Improvisation poétique (oshimoto)

Rappel du premier message :

Dieu est la vie
Dieu est le don d'amour
La source infinie de tout être fini

l'émergeance d'un savoir ancestrale
nait en moi depuis ma plus tendre enfance
bien avant que je ne soit né
dans l'horizon lointain d'une matrice éphémère
comme la fleur qui renait à chaque printemps

La source de vie est une multitude
un réservoir grandissant
le canal de l'amour
entre les êtres
entre la vie
(à suivre...)

voir mes autres créations sur wattpad : Improvisations poétiques

Le vent souffle sur la nostalgie de l'homme
le dernier homme sur terre
après l'apocalypse
prévue il y a 2000 ans par st jean
mais ce n'est qu'un changement d'ère cosmique
une entrée dans l'ère du verseau

Mais où dois-je verser l'eau de la jarre ?
sur le pont des infirmes ?
Sur le cou d'une geisha ?
d'une femme qui pleure son enfance
durant laquelle elle a grandi sans amour

Le désert m'attend
loin du bruit de la civilisation humaine
faite de stress et de dépendances
a l'amour du couple
au désir du fou de l'incompris

Qui m'attend au désert ?
Au-delà de ces dunes ?

viendra t'il un jour ?
viendra t'il jamais ?
nous marquant de son empreinte indélébile
la mémoire profonde
des songes inespérés

propagande insoutenable
que personne ne souhaite plus entendre
dans les tréfonds des lymbes
où le misérable pleur encore...

Relève-toi frère,
les pleurs empruntent les sentiers du coeur
Pour te réveiller des abysses
Et transformer ton mirage en oasis.

Car le désert n'est pas ce que l'on croit, frère
ce lieu maudit où la mort se contemple,
l'homme est lumière
et ne vient pas d'ailleurs

Entends Son écho dans tes leurres,
Prières vivantes et chants nouveaux,
Attendent le regard de ta conscience,
Pour inonder du Souffle pur
Les montagnes de ta terre intérieure.

Les larmes ont déserté ces terres
Sous ce sein dur et aride bat pourtant un coeur pur
Comme un chant brûlant que l'on voudrait étreindre

Ma bouche entonne une hymne d'allégresse
Mille et une voix portent ma gratitude
Loin des chemins de la servitude.

Alors sur la plus haute dune tu te hisses
le temps de l'esclavage est entamé
descends en toi, trouves le calice
à tout jamais dans ton cœur, scellé.

- Descendre ? Il fait si sombre au fond...
Nulle lumière n'y entre jamais.
Prends ma main.

Nos paumes ravivent nos étincelles
Pour brûler en un seul flambeau
Tel des vers posés en choeur
Dans un poème devenu Un.

Et puis un jour avec douceur
A peine audible un bon matin
Se posera sans un bruit d'aile
Une belle colombe venue d'en haut.

A la clarté de la Flamme
n'en crains-tu point la brûlure ?
A l'écho de ce Chant
n'en crains-tu pas l'Ascension ?

De la chrysalide aux ailes déployées
Je suis qui je suis sur le fleuve de mes veines
Aspirée par le Nectar doré
De mon cœur émergé.

Dans la mue de l'instant vivifié
Epouse mes ténèbres oubliées
en une terre sacrée
Dans l' étreinte brûlante et féconde
De la fin d'un monde.

Dans la mue de l'instant vivifié
Épouse mes ténèbres oubliées
en une terre sacrée
Dans l' étreinte brûlante et féconde
De la fin d'un monde.

Quant à la fin de cette ronde
Ton corps froid dans la tombe
Oubliera de la seconde à l'onde
La Nature meurtrie, celle qui a tant donné
Après quelques années aura vite oublié

Le vent souffle sur la nostalgie de l'homme
le dernier homme sur terre
après l'apocalypse
prévue il y a 2000 ans par st jean
mais ce n'est qu'un changement d'ère cosmique
une entrée dans l'ère du verseau

Mais où dois-je verser l'eau de la jarre ?
sur le pont des infirmes ?
Sur le cou d'une geisha ?
d'une femme qui pleure son enfance
durant laquelle elle a grandi sans amour

Le désert m'attend
loin du bruit de la civilisation humaine
faite de stress et de dépendances
a l'amour du couple
au désir du fou de l'incompris

Qui m'attend au désert ?
Au-delà de ces dunes ?

viendra t'il un jour ?
viendra t'il jamais ?
nous marquant de son empreinte indélébile
la mémoire profonde
des songes inespérés

propagande insoutenable
que personne ne souhaite plus entendre
dans les tréfonds des lymbes
où le misérable pleur encore...

Relève-toi frère,
les pleurs empruntent les sentiers du coeur
Pour te réveiller des abysses
Et transformer ton mirage en oasis.

Car le désert n'est pas ce que l'on croit, frère
ce lieu maudit où la mort se contemple,
l'homme est lumière
et ne vient pas d'ailleurs

Entends Son écho dans tes leurres,
Prières vivantes et chants nouveaux,
Attendent le regard de ta conscience,
Pour inonder du Souffle pur
Les montagnes de ta terre intérieure.

Les larmes ont déserté ces terres
Sous ce sein dur et aride bat pourtant un coeur pur
Comme un chant brûlant que l'on voudrait étreindre

Ma bouche entonne une hymne d'allégresse
Mille et une voix portent ma gratitude
Loin des chemins de la servitude.

Alors sur la plus haute dune tu te hisses
le temps de l'esclavage est entamé
descends en toi, trouves le calice
à tout jamais dans ton cœur, scellé.

- Descendre ? Il fait si sombre au fond...
Nulle lumière n'y entre jamais.
Prends ma main.

Nos paumes ravivent nos étincelles
Pour brûler en un seul flambeau
Tel des vers posés en choeur
Dans un poème devenu Un.

Et puis un jour avec douceur
A peine audible un bon matin
Se posera sans un bruit d'aile
Une belle colombe venue d'en haut.

A la clarté de la Flamme
n'en crains-tu point la brûlure ?
A l'écho de ce Chant
n'en crains-tu pas l'Ascension ?

De la chrysalide aux ailes déployées
Je suis qui je suis sur le fleuve de mes veines
Aspirée par le Nectar doré
De mon cœur émergé.

Dans la mue de l'instant vivifié
Epouse mes ténèbres oubliées
en une terre sacrée
Dans l' étreinte brûlante et féconde
De la fin d'un monde.

Quant à la fin de cette ronde
Ton corps froid dans la tombe
Oubliera de la seconde à l'onde
La Nature meurtrie, celle qui a tant donné
Après quelques années aura vite oublié

Un nouveau monde sous tes yeux se déploie,
éloignée de la rive ignée, ne te retourne pas,
mon chant entre tes mains.

Mon feu sacré renaît de ses cendres
Par le souffle tendre de l'ange, le vent si divin
L'amour emplit mon corps de sa lumière blanche
Ma flamme avance sur le chemin de nos lendemains

21 strophes:
21: Symbole de la personne centrée sur l'objet et non plus sur elle-même ou sur les figures parentales, comme les états infantiles. C'est l'individu autonome entre l'esprit pur et la matière négative; c'est aussi sa libre activité entre le bien et le mal qui partagent l'univers.
Chiffre de la perfection par excellence, 3 x 7, selon la Bible. Il symbolise la sagesse divine, miroir de la lumière éternelle qui, grâce à sa pureté, traverse et pénètre tout.
Symbole représentant les supérieurs inconnus ou les grands maîtres spirituels de l'humanité.
Ce nombre "contient les rapports du principe d'individualité 1 à la différenciation cosmique 20", selon R. Allendy. Ces rapports constitueraient un acte d'organisation - 2 + 1 = 3: "Ainsi le principe d'individualité, placé entre le monde de l'esprit et celui de la matière, réalise en lui-même la réunion des deux".
Représente l'harmonie de la création.
Nombre représentant l'union de la Trinité, dont le résultat de leur action commune fait surgir la création.
Pour Claude de Saint-Martin, "le nombre 21 est le nombre de destruction ou plutôt de terminaison universelle, parce que, comme 2 s'est séparé de 1, il faut qu'il ait un moyen de s'y réunir s'il le veut. Ce nombre montre à la fois l'ordre de la production des choses et de leur fin, tant dans le spirituel que dans le corporel".
Le "21, le plus haut nombre possible de 3 dans le corporel, est en relation avec le spirituel et montre la qualité du renouvellement", selon Eckartshausen.
Nombre représentant la maturité et la responsabilité d'un individu. Il exprime également la notion de chef.
C'est la représentation chiffrée de Dieu et du Temple, et à ce titre il est considéré par les textes ésotériques comme un nombre divin ou sacré.

"Car là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis au milieu d'eux." Mattieu 18:20

Elea a écrit:

"Car là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis au milieu d'eux." Mattieu 18:20

"l'émergeance d'un savoir ancestrale
nait en moi depuis ma plus tendre enfance"

C'est plutôt RE-nait en moi, non ?

Le pavillon doré

Est une overdose alcoolique

Un chemin de croix pour les nantis

Une puissance de création valorisante

Et la dépêche du matin

Qu'est ce que j'en fais

Je ne suis plus sur de moi

Chaque jour est un nouveau départ !

jouez avec moi et finissez cette poésie :

de retour oshimoto!

Le pavillon doré

Est une overdose alcoolique

Un chemin de croix pour les nantis

Une puissance de création valorisante

Et la dépêche du matin

Qu'est ce que j'en fais

Je ne suis plus sur de moi.


Le papillon moiré

Est une envolée bucolique

Un déploiement de Soi sur les taillis

...

Le pavillon doré

Est une overdose alcoolique

Un chemin de croix pour les nantis

Une puissance de création valorisante

Et la dépêche du matin

Qu'est ce que j'en fais

Je ne suis plus sur de moi.


Le papillon moiré

Est une envolée bucolique

Un déploiement de Soi sur les taillis

Dans l'air, un battement de paupières,

Un rêve inachevé

Qu'est ce que j'en fais

Dans l'envergure de mes bras.

Le pavillon doré

Est une overdose alcoolique

Un chemin de croix pour les nantis

Une puissance de création valorisante

Et la dépêche du matin

Qu'est ce que j'en fais

Je ne suis plus sur de moi.


Le papillon moiré

Est une envolée bucolique

Un déploiement de Soi sur les taillis

Dans l'air, un battement de paupières,

Un rêve inachevé

Qu'est ce que j'en fais

Dans l'envergure de mes bras.


Carillon d'Orphée

Aux charmes mélancoliques

A l’orée du bois, danse le millepertuis

Le pavillon doré

Est une overdose alcoolique

Un chemin de croix pour les nantis

Une puissance de création valorisante

Et la dépêche du matin

Qu'est ce que j'en fais

Je ne suis plus sur de moi.


Le papillon moiré

Est une envolée bucolique

Un déploiement de Soi sur les taillis

Dans l'air, un battement de paupières,

Un rêve inachevé

Qu'est ce que j'en fais

Dans l'envergure de mes bras.


Carillon d'Orphée

Aux charmes mélancoliques

A l’orée du bois, danse le millepertuis

Contre son sein, quelques bruyères

Une effusion ailée

Le pavillon doré

Est une overdose alcoolique

Un chemin de croix pour les nantis

Une puissance de création valorisante

Et la dépêche du matin

Qu'est ce que j'en fais

Je ne suis plus sur de moi.


Le papillon moiré

Est une envolée bucolique

Un déploiement de Soi sur les taillis

Dans l'air, un battement de paupières,

Un rêve inachevé

Qu'est ce que j'en fais

Dans l'envergure de mes bras.


Carillon d'Orphée

Aux charmes mélancoliques

A l’orée du bois, danse le millepertuis

Contre son sein, quelques bruyères

Une effusion ailée

Que le temps défait

Le pavillon doré

Est une overdose alcoolique

Un chemin de croix pour les nantis

Une puissance de création valorisante

Et la dépêche du matin

Qu'est ce que j'en fais

Je ne suis plus sur de moi.


Le papillon moiré

Est une envolée bucolique

Un déploiement de Soi sur les taillis

Dans l'air, un battement de paupières,

Un rêve inachevé

Qu'est ce que j'en fais

Dans l'envergure de mes bras.


Carillon d'Orphée

Aux charmes mélancoliques

A l’orée du bois, danse le millepertuis

Contre son sein, quelques bruyères

Une effusion ailée

Que le temps défait

Pour coudre d'indicibles pas.


Orion étoilé

Aux volutes poétiques

Le pavillon doré

Est une overdose alcoolique

Un chemin de croix pour les nantis

Une puissance de création valorisante

Et la dépêche du matin

Qu'est ce que j'en fais

Je ne suis plus sur de moi.


Le papillon moiré

Est une envolée bucolique

Un déploiement de Soi sur les taillis

Dans l'air, un battement de paupières,

Un rêve inachevé

Qu'est ce que j'en fais

Dans l'envergure de mes bras.


Carillon d'Orphée

Aux charmes mélancoliques

A l’orée du bois, danse le millepertuis

Contre son sein, quelques bruyères

Une effusion ailée

Que le temps défait

Pour coudre d'indicibles pas.


Orion étoilé

Aux volutes poétiques

S'étoile dans la nuit

Le pavillon doré

Est une overdose alcoolique

Un chemin de croix pour les nantis

Une puissance de création valorisante

Et la dépêche du matin

Qu'est ce que j'en fais

Je ne suis plus sur de moi.


Le papillon moiré

Est une envolée bucolique

Un déploiement de Soi sur les taillis

Dans l'air, un battement de paupières,

Un rêve inachevé

Qu'est ce que j'en fais

Dans l'envergure de mes bras.


Carillon d'Orphée

Aux charmes mélancoliques

A l’orée du bois, danse le millepertuis

Contre son sein, quelques bruyères

Une effusion ailée

Que le temps défait

Pour coudre d'indicibles pas.


Orion étoilé

Aux volutes poétiques

S'étoile dans la nuit

Muse de l'aurore et des prières

Le pavillon doré

Est une overdose alcoolique

Un chemin de croix pour les nantis

Une puissance de création valorisante

Et la dépêche du matin

Qu'est ce que j'en fais

Je ne suis plus sur de moi.


Le papillon moiré

Est une envolée bucolique

Un déploiement de Soi sur les taillis

Dans l'air, un battement de paupières,

Un rêve inachevé

Qu'est ce que j'en fais

Dans l'envergure de mes bras.


Carillon d'Orphée

Aux charmes mélancoliques

A l’orée du bois, danse le millepertuis

Contre son sein, quelques bruyères

Une effusion ailée

Que le temps défait

Pour coudre d'indicibles pas.


Orion étoilé

Aux volutes poétiques

S'étoile dans la nuit

Muse de l'aurore et des prières

Tendrement effilochée

La saison passe mais

L'oraison garde son mât.

Le pavillon doré

Est une overdose alcoolique

Un chemin de croix pour les nantis

Une puissance de création valorisante

Et la dépêche du matin

Qu'est ce que j'en fais

Je ne suis plus sur de moi.


Le papillon moiré

Est une envolée bucolique

Un déploiement de Soi sur les taillis

Dans l'air, un battement de paupières,

Un rêve inachevé

Qu'est ce que j'en fais

Dans l'envergure de mes bras.


Carillon d'Orphée

Aux charmes mélancoliques

A l’orée du bois, danse le millepertuis

Contre son sein, quelques bruyères

Une effusion ailée

Que le temps défait

Pour coudre d'indicibles pas.


Orion étoilé

Aux volutes poétiques

S'étoile dans la nuit

Muse de l'aurore et des prières

Tendrement effilochée

La saison passe mais

L'oraison garde son mât.


Le grillon des étés