 ans est il l’expression d’une vraie démocratie ? Que faire quand le choix est faussé et qu’aucun prétendant ne correspond à l’attente des électeurs ?

pulsar a écrit:

Les individus ne croient déjà pas en eux même, comment pourraient ils croire en un collectif ?

Pink Floyd décrivait dans Animals une société de moutons, de cochons jouisseurs et de chiens gardiens du système.
Quand un muscle n’est jamais sollicité il s’atrophie. La nourriture industrielle et les rêves de pacotille suffisent à endormir le plus grand nombre. Le seul pouvoir qui demeure est peut être dans la société civile parmi la multitude d’associations.

pulsar a écrit:

Pour croire en soi il est impératif de savoir évaluer son engagement personnel pour pouvoir le mener à bien.
Ensuite , tout naturellement, vient l' engagement collectif , qui n' a rien d' un refuge mais est un service.

OK

Iago a écrit:

Vous avez partiellement raison sur votre analyse, néanmoins vivre dignement de son action, c'est aussi l'employer à libérer celle des autres.

Oui, comme un retour de ce que nous avons reçu de la collectivité

Iago a écrit:

Mais vous avez raison sur un point, et je l'ai déjà constaté, même chez les gens prétendument les "plus spirituels" : aucun ne lâchera jamais ses propriétés. D'où l'ampleur de la tâche.

Voltaire et la Compagnie des Indes, les richesse du Vatican, …
L’argent bon serviteur et mauvais maître, la question est posée à chacun : être ou avoir, pour les plus éclairés, être et avoir ?

Ha ha ha...

http://www.lejournaldepersonne.com/2016/10/electeurs-nayez-peur/

Alcyan a écrit:

Voltaire et la Compagnie des Indes, les richesse du Vatican, …
L’argent bon serviteur et mauvais maître, la question est posée à chacun : être ou avoir, pour les plus éclairés, être et avoir ?

Oui, Voltaire c'est surtout les fournitures militaires. L'entreprise catholique, n'en parlons même pas.
L'argent, c'est l'autre homme disait tonton.

Iago a écrit:

Sortir du monde des bisounours, c'est arrêter d'employer des possessifs. Oui je sais, ce n'est pas vendeur non plus.

Je t' invite lors de ta prochaine escapade en Limousin à venir me montrer ce que tu entends concrètement par là , comment tu actes cela dans ton existence quotidienne , je pourrai en échange te montrer ce que je mets concrètement en oeuvre pour me déposséder de ma compulsion à posséder qui n' a rien à voir avec un idéal et tout à voir avec un élargissement.
Pour reprendre les paroles de Steve Jourdain " Comprenons le bien, c' est l' état de nature que nous avons pour adversaire".

Alcyan a écrit:

pulsar a écrit:

Il y a en France plus de personnes non propriétaires que de personnes propriétaires. Et parmi ceux ayant accédé à la proprieté une grande majorité qui en usent sans que ce soit spoliateur pour autrui. Chacun jouit d' un même bulletin de vote, mais les moutons suivent le troupeau et tombent dans le ravin. Alors ?

Le suffrage universel tous les 5 ou 6 ans est il l’expression d’une vraie démocratie ? Que faire quand le choix est faussé et qu’aucun prétendant ne correspond à l’attente des électeurs ?

Les électeurs ne peuvent plus se contenter d' attendre, ils doivent désirer ardemment grandir pour qu' émerge une candidature qui ne soit pas celle d' un candidat qui leur dit qu' ils vont pouvoir continuer de roupiller pénards et que tout est sous contrôle et agiter le chiffon rouge de la peur pour racoler en plus des amateurs de lendemains qui chantent et rasent à l' œil tous ceux qui protestent mollement mais surement pas au point de mettre les mains dans la m.... Et voilà , le tour est joué : les marchands de tabac, drogues, alcools, jeux ,putes, médocs ... ont leur chiffre d' affaire assuré pour cinq ans de plus.

Alcyan a écrit:

pulsar a écrit:

Les individus ne croient déjà pas en eux même, comment pourraient ils croire en un collectif ?

Pink Floyd décrivait dans Animals une société de moutons, de cochons jouisseurs et de chiens gardiens du système.
Quand un muscle n’est jamais sollicité il s’atrophie. La nourriture industrielle et les rêves de pacotille suffisent à endormir le plus grand nombre. Le seul pouvoir qui demeure est peut être dans la société civile parmi la multitude d’associations.

Oui, et même là , il convient d' y regarder de très près : les marchands de soupe ne laissent aucune niche de profit potentiel libre.

pulsar a écrit:

Iago a écrit:

Sortir du monde des bisounours, c'est arrêter d'employer des possessifs. Oui je sais, ce n'est pas vendeur non plus.

Je t' invite lors de ta prochaine escapade en Limousin à venir me montrer ce que tu entends concrètement par là , comment tu actes cela dans ton existence quotidienne , je pourrai en échange te montrer ce que je mets concrètement en oeuvre pour me déposséder de ma compulsion à posséder qui n' a rien à voir avec un idéal et tout à voir avec un élargissement.
Pour reprendre les paroles de Steve Jourdain " Comprenons le bien, c' est l' état de nature que nous avons pour adversaire".

Je ne doute pas de vos capacités à vous décharger de vos lourds "fardeaux". De manière concrète, et bien je dois dire que c'est assez simple, je n'ai pas de grosses valeurs en ma possession (hormis ce pc sur lequel je peux communiquer avec vous et qui me sert par ailleurs d'outil de travail), quelques bonnes bouteilles que je saurais vider le moment venu, quelques bons livres. Tout héritage est refusé ou sera refusé.

Pour Steve Jourdain, il a tout-à-fait raison. Dans la Grèce antique, l'homme se considérait comme libre uniquement dans la Cité.

pulsar a écrit:

Alcyan a écrit:

pulsar a écrit:

Les individus ne croient déjà pas en eux même, comment pourraient ils croire en un collectif ?

Pink Floyd décrivait dans Animals une société de moutons, de cochons jouisseurs et de chiens gardiens du système.
Quand un muscle n’est jamais sollicité il s’atrophie. La nourriture industrielle et les rêves de pacotille suffisent à endormir le plus grand nombre. Le seul pouvoir qui demeure est peut être dans la société civile parmi la multitude d’associations.

Oui, et même là , il convient d' y regarder de très près : les marchands de soupe ne laissent aucune niche de profit potentiel libre.

Oui, vous avez raison, le "génie" du système dans lequel nous nous trouvons actuellement et de pouvoir créer et gérer ses propres contradictions, en les exploitant au maximum. Donnant ainsi l'illusion que toute subversion est libre de s'y exprimer.

En ce qui concerne la démocratie, ou la "vraie" démocratie, et bien je dois dire que malgré l'idée de progrès et de liberté qui s'en dégage, l'homme reste enchaîné. C'est le pouvoir de l'opinion, et une opinion, ça se contrôle.

ps : je suis matérialiste

La démocratie est un système comme un autre, il n'en existe nul de parfait.

Pour cela il faudrait obtenir le consensus de la totalité des gens à chaque fois.
Or si les gens ne sont pas d'accord, ne serait-ce que sur la simple frontière qu'il existe entre 2 libertés individuelles, ce n'est pas par simple esprit de contradiction mais souvent par conviction.

La démocratie, ce n'est que la loi du nombre. La majorité s'impose à la minorité et les élites rivalisent dans la manipulation des opinions pour convaincre le plus grand nombre, c'est tout.
Dans ce système on peut supposer qu'après tout il donne un plus grand nombre de gens content.

Le collectivisme, théoriquement agit pas consensus total de la collectivité. Ce n'est pas tant qu'il n'y ai pas d'individualité, juste que tout le monde doit être la collectivité. On ne peut tolérer raisonnablement un désaccord dans ce système et c'est là ou le bas blesse, car il ne peut être efficace sur de grand nombre.

Bon les autres système, c'est la communauté s'impose sur l'individu, les élites s'imposent sur la masse, etc... pas forcément mauvais en soi mais tout repose sur la capacité d'un petit nombre à prendre les bonnes décisions pour un grand nombre.

Il y a bien sur des systèmes anarchistes, mais dans un monde ou tellement de choses se jouent sur les rapport de forces, est-ce réalisable ?

Je trouve leur idées bonnes, je pense juste que ceci ne peut être réalisé que dans des modèles locaux insérés dans un modèle plus grand.
Ce qui d'ailleurs me fait penser à une forme de fédéralisme, mais c'est un autre débat.

"L' homme reste enchainé". Pour quel homme la prison fait-elle le prisonnier ?
Je ne me sens propriétaire de rien ( il y a une inertie qui chante sa ritournelle ) et j' utilise des outils adaptés au contexte social, economique, juridique, matériel de l' environnement qui m' est donné d' expérimenter et ce pour accomplir les engagements que j' ai pris selon mon bon plaisir. Sans culpabilité il n' y a aucune prison, juste un contexte avec lequel interagir. L' amour c' est du calcul. La meilleur façon de recevoir c' est de se donner. Heu, tu pourras passer quand même juste pour vider une bonne bouteille tu sais Iago.

Pulsar a écrit:

Je ne me sens propriétaire de rien ( il y a une inertie qui chante sa ritournelle ) et j' utilise des outils adaptés au contexte social, economique, juridique, matériel de l' environnement qui m' est donné d' expérimenter et ce pour accomplir les engagements que j' ai pris selon mon bon plaisir.

Les engagements que vous avez pris selon votre bon plaisir ne sont pas les vôtres, ils ne sont également que le produit du "contexte social, économique, juridique, matériel de l'environnement" qu'il vous est donné d'expérimenter. Vous, vous n'êtes pas là.

Citation :

Sans culpabilité il n' y a aucune prison, juste un contexte avec lequel interagir. L' amour c' est du calcul. La meilleur façon de recevoir c' est de se donner. Heu, tu pourras passer quand même juste pour vider une bonne bouteille tu sais Iago.

Bourgeoisie de robe Pulsar ?  
(les plus gros profiteurs, le temps juridique c'est de l'or !)
La meilleure façon de recevoir c'est de se donner... L'amour c'est du calcul... Quel humour !

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