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Invité Invité
| Sujet: Re: "Je t'aime moi non plus" Mar 27 Mai 2014 - 19:20 | |
| Et dans son oeil gauche, on peut observer le doux fardeau des parents. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Je t'aime moi non plus" Mar 27 Mai 2014 - 19:53 | |
| Le petit ange souhaite déclarer à sa maman, dont le sein droit n'est pas à sa portée, qu'il admet qu'il lui est soumis, cette première prise de conscience, intenable, devra être exprimée avec tous les moyens disponibles ! Ainsi, le petit ange symbole d'innocence, produit une métamorphose radicale et devient le petit démon tout rouge, hurlant, déchaînant toutes ses potentialités vocales et physiques (avec les petits bras qui s'agitent frénétiquement, comme si ses vêtements pourtant si doux et offerts par tante Pélagie, devenaient tout à coup urticants) ! "Viens ici esclave car j'ai besoin de me remplir le buffet, et alors je t'épargnerais ma fureur !" |
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| Sujet: Re: "Je t'aime moi non plus" Mer 28 Mai 2014 - 9:30 | |
| - Lucrèce a écrit:
- Le petit ange souhaite déclarer à sa maman, dont le sein droit n'est pas à sa portée, qu'il admet qu'il lui est soumis, cette première prise de conscience, intenable, devra être exprimée avec tous les moyens disponibles ! Ainsi, le petit ange symbole d'innocence, produit une métamorphose radicale et devient le petit démon tout rouge, hurlant, déchaînant toutes ses potentialités vocales et physiques (avec les petits bras qui s'agitent frénétiquement, comme si ses vêtements pourtant si doux et offerts par tante Pélagie, devenaient tout à coup urticants) ! "Viens ici esclave car j'ai besoin de me remplir le buffet, et alors je t'épargnerais ma fureur !"
Taratata ! L'être humain naît bon, etc. (Rousseau) |
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| Sujet: Re: "Je t'aime moi non plus" Mer 28 Mai 2014 - 9:31 | |
| - Lucrèce a écrit:
- Le petit ange souhaite déclarer à sa maman, dont le sein droit n'est pas à sa portée, qu'il admet qu'il lui est soumis, cette première prise de conscience, intenable, devra être exprimée avec tous les moyens disponibles ! Ainsi, le petit ange symbole d'innocence, produit une métamorphose radicale et devient le petit démon tout rouge, hurlant, déchaînant toutes ses potentialités vocales et physiques (avec les petits bras qui s'agitent frénétiquement, comme si ses vêtements pourtant si doux et offerts par tante Pélagie, devenaient tout à coup urticants) ! "Viens ici esclave car j'ai besoin de me remplir le buffet, et alors je t'épargnerais ma fureur !"
Et dire que l'on est tous passé par cet état là |
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| Sujet: Re: "Je t'aime moi non plus" Mer 28 Mai 2014 - 13:11 | |
| - Les Nymphes a écrit:
- Lucrèce a écrit:
- Le petit ange souhaite déclarer à sa maman, dont le sein droit n'est pas à sa portée, qu'il admet qu'il lui est soumis, cette première prise de conscience, intenable, devra être exprimée avec tous les moyens disponibles ! Ainsi, le petit ange symbole d'innocence, produit une métamorphose radicale et devient le petit démon tout rouge, hurlant, déchaînant toutes ses potentialités vocales et physiques (avec les petits bras qui s'agitent frénétiquement, comme si ses vêtements pourtant si doux et offerts par tante Pélagie, devenaient tout à coup urticants) ! "Viens ici esclave car j'ai besoin de me remplir le buffet, et alors je t'épargnerais ma fureur !"
Taratata ! L'être humain naît bon, etc. (Rousseau) Oui et c'est la société qui le rend mauvais, je connais. Mais le récit ci-dessus n'était qu'une sorte de délire (tu l'auras bien compris j'espère), néanmoins je suis sûr que certains specimens sont machiavéliques et surpassent nettement nombre de nos ridicules politiques. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Je t'aime moi non plus" Mer 28 Mai 2014 - 16:03 | |
| - Lucrèce a écrit:
- Les Nymphes a écrit:
- Lucrèce a écrit:
- Le petit ange souhaite déclarer à sa maman, dont le sein droit n'est pas à sa portée, qu'il admet qu'il lui est soumis, cette première prise de conscience, intenable, devra être exprimée avec tous les moyens disponibles ! Ainsi, le petit ange symbole d'innocence, produit une métamorphose radicale et devient le petit démon tout rouge, hurlant, déchaînant toutes ses potentialités vocales et physiques (avec les petits bras qui s'agitent frénétiquement, comme si ses vêtements pourtant si doux et offerts par tante Pélagie, devenaient tout à coup urticants) ! "Viens ici esclave car j'ai besoin de me remplir le buffet, et alors je t'épargnerais ma fureur !"
Taratata ! L'être humain naît bon, etc. (Rousseau) Oui et c'est la société qui le rend mauvais, je connais. Mais le récit ci-dessus n'était qu'une sorte de délire (tu l'auras bien compris j'espère), néanmoins je suis sûr que certains specimens sont machiavéliques et surpassent nettement nombre de nos ridicules politiques. T'avoueras quand même, avec toi, on ne sait jamais si c'est du lard ou du cochon ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Je t'aime moi non plus" Mer 28 Mai 2014 - 18:52 | |
| - Les Nymphes a écrit:
- Lucrèce a écrit:
- Les Nymphes a écrit:
- Lucrèce a écrit:
- Le petit ange souhaite déclarer à sa maman, dont le sein droit n'est pas à sa portée, qu'il admet qu'il lui est soumis, cette première prise de conscience, intenable, devra être exprimée avec tous les moyens disponibles ! Ainsi, le petit ange symbole d'innocence, produit une métamorphose radicale et devient le petit démon tout rouge, hurlant, déchaînant toutes ses potentialités vocales et physiques (avec les petits bras qui s'agitent frénétiquement, comme si ses vêtements pourtant si doux et offerts par tante Pélagie, devenaient tout à coup urticants) ! "Viens ici esclave car j'ai besoin de me remplir le buffet, et alors je t'épargnerais ma fureur !"
Taratata ! L'être humain naît bon, etc. (Rousseau) Oui et c'est la société qui le rend mauvais, je connais. Mais le récit ci-dessus n'était qu'une sorte de délire (tu l'auras bien compris j'espère), néanmoins je suis sûr que certains specimens sont machiavéliques et surpassent nettement nombre de nos ridicules politiques. T'avoueras quand même, avec toi, on ne sait jamais si c'est du lard ou du cochon ? L'ambiguïté créée plus de possibilités. ps : Rousseau c'est bien. Le provincial confronté au mondain, le traumatisme du choc des classes. Je crois que Les confessions est un des ouvrages les plus comiques que j'ai pu lire (hors derniers chapitres) toutes périodes littéraires confondues. |
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